La déréalisation et la dépersonnalisation sont les symptômes d’une anxiété majeure, et la plupart des personnes victimes de crise d’angoisse, ou de crise d’anxiété sont victimes de ces deux troubles dissociatifs.

Ces crises de dissociations ont des causes assez simples en plus d’être similaires mais, la plupart du temps, les personnes atteintes de cette forme de vertiges n’en n’ont cure.

Ce n’est pas vraiment qu’elles se désintéressent de savoir pourquoi elle souffre de ce sentiment d’irréalité. Ce qui les intéresse, c’est de comprendre comment trouver une solution à la déréalisation ou déréalisation lesquelles sont un symptôme d’anxiété généralisée.

Ainsi, en matière de déréalisation, Il s’agit d’un sentiment ébrieux, de l’impression d’être ivre tout en n’ayant rien bu ce qui justifie que l’on se pose les questions suivantes :

  • Pourquoi est-on victime de déréalisation ou de déréalisation ?
  • Pourquoi a t’on l’impression de ne plus s’appartenir, de ne plus s’incarner ?
  • Comment contrôler déréalisation ou dépersonnalisation alors qu’on a le sentiment de ne plus rien contrôler ?
  • Les symptômes de déréalisation ou de dépersonnalisation sont-ils communs ?
  • Peut-on se sortir de ces crises de dissociations ?
  • Comment traiter la déréalisation ou la dépersonnalisation ?

Autant de questions auxquelles je réponds ci-après.

Déréalisation, dépersonnalisation sont des troubles communs à l’anxiété

Déréalisation et dépersonnalisation sont ce qu’il est convenu d’appeler des troubles dissociatifs.

Ils donnent le sentiment d’être spectateur de sa vie et non plus acteur ou actrice ce qui signifie être comme détaché(e) de la réalité, comme désincarné(e) de soi même.

Les personnes qui souffrent de dissociations ont l’impression de ne plus être dans ce qui est vrai, palpable, mais comme en dehors de la réalité à ceci près que cette réalité existe bel et bien.

C’est exactement comme si une personne n’habitait plus ni son corps ni son esprit, comme si elle était désincarnée. Elle se sent comme à l’extérieur de son environnement, ce qui est bien plus qu’une simple mise à distance du monde réel.

En effet, si vous êtes cette personne, vous êtes la seule à ressentir cet état de détachement et personne d’autre que vous ne peut le confirmer.

Ainsi, de façon troublante, le monde apparait comme étrange, exactement comme si cette personne avait des vertiges symptômes d’anxiété.

Il va de soi qu’il s’agit là d’une expérience fort subjective sachant que ces deux troubles dissociatifs sont le même problème, et que les différences résident dans la durée et l’ancrage des symptômes.

Quelles sont les causes de la déréalisation ou de la dépersonnalisation ?

Certains professionnels de la santé mentale affirment que la dissociation est un trouble mental. Au sens psychiatrique, je veux bien l’admettre, au sens comportemental, c’est une autre histoire.

Je pense important que les personnes qui souffrent de dissociations sachent qu’elles ne sont pas folles.

En effet, mon expérience de comportementaliste m’a montré à de multiples reprises que ce type de problème est souvent lié à un usage excessif ou dépendant de substances psychoactives.

Je pense aux stupéfiants lesquels modifient les paramètres de la psyché puisque le risque de bad trip est omniprésent même dans la cas où une personne ne consomme de la drogue qu’une seule fois.

L’usage de drogues est l’une des multiples causes de ces troubles, tout comme l’arythmie cardiaque associée à des extrasystoles mais ce n’est bien évidemment pas la seule cause.

Définition d'une crise de troubles dissociatifs (déréalisation ou dépersonnalisation)

Autre cause probable des crises de dissociation : le stress.

Ainsi, une personne qui souffre d’anxiété ne peut pas savoir naturellement faire quelque chose une chose qu’on ne lui a pas appris. Cela signifie qu’une personne stressée à tendance à vouloir conserver le contrôle.

Dès lors, elle cultive ainsi une peur de ne pas être à la hauteur et, partant, la peur d’être jugée.

Souffrant de mésestime d’elles-mêmes, les personnes concernées ne peuvent que ressentir cette peur, constamment et quel qu’en soit le sujet.

C’est la raison pour laquelle beaucoup de patients que j’ai reçu souffraient de dépression ou, à tout le moins, de symptômes dépressifs lesquels peuvent être la conséquence d’un stress post traumatique lequel justifiait un trouble dissociatif.

En effet,comme nous allons le voir plus bas dans cet article, ce type de troubles a pour fonction de protéger de la réalité extérieure ce qui est un paradoxe puisqu’en fonctionnant de la sorte il génère l’effet inverse : l’anxiété.

Le stress est-il un facteur de déréalisation ou de dépersonnalisation ?

Gérer le stress n’est pas une affaire simple.

Effectivement, le corps et l’esprit ont à répondre à toute une somme de sollicitations extérieures, qu’elles soient environnementales, sociales, affectives, familiales, professionnelles, ou économiques.

Nous devons constamment apporter la meilleure réponse à toutes les demandes dont nous faisons l’objet. La difficulté réside alors dans notre capacité à répondre de façon adaptée, la fameuse réponse « habilitée », la responsabilité, ce qui, souvent, génère des ruminations obsessionnelles par peur de ne pas savoir faire.

Cela signifie que, qu’elle que soit la réponse que nous exprimons sur la foi d’une sollicitation donnée, nous nous devons d’en assumer la responsabilité.

Nous pouvons donc avoir peur de ne pas savoir être à la hauteur, de perdre l’approbation ou, pire, d’être mis(e) à l’écart, exclu(e) parce-que déconsidéré(e) et jugé(e) par les autres.

Nous avons donc peur de ne pas être aimé(e) parce-que nous n’aurons pas su gérer une situation problème.

Bien évidemment, en fonction du contexte, un stress aigu empêche toute éventualité de comportement adapté à une situation spécifique.

L’état de tension nerveuse correspondant fait de plus en plus répondre à côté de ce qui est attendu alors que nous sommes comptables de qui nous sommes, de comment nous sommes, jusqu’au jours où les digues cèdent, un peu comme un tsunami.

Dès lors, nous sommes submergés par nos émotions au point de souffrir de troubles dissociatifs.

Plus rien ne fait sens et, involontairement, nous avons participé à créer un monstre puisque nous avons perdu le contrôle du contrôle et, pour le reprendre, nous cherchons à savoir pourquoi nous en sommes arrivés à une telle situation ce qui, faute de réponses sécurisantes, aggrave la perte de contrôle.

Partant, cette recherche de sens alimente un système plus pervers encore puisque nous cherchons des réponses qui nous sécurisent et nous pensons alors que si nous trouvons cette réponse, tout ira mieux.

Funeste erreur laquelle alimente pensées obsessionnelles et ruminations. C’est ainsi que les personnes souffrant de troubles dissociatifs sont parfois victimes d’attaques de panique ce qui est une totale perte de maitrise teintée de morbidité.

Face à une telle violence, d’aucuns pensent souffrir de troubles psychiatriques. Que n’ai-je entendu des patients penser souffrir de schizophrénie ou de troubles psychiques graves.

Je pense à des troubles mentaux comme un trouble de la personnalité ou, d’une façon plus globale, d’un trouble du comportement que seule la psychiatrie saurait soigner. Or, en l’absence de diagnostic fiable, il ne saurait être fait état de trouble psychotique et, partant, penser être schizophrène.

Il s’agit plutôt de troubles anxieux qui affectent la santé mentale des personnes concernées.

Les troubles dissociatifs ne relèvent aucunement de troubles psychiatriques bien que mon propos soit contraire à la liste des maladies mentales inscrites dans le DSM 5, laquelle bible des maladies mentales n’a pas raison en tout en plus de ne pas faire l’unanimité en Europe.

Différences entre déréalisation et dépersonnalisation

Comme je vous l’ai précédemment expliqué, la déréalisation est un trouble dissociatif.

Vous ne percevez plus la réalité, vous êtes l’acteur effacé d’une réalité qui échappe à votre contrôle. Ainsi, vous vivez des évènements, petits ou grands, mais vos perceptions émotionnelles, sensorielles, sont comme décalées.

Par exemple, nous ne ressentez pas, ou plus, nécessairement du plaisir à vivre certaines situations. Un peu comme si, contre toute attente, vous perdiez le goût des aliments.

Dès lors, manger perd tout son sens. Comme dans la pièce de Molière « l’Avare » qui fait dire à Harpagon : « Il faut manger pour vivre et non vivre pour manger ».

Où est le plaisir ?

Retirer du plaisir au fait de s’alimenter, c’est voir disparaitre le plaisir des sens, le plaisir gustatif. C’est être « vidé » de l’érotisation associé au fait de manger et en ce qui concerne un trouble dissociatif, c’est un peu la même chose.

Les choses perdent leur sens. Vous ne ressentez plus, ne contrôlez plus, n’incarnez plus ce que vous vivez. Vous êtes comme une enveloppe détachée de son contenu. Vous êtes là sans y être.

Dès lors, essayer de comprendre pourquoi votre cerveau vous protège d’une réalité que vous ne pouvez ni appréhender ni gérer, n’est pas le plus important.

Les symptômes de la déréalisation

La personne qui souffre de déréalisation a l’impression d’être détachée de son environnement et des personnes qui l’entourent. Brutalement, elle perd toute forme d’empathie ou de joie et se sent comme vide, sans affect et sans émotion.

Une crise de déréalisation peut s’accompagner d’hallucinations visuelles légères. Les couleurs deviennent plus fades, la lumière se tamise et le patient a l’impression d’évoluer dans un brouillard.

Généralement, les patients accueillent mal ces symptômes. Ils en conçoivent une immense tristesse qui peut provoquer des envies de suicide, alors que d’autres trouvent cette sensation intolérable et ils se mettent à paniquer.

La déréalisation est donc un trouble assez fréquent caractérisé par la sensation récurrente de se détacher de son corps. Quand le patient a l’impression de s’observer depuis l’extérieur, on parle de dépersonnalisation.

Quand il a la sensation de se détacher de son environnement, on parle de déréalisation. Les deux symptômes peuvent intervenir en même temps et ils sont souvent regroupés sous l’appellation : crise de dissociation.

Les symptômes de la dépersonnalisation

On parle de dépersonnalisation quand la personne a le sentiment de quitter son propre corps et de le regarder depuis l’extérieur, en plus d’être détachée de ses sensations et de ses sentiments. Le patient qui en souffre peut parfois paniquer à l’idée de ne jamais plus parvenir à réintégrer son corps.

Certaines personnes disent avoir eu l’impression que leur corps ne leur obéissait plus, fonctionnant comme un automate incontrôlable. Même en dehors des crises de dissociations, constante est la sensation de mal-être en plus de celle d’être un « zombie ».

Qu’est-ce qu’une crise de déréalisation ou crise de dépersonnalisation ?

Il est essentiel de distinguer clairement la dissociation et la psychose. La première est un trouble qui intervient souvent pour aider la personne qui en souffre à affronter un traumatisme.

Face à la difficulté, l’esprit de la personne se dissocie de son existence physique, provoquant l’impression de se regarder depuis l’extérieur, comme une personne étrangère à elle-même.

De son côté, la psychose désigne une perte de contact avec la réalité, sans conscience de la perte de contact. Il existe différents types de dissociations et leur classement évolue régulièrement en fonction des découvertes les plus récentes.

Ainsi, on distingue trois grandes catégories selon la gravité de la dissociation :

  • Dissociation primaire : Une dissociation qui isole l’expérience traumatique pour permettre au sujet de l’observer avec davantage de distance. C’est une dissociation fréquente en cas de stress post-traumatique.
  • Dissociation secondaire : Plus sévère, cette dissociation se répand dans le quotidien et le « moi observant » se détache plus longtemps et plus souvent du « moi agissant ».
  • Dissociation tertiaire : Une dissociation qui provoque la genèse de nouveaux « moi », notamment dans le cas de troubles dissociatifs de l’identité.

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Origines de la crise de déréalisation ou de dépersonnalisation

La science a encore beaucoup à apprendre sur l’esprit humain, notamment sur les crises de dissociations. Cependant, de nombreuses études s’accordent sur les origines potentielles des troubles dissociatifs, du plus léger au plus grave.

Dans la majorité des cas, les patients atteints souffrent ou ont déjà souffert de :

  • Maltraitances et négligences physiques ou affectives pendant l’enfance.
  • D’avoir grandi dans un environnement violent et avoir été le témoin de violences physiques et sexuelles pendant l’enfance. Des événements souvent refoulés et à l’origine de nombreux troubles.
  • Avoir un parent ou un proche gravement malade ou handicapé. Les enfants de personnes souffrant de troubles mentaux importants développeraient plus facilement des troubles dissociatifs.
  • La mort brutale d’une personne aimée et centrale dans la construction personnelle.

Certains environnements et comportements peuvent également favoriser les crises de dissociation chez des adultes jusqu’à présent parfaitement sains :

  • Stress important et continu.
  • Traumatisme physique et psychique (accident, agression, etc.).
  • Consommation excessive de psychotropes et d’alcool.
  • Peur permanente qu’il arrive quelque chose.

Comment la crise de déréalisation ou de dépersonnalisation se manifeste-t-elle ?

Les manifestations d’une crise de dissociation varient en fonction du type de personnalité anxieuse.

Chez certains patients, les symptômes sont très importants et ils vivent avec plusieurs identités dissociées. Cela reste néanmoins extrêmement rare et de nombreuses études contredisent ce que l’on pensait savoir sur le trouble dissociatif de l’identité.

Dans la majorité des cas, les patients font des crises de dissociation face à un événement stressant. Ils ont alors l’impression de quitter leur corps et d’observer leur réaction depuis l’extérieur.

Quand l’objet de l’angoisse disparait, la crise de dissociation prend fin. Dans les cas les moins sévères, la crise de dissociation n’apparaît qu’une seule fois lors d’un traumatisme.

Si vous vivez une crise de dissociation lors d’un événement grave ou face à une angoisse très importante, il est essentiel de consulter rapidement un médecin. Ainsi, un trouble pris en charge rapidement a très peu de conséquences.

Il faut néanmoins comprendre et traiter rapidement les causes traumatiques à l’origine de la dissociation.

Comment gérer une crise de déréalisation ou de dépersonnalisation ?

Il est possible de gérer une crise de dissociation en amont.

En vous organisant pour faire suffisamment de sport, en ayant une hygiène de vie rigoureuse, comme toutes les heures de sommeil nécessaire, vous pouvez limiter les risques de dissociation.

En travaillant avec un comportementaliste, vous apprenez aussi à reconnaître les situations et les stimulations à éviter. Si malgré tout une crise survient, vous pouvez apprendre à la contrôler en vous concentrant sur votre environnement immédiat.

Certains patients se concentrent sur leur respiration quand d’autres préfèrent écouter de la musique. Certains remarquent qu’il est efficace d’entreprendre une conversation avec quelqu’un pour se rattacher à la réalité.

Dans tous les cas, essayez de ne pas être passif ni de paniquer. Sachez qu’il existe une vraie solution à la crise de dissociation.

Les conséquences de la déréalisation ou de la dépersonnalisation

Si l’on se fonde sur une population générale en lien avec tous les sujets relevant du mental, n’importe quel psychiatre parlera de trouble psychique parce-qu’il s’agit d’hallucination, ce qui est un facteur de vulnérabilité émotionnelle et n’est pas sans conséquences comme le montrent les problématiques ci-après :

  • Insomnie,
  • Troubles du sommeil,
  • Trouble bipolaire (sous réserves),
  • Bouffées délirantes,
  • Troubles de l’humeur,
  • Troubles de l’alimentation,
  • Mal être,
  • Burnout,
  • Troubles cognitifs,
  • Angoisses,
  • Anxiété généralisée,
  • Troubles graves de la personnalité.

Je pourrais ainsi continuer à dresser cette liste mais cela n’a aucun intérêt. Ce qui importe beaucoup plus, c’est de savoir quelle solution il convient de mettre en place pour traiter un trouble dissociatif.

Traitement de la crise de dissociation, symptôme de déréalisation

Est-ce grave de faire de la déréalisation ou de la dépersonnalisation ?

Être victime de dissociation n’a rien de grave en soi.

Il est vrai que ces crises sont particulièrement pénibles mais elles s’inscrivent dans une dimension ponctuelle et n’empêchent que peu, voire pas, de se consacrer à diverses activités.

En matière de trouble dissociatif, il n’y a pas de risques pour la santé physique bien qu’il arrive que celle-ci devienne chronique.

Bien que cela ne représente aucun danger pour la santé physique, celle-ci peut être durablement affectée et les personnes concernées peuvent se consacrer à de moins en moins à des activités sociales voire risquent de s’isoler et/ou de rencontrer des problèmes professionnels ou sociaux.

Dans les deux cas, qu’il s’agisse de troubles ponctuels ou récurrents, il est important d’envisager un traitement adapté.

Comment calmer une déréalisation ou une dépersonnalisation ?

C’est une erreur que de penser traiter des troubles de la dissociation seulement avec des médicaments ou par toute autre méthode directe.

Depuis près de 30 ans que je pratique la thérapie comportementale, je n’ai jamais entendu parler de résolutions grâce aux médicaments.

C’est un peu comme quand vous souffrez de vertiges. Si vous n’êtes pas victime de trouble de l’oreille interne ou de la la maladie de Ménière, point de salut dans la médecine classique puisque le cerveau n’est pas sensible à ce type d’intervention.

Votre cerveau s’est bien rendu compte que vous n’aviez plus les ressources pour appréhender la réalité, et comme il est d’un égoïsme forcené, il vous coupe la lumière tout en maintenant l’alimentation. Vous ne pouvez rien faire de façon directe pour retrouver de la luminosité et, malgré vous, vous êtes maintenu(e) dans une zone d’ombre.

Dès lors, vous êtes à la fois présent et absent, et c’est odieux.

C’est comme si vous portiez des lunettes que vous n’arrêtez pas de nettoyer. Les verres sont propres mais vous continuez à voir flou. Il n’existe donc aucune solution directe pour calmer la dissociation.

Par contre il existe une solution indirecte, et cette solution c’est la thérapie comportementale laquelle est simple et efficace.

Traitement habituel de la déréalisation ou de la dépersonnalisation.

Souvent, les personnes victimes de dissociations consultent leur médecin traitant lequel prescrit des anti-dépresseurs, voire des anxiolytiques, ce qui ne change rien.

Beaucoup de ces mêmes personnes s’essaient à différentes techniques de développement personnel, à différentes thérapeutiques comme le shiatsu ou la méditation.

J’en connais même qui varient les plaisirs : la méditation transcendantale ou la méditation zazen. D’autres pratiquent le yoga ou modifient leur alimentation et, partant, leur hygiène alimentaire.

D’autres enfin, « tombent » dans le sport comme on tombe dans un trou. In fine, toutes essaient de reprendre le contrôle.

Confronté à ce sentiment d’étrangeté que procure ces troubles dissociatifs, et face à l’inefficacité de la plupart des traitements médicamenteux, les personnes finissent par consulter un psychologue ou un psychiatre.

Des années durant, le(la) psychologue va vous aide à faire le lien entre votre histoire de vie et vos symptômes. C’est intéressant mais, des années plus tard, vous en serez au même point.

Nonobstant les anxiolytiques et les antidépresseurs, un médecin psychiatre peut aller jusqu’à vous prescrire des anti-psychotiques comme le Tercian. J’ai même entendu des patients me dire que leur psychiatre leur avait prescrit des médicaments contre la schizophrénie.

Comme disait Jésus : « Pardonne leur, ils ne savent pas ce qu’ils font« .

Ce que j’écris là n’est pas trés fraternel, j’en conviens, dans la mesure où les médecins psychiatres essaient de faire au mieux par rapport à une pathologie donnée et que, ce faisant, ols sont dans leur rôle.

Pour conclure, traiter des troubles dissociatifs à l’aide de médicaments c’est comme appliquer un pansement sur une jambe de bois.

Il n’existe donc pas de traitement direct de la dissociation et, l’expérience aidant, je peux affirmer que le traitement naturel de l’anxiété est le meilleur remède aux troubles dissociatifs puisque ces derniers sont les symptômes de troubles anxieux.

Comment guérir la déréalisation ou la dépersonnalisation ?

Il y a deux approches différentes pour soigner la dissociation.

La première, c’est l’approche médicamenteuse. C’est une mauvaise solution à long terme qui ne règle pas le problème.

La deuxième approche consiste à suivre une thérapie comportementale laquelle peut être menée par un comportementaliste professionnel.

Comment soigner un trouble dissociatif?

Celui-ci emploie des outils cognitifs et comportementaux et/ou un peu d’hypnose ou de langage hypnotique. L’objectif est d’identifier la mécanique de la dissociation et de donner toutes les armes nécessaires au patient pour qu’il les comprenne d’une part et les neutralise d’autre part.

Ainsi, le patient reprend ainsi le contrôle de son psychisme ce qui, généralement, permet de sourcer les situations et événements favorisant la dissociation.

Par la suite, le thérapeute met en place des exercices et des recommandations, ces dernières permettant de limiter la résurgence des crises.

Tous ces exercices combinés permettent d’améliorer la résistance du patient jusqu’à supprimer définitivement les crises, l’ensemble s’inscrivant dans une démarche à la fois thérapeutique et stratégique.

Comment vaincre la déréalisation ou la dépersonnalisation ?

Comme vous l’aurez compris, ce ne sont pas les consultations chez un psychologue, un psychiatre ou un médecin généraliste qui vont vous aider à vaincre un trouble dissociatif.

Ce ne sont pas non plus des techniques comme la méditation ou la relaxation qui vont permettre de traiter ce problème.

Il n’existe donc pas de moyen direct de contrôler dépersonnalisation ou déréalisation. Le penser, et le vouloir, c’est peine perdue. Par contre, il existe un moyen efficace et reconnu, c’est la thérapie comportementale.

Je ne parle pas là de la thérapie cognitive et comportementale, la fameuse tcc (ou thérapie cognitivo comportementale). En effet, cette dernière passe par des exercices d’exposition, des exercices sous contraintes.

Or, comme vous le savez, je considère cette forme de thérapie comportementale comme normative et non respectueuse du patient. En effet, si le patient n’arrive pas à suivre certains exercices d’exposition, cela ancre l’intéressé dans la spirale de l’échec.

A contrario, la thérapie comportementale issue de l’approche systémique de Palo Alto, c’est 95% de résultats, soit 16 cas résolus sur 17.

Pour vaincre des troubles dissociatifs,  il faut absolument utiliser une ou des stratégies thérapeutiques. Cela signifie que puisqu’il n’est pas possible d’intervenir de façon directe, on va traiter le problème de façon indirecte, comme au billard.

On va passer par la bande, et, ainsi, bénéficier de l’effet systémique de la solution mise en place.

Pour que les choses soient plus simples, l’effet systémique c’est comme l’effet boule de neige ou le principe des dominos.

Nous savons que la dissociation est un symptôme d’anxiété et que celui-ci est à son apogée. Dés lors, le cerveau considère que vous ne pouvez plus gérer la situation. Donc, il se protège, de la pire des façons, ce qui participe d’ailleurs à renforcer l’anxiété.

Dès ce moment, vous êtes comme pris(e) en otage, pris(e) au piège. Dès lors, quelle est la solution ?

La solution est trés simple : elle consiste à traiter l’anxiété. C’est donc en travaillant thérapeutiquement sur vos troubles anxieux que vous allez, progressivement et naturellement, neutraliser le trouble dissociatif..

Il existe une technique comportementale qui va impacter directement votre cerveau, laquelle technique consiste à « hacker » votre système nerveux central.

En effet, celui-ci n’étant que dans la réaction et se contentant de vous protéger, on va agir de sorte à le contraindre à modifier son mode de fonctionnement.

Cela va durablement et définitivement modifier la façon qu’à votre cerveau de fonctionner face aux informations relatives à la dissociation, un peu comme quand on réussit, naturellement et sans violence, à faire un taire un bavard…

J’ai développé cette technique dans un programme thérapeutique que j’ai conçu lequel vous garantit un résultat supérieur à 95%.

Ce n’est pas moi qui l’affirme de façon angélique, c’est le résultat d’une étude de l’INSERM (Institut National Et Scientifique d’Études et de Recherches Médicales)

Pour l’heure, je vous propose d’accéder à une solution pour traiter les troubles anxieux dont la déréalisation ou la dépersonnalisation sont un symptôme.

A cette fin, cliquez sur ce lien :


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Je vous rappelle que vous pouvez me laisser un commentaire en-dessous du présent article.

Merci de votre confiance et de votre intérêt. Prenez bien soin de vous.


Article mis à jour le 30 novembre 2023 par Frédéric Arminot.


Frédéric Arminot
Frédéric Arminot

Ancien grand anxio-dépressif, et victime d’angoisses aux multiples conséquences des années durant, je suis spécialisé dans le traitement des problèmes d'angoisse, d'anxiété, de dépression, de phobie, et de toc, et exerce depuis plus de 25 ans en qualité de comportementaliste (coach comportemental). Mes compétences dans les domaines de l'approche systémique de Palo Alto (approche stratégique et brève orientée solution) me permettent de résoudre 16 cas sur 17 en moins de 2 mois (95 % de résultats). Pour en savoir +, je vous invite à prendre connaissance du protocole de résolution de problèmes en ligne que j'ai conçu. Si vous le souhaitez, vous pouvez aussi bénéficier de consultations thérapeutiques en cliquant sur ce lien : Consultations thérapeutiques

    89 replies to "Déréalisation et dépersonnalisation : comment en sortir rapidement ?"

    • Frédéric Arminot

      Bonsoir Cindy,

      Pour vaincre la dépersonnalisation qui est un symptôme d’anxiété, il faut traiter les traumatismes sous-jacents lesquels justifient le stress post traumatique et le sentiment d’être décalée par rapport à la réalité.

      Pour vaincre vos symptômes et retrouver le bien-être, je vous invite à prendre rendez-vous (gratuit) de sorte à ce que nous évaluions votre situation et que je puisse déterminer si, ou ou non, le protocole que j’ai conçu est adapté à la résolution de votre problème.

      Pour prendre rendez-vous, je vous invite à cliquer sur le lien ci-après.

      Je vous suis reconnaissant de votre confiance Cindy, et vous dis à bientôt.

      « Je Prends Rendez-Vous Pour Une Évaluation De Ma Situation« 

    • Cindy la

      Bonjour,
      Il y a 2ans j’ai vécu un accouchement traumatique ( pourtant je n’y pense pas forcément ) , deux mois après l epuisement et le sentiment de « décalage  » à commençait. Ne sachant pas ce qui marriver , l’anxiété et le stress m’ont envahi me menant tout droit au burn out. Et depuis j’ai tjs le sentiment de me décaler, de depersonnalisation . Mon médecin m’a mi sous antidepresseur , je sors de l epuisement grace a un changement d alimentation mais je vois bien que le traitement ne fait rien contre la dp. Que me conseillez vous svp ? Avec un enfant de deux ans, que j’ai presque pas l impression de connaître 😭

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Marie,

      Sur la foi de ce que vous m’écrivez, votre cerveau considère que vous n’êtes pas en mesure d’appréhender et de gérer la réalité (passée ou présente) et, dès lors, installe une sorte de brouillard qui vous empêche d’être actrice de votre vie.

      Cela est extrêmement désagréable et il n’existe aucun médicament pour traiter ce type de problème (crise de dissociation/déréalisation/dépersonnalisation).

      La seule solution consiste à traiter l’anxiété dont la déréalisation et/ou la dépersonnalisation sont un symptôme de sorte à progressivement faire diminuer puis disparaitre déréalisation et dépersonnalisation.

      Je vous ai adressé un mail pour vous expliquer comment vaincre ce problème.

      Je reste à votre écoute pour vous apporter toutes les précisions que vous souhaiteriez.

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Hugo,

      A la suite de mon mail en réponse au vôtre, aucun signe de vie de votre part. Que dois-je en déduire ?

    • Marie

      Bonjour Frederic j’ai eu un parcours assez chaotique et complexe psychologiquement parlant ms suite a une importante depression en 2006 j’e ne suis pas arrivee a identifier ma problématique et à la resoidre. J »ai finis par prendre des medicaments en 2011. Je vis depuis un phenomene de dépersonnalisation déréalisation. Je n’ai pas le souvenir de choses que l’on m’a dites ou que j’ai fait (relations personnelles proches ) et exprimé parfois. Je voudrais savoir quels sont les moyens de vivre au mieux et comment vivre de façon pleinement ancré et sans trous noirs sur ce que j’ai vécu ou ce que l’on m’a dit que je n’ai pas du tout saisi n’étant pas psychiquement présente pleinement a l’instant où l’on m’a exprimé des choses importantes.

    • Hugo

      Bonjour,
      Merci pour votre blog j’ai aujourd’hui 22ans et depuis mes 16 ans suite à un traumatisme subis avec le cannabis on me forcer à fumer sinon on me frappé se qui a fait que je faisais des bad trip à chaque fois jusqu’au jour où mon corps a dit stop et j’ai été victime d’un malaise je suis parti à l’hôpital et j’ai dû suivre un psychologue pendant 1an car j’étais un toxicomane d’après les médecins qui voulais m’envoyer en centre de désintoxication j’ai réussi à arrêter de fumer et me séparer de ses personnes mais depuis il m’arrive souvent d’avoir l’impression d’être dans le brouillard que la réalité n’est plus la même et personne ne comprend mon problème j’ai fait des grosses crises d’angoisse suite à ça et je suis devenu une personne très anxieuse quand la sensation arrive je me met à réfléchir stressé et même plus écouter les gens qui parle a côté je sais que cette sensation n’est pas normal que je n’avais pas ça avant mon traumatisme mais j’ai appris malgré moi à vivre avec sa me fait mal parce que c’est pas normal et j’aimerais plus avoir se soucis et être guérir mais je trouve personne qui est capable de m’aider cette sensation est tellement désagréable et je la déteste et tout cas merci pour votre temps et votre blog MR Arminot.
      Cordialement,
      Hugo

    • Frédéric Arminot

      Bonjour,

      Je viens de vous adresser un mail pour vous expliquer comment faire pour éliminer le problème que vous rencontrez lequel est le symptôme d’un trouble anxieux majeur.

      C’est en traitant ce dernier que vous éliminerez DP/DR et ainsi, retrouverez votre vie d’avant… en mieux !

      N’hésitez pas si vous avez des questions.

      Tous mes vœux de mieux-être vous accompagnent.

    • Goncalves

      Bonjour, je vie cela depuis bientôt 1 mois suite à une migraine avec aura ma vie n’est plus pareil, sensation d’être là sans être là, aucune sensation en me levant le matin, d’ailleurs très bizarre… j’ai des pertes de mémoire, du mal à réfléchir, mes gestes sont au ralentis j’ai tellement peur de ne plus jamais redevenir comme avant j’ai si peur… aidez-moi je vous en prie

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Souhail,

      Je comprends vos craintes et vos réticences quant à consulter un psychiatre pour résoudre vos problèmes de déréalisation.

      En effet, il y a de fortes présomptions que ce médecin vous prescrivent des médicaments (antidépresseurs + anxiolytiques) dont je ne suis pas convaincu de l’efficacité en plus de leurs effets secondaires.

      Pour votre information, j’ai créé un programme thérapeutique comportemental pour vaincre la déréalisation enmoins de 3 mois. Si cela vous intéresse, je vous invite à cliquer sur le lien ci-après:

      « Comment Vaincre Facilement La Déréalisation »

    • Souhail

      Bonjour monsieur je suis de Paris je vais faire la chose que je redoute depuis 8 mois, prendre rdv chez le psychiatre.

      Je souffre de déréalisation je me sens vraiment mal je sais plus trop ce que je fais sur terre j’ai l’impression de devenir dingue je ne tiens plus du tout .. je résiste depuis 8 mois j’ai essayé de laisser le temps faire le travail mais rien du tout.

      J’ai besoin d’aide svp docteur

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Manuel,

      Pour l’expérience que j’en ai, l’EMDR peut – sous réserves – fonctionner pour le traitement de traumatismes physiques et ou psychiques.

      Dès lors, je ne suis pas convaincu que l’EMDR soit une démarche thérapeutique appropriée pour le traitement de l’agoraphobie et de la déréalisation. Mais, pourquoi pas?

      Il n’y a qu’en essayant que vous saurez.

      Si cela ne donne pas de résultats, souvenez-vous que j’ai créé un protocole comportemental qui donne d’excellents résultats.

      Et si cela vous intéresse, informez m’en et je vous expliquerais comment en bénéficier.

    • Manuel

      Bonjour Mr Aminot et merci pour votre blog.
      Que pensez-vous de la prise en charge de l’agoraphobie associé à de la déréalisation avec l’EMDR?

      Bien cdlt

    • Frédéric Arminot

      Il doit y avoir quelque chose qui bloque en ce moment.

      Vous faites partie de ces personnes auxquelles j’ai répondu en demandant un certain nombre de précisions et qui, contre toute attente, ne répondent pas.

      Dois-je en déduire que vous avez trouvé une solution à votre problème de façon soudaine, ce que l’on appelle une « rémission spontanée »?

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Henri,

      Je comprends que votre problème soit si douloureux que vous envisagez d’en finir avec la vie mais une fois mort celui-ci ne sera pas résolu pour autant en plus du fait que je ne pourrais pas vous empêcher de vous faire du mal.

      Quoiqu’il en soit, je vous ai des questions dont j’attends les réponses pour vous conseiller au mieux.

    • Evo

      Abel ou d’autre personne si vous pouvez commenter pour que nous prenions contact, essayer d’évoluer à plusieurs, je cherche à parler à des gens qui vivent ça, de plus en plus je supplie je ne sais quoi de m’aider la vie est invivable à tous les niveaux

    • Evo

      Bonjour, je fais de la déréalisation depuis 2 ans, j’ai perdu tout espoir j’ai plus aucunes envie de vivre, aucuns plaisirs rien du tout.
      J’ai cru en guérir pendant plusieurs fois je me suis senti mieux que je me suis jamais senti dans TOUTE ma vie mais j’ai à nouveau perdu le contrôle, franchement je vois pas comment y arriver si je pouvais crever ce serait limite mieux

    • Frédéric Arminot

      Bonsoir Marjorie,

      Dans la mesure où j’ai besoin de thérapeutiquement évaluer la situation de votre fils pour m’assurer que je suis compétent à lui venir en aide, je viens de vous adresser un mail.

      En fonction des réponses que votre fils me communiquera, nous verrons alors quelle est la solution la plus adaptée à son besoin.

    • Marjorie

      Bonjour,
      Mon fils de 16 ans souffre de dépersonnalisation depuis 8 mois.
      C était un enfant joyeux blagueur aujourd’hui il ce sent incompris et il a perdu sa joie de vivre. Il voit un psychologue mais personne n arrive à l aider il decroche avec l école, il n a plus envie de ce lever.
      Pouvez vous l aider svp.
      Cordialement
      Marjorie

    • Frédéric Arminot

      Bonjour,

      Je suis ravi que cet article ait pu vous aider. N’hésitez pas à me solliciter si vous avez des questions.

    • Malt

      Ca fait des annees que je vis avec ce sentiment ; merci , je sais quel nom donner a ce probleme , merci de tout coeur

    • Bonjour Jessica,

      Je vous envoie un e-mail afin de correspondre de façon plus privée.

      Je suis de tout cœur avec vous.
      Frédéric.

    • C

      Bonsoir, je souffre de détachement de la réalité, de derealisation depuis 1 mois c’est vraiment invivable ca me donne des envie de suicide tellement je me sens dans un autre monde…une autre dimension. Ca me fait si peur…j’ai peur d’être devenue folle et de jamais me sortir de la. J’ai consultée une psychiatre mais on me précrit des médicaments contre la schizophrènie…ce qui me fait encore plus me poser des questions sur moi même…je suis à bout je n’en peux plus..

    • Bonjour,

      Je suis navré d’apprendre que vous rencontrez des difficultés à ces propos.

      Le programme que j’ai créé est parfaitement adapté votre situation.

      Je vous envoie les détails par email.

    • EL MAADDI

      Bonjour,
      Je viens de lire le commentasse TM et je vis et ressens exactement dans les moindre mots la même choses que TM. En revanche, j’ai vu un psychiatre qui m’a dit qu’il n’avais rien d’alarmant que j’étais bien consciente et donc n’avais pas besoins de séances. En revanche j’ai consulté quelques psy qui je pense ne me comprenait pas vraiment. Je ne sais plus quoi faire et cela me rend triste tres triste. Je veux retrouver mes sentiments ma vie d’avant. Pouvez-vous me revenir en aide. S’il vous plaît.

    • Bonjour Mathieu,

      Conformément à votre demande, je viens de vous envoyer un email.

    • Bonjour Philippe,

      Merci pour votre aimable message. C’est très encourageant.

      Sachez que j’ai créé un programme conçu pour vous venir en aide.

      Je vous envoie les détails par email.

    • Mathieu

      Bonsoir , pourriez vous me contacter par mail … je souffre de depersonalisation chronique depuis plusieurs annees

    • Philippe

      Quel altruisme de prendre le temps de rédiger un article aussi complet. Vous avez parfaitement cerné ce trouble, on croirait que vous l’avez vécu.

      Merci à vous de nous aider,

      J’en souffre depuis 4 ans maintenant, je me demande où sont passés ces 4 ans, 4 ans d’une souffrance telle que je me demande comment je résiste, en tout cas c’est une souffrance extrêmement intense, ce qui est étrange c’est que même totalement coupé de mes émotions, j’arrive parfois à craquer, principalement quand je vois ma mère vieillir, alors qu’avant j’étais fusionnel avec elle, mon état fait que je ne vais plus la voir parce que je souffre de ne pas la reconnaître, de ne pas prendre de plaisir. C’est terrible.

      Je ne fais plus de crises pour ma part. Je suis juste vide, un légume.
      Mais ça fait du bien de vous lire malgré tout.

    • Bonjour Linda,

      Je viens de vous envoyer un e-mail afin de correspondre de façon plus privée.

      Frédéric

    • Linda

      Bonjour M. Arminot,

      J’habite au canada et je suis intéressé par votre programme ARTUS. J’aimerais savoir comment faire l’achat en ligne de votre programme qui je crois va grandement aider mon enfant âgé de 16 ans.

      Merci!

    • Bonjour,

      Ce type de trouble est le plus souvent lié à un problème d’anxiété.

      Afin de vous proposer une solution adaptée à votre situation, je vous envoie un mail en privé.

    • TM

      Bonsoir. J’ai 19 ans.
      Je ne sais pas vraiment ce qui m’arrive, mais après plusieurs recherches sur internet, j’ai abouti à la conclusion que je faisais peut-être de la derealisation ou de la dépersonnalisation.
      Mais là n’est pas le vrai problème, parce que selon les réponses, la derealisation et la dépersonnalisation sont des conséquences d’un grand traumatisme, c’est que je ne sais pas vraiment si j’ai eu un traumatisme. Oui c’est vrai j’ai vécu pas mal de choses ces dernières années mais je trouve que c’est pas assez traumatique pour me mettre dans cet état.
      J’avoue que je suis du genre à beaucoup réfléchir pour un rien, je fais souvent des crises d’angoisse ou de panique (je n’arrive pas vraiment à les différencier), sans oublier que j’ai quelques fois des troubles du sommeil (hypersomsie/insomnie).
      Je ne sais pas vraiment quoi faire pour me sentir dans le monde réel,j’ai quelques fois l’impression de ne plus pouvoir voir les gens correctement, quand on me parle j’ai l’impression que mes oreilles sont bouchés, je peux donc dire que je les entends en écho, j’ai vu un psychiatre pour des problèmes de dépression et d’anxiété, mais les médicaments ne marchent pas, ils me rendent encore plus malade, j’ai donc arrêté de suivre le traitement.
      J’ai vraiment besoin d’aide. J’ai l’impression que c’est ma fin

    • Bonjour Abdel,

      Comme vous l’avez souhaité, je viens de vous adresser un mail en privé.

    • Ziz

      Bonjour leila je vis exactement la même chose depuis 2 ans on peu en parler ?

    • Abdel

      Bonjour voila je cherche a vous joindre car j’avais des probleme d’anxieté , de nerfs et de depression puis j’ai fait l’erreur de ma vie fumer un joint .. c’etais le 12 juin et je donnerais tout l’or du monde pour revenir a ce jour la et ne pas faire ca , depuis ce jour la je me sent comme etranger a mon corps , je fais que dormir je ne sort plus de chez moi , je n’ose plus voir du monde , j’ai aucune energie pour faire quoi que ce soir et 0 envie meme les taches quotidienne comme ce brosser les dent etc sont difficile , je n’arrive plus a me concentrer sur des choses et je me pose 1000 question sans arrêt , je n’arrive plus a bien dormir je dort très tres mal et j’ai des grosse perte de memoire , je n’ai plus la notion du temps ni des jours je vit un enfer depuis ce jour la , je ne ressent plus aucun sentiment j’ai de grosse grosse idée noir car j’en ai marre vraiment je cherche de l’aide svp , je veux retrouver ma vie d’avant moi qui était joyeux , drole , gentille , je pleure souvent et des fois j’ai meme du mal a pleurer , j’en ai marre je suis dans un brouillard j’ai toujours l’impression que je vais devenir skyzofrene , je ne prend plus aucun plaisir a vivre et j’ai envie de me sucider , comme une impression d’etre bourré sans etre bourée , meme conduire je ne conduis plus car je manque de concentration et on dirais que mon cerveau est bloqué a tout . Je suis devenu un peu perché svp aidez moi merci…

    • Bonjour Nicolas,

      Je suis navré d’apprendre que vous rencontrez des difficultés à ces propos mais, heureusement, vous prenez la bonne décision : celle de me consulter.

      Il existe un programme conçu pour vous venir en aide.

      Je vous invite à cliquer sur le lien ci-après:

      « Comment se débarrasser de troubles dissociatifs comme la déréalisation? »

      N’hésitez pas à me poser toutes les questions que vous estimerez nécessaires.

      Bien à vous,

      Frédéric

    • Nicolas

      Bonjour,
      Cela fait maintenant plus de 6 mois que je souffre psychologiquement de différentes choses.
      Je pense avoir débuté par une dépersonnalisation et/ou déréalisation. Après une soirée alcoolisé , le lendemain quelques heures apres la soirée je me suis réveillé avec l’impression de devenir fou (phrases se repetant dans ma tête, sentiment d’oppression , besoin de bouger). Cette attaque de panique a cede au bout de 30′ puis s’en ai suivi des insomnies dans les jours suivants. Avec le sentiment que mon cerveau était totalement anesthésié (oublis frequents, concentration réduite, vue differente. J’ai fait différentes thérapies (hypnose 3 fois , psy, psychatre , micro kiné ). Actuellement , je souffre d’insomnie chronique je me réveil chaque nuit a 3h du matin , je suis épuisé , sous anti dépresseurs , mon cerveau ressemble à de la bouillie. J’ai souvent eu des idées noires. Je ne sais plus comment m’en sortir.. j’aimerais tellement m’en sortir. Mais je ne sais plus comment faire… Merci a vous

    • Bonjour Leila,

      Je laisse le soin à Emi de vous répondre.

    • Leila

      Bonjour Emi, je vis la même chose que toi, pourrions nous en parler en privé ? 🙁

    • Bonjour Alexandra,
      Je vous envoie un e-mail afin de correspondre de façon plus privée.
      Je suis de tout cœur avec vous.
      Frédéric.

    • Alexandra

      Bonjour M. Arminot, je fais de déréalisation depuis mars dernier. Je souffre énormément. Je vie dans la peur constante comme un bad-trip perpétuel. Je me force à manger car j’ai l’estomac noué. Le matin je pleure et je ne veux pas me lever car je fige sur place. Cette sensation me terrifie. Je me suis fais prescrire des anti-dépresseur et anxiolitique mais comme vous le mentionné, cela ne fait rien. Je vois un travailleur social depuis 2 semaines mais sans amélioration. Je suis en arrêt de travail parce que je ne suis plus fonctionnelle. Ma mère s’occupe de moi. Je suis dans une spirale de frayeur.J’ai vraiment besoin de votre aide🙏

    • Bonjour Emilie,
      Merci pour votre partage.
      J’ai créé un Programme Thérapeutique conçu pour vous venir en aide. Je vous envoie les détails par email.
      Frédéric Arminot

    • Emi

      Bonjour,

      Je ne sais pas si ces commentaires sont toujours actifs. L’été dernier j’avais une hygiène de vie plutôt mauvaise. Je me couchais tard, je ne voyais pas souvent mes amis (je refusais souvent), je restais longuement sur les écrans (jeux, chat…) ou au téléphone avec des personnes éloignées, les yeux fermés pendant des heures. Je suis ensuite partie en vacances avec mes meilleures amies et chopé un virus que j’ai trainé pendant des semaines et qui m’a valu beaucoup de stress et de la fatigue. S’en est suivi des périodes de gros stress dû à des questions existentielles qui m’angoissaient, où je remettais toute la réalité en question. Boules au ventre pendant plusieurs semaines qui me coupaient l’appétit… Cela a fini peu à peu par partir mais je me sentais plutôt anesthésiée émotionnellement. Maintenant cela fait quelques semaines que je me sens à côté de la plaque. Comme si je n’étais pas 100% là dans les situations. Le monde me parait bizarre et je ne perçois plus la vie comme avant. L’impression de pas comprendre où je suis ? Un sentiment bizarre vis-à-vis de mon environnement. Ce sentiment diminue un peu lorsque je suis occupée, lorsque je prend soin de moi mais il reste quand même présent en permanence. J’ai aussi l’impression que ça va mieux le soir, comparé à la journée. Je me sens aussi souvent fatiguée, comme si j’avais toujours envie de dormir.

      Plus je réfléchis à cette situation, plus je commence à stresser avec une envie de pleurer. J’aimerais juste redevenir comme avant, voir la vie et mon environnement de la même façon.

      Je suis allée voir un premier psy, qui m’avait dit à l’époque que je faisais sûrement de l’anxiété puis un deuxième récemment qui m’a expliqué que mon cerveau avait du se mettre en « hypoactivité » pour se protéger de mes angoisses.

      Avec du recul, je pense avoir couplé mini dépression + anxiété pour arriver maintenant à une impression de déréalisation ?

      Mes angoisses sont généralement liées à l’âge / la vie / la mort donc je ne vois pas comment les supprimer totalement. J’aimerais simplement revenir à normale, sans ce sentiment de ne plus être comme avant et cette étrangeté vis-à-vis des choses qui m’entourent, de ma famille et de mes amis.

      Merci pour votre réponse.

    • Bonjour Christian,
      Merci pour votre message.
      J’ai créé un Programme Thérapeutique conçu pour vous venir en aide. Je vous envoie les détails par email.
      Frédéric Arminot

    • Christian

      Bonjour,
      Je me retrouve dans cet article c’est incroyable.
      Suite à un fort épisode venteux, où un volet s’est détaché, des tuiles sont parties etc…. J’ai peur à chaque fois qu’il y a du vent un peu fort. J’angoisse même à l’avance, quand je sais qu’il va y avoir du vent. Ca monopolise mes pensées et je ne suis plus bon à rien jusqu’à ce que l’épisode soit passé. Une journée de grand vent, j’ai angoissé toute la journée et le soir… épisode de dépersonnalisation ,exactement ce que vous décrivez comme symptômes. Quelle peur de perdre le contrôle, de faire n’importe quoi, sans en être « responsable »…
      Mon médecin m’a prescrit des anxiolytiques et antidépresseurs que j’ai pris pendant qqs mois, mais j’ai vite arrêté. J’ai eu aussi une passe, suite à ça, de phobie d’impulsion. Ca a duré qqs mois puis c’est passé.
      Maintenant je vis avec cette appréhension du vent, dès que je sais qu’il va y en avoir, je regarde la météo toutes les 5 min pour vérifier si les vitesses annoncées n’ont pas changé etc.. Et en épisode de vent je suis sujet aux crises d’angoisse, je prends du lexomil pour essayer de déconnecter avant de disjoncter.
      J’ai essayé depuis les TCC, la PNL, plusieurs fois l’hypnose, EMDR et autres, mais rien n’y fait.
      Je désespère de trouver une solution.
      Merci d’avance pour votre réponse et conseils.

    • Bonjour Sarah,
      Merci pour votre message.
      J’ai créé un Programme Thérapeutique conçu pour vous venir en aide. Je vous envoie les détails par email.
      Frédéric Arminot

    • Sarah

      Bonjour,
      Je ne sais pas si cette espace commentaire et encore actif mais je tente ma chance.
      Depuis à peu près 1 mois et demi, j’ai des pensées obsessionnelles et ça me crée une angoisse énorme, des douleurs à la poitrine etc. Depuis hier à peu près ça ne m’inquiète plus car je me dis que tout le monde en a et le faite que je voulais pas que ça arrive j’y pensais beaucoup plus mais depuis que tout cela a commencé j’ai l’impression d’avoir une déréalisation et de plus ressentir quelque chose pour mes proches ! Les personnes que j’aime le plus au monde et ça ça m’inquiète beaucoup beaucoup trop et ça ne s’enlève pas ! A chaque fois je pense à aimer … ça m’angoisse alors que tout vas bien dans ma vie . Je ne veux pas ne pas les aimer, j’arrive pas à vivre avec l’idée que je peux ne plus les aimer et le faite de rien ressentir ça accentue cette idée et par la même occasion l’angoisse. J’ai l’impression d’être dans un cercle vicieux. J’ai comme l’impression de les oublier, c’est trop bizarre, j’arrive plus à me projeter alors que c’était la seule choses qui me plaisait dans ma vie. Tout est venu du jour au lendemain .
      J’espère que vous pourriez m’aider.
      Bien à vous.

    • Bonjour Julie,
      Merci pour votre message.
      Je viens de vous envoyer un message afin de correspondre de façon plus privée.
      Je suis de tout cœur avec vous.
      Frédéric Arminot

    • Julie

      Bonjour, je ne sais pas par où commencer, j’ai 15ans, je pense énormément et je suis donc facilement sujette à l’angoisse (cela fait plusieurs années que j’ai des tocs,et 2 phobies).J’ai une pensée en arborescence et je crois être surreficiente (je pense que mon cadre familial à joué sur cela). Toujours est-il que pendant le covid je me suis plongée dans les réseaux sociaux ect…, et je me suis perdu dedans
      ( avec une double identité…), pendant plusieurs mois je me suis fait la remarque que j’avais l’impression d’être à l’arrière de mon cerveau, en fin de journée je me rendais compte que toute la journée j’avais été en mode automatique et plus le temps passais plus je me rendais compte de cela et plus ces questionnements sur la façon dont je dirigeais ma vie se sont rapprochés et m’ont angoissés.
      Il y a quelques jours j’ai craqué, je ne pouvais plus aller en cours, l’impression de ne rien contrôler de ne plus être moi même, de ne plus me reconnaître, tellement de remise en question qu’il me semble même que j’ai toujours vécue dans un mensonge, que le vrai moi est celui là, je me sens prise au piège dans mon propre cerveau qui comme vous le dites si bien est plus fort que moi !
      Je pense que je traverse une phase de dépersonnalisation/derealisation et j’ai besoin d’aide.
      Que puis-je faire ?
      Merci d’avance

    • Bonjour Christina,
      Merci pour votre message.
      Je viens de vous envoyer un e-mail afin d’échanger de façon plus privée.
      Je suis avec vous.
      Frédéric.

    • Burgaud

      Bonjour,

      Depuis maintenant plusieurs mois je fais des crises d’angoisses et j’ai des périodes de stress. J’ai consulté une personne qui a réussi à calmer mes angoisses. Mais depuis peu j’ai une sensation bizarre dans mon corps j’ai l’impression de plus sentir mon corps, une sensation de légèreté dans le ventre, et ça m’angoisse. J’ai l’impression d’être ailleurs parfois comme si tout me paraissait étranger. Pensez-vous que cela peut être un trouble de dépersonnalisation ou déréalisation ? Si oui que me conseillez-vous ?

      J’aimerai retrouver ma vie d’avant, avant tout ça j’espère énormément avoir une réponse de votre part car je suis inquiète, Merci beaucoup.

    • Bonsoir Bertrand,

      Il semble que votre compagne souffre d’un trouble dissociatif grave et, partant, d’un trouble anxio-dépressif tout aussi grave.

      Votre compagne vous a t’elle demandé de l’aide, ou a t’elle sollicité un suivi psy? Par ailleurs, où habitez-vous (ville et/ou région)?

      Enfin, je tiens à vous préciser que si elle ne demande pas d’aide vous ne pourrez rien faire qu’elle ne souhaite elle même.

    • Bertrand

      Bonjour,
      Votre expertise m’intéresse, puisque ma copine que j’a rencontré il y a 5 mois semble souffrir de ce trouble… En effet, suite au décès douloureux de son mari, il y a 3 ans, elle a décompensé gravement, les diagnostics divers dont elle fait état font allusion au très connu burn-out, puisqu’elle a du affronter un événement inattendu, traumatisant, qu’elle menait une vie au rythme effréné (boulot très investissant, 2 fils sortant de l’aolescence, + le décès de l’époux)… Actuellement, nous nous sommes rencontrés avec la photographie, devenue une passion « libératrice », le déni du réel est omniprésent (elle consuit sans lunettes, alors qu’elle est myope, le ménage est largement abandonné chez elle, ses enfants le lui reprochent sans arrêt, elle souffre d’insomnies, etc.), ensuite elle me parle sans arrêt d’Alice (ce qui m’a mis la puce à l’oreille), personnage qui lui permet d’échapper davantage au réel… Je ne sais pas si ce goût vient d’elle-même ou suggéré par les psys qu’elle fréquente… Bref, je suis intéressé par les solutions que vous évoquez.

    • Bonjour Marie-Camille,

      Vous n’allez pas aimer ce qui va suivre…

      Non, ce n’est pas qu’une passe. Le peu de cannabis que vous avez consommé est venu s’ajouter à des résidus de précédentes consommations. Il est probable que votre cerveau a trés modérément apprécié, ce qui justifie votre problème de déréalisation et de dépersonnalisation.

      Pour être bref, c’est comme si votre cerveau « pétait un câble » du jour au lendemain, parce-que trop c’est trop.

      Cela signifie que, probablement, vous étiez déjà anxieuse avant cet épisode majeur.

      Par ailleurs, ce n’est pas le volume de cannabis consommé qui est important, quoique, mais plus sa concentration en Delta 9 THC et, partant, sa nocivité. Il suffit parfois de quelques bouffées pour se retrouver dans votre situation, voire pire. Les unités psychiatriques regorgent de personnes dans votre situation.

      Si votre problème n’est pas pris en charge d’une façon particulière, sachant que ce ne sont pas les médicaments qui vont vous aider, il n’y aura pas d’amélioration de votre état, au contraire.

      Je peux comprendre que vous ayez peur de perdre le contrôle (ce qui, en soi, est un symptôme d’anxiété), voire d’être schizophrène (ce qui n’arrivera sans doute pas), mais sans la mise en place de solutions comportementales, pas de renouveau positif possible.

      Si cela vous intéresse de savoir comment retrouver votre bien-être, informez m’en et je vous expliquerais comment faire.

      Prenez bien soin de vous.

      P.S: essayez de définitivement arrêter le cannabis, c’est dangereux pour votre équilibre psychique (la preuve: votre bad trip).

    • Marie-Camille

      bonjour,
      je souffre de problème de déréalisation et de dépersonnalisation depuis 4mois? du jour au lendemain j’ai eu tout ces problèmes !
      Le lendemain d’un gros badtrip suite à une consommation moindre de cannabis…
      le lendemain un réveil horrible sensation de ne plus être comme avant et cela a continué depuis 4mois je veux savoir si un jour cela va s’arranger et redevenir comme avant !
      j’ai peur de la schizophrénie et des troubles borderline…..
      j’ai peur de perdre le contrôle de moi même ou de faire du mal aux autres sans le vouloir…
      je veux juste savoir si c’est qu’une passe ou si j’ai un réel problème psychologique qui est arrivé du jour au lendemain ?
      merci d’avance ´

    • Bonjour Tessa,
      Je viens de lire votre message et je vous ai envoyé un e-mail afin de correspondre de façon plus privée.
      Je suis de tout cœur avec vous.
      Frédéric.

    • Tessa Marandeau

      Bonjour, j’ai 14 ans et j’ai fais une grosse crise de déréalisation et dépersonnalisation suivit de vertige à ma première soirée, je n’ai pas dormi de la nuit et j’avoue que l’idée de cette soirée me stressait beaucoup mais je ne sais pas du tout le motif exacte et donc lors de cette « crise » j’ai donc été dormir, et quand je me suis réveillé plus aucun symptômes. mais progressivement par petits moments j’ai commencé à avoir de plus en plus de moment comme ça mais beaucoup moins fort et depuis un mois je ressens ça constamment, je ne sais plus quoi faire et j’ai l’impression que je deviens folle.J’ai peur d’en parler à mes parents. Je pense que cela vient du fait que j’ai peur de grandir et que le changement et peut-être trop brutal pour moi. pouvez-vous m’aider svp ?

    • Bonjour Violette,

      Votre situation est typique de personnes qui ont consommé des stupéfiants même en petite quantité. Votre cerveau aura trés modérément apprécié ce type de substances et devant le désordre induit aura généré dépersonnalisation et déréalisation lesquels sont effectivement des troubles anxieux.

      Vous ne pourrez pas vaincre DP et DR sans travailler sur l’anxiété qu’ils sous tendent. Ce n’est qu’en agissant sur votre anxiété que vous pourrez venir à bout de la déréalisation comme de la déréalisation.

      En conséquence, je ne pense pas que la psychologue puisse vous aider dans la mesure où son travail prend des années et passe par la mise en lumière de la relation anxiété/expériences de vie/environnement affectif et familial. Tout au plus pourra t’elle apaiser un peu votre quotidien en vous laissant « déposer votre sac » à son cabinet.

      Je vais vous adresser un mail pour vous expliquer comment faire pour rapidement retrouver confiance en désir de vie.

      Dans l’intervalle, prenez bien soin de vous.

    • Anna

      Bonjour,
      Je souffre de dépersonnalisation/ déréalisation depuis 2 semaines. Mes premiers effets sont apparus le lendemain d’une consommation de cannabis (j’en avais déjà fumé et je n’ai jamais eu ça avant). Pourtant toutes les personnes à qui j’ai parlé m’ont dit que ça partais durant les premiers jours. J’ai commencé à consulter une psychologue pour essayer de calmer mon stress vis a vis de mon état (car mes parents pensent que mon état anxieux m’empêche de guérir). Avez vous des conseils à me donner ? Mon cas est peut être moins grave que d’autres mais je me sens très triste et seule, je suis complètement déconnectée de tout.
      Merci d’avance

    • Bonjour Jonathan,
      Je lu votre message concernant votre problème de dépersonnalisation et je viens de vous envoyer un e-mail afin de correspondre en privé.
      Bien à vous,
      Frédéric.

    • Gio

      Bonjour,

      Je souffre de déréalisation et de dépersonnalisation depuis plus d’un mois.

      J’ai pris des anxiolytique à auteur de 3 x 0,25 mg par jour et du trazodone pour dormir 50 mg le soir pendant un mois mais sans réelle différence.

      Je n’arrive plus à aller travailler à cause de mes insomnies et du trouble occasionné.

      Hors avant ça j’étais le premier à partir motiver au travail.

      J’ai déjà eu ce problème dans l’enfance, et une fois il y a quelques années mais pas aussi fort et aussi longtemps.

      Je suis suivi par une psychologue qui m’a donné quelque conseils pour essayer de me débarrasser de tout ça mais sans grand effet.

      Je pratique même l’acupuncture pour diminuer le stress.

      J’aimerais retrouver une vie normale comme avant ce cauchemar.

      Merci

    • Frédéric Arminot

      Bonjour,

      Merci pour votre commentaire.

      Je vous adresse un message en privé.

      Bien à vous,

    • laraje

      Bonjour

      Je souffre de déréalisation ce qui engendre perte de mémoire , sentiment , émotions ….
      Cela est suite à une enfance très mal vécu.

      auriez-vous un avis ou des conseils s’il vous plaît ?
      Merci d’avance pour votre réponse

    • Frédéric Arminot

      Bonsoir Eve,

      Merci pour votre message.

      Je vous envoie un mail privé pour en discuter.

    • Eve

      Bonsoir, j’ai 17ans et un terrain anxieux qui m’handicape depuis plusieurs années, j’ai depuis toujours pensé que ce monde était trop complexe pour qu’on puisse s’appuyer sur du concret. En décembre 2018, j’ai fumé un joint pour la premiere fois et j’ai fait un bad trip de déréalisation. Depuis, des crises d’angoisses se sont manifestées et cette peur reste profondément ancrée en moi, que je sois sobre ou alcoolisée, je ne sais pas si c’est à cause de ma premiere relation amoureuse qui m’a traumatisée, de ma relation avec ma famille (ma mère ne me croit pas sur la discussion de la déréalisation d’ailleurs, elle considère ça normal et que je dramatise juste mais je vous promets que ça m’épuise mentalement) ou si c’est juste à cause du bad trip. Je tends à penser qu’il s’agit d’une accumulation de tout ça et que c’est du à une nature d’angoissée, mais ça m’épuise j’ai plusieurs fois eu envie de tout arrêter. J’ai constamment peur d’être jugée ou pas assez bien ou trahie, incapable
      Merci de votre lecture et de vos conseils si vous prenez le temps de m’aider

    • Frédéric Arminot

      Doré Bichon,

      Je crains que dans votre désir légitime de comprendre ce qu’il vous arrive et, partant, de retrouver confiance en vous comme en la vie, vous ayez du mal à entrevoir chaque point problématique pour vous de façon circonstanciée.

      J’entends par là que les choses vous concernant semblent s’entremêler et générer quelques désordres dans votre façon d’appréhender votre problème.

      Aujourd’hui, où en êtes-vous? Êtes-vous hospitalisée? Sous médicaments? Faites-vous l’objet d’un traitement ambulatoire? Êtes-vous suivie thérapeutiquement et, dans l’affirmative, par quel(le) professionnel(le) – psychiatre, psychologue, autre – ?

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Doré Bichon,

      Je suis profondément affecté par tous les malheurs qui vous accablent. Plus que de m’étendre sur chacun d’eux, pour être plus précis, en quoi puis-je vous aider? Qu’attendez-vous de moi?

    • Doré Bichon

      Pardonnez moi, je me suis relue. Je perds l’usage de la langue française. J ai fait un choc culturel en plus. J’espère que vous me comprendrez. Je perds l’esprit peut être. Je bloque depuis les viols en France sur ma propre langue…si vous pouvez me redonner un comportement qui me permet de survivre en France avant de partir, je veux bien. Je m’adapte plus et suis née française. Je n’ai pas de crise panique au Portugal ou en Allemagne ou au Maroc. Ici, je me fais tapé, etc..maltraités..et je pense que cela crée des dérèglements et troubles…mais il ya tant d’invicilités et de violences. Comment faire pour guérir ? Je dois resté car un album sort avec ma voix à Nantes et un théâtre musical. Je veux pouvoir circuler dans une ville même polluée violente avec des drogues des mafiats et des gens surmédicalisés et riches et qui ne se supportent plus et se parlent avec violence ou mépris ou n’ont pas le temps de vivre. après le coma, c’est compliqué..n’est pas normal de derealisé quand on te frappe en hopital public ? dans ce cas la comme survit on apres, l’emdr marche pas, l’hypnose me fait perdre la réalité, et sa connection au cerveau perceptif…la méditation marche mais …pas pour les ponts les voitures et les plus de 1 etages. MEncore merci.

    • Doré Bichon

      Bonjour,
      je trouve très beau de répondre à chacun et cette écoute change des vidéos de coaching, et autres… on voit que certains sont demandeurs d’article inserm et d’autres de solutions. Merci à vous de ce dialogue. Les traitements et la déréalisation rendent étranger à soi même et d’autres en profite ou le nie ou drogue.

      Je suis atteinte de graves PST et d’états paniques accentués en hauteur. J’ai été violée en Hôpital public et ai perdu l’usage de la moitié de mon corps. Je ne pensais pas que la psychiatrie de Bordeaux tuait en état panique au 4eme et que l’hôtel refuserait de me descendre mes affaires .

      Peut on discuter ? Je sors donc de coma. C’est le 4eme de l’enfance à 2018. Je peine à être enfermée, et la glande pinéale est attaquée. Je suis suivi par psychomotricienne et osteo kiné pour remettre le corps.

      J’ai profil Hp nié ou surexploité économiquement et suis handicapé moteur depuis 2018. Avant je ne pouvais pas être en hauteur depuis l’enfance. Surefficience maltraitante …etc…je voudrais créer une barriere entre moi et les autres et éviter de prendre la perversion et la chute de la drogues, les viols etc..en plein corps.

      Les états paniques se développent à plus de 1 étage et les chercheurs de l’inserm en image m’ont dit : pas de 3 d. un epsychiatre, pas de film d ‘horreur..mais il n’ y a que cela en écran et dans la vie…en ce moment…après etre mis avec des psychopathes quand tu as signé pour un emdr 1H et y resté 6 mois et sortir cadavre en fauteuil roulant alors que tu venais donné une master classe de chant et était au 4 eme..voila le probleme et que le stress des papiers pas fait et des mensonges …te fait avoir des épilepsies…

      si vous avez une solution..je gueris et ai ce droit à la vie quand des medecins sadiques en joue.

      La colere peut elle induire des états paniques ? J’ai demandé meme un colonnel des armees de Nantes. Car soit je suis enfermé dans un espace ou en hauteur et je crois de sauter ou de perdre l’equilibre et je tombe depuis qu’un sale type de secte neursocientifique m’a violé…soit je crains de frappé. Je cherche et je veux éviter le carnage.

      Pour le moment, je vis dans 18 MM2 et attend que le corps marche et que qqn puisse me dire comment faire, je destimule et coupe les ponts, mais dans la musique qui était mon métier…les producteurs sont pas altruiste ni les élèves de chant qui consomment.

      Je rêve de ne pas dire a qqn : Vous etes a quel étage ? je ne peux pas venir en voiture a la mer..pouvez vou sm’aider a passer les ponts.

      J’adore voyager.

      Merci à vous.

      NB :
      J’aimerais mentir sur les actes de barbaries que j’ai subis et en systeme de soin, couple de pn ou famille. ca fait beaucoup. le chef du secteur psychiatrique sur les cas graves de traumas ne sait pas quoi faire..il est étonné que j’ai survecu..moi je veux vivre avec le corps et faire un trait sur le passé ..et le regard sur les handicapés : l indifference et l’exclusion en france..je ne pensais pas…donc merci.

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Julien,

      En réponse à votre question, je vous invite à cliquer sur ce lien:
      Attention, vous avez 570 pages à lire… 🙂

      Étude INSERM: « Psychothérapie: 3 approches évaluées »

    • Julien

      Bonjour Frédéric,

      Je cite un passage de votre texte qui m’a interpellé : « J’ai développé cette technique dans un programme thérapeutique que j’ai conçu. Cella-là même qui vous garantit plus de 95% de résultats. Ce n’est pas moi qui l’affirme de façon angélique. C’est le résultat d’une étude de l’INSERM. »

      Pourriez-vous me communiquer le lien vers l’étude de l’INSERM qui énonce que le programme thérapeutique que vous avez conçu fonctionne dans plus de 95% des cas ?

      Je vous en remercie d’avance.

    • Frédéric Arminot

      Bonsoir David,

      Merci pour votre message.

      Je vous envoie un mail en privé.

      Bien à vous,

    • David

      Bonjour
      Je vous écrit ce message par désespoir, je suis en derealisation depuis prés de 3 semaine, je vie l’enfer j’arrive plu a avoir d’émotion la vu flou pas de motivation, je pense que sa peu venir la prise de médicament Alprazolam (Xanax) pendant 1 semaine a dose élever et avec un arrêt butal . Aidez moi s’il vous plait

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Max,

      Merci pour votre message.

      Je suis désolé d’apprendre que vous souffriez ainsi.

      Je vous envoie un mail en privé pour en discuter.

      Bien à vous,

    • Max

      Bonjour,

      Max, 21 ans

      Je fais de la DP depuis maintenant un an et quelques, ça a commencé lorsque j’ai eu un trauma dans un taxi parce que je pensais que le conducteur allait me kidnapper (j’étais sous l’influence de cannabis). Depuis je ne vois plus le monde de la même façon et me sens dans l’insécurité constante

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Carla,

      Merci de votre message. Je comprends tout à fait que vous souffrez de problème de déréalisation et qui engendre des crises d’angoisses.

      Je vous ai contacté par mail pour pouvoir en discuter. Frédéric.

    • Lago

      Bonjour
      Je souffre de déréalisation surtout quand je suis en dialyse et ce sentiment Me fait avoir peur de perdre la tête .
      Je suis qn qui rumine beaucoup je suis malade depuis l’enfance . Il y a avait 2 ans ça s’est acclamer et vlan c’est revenue , ça me fait peur
      J’ai l’impression que c’est un rêve et je suis spectateur de ma vie

      Merci pour votre aide

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Emeline,

      Merci de votre message. Je comprends que vous souffrez d’angoisses et de problème de sommeil, traités initialement par Xanax qui, comme vous l’avez malheureusement constaté, entraîne une forte dépendance.

      Je vous ai contacté par mail pour discuter de vos problèmes actuels de déréalisation / dépersonnalisation. Fr&déric.

    • Maillet

      Bonjour,

      Il y a 1 an je prenais du Xanax que l’on m’avais prescrit pour des angoisses, de l’anxiété et surtout de gros problèmes de sommeil. Et j’ai fais l’erreur de l’arrêter du jour au lendemain, cela a était très dur le sevrage trop violent pourtant je n’en avais pris que pendant 4 mois. Et maintenant je souffre de dépersonnalisation ou déréalisation je ne sais pas exactement je suis là sans être réellement là je n’ai plus le goût à rien plus la motivation. J’ai besoin d’aide, j’ai besoin de m’en sortir pour moi mais aussi pour mes proches je veux retrouver ma vie d’avant !

    • Frédéric Arminot

      Cher Léo, merci de votre message et je comprends tout à fait votre problème d’angoisses, crises de panique et ce sentiment très dérangeant (mais du tout dangereux) de déréalisation et dépersonnalisation.

      Je vous ai envoyé un email à ce sujet, je suis avec vous. Frédéric.

    • leo

      Bonjour j ai 17 ans
      Léo

      depuis que j ai pris unedicament pour l acné Roaccutane pendant 5 mois
      de janvier à mai que j’ai arreté car il me faisait des crise d angoisses et un soir j ai fait une attaque de panique depuis j’ai de la déréalisation/depersonalisation et des pensées obsesionels , je suis allez voir un psychatre qui ma donné des Anxiolytiques que je ne prendrai pas et puis j’ai découvert votre programme ARTUS au quel je voudrais bien suivre

      Léo

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Sarah,

      Je viens de vous adresser un mail pour vous expliquer pourquoi vous souffrez de symptômes de déréalisation et de dépersonnalisation.

      Ce faisant, dans ce mail, je vous explique comment agir de sorte à vaincre la déréalisation, ou traiter la dépersonnalisation, et retrouver confiance et autonomie (de sorte à ne plus être victime de bouffées d’angoisses au volant).

    • Sarah

      Bonjour,
      J’ai 18 ans et j’ai de grosses angoisses qui entraîne de la dépersonnalisation et déréalisation depuis que j’ai eu un bad trip il y a maintenant 1 an. Pour faire court j’ai fumée pour la première fois de ma vie sur un joint et je n’ai pas dû vraiment le supporter. Depuis j’ai arrêtée de fumer des cigarettes au quotidien car ça me fait monter en angoisse. J’ai réussi pendant 6 mois à ne plus avoir ces symptômes après être allé à Lourdes faire du bénévolat, je pense que j’ai été très détendu là bas et cela m’a apaisée pendant quelques temps. Mais depuis le confinement tout a repris son cours. Je ne peu pas non plus passer mon permis car j’ai des bouffées d’angoisses sur l’autoroute en permis accompagné… J’aimerai avoir une solution durable et c’est pour sa que je vous demande de l’aide.
      Merci beaucoup bonne journée !

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Anthony,

      Je constate avec plaisir que vous avez été plus rapide que moi puisque vous avez trouvé la porte d’accès au Programme ARtUS et que vous en êtes membre depuis hier.

      Je vous suis reconnaissant de votre confiance. N’hésitez pas à me solliciter si vous avez des questions.

      Belle journée à vous.

    • ANTHONY

      Bonjour j ai 27 ans je souffre de déréalisation, dépersonnalisation et d anxiété. Je voudrais utiliser votre méthode pour m en sortir car je ne veut pas utiliser les médicaments.

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Elisa,

      La déréalisation est le symptôme d’un trouble anxieux à propos duquel les médicaments ne vous seront que de peu, voire d’aucun, secours. C’est l’expression d’un trouble anxieux important qui indique que votre cerveau considère que vous n’êtes pas en capacité émotionnelle de gérer les situations auxquelles vous êtes exposée.

      J’en veux pour preuve cette suspicion d’agoraphobie voire de phobie scolaire si l’on considère que dans un tel environnement vous êtes victime de crises de panique.

      Il existe des solutions pratiques, rapides et efficaces. Cependant, eu égard à votre qualité d’enfant mineure, je ne peux vous en parler qu’à la condition que vos parents me sollicitent.

      Le seul moyen de traiter et d’éradiquer la déréalisation est de travailler sur l’anxiété

    • Elisa

      Bonjour,
      J’ai 17 ans et le trouble de déréalisation me gâche la vie depuis maintenant 3 ans. Mon psychiatre m’avait prescrit des anti-anxiolytiques que j’ai arrêté depuis le confinement ainsi qu’un traitement anti dépresseurs depuis mars. Grâce à ce traitement je commence à résoudre mes autres problèmes (une très grande anxiété, des envies de me faire du mal jusqu’à faire comme on dit une TS, des problèmes au niveau du sommeil et de l’alimentation, mal être et complexes physiques), mais les sensations de la déréalisation sont toujours plus que présentes. Mes parents pensent aussi que j’ai à faire à une sorte d’agoraphobie, car ces sensations se sont premièrement développées lorsque je suis en dehors de chez moi, et notamment dans un établissement scolaire (jusqu’à en faire des attaques de paniques). L’aide de mon psychiatre ainsi que de mes proches ne résout en rien ces sensations, auriez-vous un avis ou des conseils s’il vous plaît ?
      Merci d’avance pour votre réponse

    • Frédéric Arminot

      Bonsoir Sandra,

      Je vous ai adressé un mail pour essayer de comprendre plus précisément ce qu’il se passe. Grâce à vos réponses, je pourrais vous préconiser ce qu’il convient de faire.

    • Sandra

      Bonjour,
      Je découvre avec grand intérêt votre article et j en apprend beaucoup …
      Mon mari semble développer des troubles que vous expliquez … Je ne suis pas médecin mais j’observe ebaucoup
      Il a prononcé une séparation en évoquant une incapacité à se gérer, surmonter, se projeter et se idéalise un projet de vie de réparation de ce qu’il n a pas su faire auparavant : genre crise existentielle, de milieu de vie, burn out …le package…
      Mais depuis l’annonce de sa décision il est entrer dans un mutisme immobilisant et ne met rien en oeuvre qui soit en phase avec ses décisions radicales. Pas de mise en mouvement et pas de connection avec la réalité, démission, dépression, enfermement….
      Bref, comment agir ??? Je reste pour l’instant distante et ne prends pas de décicions à sa place et je ne mets rien en place qui aille vers ou contre ses choix
      Merci pour votre réponse et vos conseils

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