Prendre des Risques : Comment Surmonter sa Peur ?

Sacré question que celle de savoir pourquoi on a peur de prendre des risques.

D’aucuns pensent que la réponse à cette question relève de la seule confiance en soi et que, partant, surmonter ses peurs repose sur la certitude d’être en sécurité : avec soi, à propos de soi, comme de son environnement.

De facto, la peur de prendre des risques se fonde sur un ratio entre l’investissement nécessaire, l’image de soi, et les conséquences des risques pris.

Ainsi, nous pouvons détenir un capital confiance que bien des gens nous envient mais, malgré cela, avoir peur de prendre des risques. Comme si une sorte de gendarme intérieur nous tenait en respect quant à nos façons de faire ou d’être : « Fais pas ci, fais pas çà ».

Ici, il est fait référence au surmoi, c’est à dire à la somme des interdits sociaux et parentaux lesquels nous empêchent de nous affirmer en prenant un risque.

Le ratio est un mètre étalon utilisé par les banques ou les compagnies d’assurances au sujet de la prise de décision.

En voici le principe :

« Si le ratio – c’est à dire investissement sur risques équivaut à un pourcentage de réussite de X – n’est pas bon par rapport à mon expérience et à des expériences dûment qualifiées et analysées alors je ne prends aucun risque ou, au contraire, je prendrais un risque limité à ceci ou à cela« .

Dès lors, avoir peur de prendre des risques ne repose absolument pas, ou pas seulement, sur des questions de confiance en soi.

En effet, une multitude d’éléments nous invitent à écouter notre peur de prendre des risques : ne rien faire, là ou d’autres font quelque chose.

Sans doute conservez-vous en mémoire la crise économique de 2008.

Du jour au lendemain, c’est comme si la terre s’était arrêtée de tourner. Les gens se sont mis à avoir peur, peur de prendre des risques, comme si leur vie s’arrêtait brutalement et que, contre toute attente, plus rien ne soit possible.

Aucune vision de l’avenir ni de possibilité d’envisager le moindre risque. Acheter, vendre, investir, changer d’emploi, rien ne semblait plus possible. D’une façon soudaine et inattendue, du moins par le citoyen moyen dont je suis, nous basculions dans l’inconnu.

Nous sommes tous alors versés dans la sidération émotionnelle. Des années plus tard, et à juste titre, il semble que les populations restent choquées et que perdure cette peur de prendre des risques.

A quoi tient cette anxiété d’anticipation ? Repose t’elle sur des questions de confiance en soi ou sur le besoin de tout contrôler ?

Dès lors, comment ne plus avoir peur de prendre des risques et, partant, sortir de sa zone de confort et, de fait, s’affirmer et assumer les conséquences de ses choix ?

Définition de la peur de prendre des risques

La notion de prise de risques induit que nous faisons un choix ou que nous envisageons de faire un choix.

Par exemple, d’investir n’importe quel sujet pour essayer d’en tirer un profit, un avantage, un plaisir. Il va ainsi de la séduction.

Il nous faut envisager les moyens dont nous bénéficions pour essayer de minimiser le risque et de maximiser la réussite. Effectivement, il n’y a aucun intérêt à s’investir dans quelque domaine que cela soit si les chances de réussite sont trop réduites ou inexistantes.

Sauf à ce que l’on soit, même symboliquement, suicidaire ou philanthrope.

Peur de prendre des risques en amour

Prenons l’exemple de la séduction.

Imaginons que nous rencontrons une personne qui ne vous laisse pas indifférent(e). Nous nous intéressons à cette personne et lui déployons vos charmes. Encore faut-il que nous soyons convaincu(e) d’avoir des chances maximales de satisfaire votre objectif : séduire et plus, si affinités.

Ou de penser tout haut comme le regretté Michel Blanc dans le film « Les Bronzés » que notre séduction puisse marcher… sur un malentendu !

Dès lors, pour des questions qui relèvent :

  • De l’image que nous avons de nous,
  • De nos expériences en matière de séduction,
  • Du contexte et de l’environnement – favorable ou non -,
  • De ce que la personne nous renvoie de nous et de nos comportements (acceptation ou refus).

Nous investissons une tentative de séduction ce qui nous permettra d’évaluer ensuite l’opportunité d’une relation constructive.

Peur de prendre des risques pour réussir

Nous évaluons la résistance de la personne que nous souhaitons séduire. Nous évaluons aussi nos propres chances de réussite. Il se peut même que nous soyons porté(e) par une angoisse délicieuse : celle du plaisir de faire, et du désir de réussir.

Notre comportement évolue en fonction de paramètres systémiques. C’est à dire suivant les fruits des inter actions qui se font jour entre la personne de notre choix, et nous.

En fonction de notre vision de la situation, nous évaluons nos chances. Dès lors, nous insistons sur certains points de comportements et en laissons tomber d’autres. C’est ainsi que nous nous affirmons, ou pas.

Peur de prendre des risques : comment ne plus en faire un problème ?

Si la situation nous échappe :

  • A cet égard, nous avons un comportement responsable. Nous assumons notre échec et en tirons les enseignements.
  • Notre peur de prendre le risque d’un râteau est trop importante. Nous lâchons en cours.
  • Ou alors, nous n’envisageons même pas de débuter une relation de séduction, estimant que nos chances, outils et moyens sont très – ou trop – insuffisants pour satisfaire notre réussite.

C’est ainsi que, en fonction de l’intensité de notre peur de prendre des risques, nous agissons de façon combative ou qu’a contrario, nous réagissons en ne faisant rien par manque d’éléments encourageants.

Mais nous estimons que, même si nos chances de réussite sont au maximum, rien ne nous assure que notre investissement sera rentable dans le temps.

En effet, il peut se passer n’importe quoi n’importe quand, et rien n’est inscrit dans le marbre.

Dans la même veine, nous pouvez avoir peur de voler en avion, et ne jamais arriver à surmonter la peur. Je me souviens d’une jeune actrice qui m’avait consulté pour un problème de phobie de l’avion et qui devait se rendre à un casting à 7000kms de Paris.

Si elle n’avait pas pris l’avion, elle n’aurait pas la carrière que nous lui connaissons.

Peur de prendre des risques et s’affirmer

Plus que la question d’avoir confiance en soi, la peur de prendre des risques, et le comportement qui s’y rattache, ne repose t’elle pas sur un besoin de tout maitriser, de tout contrôler ?

Comme je l’ai souvent dit, et écrit, nous évoluons dans un système au sein duquel il nous est fait obligation de rendre compte de tout.

Nous sommes mis en demeure d’être comptable du moindre de nos comportements et invités à nous tenir pour responsables d’un manquement à une obligation validée par le système lui même.

C’est donc ce même système qui nous précise ce qui est bien ou ce qui est mal. En dehors de ce cadre, point de salut, en plus du fait que nous en sommes quittes pour une certaine nervosité à cet égard.

Émotionnellement, le système fonctionne si bien, voire d’une façon si perverse, que nous alimentons nos propres peurs voire nous faisons le lit de notre propre malheur.

Ainsi, à vouloir tout rendre si précis, tout devient flou.

Plus nous contrôlons et faisons des calculs savants, plus nous augmentons le risque d’échouer. C’est un peu comme de l’électronique embarquée dans une automobile.

Hier, les automobiles avaient un moteur et une carrosserie. C’était simple. Réparer était simple aussi. Il suffisait d’un peu de bon sens et de logique, et l’ouvrier faisait son œuvre. Aujourd’hui, plus il y a d’électronique plus les chances de pannes sont importantes.

Prétendre vouloir tout faciliter, par un contrôle en amont, rend nos véhicules terrestres à moteur dépendants d’un système électronique qui peut défaillir et tomber en panne au moindre écart de température ou, plus conséquemment, au moindre soupçon de panne intégrée au système.

Comment apprendre à prendre des risques ?

Cette suspicion indiquée comme valeur de panne potentielle est considérée comme une panne réelle.

Elle met le système en panne alors que cet éventuel dysfonctionnement participe au fonctionnement même du moteur. C’est ce que l’on appelle l’homéostasie d’un système.

Cela signifie que le système absorbe ses propres dysfonctionnements, et n’en fait pas un problème.

Tout ne peut donc pas être sous contrôle permanent. A force de tout vouloir contrôler, on ne contrôle plus rien voire, on bloque le système qui se veut si fluide. L’exemple le plus récent est la politique du gouvernement français.

A trop vouloir de réformes, et aussi rapidement, les réformes se créent à l’arrachée et les citoyens en deviennent comme sidérées et ne comprennent plus le sens de tels changements. Donc, ils résistent.

La peur de prendre des risques repose sur cette même adéquation paradoxale.

Nous pouvons tout qualifier, analyser et valider en amont. Nous ne pouvons jamais tout contrôler au point de voir, ou considérer, notre peur de prendre des risques comme nulle. Alors comment faire ? Comment agir quand, à défaut de se montrer intrépide, on a peur de prendre des risques ?

Quand on prend le temps d’y réfléchir, c’est particulièrement simple.

Beaucoup de gens s’angoissent à l’idée de prendre des risques parce qu’ils veulent absolument réussir. De facto, ils ont l’échec en ligne de mire, et leur vision est donc biaisée par cette peur d’échouer.

L’angoisse ainsi générée ne fait qu’accroître la peur de prendre des risques, mais il peut en être tout autrement. En effet. Quel est l’intérêt de se faire peur en regardant plus haut et plus loin que notre vue ne porte ?

Évaluer le risque

Pour ne plus avoir peur de prendre des risques, au delà du fait raisonnable et compréhensible de souhaiter minimiser les risques, il suffit d’évaluer la progression souhaitée entre la prise de risques, et l’objectif final. C’est à dire de penser, réfléchir et, enfin, agir de façon progressive.

Prenons les marches d’un escalier lequel est composé de 10 marches. La 1ère marche représente une prise de risques minime pour atteindre la seconde marche.

La troisième marche est un risque accru pour satisfaire un objectif plus ambitieux que celui de la première marche, et ainsi de suite jusqu’à l’objectif final.

La réussite pleine et entière, c’est la dernière marche, étant entendu que nous investissons un nouvel objectif grâce aux gains obtenus par la – petite – prise de risques précédente.

En agissant de la sorte, nous validons la prise de risques en intégrant le fait que nous pouvons toujours nous arrêter en chemin. Ceci, à la condition que notre investissement soit plus important que le gain obtenu.

Si nous n’atteignons pas la dernière marche, l’objectif de réussite plein et entier, ce n’est pas grave, sauf si nous prenons plaisir à potentialiser un échec, comme à ne voir que lui et pas la réussite, même moindre. Sauf si nous avons un intérêt à faire un problème de cette situation.

Ne vaut-il pas mieux de petites réussites qui font de grands bénéfices ? En effet, une prise de risques majeure risque de nous faire obséder sur la peur de ne pas satisfaire un très grand objectif, lequel nous fait prendre des risques inconsidérés.

N’est-il pas plus opportun d’agir avec mesure, et de nous épargner toute comparaison à d’autres personnes dont nous pensons qu’elles réussissent – prétendument – tout ce qu’elles entreprennent ?

peur de prendre des risques : évaluer et respecter ses limites.

Respecter ses limites

Si nous focalisons sur un objectif trop haut par rapport à la réalité de nos possibilités, nous risquons de générer un évènement inversement proportionnel à l’objectif souhaité.

Partant, nous bloquons nos décisions en activant votre peur de prendre des risques plutôt que d’accepter de ne pas tout contrôler, et d’avoir confiance en nous.

Moralité de l’histoire : agissons progressivement, dans le respect de nous même, et ne forçons rien.

Dernière chose, n’oublions pas que certaines personnes peuvent être très excitées par la peur de prendre des risques et, de fait, prendre un risque maximum qui les lessivera pour le compte.

Finalement, la peur de prendre des risques est à la fois compliquée et… simple.

Peur de prendre des risques : réponses aux questions fréquentes

Si la peur de prendre des risques et des décisions est naturelle, elle peut être atténuée en adoptant des stratégies concrètes pour mieux gérer vos émotions et développer votre confiance.

Il convient de se rappeler que les erreurs sont des opportunités d’apprentissage, et que chaque risque pris ouvre de nouvelles pespectives.

En matière de changement, il est donc nécessaire de répondre aux multiples questions posées.

Pourquoi ai-je peur de prendre des risques ?

La peur de prendre des risques est un sentiment courant qui s’explique par plusieurs facteurs :

  1. Le besoin de sécurité : l’être humain a une tendance naturelle à chercher la sécurité et à éviter l’incertitude. Prendre des risques implique de sortir de sa zone de confort, ce qui est susceptible de générer de l’anxiété.
  2. La peur de l’échec : beaucoup de personnes redoutent de ne pas réussir et d’avoir à gérer les conséquences négatives de leurs choix (perte financière, déception, jugement des autres).
  3. L’éducation et les expériences passées : quand on été élevé dans un environnement où la prudence est de mise ou si on a vécu des expériences négatives après avoir pris des risques, cela peut influence l’aversion du risque.
  4. Le perfectionnisme : les personnes perfectionnistes évitent souvent les risques par crainte de ne pas réussir à atteindre un résultat parfait.
  5. Manque de confiance en soi : une faible estime de soi rend difficile la prise de risque, car on doute de ses capacités à gérer les conséquences.

Comment oser prendre des risques ?

Prendre des risques est une compétence qui se développe grâce à des stratégies spécifiques :

  1. Commencer petit : il est inutile de viser des changements radicaux dès le départ. Il faut commencer par prendre des risques limités pour renforcer sa confiance en soi (par exemple, exprimer une idée nouvelle lors d’une réunion).
  2. Changer de perspective : chaque risque pris est une opportunité d’apprentissage plutôt qu’une menace. Même en cas d’échec, chaque expérience apporte des leçons précieuses.
  3. Faire une analyse des conséquences : lister les bénéfices et les éventuels inconvénients du risque. Souvent, les bénéfices perçus surpassent les risques réels.
  4. Se préparer aux résultats : identifier ce que l’on ferait si les choses ne se passaient pas comme prévu. Avoir un plan B peut réduit l’anxiété liée à l’incertitude.
  5. Chercher des soutiens : il faut échanger avec des personnes inspirantes ou qui ont pris des risques similaires. Leur expérience rassure et motive.
  6. Fixer des objectifs clairs : lorsque les risques pris sont alignés avec nos valeurs et nos objectifs de vie, il est plus facile de les accepter.
  7. Pratiquer la résilience : développer une mentalité selon laquelle les échecs ne sont pas des fins en soi, mais des étapes vers la réussite.

Pourquoi prends-je des risques ?

Certaines personnes prennent des risques pour diverses raisons :

  1. Recherche d’adrénaline : certaines personnes aiment les sensations fortes associées à l’inconnu et au danger, ce qui génère des niveaux élevés de dopamine.
  2. Désir de progression : prendre des risques est souvent nécessaire pour atteindre des objectifs ambitieux, qu’il s’agisse de progresser dans sa carrière ou de transformer sa vie personnelle.
  3. Curiosité et exploration : certains prennent des risques parce qu’ils sont motivés par la curiosité ou l’envie de découvrir quelque chose de nouveau.
  4. Confiance en soi : les personnes qui se sentent capables de gérer et d’accepter les conséquences d’un risque sont plus enclines à en prendre. Attention cependant, d’autres qui n’ont pas confiance en elles prennent des risques mal évalués et en subissent les conséquences.
  5. Influences sociales : pour faire écho à ce qui est précédemment écrit, la pression de l’entourage ou la recherche de validation sociale peut aussi encourager des comportements risqués.

Il est essentiel de différencier les risques calculés (ceux qui sont réfléchis et mesurés) des risques impulsifs, qui peuvent être motivés par des émotions ou des instincts immédiats.

Pourquoi avoir peur de prendre des décisions ?

La peur de prendre des décisions, également appelée indécision, a diverses causes :

  1. La peur de l’erreur : l’idée de faire un mauvais choix peut paralyser, en particulier si les conséquences potentielles sont importantes.
  2. Trop d’options : lorsque l’on est confronté à un trop grand nombre d’alternatives, cela entraîne une surcharge mentale que l’on appelle la paralysie par l’analyse.
  3. Manque de confiance : si on doute de ses compétences ou de son jugement, chaque décision peut sembler risquée.
  4. Environnement critique : si, par le passé, des décisions ont été sévèrement jugées ou critiquées, cela crée une peur de répéter une expérience identique.
  5. Personnalité perfectionniste : les perfectionnistes ont souvent du mal à se contenter d’une « bonne décision » et cherchent la solution idéale, ce qui entrave leur prise de décision.
  6. Manque de clarté sur ses priorités : quand on se pas précisément ce qui est important pour soi, il devient difficile de trancher entre plusieurs options.
  7. Stress et fatigue : un esprit fatigué ou surchargé rend la prise de décision beaucoup plus difficile.

Comment surmonter la peur de prendre des décisions ?

  1. Réduire les options : il faut simplifier le processus en éliminant les alternatives non essentielles. Moins il y a de choix, plus la décision est facile.
  2. Accepter l’incertitude : dans l’absolu, il n’existe souvent pas de « bonne » ou « mauvaise » décision. Toutes les options ont leurs avantages et leurs inconvénients.
  3. S’appuyer sur ses valeurs : il est suggéré de prendre des décisions alignées avec ses objectifs et ses valeurs personnelles.
  4. Prendre des décisions rapidement : il convient de se fixer un délai pour décider, afin d’éviter de trop réfléchir et d’amplifier ses doutes.
  5. Consulter un mentor ou un proche : leur perspective peut nous aider à y voir plus clair et à relativiser l’impact de nos choix.
  6. Accepter les erreurs : aucune décisions n’est définitive. Il est souvent possible d’apporter des ajustements si nécessaire.
  7. Pratiquer régulièrement : ill faut s’entrainer et s’habituer à prendre de petites décisions rapidement. Cela renforce la confiance à propos de décisions plus importantes.

Ressources externes

Angoisse Chronique : Comment Surmonter ce Trouble Anxieux ?

L’angoisse a fait partie de ma vie des années durant. Je parlerais alors d’une angoisse chronique.

La relation entre l’angoisse et moi relevait du rapport amour-haine. A la fois elle me maintenait en vie, à la fois elle me gâchait la vie.

J’avais toujours ce sentiment de ne pas être normal, de ne pas être comme tout le monde du matin au soir et inversement, surtout le matin au lever, avant que tout ne recommence.

Je me suis donc longtemps interrogé sur la meilleure façon de comment soigner l’angoisse du matin et comment vaincre chaque crise d’angoisse la nuit ou de contrôler une crise d’angoisse au travail.

Je passais mon temps à faire des comparaisons, en plus de ruminer pour essayer de trouver des solutions à l’angoisse dont je souffrais. Ce que je ne savais pas c’est que le problème relevait de l’angoisse chronique.

J’ai toujours été quelqu’un d’anxieux.

Enfant, la moindre inter action avec les autres me plongeait dans des angoisses pénibles. Peur de mal faire, peur de mal dire, crainte de ne pas être à la hauteur.

A bien y réfléchir, chaque situation était une source d’angoisses. Même l’école était un vecteur d’angoisse. Je me suis d’ailleurs rendu compte que ma peur d’échouer entravait littéralement mon désir de réussir.

L’évitement enrichit l’angoisse chronique

Scolairement, j’ai toujours fait ce qu’il fallait pour avoir la moyenne, sans plus. Aujourd’hui, je regrette de ne pas avoir été accompagné comme je pense que ma sensibilité en avait besoin. Cela m’aurait évité bien des tracas.

Au réveil, la seule idée d’être interrogé en classe générait chez moi des crises d’angoisses dont je e gardais bien de parler. Je faisais comme si de rien n’était tout en ne comprenant pas pourquoi j’étais angoissé tous les jours.

Je me rappelle encore ce chemin vers l’école.

En m’y rendant, matin et après-midi, je n’avais que deux choses en tête. Être avec mes potes : leur présence me détournait de mon anxiété. La seconde chose consistait à fantasmer sur la sonnerie qui annonçait la fin des cours.

J’avais la chance que ma mère vienne me chercher chaque jour pour le déjeuner. Rentrer chez moi était une libération. Repartir à l’école, un chemin de croix.

Moralité : c’est bien la preuve qu’éviter l’angoisse et, partant, l’anxiété, c’est enrichir le problème. Ou, si vous préférez, plus vous contrôlez, plus vous alimentez.

Angoisse chronique et construction de la personnalité

Ce que j’apprendrais bien plus tard, c’est qu’être chez moi, dans ma famille, était aussi une source d’angoisse.

In fine, dans quelque lieu que ce fut, j’avais un gros problème d’estime et de confiance en moi. Personne n’imaginait combien ce que je ressentais en termes d’émotions s’apparentait aux symptômes d’une angoisse permanente.

Je suis persuadé que si j’en parle autour de moi à celles et ceux qui m’ont connu à l’époque, ils en seraient trés étonnés. Et pourtant. C’est bien cette peur constante qui aura été ma compagne tout au long de mon enfance.

Cette peur est devenue angoisse chronique puis anxiété. Ce n’est qu’en devenant thérapeute comportemental que je comprendrais non seulement la différence entre angoisse et anxiété mais aussi pourquoi je m’interrogeais sur le sens de la vie et, partant, sur ce qui motivait mon angoisse de mort existentielle.

Ainsi, je comprendrais enfin qui je suis et comment je fonctionne. C’est ainsi qu’en étant aidé par les bonnes personnes, je cesserais de passer à côté de moi.

C’est ce qu’au travers de cet article, comme de tous les autres au sein de ce blog, je souhaite vous épargner. Cesser de continuer à avoir peur, savoir faire des différences entre vos diverses émotions comme identifier votre angoisse chronique puis agir en conséquence.

En bref, vous libérer et vous affirmer. C’est d’ailleurs ce que vous faites en lisant cet article.

Angoisse et anxiété sont des termes synonymes pour désigner un certain état physique ou psychologique.

L’angoisse chronique est souvent définie comme un sentiment général de malaise. Ceux qui sont atteints par l’angoisse chronique voient les choses de façon pessimiste, et se sentent inutiles face à des situations difficiles.

L’angoisse chronique induit un sentiment répétitif qui met mal à l’aise. Ce sentiment si particulier fait que l’angoisse chronique est vécue comme une forme de malaise qui ne fait l’objet d’une cause précise.

Les origines de l’angoisse chronique

La notion, ou la perception, du danger existe pour elle en tout temps et tout en lieu. Il est difficile, voire impossible, d’échapper à ce sentiment de malaise qui génère un mal être profond.

Souvent incomprises, les personnes concernées sont fréquemment contrariées par cette incompréhension, et se renferment sur elles mêmes. Ce qui a pour effet, bien évidemment, de les isoler et d’aggraver leurs symptômes.

L’angoisse chronique est donc caractérisée par un sentiment général de malaise dont l’origine est difficilement identifiable.

Plus généralement, ce sentiment de malaise et de dangers est le plus souvent lié à des sujets tabous ou sensibles. Celui ou celle qui est la proie se trouve dans une situation embarrassante, une sorte d’impression d’ensemble qu’il ou elle n’arrive pas à exprimer.

Ce sentiment qui a un lien fort avec des sujets intimes génère un blocage qui empêche tout épanouissement.

Les causes de l’angoisse chronique

Dans un précédent chapitre, je vous explique ce qui, pour moi, sont les causes de ma légendaire angoisse chronique. Dès lors, cela signifie que chacun de nos histoires respectives constitue l’une des multiples causes de notre angoisse chronique.

Dès lors, plus que cette histoire de vie, ce sont aussi tout un tas d’autres facteurs qui favorisent l’angoisse chronique.

Nos expériences de vie bien sur mais aussi la construction de nos personnalités respectives. Notre fameuse vision des choses laquelle s’appuie sur des éléments dans lesquels l’éducation que nous avons reçu a une bonne place. La religion aussi a une place fort importante.

Enfant, j’ai très vite appris que je devais craindre le doigt de dieu. D’ailleurs, je le voyais entre chaque nuage et chaque geste de mon quotidien. La peur encore, celle du jugement, du jugement dernier ce qui, souvent, me valait une boule dans le ventre tellement je me sentais intranquille.

L’idée même de savoir que si je ne faisais pas ce qu’il faut je risquais l’enfer me terrorisait. Partant, ce que je comprenais de ce que l’on exigeait de moi façonnait cette angoisse chronique.

En référence à ma propre histoire, je suis convaincu que la plupart d’entre vous s’identifient.

Peu importe la culture dont nous sommes, ou l’éducation que nous avons reçu. Le problème de l’angoisse chronique ainsi générée est toujours la même.

Peu ou prou, nous avons tous vécu la même chose à telle enseigne d’ailleurs que là, maintenant, tout de suite, vous vous demandez comment vaincre l’angoisse chronique dont vous êtes victime.

causes de l'angoisse chronique: Pourquoi est-on angoissé(e) ?

Les différentes manifestations de l’angoisse chronique

Mal traitée, cette angoisse chronique peut réapparaître à tout moment.

L’angoisse est souvent assimilée à une forme d’anxiété. La différence entre l’angoisse et l’anxiété est si subtile que l’on ne peut affirmer que l’angoisse chronique est une émotion qui s’apparente à de l’anxiété.

L’angoisse chronique peut être d’origine organique : un manque de magnésium par exemple. On peut identifier l’angoisse chronique au travers de diverses manifestations physiques voire neurologiques :

  • Tachycardie,
  • Somatisation,
  • Crise de tétanie.

Quand l’angoisse chronique se manifeste par une crise de tétanie, cela signifie qu’il faut prendre de mesures médicales spécifiques. En effet, le malaise a des conséquences physiques. Dès lors, consultez votre médecin et faites réaliser des analyses.

Les symptômes de l’angoisse chronique

La personne victime de ce sentiment de malaise peut présenter des symptômes inquiétants comme la tachycardie. Cela consiste en une accélération du rythme cardiaque, au-delà de 90 à 100 battements par minute.

On pourra également être confronté(e) à des somatisations (manifestation physique du trouble psychique). Par exemple, un cas typique de somatisation est une tension musculaire parfois constante.

L’angoisse chronique est responsable d’un ralentissement psychomoteur et d’une fatigue souvent importante. Ce problème est aussi lié à un manque d’initiative, d’enthousiasme, ou encore d’intérêt.

Cela peut aboutir à une dépression réactionnelle comme lorsqu’une personne n’a de cesse de penser à la mort tout le temps et que cela, bien évidemment, met à mal ses projets de vie.

Traitement de l’angoisse chronique

Cette angoisse qui se répète est donc une angoisse chronique. Plus précisément, l’anxiété est la forme répétitive de l’angoisse.

Ceci étant écrit comme à l’accoutumée, il est très important de comprendre le mécanisme de son angoisse afin de la traiter efficacement.

Dans la mesure où l’angoisse chronique est provoquée par des mécanismes internes inconscients, la meilleure façon de la soigner est d’essayer d’attaquer le problème de front.

Les traitements chimiques (médicaments) pourraient être efficaces pour soigner l’angoisse. Malheureusement, on ne peut pas compter sur ces traitements parce qu’ils ne soulagent que de façon spontanée et ne guérissent pas.

Ils ne font qu’atténuer les symptômes qui ne manqueront pas de resurgir dès l’arrêt des prises médicamenteuses.

Comment se débarrasser de l’angoisse chronique ?

Vous sentez-vous parfois oppressé ou en manque d’air ? Vous arrive-t-il d’avoir des bouffées de chaleur ou une transpiration excessive ? Ou souffrez-vous parfois de douleurs à l’estomac ?

Dans l’affirmative, sachez que ce sont des symptômes de crises d’angoisse qui peuvent parfois provoquer une crise de panique et vite devenir un handicap au quotidien. En effet, lorsque vous ressentez l’un de ces symptômes, vos mains sont moites, votre cœur bat, vos jambes tremblent.

Parfois, dans le pire des cas, vous avez le sentiment d’avoir perdu le sens de votre vie ou même l’impression de mourir. Et s’il s’agissait des signaux d’alerte d’une crise d’angoisse ?

En pareille situation, comment se débarrasser de l’angoisse ? Il existe de nombreux outils pour mieux vivre son anxiété au quotidien.

Ci-après, vous en trouverez quelques-uns à même de vous aider.

angoisse chronique : traitement de l'anxiété chronique

Faire des exercices respiratoires

L’angoisse tend à accélérer le rythme respiratoire de façon chaotique. Cela peut même aller jusqu’à créer de l’hyperventilation. Contraction des muscles, mains moites, estomac noué, voilà autant de facteurs qui poussent votre cœur à réclamer plus d’oxygène.

Pour revenir sur un rythme respiratoire plus serein, pensez à respirer par le ventre. Il s’agit là d’une technique connue pour aider à lutter contre l’hyperventilation et qui permet également de rentrer en méditation.

Écrire ses sentiments

Comme je le précise dans l’un des paragraphes ci-dessus, écrire vos angoisses et vos inquiétudes vous aide à gérer vos émotions et à les évacuer pour ne pas passer votre temps à les ressasser (cf. les ruminations).

Vous pouvez ainsi écrire dans un carnet ou sur une feuille libre quelques phrases courtes précisant ce qui vous inquiète le plus, au moment où vous ressentez la crise.

Demandez-vous ensuite si vos angoisses sont issues d’un fait, ou d’une croyance de votre part. Il s’agit ici de réduire l’intensité du stress que ces angoisses provoquent.

Comment soigner l’angoisse chronique ?

Pour soigner l’angoisse chronique, vous devez donc commencer par analyser ses origines.

Pour cela, la thérapie reste la meilleure solution. Une psychothérapie peut, à travers la discussion, vous aider à comprendre et à vaincre votre angoisse sur le long terme.

Mais comprendre pourquoi on est angoissé ne vous donne pas la solution. Dès lors, l’inconvénient d’une psychothérapie, c’est qu’elle peut mettre des années à fournir un résultat. À condition évidemment que vous trouviez le bon thérapeute.

D’un autre côté, la thérapie comportementale offre une autre solution, bien plus rapide et bien plus efficace. Le comportementaliste professionnel donne au patient les outils nécessaires à l’analyse du mécanisme des pensées irrationnelles à l’origine de l’angoisse.

Ensuite, il l’aide à travailler sur son comportement en neutralisant la perception émotionnelle de situations anxiogènes. La thérapie comportementale issue de l’approche systémique de Palo Alto fonctionne trés bien et vous débarrasse de l’angoisse chronique en quelques semaines seulement.

Comment vaincre l’angoisse chronique ?

Si vous constatez que qu’une chose à laquelle vous pensez vous rend anxieux pendant la journée, soyez conscient de votre façon de penser. Essayez d’accepter de la remettre à plus tard.

Il existe des thérapies classiques qui peuvent donner de bons résultats. Mais, tout le monde ne souhaite pas s’inscrire dans une démarche thérapeutique longue (psychologie, psychanalyse). Il existe des thérapies brèves. En l’espèce, il peut s’agir de relaxation, de sophrologie, d’EMDR ou encore de thérapie comportementale(TCC).

La plupart des gens sont convaincus qu’on ne peut pas vaincre l’angoisse chronique, qu’il faut simplement savoir vivre avec elle un peu comme si l’on devait, alors qu’on s’interroge sur sa propre sexualité, se résigner à souffrir d’un toc homo alors que ce symptôme d’anxiété masque un autre problème.

Pourtant, ceux qui sont vraiment à la recherche d’une solution à l’angoisse chronique pourront trouver satisfaction dans les thérapies.

Le meilleur moyen pour traiter l’angoisse chronique est de consulter un thérapeute comportemental. En prescrivant des exercices thérapeutiques progressifs, on peut facilement retrouver estime et confiance en soi. Les causes de l’angoisse chronique peuvent être nombreuses . Il serait trop long et fastidieux de les chercher toutes.

En conséquence, une thérapie comportementale est un des meilleurs moyens, si ce n’est le seul, pour trouver l’origine de cette angoisse et, surtout, définitivement l’écarter.

Se focaliser sur la solution

Dans un premier temps, l’approche systémique de Palo Alto établit une définition interactionnelle du problème. C’est-à-dire que ce n’est pas le sujet qui est dysfonctionnel mais plutôt les interactions que celui-ci entretient avec son environnement.

Par ailleurs, ce qui motive le coach ou le psychothérapeute comportementaliste dans cette approche, c’est davantage la construction de la solution que la compréhension des causes du problème pour tenter d’éliminer ces dernières.

Ces causes s’élimineront d’elles mêmes, naturellement donc, grâce à la stratégie thérapeutique utilisée. Ainsi les personnes qui consultent un thérapeute comportemental voient leur situation se débloquer trés rapidement grâce aux solutions qui leurs sont proposées.

Angoisse chronique : réponses aux questions fréquentes

L’anxiété chronique est un cercle vicieux qui affecte à la fois le corps et l’esprit.

Cependant, des solutions existent : la thérapie comportementale associée à des techniques de gestion du stress et à une hygiène de vie adaptée réduisent significativement puis neutralisent définitivement les symptômes.

Pour comprendre comment faire pour se débarrasser d’angoisse chronique, je réponds ci-après aux questions les plus fréquemment posées à ce sujet.

1. Quels sont les symptômes de l’anxiété chronique ?

L’anxiété chronique se manifeste par des symptômes persistants, qui peuvent être physiques, psychologiques, ou comportementaux.

Ci-après, vous trouverez les plus courants :

A. Symptômes physiques :

  • Fatigue constante : le corps reste dans un état de tension prolongé, ce qui épuise les ressources énergétiques.
  • Tensions musculaires : raideurs, douleurs au niveau de la nuque, des épaules ou du dos.
  • Troubles digestifs : nausées, diarrhées, ballonnements ou douleurs abdominales.
  • Palpitations : accélération du rythme cardiaque, sensation d’oppression thoracique.
  • Troubles du sommeil : difficultés à s’endormir, réveils fréquents ou sommeil non réparateur.

B. Symptômes psychologiques :

  • Inquiétude excessive : pensées incessantes tournées vers des scénarios négatifs.
  • Irritabilité : réactions disproportionnées face à des stimuli mineurs.
  • Difficulté de concentration : esprit constamment distrait par des pensées anxieuses.
  • Sentiment de perte de contrôle : impuissance face à ses émotions et à la vie quotidienne.

C. Symptômes comportementaux :

  • Évitement : fuite des situations perçues comme stressantes ou menaçantes.
  • Procrastination : difficultés à agir face à des responsabilités ou des décisions.

2. Comment se débarrasser de l’angoisse chronique ?

A. Thérapies :

  1. Thérapie comportementale :
    • Cette approche identifie et neutralise les pensées irrationnelles et aide à les restructurer de façon positive.
    • Permet de se concentrer sur le moment présent, ici et maintenant, et stoppe les ruminations et les pensées obsessionnelles.

B. Techniques de gestion du stress :

  • Exercices de respiration profonde : cohérence cardiaque. Elle stabilise le rythme cardiaque et apaise l’esprit.
  • Relaxation musculaire progressive : contracter et relâcher chaque groupe musculaire pour réduire les tensions physiques.

C. Hygiène de vie :

  • Sport régulier : l’activité physique libère des endorphines lesquelles agissent comme des antidépresseurs naturels.
  • Éviter les stimulants : réduire la caféine, l’alcool et la nicotine, qui exacerbent l’anxiété.

D. Accompagnement médical :

  • Médicaments : si nécessaire, un médecin peut prescrire des antidépresseurs ou des anxiolytiques pour stabiliser les symptômes.

3. Pourquoi j’angoisse tout le temps ?

A. Causes biologiques :

  • Hyper activité de l’amygdale : cette partie du cerveau, responsable des réactions de peur, est souvent trop sensible chez les personnes anxieuses.
  • Déséquilibres hormonaux : un excès de cortisol (hormone du stress) susceptible d’aggraver l’anxiété.

B. Facteurs psychologiques :

  • Pensées automatiques négatives : le cerveau anticipe constamment les menaces, même dans des situations neutres.
  • Perfectionnisme : le besoin de tout contrôler ou d’éviter les erreurs augmente la pression mentale.

C. Facteurs environnementaux :

  • Stress prolongé : une période difficile (travail, famille) ancre l’anxiété.
  • Manque de soutien social : se sentir isolé(e) amplifie les pensées anxieuses.

4. Quand le corps ne supporte plus l’anxiété ?

Lorsqu’elle devient chronique, l’anxiété peut provoquer un épuisement physique et mental avec les conséquences ci-dessous:

  • Burn-out : incapacité à gérer les tâches quotidiennes, fatigue extrême.
  • Douleurs chroniques : migraines fréquentes, douleurs musculaires ou articulaires.
  • Affaiblissement immunitaire : plus grande vulnérabilité aux infections et aux maladies.
  • Troubles cardiovasculaires : l’hypertension et les palpitations peuvent évoluer en pathologies graves.

Autant de signaux d’alarmes qui requièrent une prise en charge rapide.

5. Comment soigner l’angoisse permanente ?

  1. Approches thérapeutiques :
    • Thérapie comportementale : travail sur les pensées limitantes, l’estime de soi et la confiance en soi.
    • EMDR : pour les anxiétés liées à des traumatismes physiques ou psychiques.
  2. Habitudes apaisantes :
    • suivre une routine de relaxation (méditation, écriture d’un journal).
  3. Mode de vie sain :
    • prioriser le sommeil et une alimentation équilibrée riche en magnésium (noix, chocolat noir).

6. Quels sont les 4 symptômes les plus fréquents de l’anxiété ?

Les 4 symptômes de l’anxiété les plus fréquents sont les suivants :

  1. Palpitations ou oppression thoracique.
  2. Pensées envahissantes ou ruminations.
  3. Tensions musculaires ou douleurs physiques.
  4. Troubles du sommeil (insomnie, réveils nocturnes).

7. Pourquoi des angoisses en permanence ?

A. Accumulation de stress :

  • L’esprit reste bloqué dans un mode de “survie”, toujours à l’affût de dangers.

B. Absence de gestion du stress :

  • Ne pas prendre le temps de relâcher la pression accumulée aggrave les symptômes.

C. Prédisposition génétique :

  • L’anxiété est fréquemment influencée par des antécédents familiaux.

Peur de la Mort : Comment s’en Libérer ?

La peur de la mort, également connue sous le nom de thanatophobie, est une émotion universelle qui touche de nombreuses personnes à différents moments de leur vie.

Comprendre les 7 raisons qui provoquent la peur de la mort peut nous aider à la gérer de manière plus efficace et à vivre une vie plus épanouissante et, ainsi, nous épargner d’éventuelles attaques de panique et, partant, à lâcher prise.

Dans cet article, nous allons explorer les différentes raisons qui alimentent cette crainte de la mort, faire la distinction entre la peur de la mort, la peur de mourir et la mort d’un proche, et enfin, examiner comment l’approche comportementale systémique, modèle Palo Alto, est une solution efficace.

Thanatophobie : causes, origines et symptômes

Bien que commune, la thanatophobie trouve ses racines dans des sources variées.

Des expériences traumatiques, des croyances culturelles ou religieuses, ainsi que des événements de vie marquants peuvent contribuer à cette phobie.

L’approche brève et systémique de Palo Alto cherche à identifier les éléments déclencheurs pour les transformer en solutions orientées vers la compréhension et l’acceptation.

Malgré quelques spécificités, cette phobie de la mort est comme les autres et partage donc les symptômes typiques des phobies les plus communes.

ll n’est pas nécessaire d’avoir tous les symptômes pour être phobique, mais il faut en éprouver de façon conséquente pendant six mois, au moins.

Les symptômes de la thanatophobie sont :

peur de la mort : pourquoi la phobie de la mort ou thanatophobie ?

Cependant, à bien des égards, on peut envisager que la peur existentielle de la mort produit une phobie unique en son genre.

Ses symptômes sont parfois très différents des autres phobies, et peuvent beaucoup varier d’une personne à l’autre.

Par exemple, certains patients vont développer une hypocondrie importante et éviter tous les lieux en rapport avec la mort (cimetières, hôpitaux, enterrement, etc.).

Au contraire, d’autres vont multiplier les conduites à risques et consommer beaucoup d’alcool et de drogues pour oublier leurs angoisses.

Les conduites addictives sont en fait assez fréquentes chez les personnes anxieuses, lesquelles ne sont pas toujours phobiques. La dépression aussi est un symptôme fréquent de la peur de la mort.

Les raisons de la peur de la mort

1. L’incertitude de l’après-vie

L’une des principales causes de la peur de la mort est l’incertitude quant à ce qui se passe après.

Cette inquiétude est alimentée par la diversité des croyances religieuses et spirituelles, ainsi que par le manque de preuves tangibles sur l’existence d’une vie après la mort.

Par exemple, certaines personnes craignent le néant, tandis que d’autres redoutent un jugement divin. Cette angoisse de la mort est exacerbée par l’inconnu et le mystère entourant l’après-vie.

2. La perte d’identité

La mort est perçue comme une perte de soi, de son identité et de tout ce que l’on a construit au fil des ans.

Cette idée de disparition totale est effrayante pour beaucoup. Imaginez une vie entière de souvenirs, de relations et d’accomplissements qui s’éteint en un instant. Cette pensée peut engendrer une anxiété liée à la mort particulièrement profonde.

3. La peur de la souffrance

Beaucoup de gens ne craignent pas tant la mort elle-même, mais plutôt le processus de mourir.

La peur de la douleur et de la souffrance qui peuvent accompagner la fin de la vie est une source majeure d’anxiété. Par exemple, des maladies terminales comme le cancer peuvent provoquer des douleurs intenses et prolongées, rendant l’idée de mourir encore plus terrifiante.

4. La séparation d’avec les proches

La mort signifie aussi la séparation définitive d’avec les êtres chers.

Cette perspective de ne plus pouvoir voir, parler ou partager des moments avec ses proches est extrêmement douloureuse.

Ainsi, les parents peuvent être particulièrement préoccupés par l’idée de laisser leurs enfants sans soutien. Cette angoisse de la mort touche profondément nos liens affectifs et notre besoin de connexion.

5. L’inconnu

L’être humain a naturellement peur de ce qu’il ne connaît pas.

La mort, en tant que phénomène inconnu et mystérieux, alimente donc cette crainte de la mort. L’incapacité à prévoir et à comprendre ce qui se passe après la mort rend cette pensée particulièrement angoissante. Cette terreur de la fin de vie est alimentée par notre nature inquisitive et notre désir de contrôle.

6. La perte de contrôle

La mort est l’ultime perte de contrôle, et cette idée est profondément inconfortable pour beaucoup d’entre nous.

Nous aimons penser que nous pouvons maîtriser notre destin, mais la mort nous rappelle que nous sommes finalement impuissants face à la fin inévitable. Cette impuissance peut générer une grande anxiété et une phobie de la mort.

7. L’influence culturelle

La manière dont la société perçoit la mort peut aussi influencer notre propre peur.

Dans de nombreuses cultures, la mort est un sujet tabou, ce qui peut accentuer l’angoisse. Les médias et les récits de mort violente ou tragique peuvent également exacerber cette peur.

Cette influence culturelle peut transformer une simple anxiété en une véritable terreur de la fin de vie.

Distinction entre peur de la mort, peur de mourir, et mort d’un proche

qu'est-ce qui provoque la peur de la mort : la terreur de fin de vie

Peur de la mort

La peur de la mort se concentre sur l’idée de la fin de l’existence elle-même. C’est une réflexion sur ce qui advient après la vie et sur la cessation de tout ce que nous connaissons. Cette anxiété liée à la mort englobe des préoccupations existentielles et métaphysiques.

Peur de mourir

La peur de mourir, quant à elle, est plus centrée sur le processus de la mort.

Elle inclut les préoccupations concernant la souffrance, la douleur et l’expérience de la mort elle-même. Cette crainte est souvent liée à des expériences personnelles ou à des observations de la souffrance des autres.

Mort d’un proche

La mort d’un proche est une source de peur différente. Elle est liée à la perte, au deuil et à l’absence de quelqu’un de cher.

Cette peur se manifeste souvent par l’angoisse de perdre une connexion émotionnelle profonde et le soutien affectif. Elle est souvent accompagnée d’un sentiment de solitude et de vide.

Solution à la peur de la mort : l’approche comportementale

L’approche comportementale systémique, modèle Palo Alto, propose une solution innovante et efficace pour gérer la peur de la mort.

Cette méthode repose sur la compréhension et la modification des comportements et des perceptions qui alimentent l’angoisse.

En quoi cette approche est-elle efficace ?

Le modèle Palo Alto se concentre sur les interactions et les comportements plutôt que sur les causes profondes des peurs.

En modifiant les réponses comportementales et les schémas de pensée, cette approche permet de réduire l’anxiété et de mieux gérer les peurs irrationnelles liées à la mort.

Par exemple, des techniques de thérapie brève permettent de modifier les réactions face à la peur de la mort, en instaurant des réponses plus adaptées et moins anxiogènes.

L’approche Palo Alto utilise souvent des techniques telles que :

  1. L’Analyse des interactions : cette technique permet de comprendre comment les comportements individuels et les interactions sociales influencent la peur de la mort. Par exemple, si une personne exprime constamment sa peur de la mort et reçoit des réponses inquiétantes ou alarmistes de son entourage, cela peut renforcer cette peur. En analysant et en modifiant ces interactions, il est possible de réduire l’angoisse.
  2. La thérapie brève : Contrairement à d’autres formes de thérapie qui peuvent durer plusieurs années, la thérapie brève vise à apporter des solutions rapides et concrètes. En quelques séances, elle permet de comprendre les mécanismes de la peur et de mettre en place des stratégies pour la gérer. Cette approche est particulièrement efficace pour les phobies et les angoisses liées à la mort.
  3. Les techniques de réévaluation cognitive : ces techniques visent à changer les pensées négatives et irrationnelles en pensées plus rationnelles. Au lieu de penser « La mort est effrayante et insupportable », la personne peut apprendre à penser : « La mort est une partie naturelle de la vie, et je peux apprendre à l’accepter« .

Cas pratique de l’application du Modèle Palo Alto

Prenons l’exemple de Marc, 45 ans.

Il souffre d’une peur intense de la mort depuis qu’il a perdu un ami proche dans un accident de voiture. Marc évite toute discussion sur la mort, refuse d’assister à des funérailles et est obsédé par des pensées négatives concernant sa propre mortalité.

Avec l’aide d’un thérapeute utilisant l’approche Palo Alto, Marc commence par analyser ses interactions et ses comportements. Il réalise que son entourage a tendance à éviter les discussions sur la mort, ce qui renforce son isolement et son anxiété.

En modifiant cette dynamique, Marc commence à parler ouvertement de ses peurs avec des amis de confiance, ce qui diminue progressivement son angoisse.

Ensuite, le thérapeute utilise des techniques de réévaluation cognitive pour aider Marc à changer ses pensées négatives. Au lieu de voir la mort comme une fin terrifiante, il apprend à la percevoir comme une transition naturelle. Grâce à la thérapie brève, en quelques mois, Marc parvient à gérer sa peur de manière plus sereine et à reprendre une vie normale.

Conclusion

La peur de la mort est une angoisse profondément enracinée dans l’expérience humaine.

Comprendre les multiples facettes de cette peur – de l’incertitude de l’après-vie à la peur de la souffrance, en passant par la perte d’identité et la séparation d’avec les proches – nous aide à mieux l’appréhender.

Faire la distinction entre la peur de la mort, la peur de mourir et la mort d’un proche permet également de mieux cibler les stratégies pour mieux appréhender cette peur compréhensible d’une part, et la neutraliser d’autre part.

L’approche comportementale systémique issue du modèle Palo Alto se révèle être une méthode particulièrement efficace à ce propos.

En se concentrant sur les interactions, les comportements et les schémas de pensées, cela permet de réduire l’anxiété et d’instaurer des réponses plus objectives.

Peur de la mort : réponses aux questions fréquentes

La peur de la mort, bien que naturelle, peut être surmontée grâce à une réflexion personnelle, de la relaxation et un accompagnement thérapeutique si nécessaire.

Afin de satisfaire un tel objectif, encore faut-il avoir des réponses à ces questions que l’on se pose tous et dont les réponses apparaissent ci-après.

1. Comment faire quand on a peur de la mort ?

Pour gérer la peur de la mort, voici quelques étapes concrètes :

  1. Reconnaître sa peur : accepter qu’avoir peur de la mort est une réaction normale face à l’incertitude. Ce premier pas permet de faire diminuer la honte ou l’isolement lié à cette peur.
  2. Se renseigner : comprendre la mort, que ce soit à la faveur de lectures philosophiques, religieuses ou scientifiques, peut réduire la peur en rendant l’inconnu plus familier.
  3. Pratiquer la pleine conscience : se concentrer sur le moment présent pour réduire les pensées obsédantes liées à la finitude.
  4. Exprimer ses émotions : parler de cette peur avec des proches ou un thérapeute, et mettre des mots dessus en réduit l’intensité.
  5. Vivre pleinement : s’investir dans des activités et des relations qui favorisent l’épanouissement. Cela recentre l’attention sur la vie plutôt que sur la peur de la mort.

2. Comment se manifeste l’angoisse de mort ?

L’angoisse de la mort, ou thanatophobie, se manifeste de plusieurs façons :

  • Symptômes physiques : palpitations, sueurs, tremblements, sensation d’étouffement.
  • Pensées obsessionnelles : ruminations sur la mort, peur de l’inconnu ou de la douleur associée à la fin de vie.
  • Comportements d’évitement : éviter les discussions sur la mort, les hôpitaux, ou tout ce qui rappelle la mortalité.
  • Crises d’angoisse : épisodes intenses de panique liés à la pensée de la mort.

3. Pourquoi ne faut-il pas craindre la mort ?

Il y a plusieurs raisons pour lesquelles craindre la mort peut être relativisé :

  1. Philosophie épicurienne : « Quand nous sommes, la mort n’est pas là, et quand elle est là, nous ne sommes plus. » L’idée est que la mort ne sera jamais une expérience consciente.
  2. Cycle naturel : la mort est une partie essentielle du cycle de la vie. Elle permet le renouveau et donne un sens à notre passage sur terre.
  3. Libération de l’inconnu : beaucoup de traditions spirituelles voient la mort comme une transition plutôt qu’une fin. Adopter une perspective spirituelle apaise l’angoisse.

4. Comment accepter l’idée de la mort ?

  1. Approche rationnelle : lire des œuvres philosophiques ou scientifiques permet de mieux comprendre et d’accepter la dimension inévitable de la mort.
  2. Spiritualité : si cela résonne en soi, explorer des croyances spirituelles ou religieuses offrent des perspectives apaisantes sur la mort.
  3. Exprimer ses pensées : discuter avec des proches ou participer à des groupes de discussion pour partager et normaliser cette peur.
  4. Se concentrer sur la vie : accepter la mort comme une motivation à vivre plus intensément.

5. Comment calmer une crise de thanatophobie ?

  1. Respiration profonde : pratiquer une respiration lente et régulière pour calmer le système nerveux.
  2. S’ancrer : focaliser sur son environnement immédiat pour réduire les pensées intrusives.
  3. Mantras positifs : se répéter des phrases apaisantes, comme : « Je suis en sécurité ici et maintenant. »
  4. Parler à un proche : partager ce que l’on ressent libére la tension émotionnelle.

6. Comment vaincre la peur de la mort ?

Pour surmonter et vaincre la peur de peur, différents moyens existent :

  1. La thérapie comportementale : elle permet d’identifier et de neutraliser les pensées irrationnelles liées à la mort.
  2. Exposition mentale progressive : affronter doucement les déclencheurs de sa peur (ex. : discussions sur la mort).
  3. Approche existentielle : lire des ouvrages sur le sens de la vie et la mort pour adopter une perspective plus apaisante.
  4. Rituels de vie : créer des habitudes qui renforcent un sentiment de contrôle (ex. : méditation, activités significatives).

7. Comment vaincre la peur de perdre quelqu’un ?

La peur de perdre un proche est liée à l’attachement. Voici quelques pistes intéressantes :

  1. Accepter l’incertitude : reconnaitre et accepter que la perte de quelqu’un est inévitable et fait partie du cycle naturel de la vie.
  2. Renforcer les liens : passer du temps avec ses proches pour minimiser les regrets éventuels.
  3. Exprimer ses émotions : écrire ou parler de sa peur pour en alléger le poids.
  4. Thérapie : Une thérapie facilité l’exploration de peurs plus profondes, comme le sentiment d’abandon ou de solitude.

8. Comment se débarrasser de la peur de la mort ?

Il existe différentes façons de se débarrasser de la peur de la mort :

  1. Adopter une perspective philosophique ou spirituelle : cela favorise une vision qui donne un sens à la mort.
  2. Pratiquer la pleine conscience : se recentrer sur l’instant présent réduit les pensées anxiogènes.
  3. Activités significatives : s’investir dans des passions ou des projets qui procurent un sentiment d’accomplissement.
  4. Accompagnement thérapeutique : en cas de thanatophobie sévère, une thérapie comportementale peut être nécessaire.

9. Est-ce normal d’avoir peur de la mort ?

Oui, avoir peur de la mort est parfaitement normal.

La peur de la mort est un mécanisme biologique et psychologique qui nous pousse à préserver notre vie. Elle devient problématique uniquement lorsqu’elle envahit notre vie quotidienne ou provoque des crises d’angoisse fréquentes.

10. À quel âge la peur de la mort disparaît-elle ?

La peur de la mort diminue généralement avec l’âge.

Chez les enfants, elle apparaît lorsque l’enfant prend conscience de la mortalité. À l’âge adulte, elle peut s’intensifier avec les responsabilités ou la perte de proches.

Avec le temps, beaucoup de personnes développent une acceptation plus sereine de la mort, souvent après 50-60 ans mais ce n’est pas toujours le cas.

Ressources extérieures

Pour ceux qui cherchent à approfondir leurs connaissances sur le sujet, deux ressources scientifiques récentes peuvent être consultées :

  1. Étude sur la thanatophobie chez les adultes : « Oser vivre, oser mourir« . Cette étude explore les différents facteurs qui contribuent à la peur de la mort chez les adultes.
  2. Angoisse de mort et psychanalyse

Quand une contraception génère angoisses et dépression

Article un peu étonnant que celui-ci qui change de ce que j’ai l’habitude de vous proposer sur ce blog mais qui n’en reste pas moins important. Il s’agit du témoignage d’une femme qui utilise une contraception qui lui occasionne de fortes crises et pose la question de savoir comment traiter des crises d’angoisses chroniques.

Crises d’angoisses que bien des médecins ignorent. Jusqu’à ce qu’une amie éveille sa connaissance. Le sujet traité : les contraceptifs avec ou sans hormones, tels que les implants, la pilule ou le stérilet peuvent être facteurs d’angoisses et de dépression.

Ce témoignage est écrit par cette femme. Je n’y apporte aucune modification, ni à la forme, ni au fond. Alors, partagez !

Témoignage d’une femme sur les conséquences de sa contraception

Je souhaitais vous faire part de mon expérience. Après sept années de crises d’angoisses intenses, sans comprendre le pourquoi du comment, aujourd’hui tout ça est derrière moi.

J’aimerai aider des femmes et jeunes femmes qui, peut-être, sont dans l’ignorance totale comme j’ai pu l’être sans jamais soupçonner la raison de cette état catastrophique dans lequel je me suis retrouvé durant toutes ces années.

En 2009, j’ai commencé à faire de grosses crises d’angoisse. De nature timide et réservée, j’ai pensé que ces crises avaient un lien. Je ne me suis donc pas plus inquiétée que ça. Mais le quotidien est devenu un calvaire. Je n’osais plus sortir acheter une simple baguette de pain.

Comme beaucoup d’entre vous, je suis restée plusieurs années sous traitement. Anxiolytiques. Anti dépresseurs. Somnifères. Suivi par un psychiatre, bien évidemment. Les années passent et mon état se dégrade encore.

  • Palpitations
  • Sensations d’étranglement
  • Tachycardie
  • Compression du thorax
  • Symptômes analogues à une crise cardiaque ou un AVC
  • Angoisses nocturnes
  • Coups d’aiguilles dans le dos
  • Sentiment d’irréalité

Une première fois, je me retrouve aux Urgences. Là, on m’annonce que je fais des crises de panique.

Modes contraceptifs facteurs d'angoisse

Contraception : une descente aux enfers

Je ne comprends vraiment pas, car au fond je sais qu’il n’y a aucune raison pour que je sois dans cet état. J’écoute mon médecin qui m’explique ce que sont les crises panique. Un traumatisme dans ma petite enfance. Mon inconscient veut sortir l’information. Mon conscient ne veut pas? Cela crée conflit entre les deux. Donc, cela génère une crise de panique.

Je fais donc des séances d’hypnotérapie pour faire sortir l’information, mais rien y fait. Mon état se dégrade encore. Parfois je me tiens aux murs pour me déplacer.

Je ressens des coup de décharges électrique dans mon cerveau. Des fourmillements dans mes bras, mes mains, mes jambes. De grosses douleurs musculaires. Un sentiment de dépersonnalisation, de déréalisation, en continu.

Parfois, plus intense que d’autre, une absence de moi même. Un sentiment de ne plus être reliée à mon corps. Comme une observatrice extérieure à mon propre fonctionnent mental ou corporel.

Comme si il y avait un voile entre moi et la réalité. Je n’en peux plus. Ce n’est évident ni pour moi ni pour l’entourage proche. Parfois, j’essaye d’apprendre à vivre comme ça. Mais ça m’est impossible.

Contraception et crises d’angoisses : une solution inattendue

En février dernier, une amie, qui elle aussi fait des crises depuis très longtemps, a eu comme une révélation.

A partir de ce moment, tout s’éclaire. Il s’avère que tout ça est uniquement hormonal. Un déséquilibre ou augmentation au niveau des taux d’œstrogènes, causé par la contraception.

En ce qui me concerne, je porte un implant contraceptif depuis sept (7) ans.

Quand mon amie me parle de cette information, je me suis vite mise à éplucher les articles et les forums. Et, en effet, nous sommes des milliers de femmes à en être affectées. Il y a l’implant contraceptif, le stérilet Miréna®, et certaines pilules. J’ai donc vite procédé au retrait de l’implant.

Depuis le 10 février je revis. J’ai encore quelques symptômes pendant les cycles mais vraiment rien de comparable.

Effectivement, il faut une petite année pour que l’hormone diffusée dans nos tissus se dissolve. J’ai également découvert des groupes Facebook de femmes qui ont vécu une expérience similaire. Il y en a beaucoup. Vous trouverez les liens en bas du présent article.

Certaines contraceptions sont responsables de bouleversements émotionnels

Contraception et crise de panique : soyez vigilantes !

La plupart des gynécologues et médecins nient cette réalité pour on ne sait quelle raison. Aujourd’hui,  je peux dire que j’aime la vie, et que je profite de mes années perdues.

Mon but est d’éclairer d’autres personnes qui, comme moi, sont dans l’ignorance des effets de la contraception comme l’angoisse ou la dépression. Il y a beaucoup de symptômes qu’on n’imagine pas avoir, en lien avec les hormones.

Des problèmes oculaires. Un manque de concentration. Un gain de poids avec difficulté à perdre. Des ballonnements. Une fatigue constante. La perte de cheveux, ou de la pilosité. Des sautes d’humeur. La dépression. Une sensibilité accrue des seins. L’inflammation de l’abdomen. Une perte de confiance en soi. Des douleurs au dos… « 

Je partage donc cette information avec vous. J’espère que vous ferez ce qu’il faut pour que, vous aussi, vous puissiez revivre. Soyons vigilantes!

Liens à consulter (uniquement sur Facebook) :

Solitude : comment rompre l’isolement social et affectif ?

L’être humain est ainsi fait que la solitude lui pèse. Soit écrit en passant, pour ce qui me concerne, mon accessoire solitude ne me pèse en rien, je crois que j’aime çà.

Sans doute est-ce lié au fait que, fondamentalement, je sais ne pas être dans une vraie solitude, au sens du rien, ni avec, ni sans.

Si chacun(e) d’entre nous avait la capacité de vivre seul(e) et de s’auto suffire, cela se saurait et poserait les bases de notre autonomie.

Toutes et tous, nous avons besoin d’échanges, de partages, de liens affectifs, sociaux, familiaux, et professionnels.

Vivre sans lien, vivre isolé(e), vivre seul(e), c’est être comme le plus bel avion du monde et manquer de kérosène. Vous êtes condamné(e) à rester cloué(e) sur le tarmac.

Beaucoup de ces gens qui souffrent de solitude pensent que c’est irréversible.

Il y a une espèce de résignation à se sentir seul(e) ce qui fait dire à ces hommes et à ces femmes qu’ils n’intéressent plus personne, qu’ils sont comme abandonnés. C’est ce que l’on appelle de la victimisation, et ce n’est pas irréversible.

En effet, il existe une solution pour ne plus être angoissé(e) par le fait d’être seul(e).

La victimisation repose sur un principe que l’on appelle « le bénéfice caché« . C’est une notion très importante, un concept sur lequel sont amenés à travailler les personnes de mon programme thérapeutique en ligne.

Cette méthode vous permet de soigner l’angoisse, traiter l’anxiété, soigner une phobie, ou guérir un toc, ou vaincre une dépression, tous de putatifs symptômes ou conséquences de la solitude.

8 solutions à la solitude

Nonobstant cette éventualité, celle de l’intérêt de la solitude associé au fait de l’intérêt de s’en plaindre, la solitude n’est pas une fatalité.

Si cela vous concerne, vous pouvez la surmonter. A cette fin, il est nécessaire d’interagir avec les personnes qui sont autour de vous, sachant qu’au contraire ce que vous pensez, elles ont également besoin de vous.

Pour toutes ces raisons, et principalement celle de surmonter la solitude, je vous invite à découvrir 6 solutions lesquelles ont vocation à vous aider à être une personne qui ne se sent plus seule au monde, un être humain qui ne souffre plus de solitude.

Solution N°1 – Surmonter la solitude

La plupart du temps, les personnes qui souffrent de solitude s’isolent dans leur coin.

Elles sont convaincues, ou finissent par se convaincre, qu’elles n’ont rien à apporter aux autres ou qu’elles ont des défauts tels que c’est un obstacle à n’importe quel type de relation.

Pour justifier leur solitude, ces mêmes personnes invoquent le fait qu’elles n’ont pas des diplômes aussi importants que les personnes susceptibles les intéresser, ni des compétences professionnelles, ou des carrières de moindre envergure.

Le statut social d’une personne a t’elle vraiment autant d’importance que vous le croyez ?

Je me souviens d’une maraîchère qui rentrait de vacances. Je m’inquiète de son absence depuis 15 jours. Réponse de l’intéressée : « Je n’ai pas envie d’être la plus riche du cimetière !« .

Elle ne prend pas ses congés en même temps que tout le monde, et ne fait que ce qui lui semble bien pour elle, dusse-t-elle ne pas faire comme tout le monde. Ainsi, la vie est faite de différences.

En ce qui vous concerne, vous avez – forcément – quelque chose qui fait de vous une personne particulièrement intéressante. Cette même personne avec qui les gens ont du plaisir à échanger, collaborer, parler, partager.

C’est mon cas avec cette femme qui travaille sur les marchés.

Solution N°2 – Croire en l’avenir malgré la solitude

Malgré vos défauts, ou ce que vous pouvez considérer chez vous comme des tares, il vous suffit d’y croire. C’est à dire que pour sortir de la solitude, il faut vous donner les moyens de travailler votre confiance en soi.

Si vous sortez d’une relation qui s’est mal passée, qu’elle soit amicale ou amoureuse, ce n’est pas une raison pour vous replier sur vous même. Si vous le voulez bien, la vie vous réserve de nouvelles aventures fort agréables à vivre.

Quelque part, il y a une personne qui va vous trouver une place dans sa vie, au moins autant que vous êtes prêt(e) à lui en trouver une dans la vôtre. Il vous suffit d’y croire.

Essayez de chasser ces pensées toxiques qui vous affectent tant. Elles vous font broyer du noir, seul(e), dans la pénombre de votre appartement ou de votre maison.

Sans doute êtes-vous une agréable personne, exceptionnelle par certains côtés de votre personnalité. Vous avez droit à une vie meilleure alors, ne laissez ni le passé, ni vos doutes, vous empêcher de profiter de vos qualités, et encore moins de les partager.

Solution N°3 – Prendre soin des autres

Il y a des années – j’ai pourtant l’impression que c’était hier -, j’ai appris que donner est le meilleur moyen de recevoir. C’est à dire donner sans attendre de retour.

Tout ce que vous donnez aux autres vous revient en plus grande proportion.

L’une des meilleures manières de surmonter la solitude est de s’intéresser aux autres afin de leur apporter votre aide ce qui est une façon comme une autre de vous prémunir des symptômes de l’angoisse de séparation.

Essayez d’être la ou le moins égoïste possible. Ne cultivez pas colère et ressentiment du fait de votre solitude parce-que, dans le cas contraire, vous risquez de rester seul(e) bien longtemps encore.

Il y a forcément une personne autour de vous qui a besoin d’aide. Une personne qui a besoin d’un coup de main, un être humain qui a besoin d’un peu de votre temps. Occupez-vous en, et rendez vous utile sans attendre de compensation.

Ne vous concentrez pas sur vos besoins personnels, en tout cas pas au point de devenir une personne orgueilleuse. Celle-là même qui attend qu’on vienne à elle. Allez vers les autres, offrez-leur ce que vous espérez pour vous même : le bonheur.

Si vous y réfléchissez bien, vous n’avez pas besoin de chercher très loin.

Les premières personnes qui ont besoin de vous sont les membres de votre famille. Il y a aussi, et sûrement, une personne que vous n’avez pas vu depuis longtemps, ou avec laquelle vous vous êtes embrouillé(e), et à laquelle vous pensez souvent.

Quels sont les avantages de la solitude

Solution N°4 – Ranger son orgueil dans sa poche

Mettez votre orgueil de côté et essayez de reprendre contact avec elle. Si nécessaire, faites acte d’humilité. Excusez-vous si vous pensez que cela peut faciliter la reconstruction d’un lien et, pour commencer, proposez lui de partager un café, ou de déjeuner ensemble.

Une fois réuni(e)s, montrez lui de l’intérêt. Posez des questions sur elle, ses relations, son travail, ses éventuels problèmes. En bref, parlez peu de vous et donnez lui de la valeur par les questions que vous lui posez à son sujet.

Passez du temps avec votre famille comme avec vos ami(e)s. Donnez-leur de l’attention, de l’amour. A un moment ou à un autre, ils vous le donneront en retour et votre vide affectif sera comblé.

Ainsi, vous vous sentirez mieux dans votre peau, et n’attendrez pas que ces personnes vous donnent ce que vous estimez être votre seul besoin. Encore une fois : offrez sans attendre.

Solution N°5 – S’impliquer dans des activités sociales

Sortons du cadre familial ou affectif.

Je vous invite à vous impliquer dans la vie sociale, associative ou sportive dans la ville dans laquelle vous habitez. En quelques mots, le leitmotiv c’est : « Sortez de chez vous ! ».

Avez-vous pensé à participer à la prochaine séance de sport organisée par votre commune ? Êtes-vous allé(e) à la journée de  présentation des associations de votre ville, laquelle journée a généralement lieu à la rentrée septembre de chaque année ? Vous êtes-vous inscrit(e) en qualité de volontaire dans une association ou comme bénévole dans une O.N.G ?

Si vous voulez que les gens s’intéressent à vous, je vous le rappelle, il va falloir faire une effort comme prendre le risque de sortir de votre zone de confort. D’ailleurs, cette zone est-elle si confortable que çà ?

Une ou des activités associatives vous permettent de faire de nouvelles rencontres. Certaines d’entre elles deviennent des amitiés. Attention cependant : n’y allez pas dans ce seul but. Allez-y tout d’abord pour passer de bons moments, pour vous rendre utile à votre communauté.

Dès lors, essayez d’accepter que les choses ne se passent pas toujours comme vous le voulez et n’oubliez pas : le temps arrange bien des choses.

Solution N°6 – Faire preuve d’humilité et de bienveillance

Qu’est-ce qui est le plus important pour vous ? Être entouré(e) de personnes qui vous tiennent compagnie – çà a ses limites -, ou apporter votre aide à celles et ceux qui en ont besoin ? C’est votre façon de vous impliquer qui vous offre ce dont vous avez besoin.

Le sourire d’un SDF après lui avoir remis un peu d’argent. La gratitude d’une personne d’un âge avancé que vous aidez à traverser la route.

Autant de comportements sociaux de partage qui vous procurent des émotions positives. Peut-être même, réalisez vous que vous n’avez pas tant de raisons de vous plaindre en comparaison de la vie de certaines personnes.

Si vous prenez la peine, et le temps, d’y réfléchir, vous vous rendrez compte que votre situation est bien plus simple que celle de beaucoup de gens.

Vous, à tout le moins, avez des personnes dans votre entourage même si le temps et des évènements vous en ont parfois éloigné au point de vous faire vous sentir seul(e).

D’autres n’ont ni famille, ni amis. Alors, pour ces personnes là en particulier, le temps d’un matin, d’un après-midi ou d’une soirée, soyez la personne qui leur donne de l’affection par l’intérêt que vous leur manifestez.

Solution N° 7 – Utiliser un programme comportemental en ligne

Vous êtes d’accord avec tout ce que vous venez de lire ?

Vous êtes une bonne et une belle personne mais… c’est dur de faire ces premiers pas vers les autres n’est-ce pas ? Ce n’est pas que vous ne voulez pas, c’est plutôt que vous n’y arrivez pas. Quelque chose vous bloque, voire vous angoisse ?

Si vous souhaitez sortir de cette ornière, je vous propose une solution pour vaincre la solitude dans laquelle vous êtes enfermé(e) bien malgré vous.

  • Peut-être avez-vous été marqué(e) par des déconvenues relationnelles dans le passé ?
  • Avez-vous du mal avec les relations en général ?
  • Rencontrez-vous des difficultés à vous affirmer en groupe ou à prendre la parole devant tout le monde ?
  • Avez-vous peur d’être jugé(e) ?
  • Êtes-vous anxieux – anxieuse – à l’idée de mal dire, ou de mal faire ?

Alors, pour vous, pour vous débarrasser de tout cela, j’ai conçu un programme thérapeutique et comportemental en ligne.

Il vous aide à résoudre tous ces problèmes que je viens d’énoncer.

Ce programme est accessible 24/24H au contraire d’un thérapeute, et il vous permet d’identifier les vraies raisons de votre solitude afin de comprendre votre état émotionnel d’une part et de sortir de l’impasse dans laquelle vous êtes.

Solution N° 8 – Comprendre le passé et investir l’avenir

Un tel programme vous aide à déterminer avec précision les événements récents et passés qui justifient ce que vous vivez comme un problème. Être socialement seul(e) ou vous sentir seul(e) même quand vous êtes entouré(e).

Votre problème de solitude cache, peut-être, une dépression, de l’anxiété, de l’angoisse, ou un stress chronique. Autant de sujets pénibles qui vous font vous renfermer sur vous-même et ce d’autant plus que le médicament que vous prenez pour dormir vous assomme.

Dès lors, je vous suggère de penser à changer vos comportements et de vous inscrire à ce programme thérapeutique et comportemental en ligne dès maintenant.

Votre démarche en ce sens vous aide à identifier le vrai problème caché derrière ce problème apparent qu’est la solitude, et aussi à trouver très vite une solution adaptée à votre cas pour retrouver estime de soi et confiance en soi.

Beau projet n’est-ce pas ?

Nouer de nouvelles relations dans tous les domaines de votre vie vous permet de vous « sortir » de votre solitude, et c’est l’objectif de ce programme.

N’hésitez pas à partager votre expérience avec les autres (voir les commentaires ci-dessous) et ce de la même façon que vous pouvez la partager avec les membres inscrits à mon programme thérapeutique en ligne.

Enfin, n’oubliez pas : en tous domaines, c’est le premier pas qui compte. Le reste, comme disent beaucoup de gens : « C’est que du bonheur ».

Dès lors, il s’agit de vous donner les moyens de votre autonomie, d’ainsi faire preuve d’un comportement adulte et autonome, et c’est ce que nous allons voir dès maintenant.

Comment vaincre la solitude et trouver son auto-suffisance ?

Ne vous y trompez pas...

En cas de problèmes d’angoisse, d’anxiété, de phobie, comme de toc ou de dépression lié à votre solitude, le premier réflexe de la personne qui en souffre est d’essayer de contrôler ce qui est vécu comme un problème.

La volonté en l’espèce étant d’essayer de retrouver, ou de maintenir, une certaine autonomie de comportement (au sens adulte du terme).

Je reviens plus tard sur cette question relative au contrôle. Ce qu’il est important de noter dès maintenant, c’est la notion culturelle liée à la façon dont vous serez “soigné(e)”. Partant, comment retrouver autonomie et bien-être.

A cet instant, je fais allusion à la pratique thérapeutique telle qu’elle est exercée et préconisée en France. C’est beaucoup moins le cas dans des pays comme la Belgique, l’Allemagne, les pays nordiques, etc.

Ainsi, notre culture (latine) fait la part belle aux approches thérapeutiques ci-dessous lesquelles, toutes intéressantes qu’elles sont, ne sont pas nécessairement la bonne réponse à votre problème de solitude.

La psychologie

La psychologie est une sorte de pratique bis de la psychanalyse à ceci près que, le plus souvent, le ou la psychologue intervient de façon très rationnelle auprès du patient. Il ou elle essaie de l’aider – pour ne pas écrire le contraindre – à relativiser par rapport à ses problèmes.

La plupart du temps, le ou la psychologue “oriente” le patient pour l’aider à faire des liens entre sa relation à ses parents et son problème, partant, son histoire de vie.

Une telle démarche prend donc beaucoup de temps (plusieurs années) et, du coup, beaucoup de patients se lassent.

La plupart estime passer trop de temps à dépenser de l’énergie, du temps, et de l’argent pour une solution qui ne vient pas. Dès lors, ils ont toujours leur autonomie en ligne de mire mais voit celle-ci s’éloigner, une fois de plus.

De fait, énormément de patients interrompent leur prise en charge laquelle dure parfois depuis des années. D’autres se lassent de leur thérapeute et passent d’un psy à un autre.

La psychanalyse

Freudienne ou Lacanienne, pour les plus connues, elles durent des années à raison d’une à deux séances par semaine.$

Je vous rappelle que j’ai moi même suivi une cure psychanalytique pendant 12 ans. Au cours de ces séances, la patient est allongé, le thérapeute assis derrière lui. Pourquoi ?

Tout simplement pour préserver le patient d’un regard ou d’un comportement quelconque, qui pourrait le déranger, ou l’empêcher de s’exprimer.

Et de quoi le patient parle t’il ? Le patient a pour objectif de faire des liens entre son histoire de vie et son problème à l’aide ce que l’on appelle de libres associations.

Cela prend beaucoup de temps, à la fois parce que le patient chemine sans l’intervention du thérapeute, et aussi parce que, souvent, le patient exprime des situations, des émotions, ou tout autre sentiment qui n’ont pas nécessairement de lien avec le problème à propos duquel il consulte.

En résumé, la psychanalyse consiste à se ré approprier son histoire de vie. C’est prodigieusement intéressant mais très ingrat.

Ne fasse hurler les puristes, j’ai pour habitude de dire pour qu’il faut être dans un excellent état mental pour suivre une cure psychanalytique.

La psychologie clinique, comme la psychanalyse, demande beaucoup de temps, d’investissements personnel et… d’argent.

Aujourd’hui, il existe une approche beaucoup plus rapide, laquelle vous offre plus de 95 % de résultats positifs en moins de 2 mois.

Faire le bon choix pour sortir de sa solitude

Puisque votre autonomie et votre bien-être sont importants pour vous, je vous invite à ne pas choisir une approche thérapeutique à la légère. Je tiens cependant à vous préciser que je n’ai absolument rien contre la psychologie et la psychanalyse, bien au contraire.

Je ne saurais que trop attirer votre attention sur vos objectifs de mieux être et d autonomie.

Pour ce faire, devez-vous y passer plus de 10 ans de votre vie, sans certitudes d’amélioration, ou 2 mois avec un taux de réussite de l’ordre de 16 cas résolus sur 17 pour un coût inférieur de… 6000% ?

Solitude : Comment satisfaire votre autonomie ?

Ne pas rationaliser

Je vous conseille que ce qui suit est un peu brutal mais arrêtez de vous comporter de façon rationnelle. A l’inverse, vous aurez toutes les peines du monde à obtenir autonomie et bien-être.

Maintenant, attendez vous à prendre connaissance de quelque chose qui va à l’encontre de toutes les idées reçues et, partant, de l’autonomie et du bien-être.

Je vous explique de quoi il retourne.

Nous avons tous une personnalité laquelle s’est créée sur la foi des diverses expériences vécues depuis notre plus jeune âge, et l’éducation que nous avons reçu.

Ne pas rechercher l’approbation

Chacun de ces facteurs, pris isolément ou globalement, a posé les bases de votre vision de l’échec comme de la réussite (vision des choses – carte du monde).

A tout moment, et à quelque sujet que cela soit, vous pouvez donc avoir peur de ne pas être à la hauteur d’une situation et d’ainsi, perdre en autonomie et en bien-être.

Afin de satisfaire à un certain nombre d’ordres éducatifs que vous avez perçu comme tels dans votre enfance, vous pouvez tenter de contrôler une ou des émotions par rapports à des situations données.

Vous allez donc vous contraindre – vous obliger – à être à la hauteur d’une situation par crainte d’être jugé(e) ou par peur de perdre l’approbation des autres.

Dès lors, vous avez toutes les raisons de perdre cette autonomie tant chérie et le bien-être qui l’accompagne.

En contrôlant votre comportement, en inhibant la réalité de vos émotions, vous adressez un message à votre cerveau. Ce message est très toxique dans la mesure où votre cerveau comprend que vous ne prenez pas la mesure de la gravité des messages qu’il vous adresse.

Pour vous faire comprendre la nécessité d’avoir un comportement adapté, votre système nerveux central va augmenter l’intensité de votre problème.

Partant, plus vous chercherez à éviter honte et culpabilité, plus vous ressentirez honte et culpabilité et moins vos chances de satisfaire autonomie et bien-être seront présentes.

Être à 180° de toute tentative de solution

Plus vous rationaliserez, plus vous serez dans le contrôle et pire sera votre problème.

Si cette façon d’être et de faire pour prendre la maitrise de votre problème vous avait aidé, vous ne seriez pas entrain de lire cette page.

Rationaliser ou intellectualiser un problème consiste à essayer de le comprendre, c’est à dire identifier son « pourquoi ». Plus vous réagissez de la sorte, plus vous tentez de contrôler le problème, plus vous l’enrichissez. Je sais, je suis lourd.

Alors, que faire me direz-vous ?

Simplement, essayez d’accepter l’émotion que vous ressentez, essayez de ne pas lutter contre.

A ce propos, il existe une technique comportementale extrêmement puissante pour reprendre le contrôle de n’importe quel problème en 2 minutes.

Cette technique consiste à imaginer le pire (eh oui!) mais pas n’importe comment. Les résultats de cet exercice sont magiques dans la mesure où c’est ce même exercice qui constitue une porte grande ouverte vers autonomie et bien-être.

Comment aborder la solitude dans sa dimension comportementale ?

Comme vous l’avez compris, il n’existe qu’une seule approche thérapeutique pour vous éliminer votre problème, c’est l’approche comportementale. C’est la plus rapide, la plus facile, et celle dont les effets sont définitifs.

L’approche comportementale ne se pré occupe pas du « pourquoi » vous avez un problème mais plutôt de « comment » le résoudre, du moins dans un premier temps.

En effet, s’il est intéressant de se poser des questions quant à ce qui motive votre problème, vous allez perdre un temps considérable.

Les réponses que vous allez trouver ne vont pas vous rassurer en suffisance, en plus de ne pas être une solution. La question du « pourquoi » arrive dans un temps 2 et doit être abordée avec les bons outils.

Imaginez que votre voiture tombe en panne et que vous téléphonez au garagiste.

Il va sans doute demander pourquoi vous avez acheté cette marque de voiture, avec ce type d’options, de cette couleur, avec ces garnitures de sièges. Etc. Peut-être estime t’il qu’il y a un lien de cause à effet entre la panne de votre auto et vos réponses à ses questions.

Mais pendant que vous discutez de tout çà, la voiture reste en panne et cela risque de durer longtemps. Ce comportement, c’est celui de la psychanalyse ou de la psychologie clinique.

Solitude et autonomie: Être indépendant

Comment retrouver son autonomie en moins de 8 semaines ?

Maintenant, imaginez que je suis le garagiste.

Je vais vous demander ce qu’il s’est passé avant que la voiture ne soit en panne puis ce qu’il s’est passé pendant, c’est à dire: « qu’avez vous essayé de faire pour dépanner votre voiture ? », et, enfin, comment la voiture est tombée en panne. Je vais donc identifier le mécanisme du problème.

Ensuite, je procède par élimination jusqu’à trouver le problème qui empêche la voiture de fonctionner normalement. C’est le processus de contextualisation et de mise en place de stratégie de résolution.

De fait, vous et moi allons agir et non penser, de sorte à débloquer rapidement la situation douloureuse dans laquelle vous êtes. C’est précisément cette démarche contextuelle qui vous offre de rapidement satisfaire votre désir d’autonomie et bien-être.

Cela fonctionne dans plus de 95% des cas et ceci, quel que soit le temps depuis lequel vous êtes en difficulté.

C’est exactement ce que vous pouvez faire avec le Programme thérapeutique comportemental que j’ai conçu à votre intention. Ainsi, vous saurez comment contrôler votre problème en 2 minutes.

Prendre son envol et mettre fin à la solitude

En moins de 8 semaines, la thérapie comportementale permet de résoudre un problème, alors que la plupart des gens qui souffrent comme vous n’y arrivent pas en en plusieurs années.

Comment font-ils ? Ils utilisent les bonnes méthodes, ils se servent des bonnes ressources.

Contrôler angoisse, anxiété, phobie, toc ou dépression en 2 minutes nécessite juste un peu d’investissement personnel de votre part.

Alors, êtes-vous prêt(e) à vous consacrer 15 minutes par jour pendant 1 mois ?

  • Êtes-vous prêt(e) à vous consacrer 15 minutes par jour pendant 1 mois ?
  • Consentez-vous à utiliser des outils scientifiquement approuvés pour neutraliser votre problème ?
  • Acceptez-vous d’utiliser un tout petit objet, d’une façon très amusante, pour retrouver un comportement adulte et, partant, retrouver estime de vous même et confiance en vous, et donc autonomie et bien-être pour sortir de votre solitude ?
  • D’une façon très pragmatique, à découvrir comment faire la paix avec votre passé et, ainsi, cesser de vous en vouloir, cesser de vous sentir coupable, parce que vous avez le plus souvent peur d’avoir peur comme un enfant ?

Êtes-vous prêt(e) à agir le changement pour être autonome ?

Je sais que cela fait des semaines, voire des mois ou des années, que vous cherchez une solution à votre problème de solitude qu’il soit ou non aggravé par des soucis d’angoisse, d’anxiété, de phobie, de toc ou de dépression.

Je sais aussi que vous avez tout essayé : psy en tous genres, médicaments, médecines alternatives, etc, et que les résultats ne sont pas à la hauteur de vos attentes.

Je sais que vous avez passé beaucoup de temps, et dépensé beaucoup d’énergie (et sans doute aussi de l’argent) pour trouver la meilleure solution à votre problème mais, puisque vous lisez cette page, force est de constater que cela ne fonctionne pas pour vous.

Si je vous dis: « Comment voulez-vous savoir faire quelque chose qu’on ne vous a pas appris ? », cela vous évoque quoi ?

Dès lors, comment faire ? La réponse se trouve dans mon 3è et dernier conseil.

Pour en finir avec la solitude, la barre à gauche toute !

Pour sortir de la solitude, faites le choix de devenir un adulte qui agit autant pour son autonomie que pour son bien être.

Pour satisfaire à cet objectif, ô combien respectable et courageux, j’ai quelques questions à vous poser :

  • Pourriez-vous arrêter de vous perdre en vaines tentatives de solutions ?
  • Aimeriez-vous enfin faire le bon choix pour vous ?
  • Peut-être pour la 1ère fois depuis que vous souffrez, pourriez-vous faire vraiment confiance et VOUS faire confiance ?

Si vous avez répondu « oui », ne serait-ce qu’à une de ces 3 questions, alors vous êtes prêt(e) à agir pour instaurer un vrai changement dans votre vie.

A tout de suite. Je vous exprime toute ma gratitude pour votre intérêt, et votre confiance.

P.S: Si vous ne faites pas ce qu’il faut pour retrouver autonomie et bien-être, il ne se passera rien.

Vous avez le droit de vous auto manipuler, voire de vous auto-saboter mais gardez à l’esprit que prenez ainsi le risque d’être otage de votre solitude.

N’oubliez jamais que si, pour vous même, vous pensez, avec humilité, être la personne la plus importante sur terre, vous vous devez à vous même de prendre soin de vous comme de faire ce qu’il faut pour faciliter votre autonomie et votre bien être.

Si vous ne le voulez pas, vous allez le droit de préférer votre souffrance à un vrai changement, opportun et durable.

A ce propos, ne dit-on pas : « Choisir, c’est renoncer« .

Je vous laisse le soin de répondre à cette question et, en fonction de votre réponse, de faire le choix ou non d’utiliser la solitude comme un moteur de changement.

Divorce : quels en sont les différents degrés émotionnels ?

Le mot divorce vient du Latin « Divortium » ce qui signifie « se séparer de… » « se détourner de…« . Le divorce est l’un des événements les plus difficiles de la vie.

En effet, c’est assez douloureux de devoir se séparer d’une personne auprès de laquelle on avait prévu de passer le reste de ses jours ce qui amène à nous interroger sur la meilleure façon de gérer l’anxiété après une séparation.

Le divorce est un événement qui surgit parfois, malgré tous les efforts que l’on peut faire pour sauver son couple. Ce qui n’est pas sans me rappeler le film de Maurice Pialat : « Nous ne vieillirons pas ensemble« .

Après plusieurs tentatives, et ce que les américains appellent des « différents irréconciliables », le divorce devient un choix. Une option inévitable, incontournable. Dès lors, l’important est de pouvoir se relever, de retrouver confiance en soi, puis de continuer à vivre pour soi de la meilleure façon possible.

Mais, concrètement, comment arriver à reprendre sa vie en mains après un divorce, à faire le deuil de sa relation sentimentale et de la vie de couple?



Les différentes étapes émotionnelles d’un divorce

Après un divorce, vous pouvez toujours séduire la première personne qui entre dans votre vie, histoire de noyer votre chagrin. Je n’ai rien à en dire, à ceci près que cela ne marche pas. Vous en « sortez » déçu(e) et parfois même meurtri(e).

Quelle que soit la manière dont vous essayez d’ignorer votre douleur mentale, elle est bien présente. Vous devez prendre le temps de guérir de cette blessure affective issue de votre divorce.

Après un divorce, il y a quatre émotions qui sont généralement constatées. Je vous encourage à les comprendre, et à les accepter pour faire votre deuil de la relation.

Ci-après, je décris pour vous ces 4 émotions et comportements associés.

Le déni – Étape N°1

Même si la décision de divorcer vient de vous, ce n’est pas toujours simple d’accepter que votre investissement dans cette relation de couple n’a pas donné ou ne donne plus les résultats escomptés. Effectivement, vous ne partagez plus grand chose avec votre ex conjoint, les enfants mis à part.

Vous ne vous réveillerez plus à côté de la personne avec qui vous avez passé tant d’années.

C’est très difficile d’accepter le fait que vous n’entendez plus sa voix dans une partie de la maison, qu’il ou elle n’est plus présent(e) pour vous tenir la main voire, que vous ne pouvez même plus vous disputer avec lui ou avec elle comme vous l’avez fait.

Vous préférez donc nier la séparation pour vous protéger de la douloureuse séparation, du grand vide que vous ressentez à l’intérieur de vous.

Mauvais choix puisque, in fine, vous retombez dans vos travers en tant que maniaque du contrôle alors que c’est peut-être ce comportement qui vous aura coûté ce divorce.

La colère – Étape N°2

Dans certains cas de divorce, l’amour peut laisser sa place à la haine.

Certaines personnes n’acceptent pas le divorce au point de tout tenter pour ruiner la vie de l’autre. C’est ainsi que la harcèlement, ou des provocations se font jour. Ce comportement fait le lit toxique et mortifère d’un certain nombre de divorcés surtout quand celui-ci a été motivé par une jalousie maladive.

Une fois que vous acceptez la situation, du moins telle qu’elle est, quand elle a fini par s’imposer à vous, vous rentrez dans une phase où vous éprouvez de la colère envers votre ancien partenaire de vie. C’est normal, et je ne puis que trop vous suggérer d’exploiter votre colère mais pas n’importe comment.

Effectivement, il ou elle vous a quand même promis de rester ensemble pour le reste de vos vies. Promis aussi qu’il ou elle vous aimerait toujours, qu’il ou elle ne vous quitterait jamais, quoiqu’il arrive. C’étaient ses paroles, et sans doute il ou elle en était convaincu de bonne foi, alors que vous n’aviez pas nécessairement demandé un engagement à ces sujets.

Cette personne est arrivée dans votre vie, vous l’avez accueilli, vous avez construit votre univers autour de, et avec, cet homme ou cette femme. Mais, voilà. Aujourd’hui, cet homme ou cette femme vous quitte, et vous vous sentez trahi(e), bafoué(e), humilié(e).

Les pensées que vous avez à ce sujet tournent en permanence dans votre esprit et provoquent en vous des sentiments de colère et de frustration. Vous êtes en proie à des ruminations.

Même si c’est vous qui décidez de mettre un terme à cette relation, vous reprochez à votre futur ex partenaire de ne rien faire, ou pas assez, pour conserver la relation et pour améliorer les choses entre vous.

C’est d’ailleurs la raison que vous avancez pour justifier le divorce. Mais, dans un coin de votre tête, d’autres idées germent.

Le marchandage – Étape N°3

C’est la phase où une partie de vous espère que, malgré tout, les choses peuvent changer. Vous essayez de vous convaincre qu’un jour, il ou elle revienne dans votre vie et frappe à la porte de votre cœur (c’est joli, hein…).

Vous espérez qu’il ou elle revienne vous demander pardon de vous avoir laissé tomber, ou vous supplie de la laisser entrer à nouveau dans votre vie.

Last but not least, vous surveillez votre téléphone, et espérez un coup de fil de sa part. Mais vous n’avez aucun signe. Vous négociez avec votre refus de la réalité ce qui est bien compréhensible mais ce n’est pas bon pour ce que vous avez.

Vous allez même jusqu’à entreprendre diverses démarches pour apaiser les choses mais la situation de divorce ne s’inverse pas.

Vous êtes contraint(e) de vous faire à l’idée que cette personne est vraiment sortie de votre vie et qu’elle ne reviendra plus jamais. Peut-être même pensez-vous qu’elle continue le cours de sa vie voire qu’elle commence une nouvelle relation sentimentale ?

C’est une réalité très dure à admettre. C’est elle qui provoque le quatrième type d’émotion éprouvée. J’en profite pour vous préciser que ces quatre émotions apparaissent sur un temps réduit comme sur une plus longue période.

Ensuite, tout dépend de votre force de caractère et de l’intensité de la relation que vous avez avec votre conjoint(e). Partant, de votre capacité à accepter vos émotions, à les exploiter au mieux de vos intérêts.

La tristesse – Étape N°4

Vous n’avez plus envie de sortir de votre maison. Le canapé ou le lit sont devenus votre résidence secondaire. C’est à cette étape que, réellement, à votre rythme, vous acceptez progressivement qu’il ou elle ne revienne plus.

Vous êtes définitivement seul(e), tout(e) seul(e). Dans un effort parfois surhumain, vous acceptez le divorce pour ce qu’il est et pour ce qu’il signifie.

J’en connais cependant qui n’acceptent jamais la séparation, ou le divorce. Ils ou elles vivent encore dans l’amour d’antan parce qu’accepter la réalité du divorce leur est insupportable. C’est d’ailleurs comme cela que les symptômes de la dépression se font connaître de façon durable.

Pour conclure, plus vous acceptez les choses que vous ne pouvez pas changer, plus vite vous reprenez le contrôle de votre vie. Je n’écris pas que ce soit facile, et à la portée de toutes et tous. Si vous n’y arrivez pas, ce que je peux comprendre, il existe des solutions dont je vous parle à la fin du présent article.

Faire son deuil de la relation – Étape N°5

Soyons brefs… Passez à autre chose ! Mais pas que…

Je vous concède que c’est difficile. Mais, c’est essentiel. Il ne s’agit pas forcément de vous engager tout de suite dans une nouvelle relation. Vous n’êtes pas nécessairement prêt(e) pour cela.

Tourner la page équivaut à éliminer de votre environnement tout ce qui peut vous rappeler votre ex. Qu’il s’agisse de photos, de cadeaux, de lettres, ou d’objets souvenirs. Rassemblez tous ces éléments dans un carton, archivez-les au fond d’un placard ou dans votre cave.

divorce

Éventuellement, offrez les à d’autres personnes. Le plus important est qu’ils soient hors de votre portée, hors de votre vue. Toute évocation, même indirecte, est toxique pour vous. Il sera toujours temps que vous ressortiez ces souvenirs. Une fois le divorce accepté pour ce qu’il est, une fois que vous avez fait votre deuil.

Ainsi, vous pouvez envisager de changer la peinture de votre maison pour éviter que les couleurs du mur, et ce qui a conditionné le choix de la décoration (votre couple), vous rendent nostalgique. Refaites la déco. Donnez un nouvel aspect à votre chambre et, pourquoi pas, déménagez!

Le fait de changer de maison, de ville, de résidence, voire de pays, est l’expression courageuse d’un désir de changement. Vous vous recentrez sur vous est bon pour ce que vous avez.

Lancez-vous dans de nouvelles aventures professionnelles. Peut-être même est-ce le moment de sortir ces rêves enfouis au placard depuis des années. Utilisez votre colère et votre tristesse comme des forces qui vous animent pour reprendre le contrôle de votre vie.