L’ĂȘtre humain est ainsi fait que la solitude lui pĂšse. Soit Ă©crit en passant, pour ce qui me concerne, mon accessoire solitude ne me pĂšse en rien, je crois que j’aime çà.

Sans doute est-ce liĂ© au fait que, fondamentalement, je sais ne pas ĂȘtre dans une vraie solitude, au sens du rien, ni avec, ni sans.

Si chacun(e) d’entre nous avait la capacitĂ© de vivre seul(e) et de s’auto suffire, cela se saurait et poserait les bases de notre autonomie.

Toutes et tous, nous avons besoin d’Ă©changes, de partages, de liens affectifs, sociaux, familiaux, et professionnels.

Vivre sans lien, vivre isolĂ©(e), vivre seul(e), c’est ĂȘtre comme le plus bel avion du monde et manquer de kĂ©rosĂšne. Vous ĂȘtes condamnĂ©(e) Ă  rester clouĂ©(e) sur le tarmac.

Beaucoup de ces gens qui souffrent de solitude pensent que c’est irrĂ©versible.

Il y a une espĂšce de rĂ©signation Ă  se sentir seul(e) ce qui fait dire Ă  ces hommes et Ă  ces femmes qu’ils n’intĂ©ressent plus personne, qu’ils sont comme abandonnĂ©s. C’est ce que l’on appelle de la victimisation, et ce n’est pas irrĂ©versible.

En effet, il existe une solution pour ne plus ĂȘtre angoissĂ©(e) par le fait d’ĂȘtre seul(e).

La victimisation repose sur un principe que l’on appelle « le bĂ©nĂ©fice caché« . C’est une notion trĂšs importante, un concept sur lequel sont amenĂ©s Ă  travailler les personnes de mon programme thĂ©rapeutique en ligne.

Cette mĂ©thode vous permet de soigner l’angoisse, traiter l’anxiĂ©tĂ©, soigner une phobie, ou guĂ©rir un toc, ou vaincre une dĂ©pression, tous de putatifs symptĂŽmes ou consĂ©quences de la solitude.

8 solutions Ă  la solitude

Nonobstant cette Ă©ventualitĂ©, celle de l’intĂ©rĂȘt de la solitude associĂ© au fait de l’intĂ©rĂȘt de s’en plaindre, la solitude n’est pas une fatalitĂ©.

Si cela vous concerne, vous pouvez la surmonter. A cette fin, il est nĂ©cessaire d’interagir avec les personnes qui sont autour de vous, sachant qu’au contraire ce que vous pensez, elles ont Ă©galement besoin de vous.

Pour toutes ces raisons, et principalement celle de surmonter la solitude, je vous invite Ă  dĂ©couvrir 6 solutions lesquelles ont vocation Ă  vous aider Ă  ĂȘtre une personne qui ne se sent plus seule au monde, un ĂȘtre humain qui ne souffre plus de solitude.

Solution N°1 – Surmonter la solitude

La plupart du temps, les personnes qui souffrent de solitude s’isolent dans leur coin.

Elles sont convaincues, ou finissent par se convaincre, qu’elles n’ont rien Ă  apporter aux autres ou qu’elles ont des dĂ©fauts tels que c’est un obstacle Ă  n’importe quel type de relation.

Pour justifier leur solitude, ces mĂȘmes personnes invoquent le fait qu’elles n’ont pas des diplĂŽmes aussi importants que les personnes susceptibles les intĂ©resser, ni des compĂ©tences professionnelles, ou des carriĂšres de moindre envergure.

Le statut social d’une personne a t’elle vraiment autant d’importance que vous le croyez ?

Je me souviens d’une maraĂźchĂšre qui rentrait de vacances. Je m’inquiĂšte de son absence depuis 15 jours. RĂ©ponse de l’intĂ©ressĂ©e : « Je n’ai pas envie d’ĂȘtre la plus riche du cimetiĂšre !« .

Elle ne prend pas ses congĂ©s en mĂȘme temps que tout le monde, et ne fait que ce qui lui semble bien pour elle, dusse-t-elle ne pas faire comme tout le monde. Ainsi, la vie est faite de diffĂ©rences.

En ce qui vous concerne, vous avez – forcĂ©ment – quelque chose qui fait de vous une personne particuliĂšrement intĂ©ressante. Cette mĂȘme personne avec qui les gens ont du plaisir Ă  Ă©changer, collaborer, parler, partager.

C’est mon cas avec cette femme qui travaille sur les marchĂ©s.

Solution N°2 – Croire en l’avenir malgrĂ© la solitude

MalgrĂ© vos dĂ©fauts, ou ce que vous pouvez considĂ©rer chez vous comme des tares, il vous suffit d’y croire. C’est Ă  dire que pour sortir de la solitude, il faut vous donner les moyens de travailler votre confiance en soi.

Si vous sortez d’une relation qui s’est mal passĂ©e, qu’elle soit amicale ou amoureuse, ce n’est pas une raison pour vous replier sur vous mĂȘme. Si vous le voulez bien, la vie vous rĂ©serve de nouvelles aventures fort agrĂ©ables Ă  vivre.

Quelque part, il y a une personne qui va vous trouver une place dans sa vie, au moins autant que vous ĂȘtes prĂȘt(e) Ă  lui en trouver une dans la vĂŽtre. Il vous suffit d’y croire.

Essayez de chasser ces pensées toxiques qui vous affectent tant. Elles vous font broyer du noir, seul(e), dans la pénombre de votre appartement ou de votre maison.

Sans doute ĂȘtes-vous une agrĂ©able personne, exceptionnelle par certains cĂŽtĂ©s de votre personnalitĂ©. Vous avez droit Ă  une vie meilleure alors, ne laissez ni le passĂ©, ni vos doutes, vous empĂȘcher de profiter de vos qualitĂ©s, et encore moins de les partager.

Quels sont les avantages de la solitude

Solution N°3 – Prendre soin des autres

Il y a des annĂ©es – j’ai pourtant l’impression que c’Ă©tait hier -, j’ai appris que donner est le meilleur moyen de recevoir. C’est Ă  dire donner sans attendre de retour.

Tout ce que vous donnez aux autres vous revient en plus grande proportion.

L’une des meilleures maniĂšres de surmonter la solitude est de s’intĂ©resser aux autres afin de leur apporter votre aide ce qui est une façon comme une autre de vous prĂ©munir des symptĂŽmes de l’angoisse de sĂ©paration.

Essayez d’ĂȘtre la ou le moins Ă©goĂŻste possible. Ne cultivez pas colĂšre et ressentiment du fait de votre solitude parce-que, dans le cas contraire, vous risquez de rester seul(e) bien longtemps encore.

Il y a forcĂ©ment une personne autour de vous qui a besoin d’aide. Une personne qui a besoin d’un coup de main, un ĂȘtre humain qui a besoin d’un peu de votre temps. Occupez-vous en, et rendez vous utile sans attendre de compensation.

Ne vous concentrez pas sur vos besoins personnels, en tout cas pas au point de devenir une personne orgueilleuse. Celle-lĂ  mĂȘme qui attend qu’on vienne Ă  elle. Allez vers les autres, offrez-leur ce que vous espĂ©rez pour vous mĂȘme : le bonheur.

Si vous y rĂ©flĂ©chissez bien, vous n’avez pas besoin de chercher trĂšs loin.

Les premiĂšres personnes qui ont besoin de vous sont les membres de votre famille. Il y a aussi, et sĂ»rement, une personne que vous n’avez pas vu depuis longtemps, ou avec laquelle vous vous ĂȘtes embrouillĂ©(e), et Ă  laquelle vous pensez souvent.

Solution N°4 – Ranger son orgueil dans sa poche

Mettez votre orgueil de cĂŽtĂ© et essayez de reprendre contact avec elle. Si nĂ©cessaire, faites acte d’humilitĂ©. Excusez-vous si vous pensez que cela peut faciliter la reconstruction d’un lien et, pour commencer, proposez lui de partager un cafĂ©, ou de dĂ©jeuner ensemble.

Une fois rĂ©uni(e)s, montrez lui de l’intĂ©rĂȘt. Posez des questions sur elle, ses relations, son travail, ses Ă©ventuels problĂšmes. En bref, parlez peu de vous et donnez lui de la valeur par les questions que vous lui posez Ă  son sujet.

Passez du temps avec votre famille comme avec vos ami(e)s. Donnez-leur de l’attention, de l’amour. A un moment ou Ă  un autre, ils vous le donneront en retour et votre vide affectif sera comblĂ©.

Ainsi, vous vous sentirez mieux dans votre peau, et n’attendrez pas que ces personnes vous donnent ce que vous estimez ĂȘtre votre seul besoin. Encore une fois : offrez sans attendre.

Solution N°5 – S’impliquer dans des activitĂ©s sociales

Sortons du cadre familial ou affectif.

Je vous invite Ă  vous impliquer dans la vie sociale, associative ou sportive dans la ville dans laquelle vous habitez. En quelques mots, le leitmotiv c’est : « Sortez de chez vous ! ».

Avez-vous pensĂ© Ă  participer Ă  la prochaine sĂ©ance de sport organisĂ©e par votre commune ? Êtes-vous allĂ©(e) Ă  la journĂ©e de  prĂ©sentation des associations de votre ville, laquelle journĂ©e a gĂ©nĂ©ralement lieu Ă  la rentrĂ©e septembre de chaque annĂ©e ? Vous ĂȘtes-vous inscrit(e) en qualitĂ© de volontaire dans une association ou comme bĂ©nĂ©vole dans une O.N.G ?

Si vous voulez que les gens s’intĂ©ressent Ă  vous, je vous le rappelle, il va falloir faire une effort comme prendre le risque de sortir de votre zone de confort. D’ailleurs, cette zone est-elle si confortable que çà ?

Une ou des activitĂ©s associatives vous permettent de faire de nouvelles rencontres. Certaines d’entre elles deviennent des amitiĂ©s. Attention cependant : n’y allez pas dans ce seul but. Allez-y tout d’abord pour passer de bons moments, pour vous rendre utile Ă  votre communautĂ©.

DĂšs lors, essayez d’accepter que les choses ne se passent pas toujours comme vous le voulez et n’oubliez pas : le temps arrange bien des choses.

Solution N°6 – Faire preuve d’humilitĂ© et de bienveillance

Qu’est-ce qui est le plus important pour vous ? Être entourĂ©(e) de personnes qui vous tiennent compagnie – çà a ses limites -, ou apporter votre aide Ă  celles et ceux qui en ont besoin ? C’est votre façon de vous impliquer qui vous offre ce dont vous avez besoin.

Le sourire d’un SDF aprĂšs lui avoir remis un peu d’argent. La gratitude d’une personne d’un Ăąge avancĂ© que vous aidez Ă  traverser la route.

Autant de comportements sociaux de partage qui vous procurent des Ă©motions positives. Peut-ĂȘtre mĂȘme, rĂ©alisez vous que vous n’avez pas tant de raisons de vous plaindre en comparaison de la vie de certaines personnes.

Si vous prenez la peine, et le temps, d’y rĂ©flĂ©chir, vous vous rendrez compte que votre situation est bien plus simple que celle de beaucoup de gens.

Vous, Ă  tout le moins, avez des personnes dans votre entourage mĂȘme si le temps et des Ă©vĂšnements vous en ont parfois Ă©loignĂ© au point de vous faire vous sentir seul(e).

D’autres n’ont ni famille, ni amis. Alors, pour ces personnes lĂ  en particulier, le temps d’un matin, d’un aprĂšs-midi ou d’une soirĂ©e, soyez la personne qui leur donne de l’affection par l’intĂ©rĂȘt que vous leur manifestez.

Solution N° 7 – Utiliser un programme comportemental en ligne

Vous ĂȘtes d’accord avec tout ce que vous venez de lire ?

Vous ĂȘtes une bonne et une belle personne mais… c’est dur de faire ces premiers pas vers les autres n’est-ce pas ? Ce n’est pas que vous ne voulez pas, c’est plutĂŽt que vous n’y arrivez pas. Quelque chose vous bloque, voire vous angoisse ?

Si vous souhaitez sortir de cette orniĂšre, je vous propose une solution pour vaincre la solitude dans laquelle vous ĂȘtes enfermĂ©(e) bien malgrĂ© vous.

  • Peut-ĂȘtre avez-vous Ă©tĂ© marquĂ©(e) par des dĂ©convenues relationnelles dans le passĂ© ?
  • Avez-vous du mal avec les relations en gĂ©nĂ©ral ?
  • Rencontrez-vous des difficultĂ©s Ă  vous affirmer en groupe ou Ă  prendre la parole devant tout le monde ?
  • Avez-vous peur d’ĂȘtre jugĂ©(e) ?
  • Êtes-vous anxieux – anxieuse – Ă  l’idĂ©e de mal dire, ou de mal faire ?

Alors, pour vous, pour vous dĂ©barrasser de tout cela, j’ai conçu un programme thĂ©rapeutique et comportemental en ligne.

Il vous aide Ă  rĂ©soudre tous ces problĂšmes que je viens d’Ă©noncer.

Ce programme est accessible 24/24H au contraire d’un thĂ©rapeute, et il vous permet d’identifier les vraies raisons de votre solitude afin de comprendre votre Ă©tat Ă©motionnel d’une part et de sortir de l’impasse dans laquelle vous ĂȘtes.

Solution N° 8 – Comprendre le passĂ© et investir l’avenir

Un tel programme vous aide Ă  dĂ©terminer avec prĂ©cision les Ă©vĂ©nements rĂ©cents et passĂ©s qui justifient ce que vous vivez comme un problĂšme. Être socialement seul(e) ou vous sentir seul(e) mĂȘme quand vous ĂȘtes entourĂ©(e).

Votre problĂšme de solitude cache, peut-ĂȘtre, une dĂ©pression, de l’anxiĂ©tĂ©, de l’angoisse, ou un stress chronique. Autant de sujets pĂ©nibles qui vous font vous renfermer sur vous-mĂȘme et ce d’autant plus que le mĂ©dicament que vous prenez pour dormir vous assomme.

DÚs lors, je vous suggÚre de penser à changer vos comportements et de vous inscrire à ce programme thérapeutique et comportemental en ligne dÚs maintenant.

Votre dĂ©marche en ce sens vous aide Ă  identifier le vrai problĂšme cachĂ© derriĂšre ce problĂšme apparent qu’est la solitude, et aussi Ă  trouver trĂšs vite une solution adaptĂ©e Ă  votre cas pour retrouver estime de soi et confiance en soi.

Beau projet n’est-ce pas ?

Nouer de nouvelles relations dans tous les domaines de votre vie vous permet de vous « sortir » de votre solitude, et c’est l’objectif de ce programme.

N’hĂ©sitez pas Ă  partager votre expĂ©rience avec les autres (voir les commentaires ci-dessous) et ce de la mĂȘme façon que vous pouvez la partager avec les membres inscrits Ă  mon programme thĂ©rapeutique en ligne.

Enfin, n’oubliez pas : en tous domaines, c’est le premier pas qui compte. Le reste, comme disent beaucoup de gens : « C’est que du bonheur ».

DĂšs lors, il s’agit de vous donner les moyens de votre autonomie, d’ainsi faire preuve d’un comportement adulte et autonome, et c’est ce que nous allons voir dĂšs maintenant.


La + efficace des solutions commence ici.


Comment vaincre la solitude et trouver son auto-suffisance ?

Ne vous y trompez pas...

En cas de problĂšmes d’angoisse, d’anxiĂ©tĂ©, de phobie, comme de toc ou de dĂ©pression liĂ© Ă  votre solitude, le premier rĂ©flexe de la personne qui en souffre est d’essayer de contrĂŽler ce qui est vĂ©cu comme un problĂšme.

La volontĂ© en l’espĂšce Ă©tant d’essayer de retrouver, ou de maintenir, une certaine autonomie de comportement (au sens adulte du terme).

Je reviens plus tard sur cette question relative au contrĂŽle. Ce qu’il est important de noter dĂšs maintenant, c’est la notion culturelle liĂ©e Ă  la façon dont vous serez “soignĂ©(e)”. Partant, comment retrouver autonomie et bien-ĂȘtre.

A cet instant, je fais allusion Ă  la pratique thĂ©rapeutique telle qu’elle est exercĂ©e et prĂ©conisĂ©e en France. C’est beaucoup moins le cas dans des pays comme la Belgique, l’Allemagne, les pays nordiques, etc.

Ainsi, notre culture (latine) fait la part belle aux approches thĂ©rapeutiques ci-dessous lesquelles, toutes intĂ©ressantes qu’elles sont, ne sont pas nĂ©cessairement la bonne rĂ©ponse Ă  votre problĂšme de solitude.

La psychologie

La psychologie est une sorte de pratique bis de la psychanalyse Ă  ceci prĂšs que, le plus souvent, le ou la psychologue intervient de façon trĂšs rationnelle auprĂšs du patient. Il ou elle essaie de l’aider – pour ne pas Ă©crire le contraindre – Ă  relativiser par rapport Ă  ses problĂšmes.

La plupart du temps, le ou la psychologue “oriente” le patient pour l’aider Ă  faire des liens entre sa relation Ă  ses parents et son problĂšme, partant, son histoire de vie.

Une telle démarche prend donc beaucoup de temps (plusieurs années) et, du coup, beaucoup de patients se lassent.

La plupart estime passer trop de temps Ă  dĂ©penser de l’énergie, du temps, et de l’argent pour une solution qui ne vient pas. DĂšs lors, ils ont toujours leur autonomie en ligne de mire mais voit celle-ci s’Ă©loigner, une fois de plus.

De fait, Ă©normĂ©ment de patients interrompent leur prise en charge laquelle dure parfois depuis des annĂ©es. D’autres se lassent de leur thĂ©rapeute et passent d’un psy Ă  un autre.

La psychanalyse

Freudienne ou Lacanienne, pour les plus connues, elles durent des annĂ©es Ă  raison d’une Ă  deux sĂ©ances par semaine.$

Je vous rappelle que j’ai moi mĂȘme suivi une cure psychanalytique pendant 12 ans. Au cours de ces sĂ©ances, la patient est allongĂ©, le thĂ©rapeute assis derriĂšre lui. Pourquoi ?

Tout simplement pour prĂ©server le patient d’un regard ou d’un comportement quelconque, qui pourrait le dĂ©ranger, ou l’empĂȘcher de s’exprimer.

Et de quoi le patient parle t’il ? Le patient a pour objectif de faire des liens entre son histoire de vie et son problĂšme Ă  l’aide ce que l’on appelle de libres associations.

Cela prend beaucoup de temps, Ă  la fois parce que le patient chemine sans l’intervention du thĂ©rapeute, et aussi parce que, souvent, le patient exprime des situations, des Ă©motions, ou tout autre sentiment qui n’ont pas nĂ©cessairement de lien avec le problĂšme Ă  propos duquel il consulte.

En rĂ©sumĂ©, la psychanalyse consiste Ă  se rĂ© approprier son histoire de vie. C’est prodigieusement intĂ©ressant mais trĂšs ingrat.

Ne fasse hurler les puristes, j’ai pour habitude de dire pour qu’il faut ĂȘtre dans un excellent Ă©tat mental pour suivre une cure psychanalytique.

La psychologie clinique, comme la psychanalyse, demande beaucoup de temps, d’investissements personnel et… d’argent.

Aujourd’hui, il existe une approche beaucoup plus rapide, laquelle vous offre plus de 95 % de rĂ©sultats positifs en moins de 2 mois.

Faire le bon choix pour sortir de sa solitude

Puisque votre autonomie et votre bien-ĂȘtre sont importants pour vous, je vous invite Ă  ne pas choisir une approche thĂ©rapeutique Ă  la lĂ©gĂšre. Je tiens cependant Ă  vous prĂ©ciser que je n’ai absolument rien contre la psychologie et la psychanalyse, bien au contraire.

Je ne saurais que trop attirer votre attention sur vos objectifs de mieux ĂȘtre et d autonomie.

Pour ce faire, devez-vous y passer plus de 10 ans de votre vie, sans certitudes d’amĂ©lioration, ou 2 mois avec un taux de rĂ©ussite de l’ordre de 16 cas rĂ©solus sur 17 pour un coĂ»t infĂ©rieur de… 6000% ?

Solitude : Comment satisfaire votre autonomie ?

Ne pas rationaliser

Je vous conseille que ce qui suit est un peu brutal mais arrĂȘtez de vous comporter de façon rationnelle. A l’inverse, vous aurez toutes les peines du monde Ă  obtenir autonomie et bien-ĂȘtre.

Maintenant, attendez vous Ă  prendre connaissance de quelque chose qui va Ă  l’encontre de toutes les idĂ©es reçues et, partant, de l’autonomie et du bien-ĂȘtre.

Je vous explique de quoi il retourne.

Nous avons tous une personnalitĂ© laquelle s’est crĂ©Ă©e sur la foi des diverses expĂ©riences vĂ©cues depuis notre plus jeune Ăąge, et l’éducation que nous avons reçu.

Ne pas rechercher l’approbation

Chacun de ces facteurs, pris isolĂ©ment ou globalement, a posĂ© les bases de votre vision de l’échec comme de la rĂ©ussite (vision des choses – carte du monde).

A tout moment, et Ă  quelque sujet que cela soit, vous pouvez donc avoir peur de ne pas ĂȘtre Ă  la hauteur d’une situation et d’ainsi, perdre en autonomie et en bien-ĂȘtre.

Afin de satisfaire Ă  un certain nombre d’ordres Ă©ducatifs que vous avez perçu comme tels dans votre enfance, vous pouvez tenter de contrĂŽler une ou des Ă©motions par rapports Ă  des situations donnĂ©es.

Vous allez donc vous contraindre – vous obliger – Ă  ĂȘtre Ă  la hauteur d’une situation par crainte d’ĂȘtre jugĂ©(e) ou par peur de perdre l’approbation des autres.

DĂšs lors, vous avez toutes les raisons de perdre cette autonomie tant chĂ©rie et le bien-ĂȘtre qui l’accompagne.

En contrĂŽlant votre comportement, en inhibant la rĂ©alitĂ© de vos Ă©motions, vous adressez un message Ă  votre cerveau. Ce message est trĂšs toxique dans la mesure oĂč votre cerveau comprend que vous ne prenez pas la mesure de la gravitĂ© des messages qu’il vous adresse.

Pour vous faire comprendre la nĂ©cessitĂ© d’avoir un comportement adaptĂ©, votre systĂšme nerveux central va augmenter l’intensitĂ© de votre problĂšme.

Partant, plus vous chercherez Ă  Ă©viter honte et culpabilitĂ©, plus vous ressentirez honte et culpabilitĂ© et moins vos chances de satisfaire autonomie et bien-ĂȘtre seront prĂ©sentes.

Être à 180° de toute tentative de solution

Plus vous rationaliserez, plus vous serez dans le contrĂŽle et pire sera votre problĂšme.

Si cette façon d’ĂȘtre et de faire pour prendre la maitrise de votre problĂšme vous avait aidĂ©, vous ne seriez pas entrain de lire cette page.

Rationaliser ou intellectualiser un problĂšme consiste Ă  essayer de le comprendre, c’est Ă  dire identifier son « pourquoi ». Plus vous rĂ©agissez de la sorte, plus vous tentez de contrĂŽler le problĂšme, plus vous l’enrichissez. Je sais, je suis lourd.

Alors, que faire me direz-vous ?

Simplement, essayez d’accepter l’émotion que vous ressentez, essayez de ne pas lutter contre.

A ce propos, il existe une technique comportementale extrĂȘmement puissante pour reprendre le contrĂŽle de n’importe quel problĂšme en 2 minutes.

Cette technique consiste Ă  imaginer le pire (eh oui!) mais pas n’importe comment. Les rĂ©sultats de cet exercice sont magiques dans la mesure oĂč c’est ce mĂȘme exercice qui constitue une porte grande ouverte vers autonomie et bien-ĂȘtre.

Comment aborder la solitude dans sa dimension comportementale ?

Comme vous l’avez compris, il n’existe qu’une seule approche thĂ©rapeutique pour vous Ă©liminer votre problĂšme, c’est l’approche comportementale. C’est la plus rapide, la plus facile, et celle dont les effets sont dĂ©finitifs.

L’approche comportementale ne se prĂ© occupe pas du « pourquoi » vous avez un problĂšme mais plutĂŽt de « comment » le rĂ©soudre, du moins dans un premier temps.

En effet, s’il est intĂ©ressant de se poser des questions quant Ă  ce qui motive votre problĂšme, vous allez perdre un temps considĂ©rable.

Les rĂ©ponses que vous allez trouver ne vont pas vous rassurer en suffisance, en plus de ne pas ĂȘtre une solution. La question du « pourquoi » arrive dans un temps 2 et doit ĂȘtre abordĂ©e avec les bons outils.

Imaginez que votre voiture tombe en panne et que vous téléphonez au garagiste.

Il va sans doute demander pourquoi vous avez achetĂ© cette marque de voiture, avec ce type d’options, de cette couleur, avec ces garnitures de siĂšges. Etc. Peut-ĂȘtre estime t’il qu’il y a un lien de cause Ă  effet entre la panne de votre auto et vos rĂ©ponses Ă  ses questions.

Mais pendant que vous discutez de tout çà, la voiture reste en panne et cela risque de durer longtemps. Ce comportement, c’est celui de la psychanalyse ou de la psychologie clinique.

Solitude et autonomie: Être indĂ©pendant

Comment retrouver son autonomie en moins de 8 semaines ?

Maintenant, imaginez que je suis le garagiste.

Je vais vous demander ce qu’il s’est passĂ© avant que la voiture ne soit en panne puis ce qu’il s’est passĂ© pendant, c’est Ă  dire: « qu’avez vous essayĂ© de faire pour dĂ©panner votre voiture ? », et, enfin, comment la voiture est tombĂ©e en panne. Je vais donc identifier le mĂ©canisme du problĂšme.

Ensuite, je procĂšde par Ă©limination jusqu’Ă  trouver le problĂšme qui empĂȘche la voiture de fonctionner normalement. C’est le processus de contextualisation et de mise en place de stratĂ©gie de rĂ©solution.

De fait, vous et moi allons agir et non penser, de sorte Ă  dĂ©bloquer rapidement la situation douloureuse dans laquelle vous ĂȘtes. C’est prĂ©cisĂ©ment cette dĂ©marche contextuelle qui vous offre de rapidement satisfaire votre dĂ©sir d’autonomie et bien-ĂȘtre.

Cela fonctionne dans plus de 95% des cas et ceci, quel que soit le temps depuis lequel vous ĂȘtes en difficultĂ©.

C’est exactement ce que vous pouvez faire avec le Programme thĂ©rapeutique comportemental que j’ai conçu Ă  votre intention. Ainsi, vous saurez comment contrĂŽler votre problĂšme en 2 minutes.

Prendre son envol et mettre fin Ă  la solitude

En moins de 8 semaines, la thĂ©rapie comportementale permet de rĂ©soudre un problĂšme, alors que la plupart des gens qui souffrent comme vous n’y arrivent pas en en plusieurs annĂ©es.

Comment font-ils ? Ils utilisent les bonnes méthodes, ils se servent des bonnes ressources.

ContrĂŽler angoisse, anxiĂ©tĂ©, phobie, toc ou dĂ©pression en 2 minutes nĂ©cessite juste un peu d’investissement personnel de votre part.

Alors, ĂȘtes-vous prĂȘt(e) Ă  vous consacrer 15 minutes par jour pendant 1 mois ?

  • Êtes-vous prĂȘt(e) Ă  vous consacrer 15 minutes par jour pendant 1 mois ?
  • Consentez-vous Ă  utiliser des outils scientifiquement approuvĂ©s pour neutraliser votre problĂšme ?
  • Acceptez-vous d’utiliser un tout petit objet, d’une façon trĂšs amusante, pour retrouver un comportement adulte et, partant, retrouver estime de vous mĂȘme et confiance en vous, et donc autonomie et bien-ĂȘtre pour sortir de votre solitude ?
  • D’une façon trĂšs pragmatique, Ă  dĂ©couvrir comment faire la paix avec votre passĂ© et, ainsi, cesser de vous en vouloir, cesser de vous sentir coupable, parce que vous avez le plus souvent peur d’avoir peur comme un enfant ?

Êtes-vous prĂȘt(e) Ă  agir le changement pour ĂȘtre autonome ?

Je sais que cela fait des semaines, voire des mois ou des annĂ©es, que vous cherchez une solution Ă  votre problĂšme de solitude qu’il soit ou non aggravĂ© par des soucis d’angoisse, d’anxiĂ©tĂ©, de phobie, de toc ou de dĂ©pression.

Je sais aussi que vous avez tout essayé : psy en tous genres, médicaments, médecines alternatives, etc, et que les résultats ne sont pas à la hauteur de vos attentes.

Je sais que vous avez passĂ© beaucoup de temps, et dĂ©pensĂ© beaucoup d’Ă©nergie (et sans doute aussi de l’argent) pour trouver la meilleure solution Ă  votre problĂšme mais, puisque vous lisez cette page, force est de constater que cela ne fonctionne pas pour vous.

Si je vous dis: « Comment voulez-vous savoir faire quelque chose qu’on ne vous a pas appris ? », cela vous Ă©voque quoi ?

DÚs lors, comment faire ? La réponse se trouve dans mon 3Ú et dernier conseil.

Pour en finir avec la solitude, la barre Ă  gauche toute !

Pour sortir de la solitude, faites le choix de devenir un adulte qui agit autant pour son autonomie que pour son bien ĂȘtre.

Pour satisfaire Ă  cet objectif, ĂŽ combien respectable et courageux, j’ai quelques questions Ă  vous poser :

  • Pourriez-vous arrĂȘter de vous perdre en vaines tentatives de solutions ?
  • Aimeriez-vous enfin faire le bon choix pour vous ?
  • Peut-ĂȘtre pour la 1Ăšre fois depuis que vous souffrez, pourriez-vous faire vraiment confiance et VOUS faire confiance ?

Si vous avez rĂ©pondu « oui », ne serait-ce qu’Ă  une de ces 3 questions, alors vous ĂȘtes prĂȘt(e) Ă  agir pour instaurer un vrai changement dans votre vie.

A tout de suite. Je vous exprime toute ma gratitude pour votre intĂ©rĂȘt, et votre confiance.

P.S: Si vous ne faites pas ce qu’il faut pour retrouver autonomie et bien-ĂȘtre, il ne se passera rien.

Vous avez le droit de vous auto manipuler, voire de vous auto-saboter mais gardez Ă  l’esprit que prenez ainsi le risque d’ĂȘtre otage de votre solitude.

N’oubliez jamais que si, pour vous mĂȘme, vous pensez, avec humilitĂ©, ĂȘtre la personne la plus importante sur terre, vous vous devez Ă  vous mĂȘme de prendre soin de vous comme de faire ce qu’il faut pour faciliter votre autonomie et votre bien ĂȘtre.

Si vous ne le voulez pas, vous allez le droit de préférer votre souffrance à un vrai changement, opportun et durable.

A ce propos, ne dit-on pas : « Choisir, c’est renoncer« .

Je vous laisse le soin de rĂ©pondre Ă  cette question et, en fonction de votre rĂ©ponse, de faire le choix ou non d’utiliser la solitude comme un moteur de changement.

Dans cet objectif, n’hĂ©sitez pas Ă  cliquer sur le lien ci-dessous :


La + efficace des solutions commence ici.


Article mis à jour le 2 décembre 2023 par Frédéric Arminot

    6 replies to "Solitude : comment faire pour ne plus se sentir seul(e) ?"

    • Bonjour,
      Merci pour votre message.
      Je viens de vous envoyer un message afin de correspondre de façon plus privée.
      Je suis de tout cƓur avec vous.
      Frédéric Arminot

    • Sherry

      En ce moment ma solitude me creer des angoisses trĂšs trĂšs profondes jai bcp de mal Ă  gĂ©rer je souffre physiquement avec le corps tendu la gorge serrĂ©e tout le temps et une impression de perdre control. Jai la sensa6de me faire du mal comme une souris prise dans un piĂšge….je ne sais plus comment faire

    • FrĂ©dĂ©ric Arminot

      Bonjour Georges,

      « …Der Talente… »

      La capacitĂ© d’un ĂȘtre Ă  faire quelque chose. En bref, le talent. Vous semblez ne pas en manquer. Le talent d’ĂȘtre pleinement autonome. Celui de rĂ©aliser des choses par vous mĂȘme. Seul. Et d’y trouver plaisir. Votre tĂ©moignage m’a Ă©mu.

      Tout le monde ne possĂšde pas ce talent. Depuis trĂ©s longtemps, on explique aux gens qu’ĂȘtre seul(e) voire (pire), ne pas ĂȘtre en couple, ni fonder une famille, est presque une hĂ©rĂ©sie. Une sorte d’anormalitĂ©. Or, beaucoup de gens souffrent de solitude. Et tous ne la vivent pas de façon constructive. Loin s’en faut. Il leur faut sortir de cette anxiĂ©tĂ© Ă  ĂȘtre seul(e) car ils pensent que c’est lĂ  qu’est leur salut.

      Ils n’arrivent pas Ă  saisir ces opportunitĂ©s susceptibles d’apparaitre sur la foi de ce qu’ils vivent comme une crise constante.

      Ne pas ĂȘtre seul, c’est privilĂ©gier le temps du partage. De la communication. C’est donner du sens Ă  sa vie si l’on est deux. Ou plus (enfants). Celui de la transmission. Être seul(e), c’est s’exposer Ă  la pression sociale. A la contrainte « de faire comme tout le monde ». Culture et Ă©ducation participent depuis toujours Ă  ces comportements.

      Nul n’est besoin d’aller chercher bien loin pour savoir qui ou quelle(s) organisation(s) prĂŽnent ces comportements. Partant, la question se pose de savoir quel est l’intĂ©rĂȘt de cultiver l’injonction de ne pas – voire jamais – vivre seul(e). Et, ce faisant, en quoi c’est un problĂšme.

      Je pense que depuis fort longtemps, vous avez rĂ©pondu Ă  ces questions. Ce qui n’est pas le cas de beaucoup d’autres…
      Loin s’en faut.

    • der talente !

      bonjour .

      j’ai lu votre article juste par curiositĂ© ;
      j’ai 60 ans , je suis retraitĂ© depuis 5 ans et j’ai toujours Ă©tĂ© cĂ©libataire .
      quand je suis parti en retraite , je me suis mis à voir sur internet , comment les gens en général , vivaient leurs retraites !
      comme je vis seul , depuis 5 ans , aujourd’hui , je fais la meme chose avec la solitude !!
      j’ai toujours apprĂ©hendĂ© la solitude autrefois , car je savais que je n’y Ă©chapperai pas .
      autrefois , plus jeune , j’ai fais de la photo pendant une vingtaine d’annĂ©es . je partais avec mes appareils en solitaire !! pour changer un peu , de temps Ă  autre , je partais Ă  la pĂšche , toujours tout seul !!
      aujourd’hui , je vis dans un petit corps de ferme au plein milieu de la campagne !! il y en a plus d’un qui dĂ©primerai !!
      les seules discutions que j’ai , ce sont celles que j’ai avec les commerçants quand je vais en ville ; heureusement , j’ai suffisamment d’humour avec eux pour me rendre compte que malgrĂ© la solitude , je rĂ©cupĂšre assez vite !! ça va !!
      mon petit coin de campagne , ne m’a pas fait encore plonger dans un marasme permanent !!
      la premiĂšre annĂ©e , j’ai fais un mangeoire pour nourrir les oiseaux en hiver , l’annĂ©e suivante , j’ai creusĂ© un bassin oĂč j’ai mis des poissons rouges et l’annĂ©e d’aprĂšs , j’ai fais un poulailler et l’enclos qui va avec et j’y ai mis 10 poules .
      aujourd’hui , mon terrain , c’est mon petit parc d’attraction Ă  moi !! je m’occupe dĂšs que je peux !!
      Ă  noĂšl , je dĂ©core ma maison , je fais un village de noĂšl , discret mais joli comme tout !! et je m’offre un cadeau comme j’ai toujours fais , Ă  noĂšl et pour mon anniversaire depuis la nuit des temps !!
      je n’ai pas de portable , juste un fixe ; j’appel mes 3 amis de longue date 2 ou 3 fois par ans et mes 2 frĂšres pareil , et on a fait le tour de mes relations !!
      je ne suis pas coincĂ© du tout !! ceux qui travaillaient avec moi autrefois , en savent quelque chose !! j’ai toujours su m’exprimer oralement et par Ă©crit !!
      au travail , j’Ă©tais un vĂ©ritable Ă©lectron libre mais bourrĂ© de conscience proffessionnelle quand mĂšme !! obligĂ© !!
      ( d’ailleurs , quand j’ai invitĂ© tout personnel de ma boite , Ă  se rendre Ă  mon pot de dĂ©part , je me suis excusĂ© en vers toute la maitrise d’avoir Ă©tĂ© comme j’ai Ă©tĂ© , en leur spĂ©cifiant que j’ai toutefois , surement Ă©tĂ© un vĂ©ritable outil pour la maitrise de demain !! ) je ressemblais Ă  ça au travail alors , on Ă©tait loin de la solitude hein !!!
      aujourd’hui , je ne me sens pas seul mais plutot tranquille , je verrai ça comme ça !!
      je ne rumine pas dans mon coin , comme le feraient ceux qui se sentent vraiment seul !! j’ai l’air de vivre ma solitude plutot mieux que prĂ©vu tout simplement , on verra plus tard !!
      il faut s’occuper quand mĂšme , c’est une des solution pour ne pas penser Ă  sa solitude je pense !!

    • FrĂ©dĂ©ric Arminot

      Bonjour Sofia,

      Merci de votre tĂ©moignage. Je le trouve d’autant plu intĂ©ressant que vus Ă©voquez la question de l’intĂ©rĂȘt et des risques liĂ©s Ă  votre solitude.

      DĂ©sormais membre du Programme ARtUS, c’est un sujet sur lequel vous allez travailler. Ainsi, vous allez progressivement construire un comportement qui vous sĂ©curise de nouveau et, partant, vous permette de crĂ©er de nouvelles relations sociales en toute confiance.

      Prenez bien soin de vous Sofia et laissez vous du temps.

    • Sofia

      Votre article est trĂšs intĂ©ressant. Je souffre de solitude depuis de nombreuses annĂ©es. J’avais une seule meilleure amie que j’adorai et qui m’a fait du mal et j’ai du couper les ponts … Depuis je n’ai plus d’amis aucune vie sociale … pourtant j’avais trouvĂ© un echapatoire dans le militantisme cela m’a crĂ©er des liens sociaux des Ă©motions des moments trĂšs plaisant…
      Vous parliez du mot victimisation … je ne me sens pas comme une victime. J’ai toujours eu du mal Ă  me faire des amis et je me sens condamnĂ©e Ă  vivre dans la solitude. Elle me pĂšse et en mĂȘme temps me protĂšge …

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