L’être humain est ainsi fait que la solitude lui pèse. Soit écrit en passant, pour ce qui me concerne, mon accessoire solitude ne me pèse en rien, je crois que j’aime çà.
Sans doute est-ce lié au fait que, fondamentalement, je sais ne pas être dans une vraie solitude, au sens du rien, ni avec, ni sans.
Si chacun(e) d’entre nous avait la capacité de vivre seul(e) et de s’auto suffire, cela se saurait et poserait les bases de notre autonomie.
Toutes et tous, nous avons besoin d’échanges, de partages, de liens affectifs, sociaux, familiaux, et professionnels.
Vivre sans lien, vivre isolé(e), vivre seul(e), c’est être comme le plus bel avion du monde et manquer de kérosène. Vous êtes condamné(e) à rester cloué(e) sur le tarmac.
Beaucoup de ces gens qui souffrent de solitude pensent que c’est irréversible.
Il y a une espèce de résignation à se sentir seul(e) ce qui fait dire à ces hommes et à ces femmes qu’ils n’intéressent plus personne, qu’ils sont comme abandonnés. C’est ce que l’on appelle de la victimisation, et ce n’est pas irréversible.
En effet, il existe une solution pour ne plus être angoissé(e) par le fait d’être seul(e).
La victimisation repose sur un principe que l’on appelle « le bénéfice caché« . C’est une notion très importante, un concept sur lequel sont amenés à travailler les personnes de mon programme thérapeutique en ligne.
Cette méthode vous permet de soigner l’angoisse, traiter l’anxiété, soigner une phobie, ou guérir un toc, ou vaincre une dépression, tous de putatifs symptômes ou conséquences de la solitude.
8 solutions à la solitude
Nonobstant cette éventualité, celle de l’intérêt de la solitude associé au fait de l’intérêt de s’en plaindre, la solitude n’est pas une fatalité.
Si cela vous concerne, vous pouvez la surmonter. A cette fin, il est nécessaire d’interagir avec les personnes qui sont autour de vous, sachant qu’au contraire ce que vous pensez, elles ont également besoin de vous.
Pour toutes ces raisons, et principalement celle de surmonter la solitude, je vous invite à découvrir 6 solutions lesquelles ont vocation à vous aider à être une personne qui ne se sent plus seule au monde, un être humain qui ne souffre plus de solitude.
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Comportementaliste depuis 30 ans, je partage avec vous ma vision des choses.
Dans ma newsletter hebdomadaire, j’interroge les interactions sociales, affectives et professionnelles, leurs dysfonctionnements et leurs conséquences.
Bien sûr, je proposerais des solutions adaptées et personnalisées issues de l’approche stratégique et systémique, suivant le Modèle Palo Alto, une approche brève orientée solutions, dédiée à la résolution de problèmes d’angoisse, d’anxiété, de dépression et de phobies.
Des pistes de réflexions et des solutions pour changer !
Solution N°1 – Surmonter la solitude
La plupart du temps, les personnes qui souffrent de solitude s’isolent dans leur coin.
Elles sont convaincues, ou finissent par se convaincre, qu’elles n’ont rien à apporter aux autres ou qu’elles ont des défauts tels que c’est un obstacle à n’importe quel type de relation.
Pour justifier leur solitude, ces mêmes personnes invoquent le fait qu’elles n’ont pas des diplômes aussi importants que les personnes susceptibles les intéresser, ni des compétences professionnelles, ou des carrières de moindre envergure.
Le statut social d’une personne a t’elle vraiment autant d’importance que vous le croyez ?
Je me souviens d’une maraîchère qui rentrait de vacances. Je m’inquiète de son absence depuis 15 jours. Réponse de l’intéressée : « Je n’ai pas envie d’être la plus riche du cimetière !« .
Elle ne prend pas ses congés en même temps que tout le monde, et ne fait que ce qui lui semble bien pour elle, dusse-t-elle ne pas faire comme tout le monde. Ainsi, la vie est faite de différences.
En ce qui vous concerne, vous avez – forcément – quelque chose qui fait de vous une personne particulièrement intéressante. Cette même personne avec qui les gens ont du plaisir à échanger, collaborer, parler, partager.
C’est mon cas avec cette femme qui travaille sur les marchés.
Solution N°2 – Croire en l’avenir malgré la solitude
Malgré vos défauts, ou ce que vous pouvez considérer chez vous comme des tares, il vous suffit d’y croire. C’est à dire que pour sortir de la solitude, il faut vous donner les moyens de travailler votre confiance en soi.
Si vous sortez d’une relation qui s’est mal passée, qu’elle soit amicale ou amoureuse, ce n’est pas une raison pour vous replier sur vous même. Si vous le voulez bien, la vie vous réserve de nouvelles aventures fort agréables à vivre.
Quelque part, il y a une personne qui va vous trouver une place dans sa vie, au moins autant que vous êtes prêt(e) à lui en trouver une dans la vôtre. Il vous suffit d’y croire.
Essayez de chasser ces pensées toxiques qui vous affectent tant. Elles vous font broyer du noir, seul(e), dans la pénombre de votre appartement ou de votre maison.
Sans doute êtes-vous une agréable personne, exceptionnelle par certains côtés de votre personnalité. Vous avez droit à une vie meilleure alors, ne laissez ni le passé, ni vos doutes, vous empêcher de profiter de vos qualités, et encore moins de les partager.
Solution N°3 – Prendre soin des autres
Il y a des années – j’ai pourtant l’impression que c’était hier -, j’ai appris que donner est le meilleur moyen de recevoir. C’est à dire donner sans attendre de retour.
Tout ce que vous donnez aux autres vous revient en plus grande proportion.
L’une des meilleures manières de surmonter la solitude est de s’intéresser aux autres afin de leur apporter votre aide ce qui est une façon comme une autre de vous prémunir des symptômes de l’angoisse de séparation.
Essayez d’être la ou le moins égoïste possible. Ne cultivez pas colère et ressentiment du fait de votre solitude parce-que, dans le cas contraire, vous risquez de rester seul(e) bien longtemps encore.
Il y a forcément une personne autour de vous qui a besoin d’aide. Une personne qui a besoin d’un coup de main, un être humain qui a besoin d’un peu de votre temps. Occupez-vous en, et rendez vous utile sans attendre de compensation.
Ne vous concentrez pas sur vos besoins personnels, en tout cas pas au point de devenir une personne orgueilleuse. Celle-là même qui attend qu’on vienne à elle. Allez vers les autres, offrez-leur ce que vous espérez pour vous même : le bonheur.
Si vous y réfléchissez bien, vous n’avez pas besoin de chercher très loin.
Les premières personnes qui ont besoin de vous sont les membres de votre famille. Il y a aussi, et sûrement, une personne que vous n’avez pas vu depuis longtemps, ou avec laquelle vous vous êtes embrouillé(e), et à laquelle vous pensez souvent.
Solution N°4 – Ranger son orgueil dans sa poche
Mettez votre orgueil de côté et essayez de reprendre contact avec elle. Si nécessaire, faites acte d’humilité. Excusez-vous si vous pensez que cela peut faciliter la reconstruction d’un lien et, pour commencer, proposez lui de partager un café, ou de déjeuner ensemble.
Une fois réuni(e)s, montrez lui de l’intérêt. Posez des questions sur elle, ses relations, son travail, ses éventuels problèmes. En bref, parlez peu de vous et donnez lui de la valeur par les questions que vous lui posez à son sujet.
Passez du temps avec votre famille comme avec vos ami(e)s. Donnez-leur de l’attention, de l’amour. A un moment ou à un autre, ils vous le donneront en retour et votre vide affectif sera comblé.
Ainsi, vous vous sentirez mieux dans votre peau, et n’attendrez pas que ces personnes vous donnent ce que vous estimez être votre seul besoin. Encore une fois : offrez sans attendre.
Solution N°5 – S’impliquer dans des activités sociales
Sortons du cadre familial ou affectif.
Je vous invite à vous impliquer dans la vie sociale, associative ou sportive dans la ville dans laquelle vous habitez. En quelques mots, le leitmotiv c’est : « Sortez de chez vous ! ».
Avez-vous pensé à participer à la prochaine séance de sport organisée par votre commune ? Êtes-vous allé(e) à la journée de présentation des associations de votre ville, laquelle journée a généralement lieu à la rentrée septembre de chaque année ? Vous êtes-vous inscrit(e) en qualité de volontaire dans une association ou comme bénévole dans une O.N.G ?
Si vous voulez que les gens s’intéressent à vous, je vous le rappelle, il va falloir faire une effort comme prendre le risque de sortir de votre zone de confort. D’ailleurs, cette zone est-elle si confortable que çà ?
Une ou des activités associatives vous permettent de faire de nouvelles rencontres. Certaines d’entre elles deviennent des amitiés. Attention cependant : n’y allez pas dans ce seul but. Allez-y tout d’abord pour passer de bons moments, pour vous rendre utile à votre communauté.
Dès lors, essayez d’accepter que les choses ne se passent pas toujours comme vous le voulez et n’oubliez pas : le temps arrange bien des choses.
Solution N°6 – Faire preuve d’humilité et de bienveillance
Qu’est-ce qui est le plus important pour vous ? Être entouré(e) de personnes qui vous tiennent compagnie – çà a ses limites -, ou apporter votre aide à celles et ceux qui en ont besoin ? C’est votre façon de vous impliquer qui vous offre ce dont vous avez besoin.
Le sourire d’un SDF après lui avoir remis un peu d’argent. La gratitude d’une personne d’un âge avancé que vous aidez à traverser la route.
Autant de comportements sociaux de partage qui vous procurent des émotions positives. Peut-être même, réalisez vous que vous n’avez pas tant de raisons de vous plaindre en comparaison de la vie de certaines personnes.
Si vous prenez la peine, et le temps, d’y réfléchir, vous vous rendrez compte que votre situation est bien plus simple que celle de beaucoup de gens.
Vous, à tout le moins, avez des personnes dans votre entourage même si le temps et des évènements vous en ont parfois éloigné au point de vous faire vous sentir seul(e).
D’autres n’ont ni famille, ni amis. Alors, pour ces personnes là en particulier, le temps d’un matin, d’un après-midi ou d’une soirée, soyez la personne qui leur donne de l’affection par l’intérêt que vous leur manifestez.
Solution N° 7 – Utiliser un programme comportemental en ligne
Vous êtes d’accord avec tout ce que vous venez de lire ?
Vous êtes une bonne et une belle personne mais… c’est dur de faire ces premiers pas vers les autres n’est-ce pas ? Ce n’est pas que vous ne voulez pas, c’est plutôt que vous n’y arrivez pas. Quelque chose vous bloque, voire vous angoisse ?
Si vous souhaitez sortir de cette ornière, je vous propose une solution pour vaincre la solitude dans laquelle vous êtes enfermé(e) bien malgré vous.
- Peut-être avez-vous été marqué(e) par des déconvenues relationnelles dans le passé ?
- Avez-vous du mal avec les relations en général ?
- Rencontrez-vous des difficultés à vous affirmer en groupe ou à prendre la parole devant tout le monde ?
- Avez-vous peur d’être jugé(e) ?
- Êtes-vous anxieux – anxieuse – à l’idée de mal dire, ou de mal faire ?
Alors, pour vous, pour vous débarrasser de tout cela, j’ai conçu un programme thérapeutique et comportemental en ligne.
Il vous aide à résoudre tous ces problèmes que je viens d’énoncer.
Ce programme est accessible 24/24H au contraire d’un thérapeute, et il vous permet d’identifier les vraies raisons de votre solitude afin de comprendre votre état émotionnel d’une part et de sortir de l’impasse dans laquelle vous êtes.
Solution N° 8 – Comprendre le passé et investir l’avenir
Un tel programme vous aide à déterminer avec précision les événements récents et passés qui justifient ce que vous vivez comme un problème. Être socialement seul(e) ou vous sentir seul(e) même quand vous êtes entouré(e).
Votre problème de solitude cache, peut-être, une dépression, de l’anxiété, de l’angoisse, ou un stress chronique. Autant de sujets pénibles qui vous font vous renfermer sur vous-même et ce d’autant plus que le médicament que vous prenez pour dormir vous assomme.
Dès lors, je vous suggère de penser à changer vos comportements et de vous inscrire à ce programme thérapeutique et comportemental en ligne dès maintenant.
Votre démarche en ce sens vous aide à identifier le vrai problème caché derrière ce problème apparent qu’est la solitude, et aussi à trouver très vite une solution adaptée à votre cas pour retrouver estime de soi et confiance en soi.
Beau projet n’est-ce pas ?
Nouer de nouvelles relations dans tous les domaines de votre vie vous permet de vous « sortir » de votre solitude, et c’est l’objectif de ce programme.
N’hésitez pas à partager votre expérience avec les autres (voir les commentaires ci-dessous) et ce de la même façon que vous pouvez la partager avec les membres inscrits à mon programme thérapeutique en ligne.
Enfin, n’oubliez pas : en tous domaines, c’est le premier pas qui compte. Le reste, comme disent beaucoup de gens : « C’est que du bonheur ».
Dès lors, il s’agit de vous donner les moyens de votre autonomie, d’ainsi faire preuve d’un comportement adulte et autonome, et c’est ce que nous allons voir dès maintenant.
Comment vaincre la solitude et trouver son auto-suffisance ?
Ne vous y trompez pas...
En cas de problèmes d’angoisse, d’anxiété, de phobie, comme de toc ou de dépression lié à votre solitude, le premier réflexe de la personne qui en souffre est d’essayer de contrôler ce qui est vécu comme un problème.
La volonté en l’espèce étant d’essayer de retrouver, ou de maintenir, une certaine autonomie de comportement (au sens adulte du terme).
Je reviens plus tard sur cette question relative au contrôle. Ce qu’il est important de noter dès maintenant, c’est la notion culturelle liée à la façon dont vous serez “soigné(e)”. Partant, comment retrouver autonomie et bien-être.
A cet instant, je fais allusion à la pratique thérapeutique telle qu’elle est exercée et préconisée en France. C’est beaucoup moins le cas dans des pays comme la Belgique, l’Allemagne, les pays nordiques, etc.
Ainsi, notre culture (latine) fait la part belle aux approches thérapeutiques ci-dessous lesquelles, toutes intéressantes qu’elles sont, ne sont pas nécessairement la bonne réponse à votre problème de solitude.
La psychologie
La psychologie est une sorte de pratique bis de la psychanalyse à ceci près que, le plus souvent, le ou la psychologue intervient de façon très rationnelle auprès du patient. Il ou elle essaie de l’aider – pour ne pas écrire le contraindre – à relativiser par rapport à ses problèmes.
La plupart du temps, le ou la psychologue “oriente” le patient pour l’aider à faire des liens entre sa relation à ses parents et son problème, partant, son histoire de vie.
Une telle démarche prend donc beaucoup de temps (plusieurs années) et, du coup, beaucoup de patients se lassent.
La plupart estime passer trop de temps à dépenser de l’énergie, du temps, et de l’argent pour une solution qui ne vient pas. Dès lors, ils ont toujours leur autonomie en ligne de mire mais voit celle-ci s’éloigner, une fois de plus.
De fait, énormément de patients interrompent leur prise en charge laquelle dure parfois depuis des années. D’autres se lassent de leur thérapeute et passent d’un psy à un autre.
La psychanalyse
Freudienne ou Lacanienne, pour les plus connues, elles durent des années à raison d’une à deux séances par semaine.$
Je vous rappelle que j’ai moi même suivi une cure psychanalytique pendant 12 ans. Au cours de ces séances, la patient est allongé, le thérapeute assis derrière lui. Pourquoi ?
Tout simplement pour préserver le patient d’un regard ou d’un comportement quelconque, qui pourrait le déranger, ou l’empêcher de s’exprimer.
Et de quoi le patient parle t’il ? Le patient a pour objectif de faire des liens entre son histoire de vie et son problème à l’aide ce que l’on appelle de libres associations.
Cela prend beaucoup de temps, à la fois parce que le patient chemine sans l’intervention du thérapeute, et aussi parce que, souvent, le patient exprime des situations, des émotions, ou tout autre sentiment qui n’ont pas nécessairement de lien avec le problème à propos duquel il consulte.
En résumé, la psychanalyse consiste à se ré approprier son histoire de vie. C’est prodigieusement intéressant mais très ingrat.
Ne fasse hurler les puristes, j’ai pour habitude de dire pour qu’il faut être dans un excellent état mental pour suivre une cure psychanalytique.
La psychologie clinique, comme la psychanalyse, demande beaucoup de temps, d’investissements personnel et… d’argent.
Aujourd’hui, il existe une approche beaucoup plus rapide, laquelle vous offre plus de 95 % de résultats positifs en moins de 2 mois.
Faire le bon choix pour sortir de sa solitude
Puisque votre autonomie et votre bien-être sont importants pour vous, je vous invite à ne pas choisir une approche thérapeutique à la légère. Je tiens cependant à vous préciser que je n’ai absolument rien contre la psychologie et la psychanalyse, bien au contraire.
Je ne saurais que trop attirer votre attention sur vos objectifs de mieux être et d autonomie.
Pour ce faire, devez-vous y passer plus de 10 ans de votre vie, sans certitudes d’amélioration, ou 2 mois avec un taux de réussite de l’ordre de 16 cas résolus sur 17 pour un coût inférieur de… 6000% ?
Ne pas rationaliser
Je vous conseille que ce qui suit est un peu brutal mais arrêtez de vous comporter de façon rationnelle. A l’inverse, vous aurez toutes les peines du monde à obtenir autonomie et bien-être.
Maintenant, attendez vous à prendre connaissance de quelque chose qui va à l’encontre de toutes les idées reçues et, partant, de l’autonomie et du bien-être.
Je vous explique de quoi il retourne.
Nous avons tous une personnalité laquelle s’est créée sur la foi des diverses expériences vécues depuis notre plus jeune âge, et l’éducation que nous avons reçu.
Ne pas rechercher l’approbation
Chacun de ces facteurs, pris isolément ou globalement, a posé les bases de votre vision de l’échec comme de la réussite (vision des choses – carte du monde).
A tout moment, et à quelque sujet que cela soit, vous pouvez donc avoir peur de ne pas être à la hauteur d’une situation et d’ainsi, perdre en autonomie et en bien-être.
Afin de satisfaire à un certain nombre d’ordres éducatifs que vous avez perçu comme tels dans votre enfance, vous pouvez tenter de contrôler une ou des émotions par rapports à des situations données.
Vous allez donc vous contraindre – vous obliger – à être à la hauteur d’une situation par crainte d’être jugé(e) ou par peur de perdre l’approbation des autres.
Dès lors, vous avez toutes les raisons de perdre cette autonomie tant chérie et le bien-être qui l’accompagne.
En contrôlant votre comportement, en inhibant la réalité de vos émotions, vous adressez un message à votre cerveau. Ce message est très toxique dans la mesure où votre cerveau comprend que vous ne prenez pas la mesure de la gravité des messages qu’il vous adresse.
Pour vous faire comprendre la nécessité d’avoir un comportement adapté, votre système nerveux central va augmenter l’intensité de votre problème.
Partant, plus vous chercherez à éviter honte et culpabilité, plus vous ressentirez honte et culpabilité et moins vos chances de satisfaire autonomie et bien-être seront présentes.
Être à 180° de toute tentative de solution
Plus vous rationaliserez, plus vous serez dans le contrôle et pire sera votre problème.
Si cette façon d’être et de faire pour prendre la maitrise de votre problème vous avait aidé, vous ne seriez pas entrain de lire cette page.
Rationaliser ou intellectualiser un problème consiste à essayer de le comprendre, c’est à dire identifier son « pourquoi ». Plus vous réagissez de la sorte, plus vous tentez de contrôler le problème, plus vous l’enrichissez. Je sais, je suis lourd.
Alors, que faire me direz-vous ?
Simplement, essayez d’accepter l’émotion que vous ressentez, essayez de ne pas lutter contre.
A ce propos, il existe une technique comportementale extrêmement puissante pour reprendre le contrôle de n’importe quel problème en 2 minutes.
Cette technique consiste à imaginer le pire (eh oui!) mais pas n’importe comment. Les résultats de cet exercice sont magiques dans la mesure où c’est ce même exercice qui constitue une porte grande ouverte vers autonomie et bien-être.
Comment aborder la solitude dans sa dimension comportementale ?
Comme vous l’avez compris, il n’existe qu’une seule approche thérapeutique pour vous éliminer votre problème, c’est l’approche comportementale. C’est la plus rapide, la plus facile, et celle dont les effets sont définitifs.
L’approche comportementale ne se pré occupe pas du « pourquoi » vous avez un problème mais plutôt de « comment » le résoudre, du moins dans un premier temps.
En effet, s’il est intéressant de se poser des questions quant à ce qui motive votre problème, vous allez perdre un temps considérable.
Les réponses que vous allez trouver ne vont pas vous rassurer en suffisance, en plus de ne pas être une solution. La question du « pourquoi » arrive dans un temps 2 et doit être abordée avec les bons outils.
Imaginez que votre voiture tombe en panne et que vous téléphonez au garagiste.
Il va sans doute demander pourquoi vous avez acheté cette marque de voiture, avec ce type d’options, de cette couleur, avec ces garnitures de sièges. Etc. Peut-être estime t’il qu’il y a un lien de cause à effet entre la panne de votre auto et vos réponses à ses questions.
Mais pendant que vous discutez de tout çà, la voiture reste en panne et cela risque de durer longtemps. Ce comportement, c’est celui de la psychanalyse ou de la psychologie clinique.
Comment retrouver son autonomie en moins de 8 semaines ?
Maintenant, imaginez que je suis le garagiste.
Je vais vous demander ce qu’il s’est passé avant que la voiture ne soit en panne puis ce qu’il s’est passé pendant, c’est à dire: « qu’avez vous essayé de faire pour dépanner votre voiture ? », et, enfin, comment la voiture est tombée en panne. Je vais donc identifier le mécanisme du problème.
Ensuite, je procède par élimination jusqu’à trouver le problème qui empêche la voiture de fonctionner normalement. C’est le processus de contextualisation et de mise en place de stratégie de résolution.
De fait, vous et moi allons agir et non penser, de sorte à débloquer rapidement la situation douloureuse dans laquelle vous êtes. C’est précisément cette démarche contextuelle qui vous offre de rapidement satisfaire votre désir d’autonomie et bien-être.
Cela fonctionne dans plus de 95% des cas et ceci, quel que soit le temps depuis lequel vous êtes en difficulté.
C’est exactement ce que vous pouvez faire avec le Programme thérapeutique comportemental que j’ai conçu à votre intention. Ainsi, vous saurez comment contrôler votre problème en 2 minutes.
Prendre son envol et mettre fin à la solitude
En moins de 8 semaines, la thérapie comportementale permet de résoudre un problème, alors que la plupart des gens qui souffrent comme vous n’y arrivent pas en en plusieurs années.
Comment font-ils ? Ils utilisent les bonnes méthodes, ils se servent des bonnes ressources.
Contrôler angoisse, anxiété, phobie, toc ou dépression en 2 minutes nécessite juste un peu d’investissement personnel de votre part.
Alors, êtes-vous prêt(e) à vous consacrer 15 minutes par jour pendant 1 mois ?
- Êtes-vous prêt(e) à vous consacrer 15 minutes par jour pendant 1 mois ?
- Consentez-vous à utiliser des outils scientifiquement approuvés pour neutraliser votre problème ?
- Acceptez-vous d’utiliser un tout petit objet, d’une façon très amusante, pour retrouver un comportement adulte et, partant, retrouver estime de vous même et confiance en vous, et donc autonomie et bien-être pour sortir de votre solitude ?
- D’une façon très pragmatique, à découvrir comment faire la paix avec votre passé et, ainsi, cesser de vous en vouloir, cesser de vous sentir coupable, parce que vous avez le plus souvent peur d’avoir peur comme un enfant ?
Êtes-vous prêt(e) à agir le changement pour être autonome ?
Je sais que cela fait des semaines, voire des mois ou des années, que vous cherchez une solution à votre problème de solitude qu’il soit ou non aggravé par des soucis d’angoisse, d’anxiété, de phobie, de toc ou de dépression.
Je sais aussi que vous avez tout essayé : psy en tous genres, médicaments, médecines alternatives, etc, et que les résultats ne sont pas à la hauteur de vos attentes.
Je sais que vous avez passé beaucoup de temps, et dépensé beaucoup d’énergie (et sans doute aussi de l’argent) pour trouver la meilleure solution à votre problème mais, puisque vous lisez cette page, force est de constater que cela ne fonctionne pas pour vous.
Si je vous dis: « Comment voulez-vous savoir faire quelque chose qu’on ne vous a pas appris ? », cela vous évoque quoi ?
Dès lors, comment faire ? La réponse se trouve dans mon 3è et dernier conseil.
Pour en finir avec la solitude, la barre à gauche toute !
Pour sortir de la solitude, faites le choix de devenir un adulte qui agit autant pour son autonomie que pour son bien être.
Pour satisfaire à cet objectif, ô combien respectable et courageux, j’ai quelques questions à vous poser :
- Pourriez-vous arrêter de vous perdre en vaines tentatives de solutions ?
- Aimeriez-vous enfin faire le bon choix pour vous ?
- Peut-être pour la 1ère fois depuis que vous souffrez, pourriez-vous faire vraiment confiance et VOUS faire confiance ?
Si vous avez répondu « oui », ne serait-ce qu’à une de ces 3 questions, alors vous êtes prêt(e) à agir pour instaurer un vrai changement dans votre vie.
A tout de suite. Je vous exprime toute ma gratitude pour votre intérêt, et votre confiance.
P.S: Si vous ne faites pas ce qu’il faut pour retrouver autonomie et bien-être, il ne se passera rien.
Vous avez le droit de vous auto manipuler, voire de vous auto-saboter mais gardez à l’esprit que prenez ainsi le risque d’être otage de votre solitude.
N’oubliez jamais que si, pour vous même, vous pensez, avec humilité, être la personne la plus importante sur terre, vous vous devez à vous même de prendre soin de vous comme de faire ce qu’il faut pour faciliter votre autonomie et votre bien être.
Si vous ne le voulez pas, vous allez le droit de préférer votre souffrance à un vrai changement, opportun et durable.
A ce propos, ne dit-on pas : « Choisir, c’est renoncer« .
Je vous laisse le soin de répondre à cette question et, en fonction de votre réponse, de faire le choix ou non d’utiliser la solitude comme un moteur de changement.
Vous cherchez 1 solution efficace & définitive ?
Une chance extraordinaire pour celles et ceux qui pensaient ne jamais s’en sortir.