Le contrôle pathologique se caractérise par le besoin permanent de contrôler ce que font les autres.

Celle ou celui qui souffre de contrôle pathologique considère toujours les efforts des autres comme insuffisants et exige qu’ils fournissent plus d’efforts pour tout faire aussi bien que lui (ou elle).

C’est précisément ce que disent certaines personnes quand elles divorcent à la demande de leur partenaire.

Le contrôle pathologique est la source de nombreuses souffrances, tant pour la personne qui l’impose que pour son entourage.

Dès maintenant, il est important de comprendre que le contrôle pathologique est un symptôme d’anxiété et que, par extension, il convient de se poser la question de savoir comment vaincre la façon pathologique de tout contrôler, un symptôme de trouble anxieux.

Quels sont les profils psychologiques des personnalités contrôlantes ?

On qualifie les personnes qui démontrent une tendance pathologique au contrôle, de maniaques du contrôle, ou de psychorigide.

Enfant, j’ai connu des enseignants particulièrement stressés qui avaient ce type de comportement.

De nombreuses études psychologiques et psychiatriques sur ces personnalités permettent de mieux comprendre leur fonctionnement et leur nature.

Les maniaques du contrôle sont rarement juste maniaques.

Le contrôle pathologique est une des expressions d’une personnalité plus complexe.

Ainsi, on retrouve chez les maniaques du contrôle beaucoup de personnes qui souffrent d’un trouble de la personnalité histrionique ou d’un trouble de la personnalité narcissique.

Dans le premier cas, le besoin de se trouver toujours au centre de l’attention pousse à manipuler et contrôler tout ce que fait l’entourage.

Dans le second cas, ils sont convaincus de leur auto-importance et protège leur « moi » extrêmement vulnérable à la critique en imposant leur volonté.

Parmi les maniaques du contrôle, on retrouve également les personnalités antisociales parfois associé à un syndrome de persécution.

Ce ne sont pas les plus fréquentes, mais celles qui font généralement le plus de dégât.

Leur absence totale d’empathie associée à l’estime grandiose qu’ils ont d’eux-mêmes peut les rendre dangereux.

Ils sont parfois prêts à tout pour obtenir ce qu’ils veulent.

Généralement, ils utilisent leur contrôle pour manipuler voire pire.

Les personnes contrôlantes souffrent – souvent –  d’anxiété

Les personnalités antisociales relèvent de la psychiatrie. Ce sont des personnes dont il faut se méfier (les personnes antisociales et, accessoirement, les psychiatres 😂).

On doit également limiter nos contacts avec elles, même si elles sont malheureusement douées pour se cacher.

Les autres types de personnalités qui développent un trouble du contrôle pathologique – dit compulsif – ne sont pas toujours mal intentionnés.

D’ailleurs, beaucoup des personnes concernées développent ce contrôle pathologique à cause d’une souffrance personnelle intense.

En fait, chez beaucoup de patients, le contrôle pathologique est – ou serait – une expression partielle de l’anxiété qu’ils ressentent.

Les maniaques du contrôle souffrent souvent d'anxiété

Les troubles anxieux sont des troubles psychiques sans gravité, mais qui doivent être pris au sérieux.

En effet, ils peuvent affecter douloureusement la vie quotidienne et intime de ceux qui en souffrent.

Les conséquences de l’anxiété varient énormément d’une personne à une autre (phobie, toc, troubles anxieux généralisés, etc.).

Chez certaines personnes, l’anxiété provoque un besoin pathologique de tout contrôler.

Ce besoin excessif de contrôle pousse la personne qui en souffre à contrôler également son entourage.

Progressivement, elle musèle et enferme ce, ou ceux, qu’elle aime pour éviter de se confronter à ses angoisses.

Un parent psychorigide interdit souvent beaucoup de choses à son enfant en prétextant que c’est pour son bien, pour le préserver du danger.

Une enfance malheureuse peut provoquer un trouble du contrôle pathologique

L’enfance malheureuse est un autre point commun fréquent que l’on retrouve chez les maniaques du contrôle.

D’abord, parce qu’un parent particulièrement anxieux transmet ses anxiétés à l’enfant.

Celui-ci s’inquiète alors de tout très vite et ne vit pas son enfance dans l’insouciance qui devrait la caractériser.

L’enfant a peur de tout, passe à côté de nombreuses expériences et se renferme sur lui-même.

Dans les cas extrêmes, il n’a pas de relation au-delà de la famille, car il a peur des autres.

L’anxiété apparaît également chez les enfants maltraités, sachant que la violence soit physique ou psychologique n’a pas d’importance en soi.

Dans tous les cas, elle produit chez l’enfant une tendance démesurée à ne pas vouloir se faire remarquer ou à ne pas vouloir déranger.

Il va également chercher à satisfaire ses parents pour échapper à la violence.

Lors du passage à la vie adulte, il ne mûrit pas correctement et cherche toujours à bien faire, même s’il ne sait plus à qui il doit plaire.

En conséquence de quoi, son ego fragilisé par les souffrances passées ne supporte pas que les autres ne cherchent pas constamment à aussi bien faire que lui.

Même s’il ne fait pas mieux que les autres, il exige que son entourage fasse toujours comme lui et seulement comme il le décide.

Un trait de caractère fréquent chez les perfectionnistes

Le contrôle pathologique est un trait de caractère fréquent chez les perfectionnistes.

En l’espèce, le perfectionnisme est une méthode de protection typique de ceux qui craignent de voir leurs vulnérabilités les submerger.

Souvent, ces patients ont si peur de se confronter à leurs limites et à leurs vulnérabilités, qu’ils développent des tendances perfectionnistes extrêmes.

En essayant toujours d’être parfaits, ils espèrent ne pas avoir à rendre de compte de leurs faiblesses.

Dès lors, ce perfectionnisme est la source de souffrances (épuisement, isolation, etc.), mais il est aussi issu de souffrances.

C’est parce que l’ego du perfectionniste a été blessé, ou empêché de mûrir par la maltraitance, qu’il est désormais obligé de se tuer à la tâche pour ne jamais laisser transparaître la moindre faiblesse.

Maniaque du contrôle: Une personnalité empreinte de narcissisme

Or, le maniaque du contrôle sait bien au fond de lui, que cette souffrance vient de l’extérieur.

Ainsi, il ne supporte plus que les autres ne souffrent pas comme lui.

Généralement, le perfectionniste maniaque du contrôle justifie ses exigences envers les autres par l’exigence qu’il a envers lui-même.

Pourtant, le perfectionnisme sain ne peut se justifier que par une chose : la nécessité objective de bien faire.

Si la mauvaise exécution d’une tâche met la vie des autres en danger, ce n’est pas au maniaque du contrôle de générer une exigence pour les autres au prétexte qu’il l’a pour lui-même.

L’exigence existe en tant que telle et peut être expliquée.

Le maniaque du contrôle se cache derrière certaines rhétoriques difficiles à contredire, mais on ne doit pas se laisser manipuler.

Et ce d’autant moins que ce perfectionnisme peut avoir des conséquences terribles sur les enfants à long terme, notamment en les transformant eux-mêmes en maniaques du contrôle.

Comment gérer une personne qui souffre de contrôle pathologique ?

Le contrôle pathologique est aussi, et surtout, une grande source de souffrance pour l’entourage.

Les proches se demandent alors souvent comment gérer un maniaque du contrôle pour profiter d’une vie plus douce avec lui.

La meilleure solution, c’est de le convaincre d’aller se faire aider en consultant un psychiatre et/ou en suivant une thérapie comportementale.

En revanche, vous ne devez pas laisser peser la responsabilité de cette souffrance sur vous.

Vous n’êtes pas un professionnel de santé.

Quand bien même le seriez vous, ce n’est pas le rôle des proches.

Si une personne refuse de se faire soigner, vous ne pouvez rien pour elle qu’elle ne veuille pour elle-même.

Vous devez penser à vous en priorité, quitte à fuir le plus loin possible pour vous protéger.


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La relation au pouvoir de la personne contrôlante ou control freak

Une personne contrôlante est une femme ou un homme qui veut tout contrôler, c’est à dire qui ne fait confiance à personne et, partant, ne peut pas déléguer.

Un peu comme un grand chef trois plumes qui ne supporte ni la contestation ni la différence.

Ou certains gradés, officiers et sous-officiers, dont j’ai le souvenir au cours de mon service militaire (ex: penser c’est déjà désobéir).

En bref, une personne qui a besoin de conserver le pouvoir et rien d’autre tout en manipulant parfois.

Cela me fait penser à Poutine dans son échange avec le chef du service des renseignements extérieurs russes à propos de la guerre en Ukraine.

On y entend toute la peur de ce type inféodé à Poutine et combien ce dernier jouit de ce contrôle qu’il exerce du fait de sa dictature, dans toute sa psychorigidité pathologique.

Le plus souvent, la personne qui veut tout contrôler est une personne anxieuse qui anticipe sur tout et sur toute chose.

La personne contrôlante ne fait pas confiance

Elle est convaincue qu’elle est la seule capable de faire ce qu’il convient, quand il faut comme il faut.

Or, cette façon compulsive d’être et de faire n’est jamais sans conséquences.

Sans conséquences en matière d’aggravation du stress induit par un tel comportement, et jamais sans conséquences sur les sphères affectives, familiales, professionnelles et sociales.

Pour certaines personnes, être une personne contrôlante c’est être une personne manipulatrice ce qui ne va pas nécessairement de pair.

In fine, le contrôle compulsif est une attitude difficile à supporter pour l’entourage.

La personne qui veut tout contrôler joue souvent avec les affects de ses interlocuteurs les amenant de façon perfide et manipulatrice à faire ce qu’elle exige d’eux sans qu’ils ne puissent s’affirmer, die non.

Celle ou celui qui veut tout contrôler, et tout diriger, ne se rend même pas toujours compte de son attitude.

Cela en arrive parfois à un tel point que, dans certains cas, elle ne comprend pas toujours les implications de son comportement et rend la vie sociale impossible alors que l’entourage est souvent plein de bonne volonté.

Au départ à tout le moins.

On qualifie parfois ces personnes de psychorigides, de personne contrôlante ou de control freak.

Qu’est-ce que le contrôle compulsif ?

Le contrôle compulsif se définit par un comportement (psychique/verbal) ou une attitude (physique/non verbal) que l’on développe vis-à-vis des autres.

Une seule idée obsède celle ou celui qui exerce un contrôle compulsif: faire les choses correctement (à son sens en tous cas).

Pourtant, dans bien des situations, il n’existe pas qu’une seule manière de bien faire les choses.

Pour être plus clair, on ne peut rien faire parfaitement.

Le psychorigide, de son côté, vit avec la conviction qu’il existe bien une manière idéale de faire les choses.

Avec le temps et l’arrivée de l’âge adulte, il se convainc lui-même qu’il est le seul détenteur de cette manière idéale de faire.

A ce propos, souvenons nous que Poutine est orphelin ce qui, pour une partie, explique ses comportements pathologiques.

Résultat, il veut que son entourage adopte les mêmes critères et qu’il respecte scrupuleusement ses ordres.

Ce qui justifie que l’intéressé(e) exerce la terreur sur les personnes qu’elle veut contrôler.

La plupart de ses opposants, et les membres de leurs familles, n’ont-ils pas une fâcheuse tendance à disparaitre de façon mystérieuse et inexpliquée?

La personne qui contrôle tout exerce souvent une forme de terreur

Fait étonnant cependant, même celui qui souffre de contrôle compulsif – la personne contrôlante – change parfois d’avis.

On entend alors par « compulsif » le fait de ne pouvoir maitriser ce besoin impérieux de tout contrôler.

Un peu comme avec un problème d’alcoolisme au sujet duquel il est dit, je cite:

« Un verre c’est trop et mille verres pas assez ».

Dans ce cas-là, la remise en cause de ses précédentes croyances ne le pousse pas à se montrer moins rigide.

Au contraire, découvrir une nouvelle « vérité » le pousse à un prosélytisme parfois écœurant pour l’entourage lesquels se sentent encore plus démunis.

En effet, aucun argument rationnel ne fait jamais mouche contre un psychorigide : il est toujours convaincu d’être le seul détenteur de la vérité.

Comment reconnaît-on quelqu’un qui veut tout contrôler ?

Évidemment, on reconnaît quelqu’un qui souffre de contrôle compulsif au simple fait qu’il veut toujours tout contrôler.

Cependant, des détails plus précis doivent attirer votre attention.

Le plus universel et le plus important de tous, c’est que le psychorigide se mêle – souvent – de ce qui ne le regarde pas.

Ainsi, il cherche à vous obliger à faire des choses qui ne concernent que vous mais… comme il l’entend!

On reconnaît également le contrôleur compulsif à une tendance très marquée : porter des jugements nombreux et hâtifs sur tout un tas de choses comme sur tout un tas de gens.

Il se fait un avis sur les gens et les situations en quelques secondes, souvent parce qu’ils ne sont pas exactement comme lui.

À cela s’ajoute un autre trait de caractère essentiel : l’absence de considération pour les problèmes des autres.

Ce manque d’empathie, le contrôleur l’explique par l’exigence qu’il a envers lui-même et qu’il l’a considère comme l’autorisant à avoir la même exigence envers les autres.

Pourtant, la véritable empathie consiste à justement comprendre les difficultés que l’on ne rencontre pas soi-même.

Le contrôleur compulsif n’envisage pas que les difficultés des autres le paralyseraient également s’il les vivait.

Ainsi, les personnes psychorigides ont tendance à développer des stratégies de manipulation pour obtenir ce qu’ils veulent de leur entourage.

Quand la personne contrôlante, ou le contrôleur compulsif, a une position très dominante, par exemple de père ou de mère de famille, il use – ou plutôt abuse – de son autorité (voire de la violence verbale ou physique).

La manipulation intervient surtout chez ceux qui ne jouissent pas d’une position dominante.

Ainsi, puisqu’il ne fait pas autorité, il prend le pouvoir.

Dans tous les cas, il feint d’entendre et empêche les autres de s’exprimer.

Pourquoi veut-on tout contrôler ?

La psychiatrie ne connaît pas très bien les causes à l’origine d’une tendance au contrôle compulsif.

De nombreuses théories suggèrent que l’éducation et les traumatismes de l’enfance en sont la première cause.

En fait, l’adulte qui exerce un contrôle compulsif n’est pas un adulte pleinement mature.

À la fin de l’enfance, l’adolescent ou le jeune adulte réalise que ses parents n’ont pas toujours raison et que le monde est plus compliqué que les affirmations des adultes, ou moins dramatique que certaines personnes veulent nous le faire croire.

Dans les deux cas c’est une question de point de vue.

Quand cette étape cruciale qui consiste à s’autonomiser et à exercer son libre arbitre n’a pas été possible, cela provoque généralement une tendance au contrôle compulsif.

Ainsi, l’adulte tente toujours d’agir de la meilleure manière possible pour satisfaire une autorité supposée.

Quand un enfant est éduqué par un contrôleur compulsif ou des parents violents (physiquement ou psychologiquement) et manipulateurs, il développe plus facilement cette tendance.

L’un des rôles essentiels des parents consiste à apprendre à l’enfant à faire ce qui est juste, pour lui et les autres.

Quand on apprend seulement à l’enfant à faire plaisir à ses parents, ce même enfant devenu adulte exige que les autres se comportent toujours bien, c’est-à-dire comme lui.

Qu’est-ce qu’une personne contrôlante ?

Le terme de personne contrôlante n’est pas tout à fait adapté à la question du contrôle compulsif.

On parle davantage de personne contrôlante dans le cas des relations de pouvoir.

La personne contrôlante est alors celle qui met en place tout le nécessaire pour pousser quelqu’un à faire ce qu’elle veut.

Dans le cadre d’une relation abusive, la personne contrôlante peut se montrer particulièrement violente ou cruelle.

Dans d’autres cas moins graves, la personne contrôlante essaye seulement de vivre par procuration à travers les expériences des autres.

Comment neutraliser une personne qui veut tout contrôler

La personne contrôlante ne souffre donc pas toujours de contrôle compulsif.

Parfois, elle est simplement sadique ou prête à tout pour obtenir ce dont elle a besoin.

Par extension, on qualifie parfois la personne psychorigide qui applique un contrôle compulsif sur son entourage de personne contrôlante.

Bien sûr, le terme est suffisamment transparent pour que son utilisation ait peu d’impact.

En revanche, ce n’est pas un usage médical.

Comment gérer les troubles du contrôle compulsif ?

Le contrôle compulsif est la marque d’une immaturité très importante.

Or, les adultes immatures se caractérisent souvent par leurs peurs.

La première chose à faire serait donc d’affronter ses peurs, que ce soit celle d’une dévalorisation au sein de ses relations, celle de l’exclusion ou celle de découvrir qui l’on est vraiment.

Mais c’est d’autant moins simple qu’il faut que la personne contrôlante reconnaisse qu’elle a un problème.

Qu’elle accepte que son problème relève d’un trouble anxieux.

En l’espèce, l’approche systémique de Palo Alto est trés efficace contre les troubles anxieux, les phobies, etc.

Partant, pour traiter les troubles du comportements liés aux personnes contrôlantes.

Elle permet en effet d’objectiver ses peurs et ses traumatismes pour ne plus les subir.

Elle est toute aussi efficace pour lutter contre les tendances au contrôle compulsif.

On recommande également de suivre une psychothérapie sur le long terme pour venir à bout des difficultés rencontrées dans l’enfance.

Comment réagir face à une personne contrôlante ?

Partons de l’idée qu’une personne qui contrôle tout, de façon peu ou prou compulsive, est convaincue qu’elle est la seule à avoir raison dans un périmètre assez important.

Partons du constat que vous opposer à cette personne contrôlante ne fait qu’enrichir ses comportements.

Qu’en conséquence, « allez contre » c’est comme d’essayer de convaincre Messieurs Darmanin (ministre de l’intérieur) et Lallement (préfet de police de paris et grand pourfendeur des « gilets jaunes ») que faire l’amalgame entre les manifestants de tous ordres et les black blocks relève de la manipulation et de la désinformation.

Dès lors, qu’ils prennent les citoyens français pour des buses, qu’ils ont tort et qu’ils font mal 😊.

Autant parler à des personnes sourdes en plus d’être de mauvaise foi (je vais avoir des ennuis…).

Du coup, il ne faut pas réagir face à une personne contrôlante. Bien au contraire, il faut agir. Comment ?

Simplement : c’est à dire en ayant une position basse dans le comportement et haute dans le cadre.

Oui, je sais, cela ne vous parle pas, et pourtant.

Vous allez apprendre comment neutraliser les comportements de la personne qui veut tout contrôler.

Cela fonctionne particulièrement bien et donne d’excellents résultats.

Pour prendre connaissance du programme thérapeutique lié au contrôle pathologique comme symptôme de troubles anxieux, je vous propose de cliquer sur le lien ci-dessous :


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Par ailleurs, si vous souhaitez me poser des questions ou partager votre expérience relative au contrôle pathologique, à une personne contrôlante, ou parce-que vous êtes vous même dans le contrôle compulsif, n’hésitez pas à utiliser l’encart mis à votre disposition en bas de la présente page.


Article mis à jour le 16 novembre 2023 par Frédéric Arminot.

    4 replies to "Contrôle pathologique : comment ne plus être un(e) maniaque du contrôle ?"

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Manu,

      Il existe une méthode comportementale particulièrement efficace, en plus d’être amusante, pour neutraliser ce type de comportement et mettre en place un mode de communication plus équilibré et moins anxiogène pour vous.

      Si cela vous intéresse, informez m’en.

    • Manu

      Bonjour
      Votre article est super intéressant
      J ai une relation avec une femme que j aime mais qui est tout le temps dans le contrôle, énormément au niveau professionnel par rapport a son poste à responsabilités mais dans notre relation aussi, elle sait elle même comment elle et ne souhaite pas vraiment changer car c est comme ci elle ne voyait pas d issue et reste fataliste. Elle a subit beaucoup de traumatismes de son passé et j ai l impression de subir une vengeance de son passé. Elle est aussi très extrême dans ses choix de vie. Moi même étant dépendant affectif, la situation est donc compliquée, je travail sur cette dépendance et je suis quelqu’un de très zen et reste très zen, toujours à son écoute et essayer de la comprendre. Je tiens à elle et souhaite la rendre heureuse, je ne souhaite pas la perdre mais je ne sais plus comment m y prendre et je me sens parfois déstabilisé
      Merci de votre compréhension
      Cordialement

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Claude,

      Cette technique comportementale est développée dans le cadre du Programme ARtUS pour aider les membres dudit programme en ligne à s’affirmer comme à avoir confiance en eux.

    • Claude

      Bonjour
      Où pourrais-je trouver votre article qui détaille la stratégie comportementale à avoir face à une personne contrôlante ?
      « Position basse dans le comportement et haute dans le cadre » m’en donne qu’une trop vague idée.
      Merci

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