L’angoisse au travail a été mon quotidien des années durant. Tout comme Jean-Jacques. Directeur de succursale d’une chaine d’hyper marché, Jean-Jacques, une fois de plus, a été muté, prétendument pour relancer un hyper en perte de vitesse.
Dans ce domaine, c’est plutôt ce monsieur de 44 ans qui semble en perte de vitesse et d’énergie, et pour cause. Chaque soir, Jean-Jacques est victime d’angoisses nocturnes comme d’angoisses chaque matin au réveil.
Jean-Jacques me demande alors de le recevoir sans me cacher qu’il a peur parce-que c’est la première qu’il consulte un thérapeute et qu’il ne sait pas comment cela se passe, tout en reconnaissant qu’il est dans un état émotionnel trés douloureux qui fait penser à un trouble anxieux et dépressif.
En commençant à travailler ensemble, grâce aux techniques issues de l’approche comportementale, et plus particulièrement de l’approche systémique de Palo Alto, il s’avère que je me trompe.
Jean-Jacques est victime d’angoisses liées à son environnement professionnel. Le problème sous-jacent fait se poser la question pour lui de savoir comment retourner travailler sans être angoissé(e) puisqu’il a peur de mal faire au travail.
Définition de l’angoisse au travail
Quelle que soit la fonction que vous exercez, de l’employé au technicien, en passant par l’agent de maitrise ou le cadre, personne n’échappe à l’éventualité d’être angoissé. Autant pour des motifs personnels comme d’être victime d’angoisse au travail. Quand je parle d’angoisses, je pense aussi au stress.
L’un des symptômes les plus fréquents qui accompagne l’angoisse au travail, ce sont les angoisses nocturnes. Voire les attaque de panique, et les angoisses matinale. Pourquoi ?
Quand on évoque la question de l’angoisse au travail, il s’agit d’une peur projective, c’est à dire de la peur de quelque chose dont vous ne savez rien ou pas grand chose.
Partant, pour des raisons qui relèvent :
- De l’mage que vous avez de vous,
- De l’image que vous avez des autres,
- De la peur du jugement,
- Et aussi du contexte et de l’environnement,
vous pouvez craindre de ne pas avoir un comportement adapté face à une situation que vous redoutez et, partant, d’en éprouver un sentiment de culpabilité qui ne fera qu’enrichir le problème.
Angoisse au travail : La recherche d’approbation
Cependant, si vous considérez que le contexte et l’environnement ne vous sont pas favorables, vous pouvez craindre que l’issue de la situation de crise vous soit reprochée.
Vous allez donc, à une vitesse qui vous étonnerait vous même, vous poser tout un tas de questions. questions propos desquelles vous allez tenter de trouver des réponses.
Celles-ci ont pour fonction de vous apporter une solution à ce déséquilibre que vous ressentez, et vous voulez d’autant plus trouver une solution à cette angoisse au travail que vous avez besoin de vous enorgueillir d’avoir trouvé et mis en place cette solution.
En effet, quoique de plus agréable que l’approbation des autres plutôt que la sienne propre ?
Et c’est ainsi qu’un piège risque de se fermer sur vous puisqu’en recherche de reconnaissance, vous vous exposez à des prédateurs lesquels vont profiter de votre vulnérabilité.
Dès lors, vous prenez le risque d’être victime de harcèlement moral ou sexuel.
Symptômes de l’angoisse au travail
Nous sommes toutes et tous, dune façon ou d’une autre en recherche de reconnaissance. Nous avons besoin d’être reconnu(e) et apprécié(e).
Mais, dans cette optique légitime, imaginons que vous êtes pris d’une crise d’angoisse devant un problème soudain.
Dès lors, vous savez que vous vous éloignez de votre objectif. Vous avez donc bien des motifs d’être sujet à de l’angoisse au travail puisque vous risquez de perdre l’approbation. C’est un des premiers symptôme d’angoisse au travail.
Tant que vous n’avez pas résolu l’adéquation problème = solution, vous ne lâchez pas prise. Vous en faites une affaire personnelle.
Refusant de lâcher prise, vous êtes confronté(e) à un certain état de tension, jusqu’à ce que vous sortiez de l’ornière. Et moins vous y arriverez, plus vous essaierez.
Dès lors, votre angoisse au travail ira croissant. Jusqu’à ce que, éventuellement, vous rentriez dans un processus de questions réponses, dans un cycle infernal de ruminations obsessionnelles liées au travail. Vous essayez alors de trouver des réponses qui vous sécurisent.
Quand l’angoisse au travail alimente des ruminations
En faisant du problème rencontré une affaire personnelle, vous ouvrez la porte à des pensées obsessionnelles lesquelles peuvent vous conduire à une crise de panique.
Tout au long de cette journée d’enfer, vous essayez de mettre en place des processus d’évitement pour contrôler cette angoisse au travail liée à la peur de ne pas réussir.
Pour autant, le stress afférent à cette situation tendue demeure omniprésent. Votre journée de travail émotionnellement exténuante finit par passer mais voilà, vous allez rencontrer un autre problème.

En rentrant chez vous, vous continuez à penser à votre problème d’angoisse au travail. Vos humeurs en sont affectées tout comme vos relations avec vos proches.
La soirée se passe bon an mal an jusqu’au moment du coucher. Là, vous continuez à penser, ou plutôt à réfléchir au problème que vous avez subi tout au long de cette journée.
Effectivement, vous n’avez pas trouvé une solution qui vous permette de satisfaire votre objectif et, partant, d’avoir la paix, et d’être fier de vous d’avoir réduit la crise à néant. D’autant plus fier, qu’éventuellement, vous serez félicité pour cela.
Çà, c’est dans le meilleur des cas.
Dans le pire des cas, vous avez des problèmes d’endormissement au point que vous êtes obligé(e) de prendre un calmant pour vous endormir tout en redoutant d’être victime d’attaque de panique nocturne.
Du coup, votre stress prend du volume et enrichit l’angoisse au travail du lendemain.
C’est fatigué(e) que vous vous éveillez d’une nouvelle journée potentiellement problématique.
Pourquoi angoissez-vous tout le temps au sujet du travail ?
Dès ce moment, celui du réveil, il y a bien des raisons pour que vous soyez pris d’angoisse matinale. Vous ne pouvez pas vous empêcher de penser aux difficultés éventuelles à résoudre.
Vous pensez à ce qu’il se passe ou à ce qu’il risque de se passer. Et alors que vos pensées, accessoirement obsessionnelles, reprennent le dessus, c’est angoissé(e) que vous quittez votre domicile et repartez travailler. Ainsi, la boucle est bouclée.
Angoisse au travail, le retour.
Cette nouvelle journée à venir vous est d’autant plus pénible qu’en admettant que vous résolviez les tracas à venir, vous ne pouvez vous empêcher de vous poser la question de savoir pourquoi vous angoissez tout le temps alors que vous connaissez votre métier et êtes réputé(e) professionnel(le).
Mais vos projections émotionnelles reprennent le dessus dans un cycle que vous avez toutes les peines du monde à contrôler. Vous vous sentez insécurisé, c’est pourquoi vous êtes tout le temps anxieux(se) au sujet de la pérennité de votre emploi.
Tous les symptômes d’angoisse que je viens d’énumérer sont le quotidien de bien des gens. Pour autant, est-ce le quotidien d’un environnement professionnel classique, ou est-ce un mal spécifiquement français que cette angoisse au travail ?
Pourquoi l’angoisse au travail est-elle un mal français ?
Depuis fort longtemps, travailler se doit d’être considéré comme une fierté.
Grâce à vos activités professionnelles, vous satisfaites votre rôle social, vous produisez des tâches et, ainsi, participez à faire avancer une société à la fois professionnelle, sociale et économique. Partant, vous consommez et participez au système.
Les inter actions avec vos collègues de travail ne sont pas toujours faciles mais, dans un cadre collectif, vous avez votre place.
Cette même place à propos de laquelle vous ne vous posez pas la question de savoir si vous allez la perdre. Le grand principe est que le travail est un droit, ou plutôt, depuis les lois Macron, était un droit.
Avant, perte d’emploi un mardi, nouvel emploi le lendemain. Enfin, çà, c’était il y a 20 ou 30 ans. Au moins, à cette époque, la peur de la perdre son boulot était moindre voire inexistante. A cette même époque, l’angoisse au travail relevait d’un concept ignoré, ou minoré.
Mais la société a évolué, et le système s’est modernisé.
L’argent a pris une place de plus en plus importante, tellement conséquente d’ailleurs que la question économique et celle de la profitabilité – les bénéfices – a finit par reléguer l’homme à un rôle de faire valoir.
Cela a déshumanisé le système. Les années passent et l’emploi, votre boulot, se fait plus rare. Voire, il devient carrément précaire.
Hier, vous étiez marié(e) avec votre entreprise ou avec l’institution dans laquelle vous travailliez.
Aujourd’hui, c’est un peu comme si ce mariage glissait inexorablement vers une forme de colocation. Colocation où chacun tente de tirer la couverture à soi puisque seuls les profits comptent, les profits industriels comme les profits personnels.
D’aucuns se gonflent d’orgueil, expliquent comment et combien ils gagnent des fortunes en faisant des profits colossaux, tout en glosant sur la récession économique en Europe comme ailleurs.
Mutations sociales et angoisse au travail
Comment ne pas être angoissé dans un tel environnement ?
Votre situation professionnelle, hier sécurisée, est aujourd’hui fragile. Le milieu de travail exige respect et loyauté, et ceci alors que, très souvent, si ce n’est du fait de l’entreprise elle même, ce sont ceux qui réclament de tels comportements qui sont les premiers à ne pas y satisfaire.
Chacun fonctionne pour soi, se crée un individualisme forcené dans lequel l’autre, le ou la collègue, devient un(e) ennemi potentiel(le).
François Mitterrand avait dit: « Après moi, il n’y aura que des comptables« .
Quand j’y pense, cela me fait froid dans le dos. J’ai l’impression, si ce n’est la certitude, que c’est tellement vrai. Chaque emploi a un coût, un coût comptable qui, du fait de sa charge (la masse salariale), rend nécessaire d’exiger plus en payant moins.
Le système socio professionnel français évolue d’une façon telle qu’il mute en une forme de société américaine, une société où le travail s’inscrit dans une précarité absolue.
Rien ne vous assure qu’en arrivant au boulot, vous ne serez pas viré(e).
Aujourd’hui, personne ne peut prétendre en arrivant chez son employeur de ne pas – parfois – ressentir une certaine forme d’appréhension d’être exclu(e) de son emploi dans le quart d’heure qui suit.
Du fait de cette précarité, l’ambiance est de plus en plus délétère. Chacun rivalise avec le copain d’à côté, pense et réagit pour soi, parfois en niant l’autre. « Les femmes et les enfants d’abord « devient alors une considération du passé.
Toutes les raisons de souffrir d’angoisse au travail sont donc réunies. La performance au travail prime sur tout le rest, cela dussoit-il se faire au prix d’un sentiment d’insécurité patent.
Angoisse au travail : Un sentiment d’insécurité
Dans un tel climat, il est difficile de se sécuriser, et d’avoir confiance en soi.
Les stress professionnels son très importants et les dégâts comme les risques psycho sociaux qu’ils génèrent s’imposent en masse.
La précarité, voire la misère, s’installe. Partant, la peur de tout perdre est le quotidien de bien des gens. Le travail, l’emploi, devient une denrée rare à tel point que certains se convainquent qu’il leur est inaccessible.
D’aucuns se convainquent aussi que, dans un tel système, ils n’ont droit à rien.
Pour autant, la satisfaction de leurs besoins primaires est tout aussi vitale que celle des personnes qui ont une activité rémunérée. Il sont convaincus que le système ne veut pas d’eux mais ils veulent en être, et consommer à la tour.
Dès lors, ils vont déposséder quelqu’un pour posséder à leur tour. L‘insécurité passe du milieu de travail à la rue, de la rue au travail.
Ainsi, notre société, dite moderne, engendre une délinquance d’opportunité. Une société au sein de laquelle plus le larcin est violent, moindre est le profit que l’on en retire.
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Angoisse au travail : Un monstre en devenir
L’angoisse au travail, comme dans bien d’autres environnements, s’installe à un tel point qu’aujourd’hui, il m’arrive d’entendre qu’être angoissé(e) est normal, que c’est l’évolution du système qui veut cela, qu’il est nécessaire de s’adapter.
Oui, être angoissé(e), c’est être confronté(e) à un processus de confrontation à la réalité, avec la nécessité de s’y adapter.
Mais jusqu’à quelle limite doit on supporter l’insupportable ? Et pour que cela redevienne acceptable, vivable, encore faut-il que ce même système participe de façon équivalente au respect mutuel. Qu’il ne confonde pas pouvoir et autorité au nom du profit et de la rentabilité. L’angoisse au travail a encore de beaux jours devant elle.
C’est bien beau d’avoir un monde libéral, mais, comme Karl Marx nous l’a appris, le système va crever de ce qu’il participe à engendrer. Cette progéniture est-elle un monstre ?
Récemment, l’une de mes amies m’expliquait qu’alors qu’elle travaille dans la même entreprise depuis 14 ans, son responsable a changé. Et, comme par hasard, du jour au lendemain, mon amie fait l’objet de critiques acerbes et de mises en cause quant à la réalité de ses compétences.
Cette personne m’a expliqué qu’alors que son époux, qui a le même âge que moi, a perdu son emploi,. elle pressent le sien fort menacé. Elle est victime d’angoisse au travail et de crises d’angoisses répétées qu’elle n’arrive plus à faire passer.
Elle s’est donc résolue à consulter un médecin pour se faire prescrire des médicaments anxiolytiques et anti dépresseurs.
Se désintéresser de son emploi est une erreur de positionnement
Mon amie passe des nuits affreuses. L’idée de retourner travailler avive sa crainte d’être victime de trouble panique dans la journée. Avec le temps, elle trouve une solution pour se protéger.
Elle continue à prendre des médicaments qui l’aident à retrouver une meilleure qualité de sommeil. Mais elle fait le choix de moins s’investir dans son boulot. Il y a peu de temps, elle m’a dit, je la cite : « J’ai décidé de m’en foutre« . Voilà un bel exemple de ce qui nourrit le ressentiment et, in fine, l’angoisse.
A titre personnel, un tel comportement ne peut pas emporter mon adhésion. A titre professionnel, puisque j’en constate tous les jours les conséquences psychologiques, je regrette qu’il fasse le lit d’une relation épouvantable entre un salarié et son employeur.
Que veut-il cet employeur ? Que le nouveau chef de service rentabilise l’emploi en exigeant plus ? Qu’il rentabilise en minorant les compétences de ses salariés, ou mettent en cause les compétences professionnelles acquises au long d’années de collaboration ? Obtenir cela plus au prix de la peur, au prix de l’angoisse au travail ?
Je crois, et constate tous les jours, combien le monde du travail souffre de plus en plus.
Les gens vont mal, ils souffrent, et ont toutes les raisons d’être angoissés. Le système se précarise. Dans un climat d’insécurité sociale et économique patent, il est de plus en plus difficile et compliqué de se faire une place au soleil.
Du moins de conserver une activité professionnelle dans des conditions de travail et d’émotions optimales.
Angoisse au travail : Un besoin de reconnaissance
Dans un système tel que le nôtre, la reconnaissance passe par l’argent. Celui-ci mène à la sécurité matérielle. Mais les deux sont de plus en aléatoires en termes de pérennité.
Dès lors, quelles solutions trouver pour ne plus être victime d’angoisse au travail ? Comment faire pour avoir de soi une image positive et ne plus avoir peur ?
Comment faire pour conserver un équilibre émotionnel satisfaisant entre son moi fonctionnel (vous dans votre emploi) et son moi affectif (vous dans votre vie personnelle) ?
Faut-il en privilégier un au détriment de l’autre ? Que faire pour gérer l’angoisse au travail et, partant, retrouver un équilibre émotionnel ?
Effectivement, il n’est pas normal, ni humain, de vivre dans un tel environnement, précaire et insécurisant.
Aujourd’hui, le monde du travail, comme les inter relations liées à votre emploi, ont changé mais à un pont tel que c’est comme si vous étiez sur un champ de bataille sans aucune formation militaire et sans armes pour combattre. Cela me rappelle la boucherie de la guerre 14-18.
De l’angoisse au travail à la souffrance au travail
« Le travail libère l’homme« .
Je ne sais pas qui dit çà, mais je sais que le travail rend l’homme dépendant. Ce qui, inéluctablement, rend l’homme douloureux, et cette douleur s’appelle la souffrance au travail.
Quand j’écris homme, je parle de l’humain. Donc aussi de vous mesdames.
Si l’on postule que, paradoxalement, le travail permet à l’homme de s’accomplir, ce même travail devient une expérience de vie particulièrement douloureuse.
De la peur de ne pas être à la hauteur, à la peur de ne pas satisfaire ses objectifs, de l’anxiété générée par un environnement délétère où, parfois, tous les coups sont permis au nom de l’émulation, du marketing et du profit à outrance, le travail, l’emploi, est susceptible d’être d’une toxicité absolue.
Comment faire pour traiter la souffrance au travail dans un contexte économique et social de plus en plus incertain et insécurisant ? Comment faire pour s’éviter une dépression liée au milieu de travail, à plus forte raison quand on sait que, ne serait-ce qu’en France, 3 millions de personnes souffrent de dépression.
Que penser d’un tel chiffre quand on le rapproche de celui de la population active, soit plus de 26 millions de personnes. Augmentées des 10% de chômeurs. Une paille !
La souffrance au travail est une souffrance mentale, un mal-être, une détresse psychologique qui peut prendre la forme d’une burnout, voire de troubles mentaux graves, ou d’un stress post traumatique.
Autant d’éléments susceptibles de mener au suicide. J’ai bien conscience que cette éventualité n’est pas encourageante, mais c’est une réalité.
La souffrance au travail ne se limite pas à un simple malaise. Lié, par exemple, à la remise en question de votre orientation professionnelle, elle peut aller jusqu’à mettre en danger la santé morale du salarié, comme dans le cas d’un harcèlement.
Rappelez vous le procès de France Telecom en 2019 qui a vu la condamnation en appel de son ancien président pour harcèlement institutionnel. A l’époque, ce procès était aussi celui de la course à la performance avec toute l’anxiété qui s’y rattachait.
Pour l’anecdote, le procès en appel qui a eut lieu en 2022 a moindrement condamné ce monsieur qu’en première instance, ce qui en dit long sur la complicité des institutions.
Le/la salarié(e), ou travailleur, qui souffre, n’a plus de plaisir à travailler.
Il ou elle ne ressent plus cette fierté que j’évoquais plus haut, cette satisfaction d’apporter quelque chose de précieux à son entreprise, voire au monde.
Il est dans la crainte du moindre mode de pression, redoute la plus petite désapprobation, ce qui, bien évidemment, alimente sa souffrance.
Si vous souffrez dans votre activité, c’est que probablement vous vous sentez insatisfait(e) de votre performance, injustement traité(e), sous-exploité(e), ou sur exploité(e), à l’étroit en somme, mal rémunéré(e) par rapport à la réalité de vos compétences, ou encore, harcelé(e, mal jugé(e), et j’en passe.
Pour lutter efficacement contre votre souffrance au travail, vous délivrer de cet ennemi intérieur qui peut, imperceptiblement, vous détruire, il est important de connaître les causes de votre souffrance.
Les causes de la souffrance au travail
Ces dix dernières années, la souffrance au travail est un mal en constante augmentation dans les entreprises.
Les causes de ce mal être sont généralement liées à l’organisation du travail, au management, et à l’environnement.
L’organisation du travail
L’une des causes liées à l’organisation du travail, et qui créent la souffrance du salarié, c’est l’intensification du travail.
Sur votre bureau (mobilier, comme ordinateur), bien des tâches vous attendent. On vous demande toujours d’en faire plus, encore et encore. Souvenez vous de la fumisterie du petit homme moultes fois condamné : « Gagnez plus et travailler moins ».
Vos pauses se réduisent, quand elles existent encore. Je me rappelle de ces salariés mis à l’index chez un producteur de viande en Bretagne. Sans autorisation, certains salariés osaient prendre une pause pour aller aux toilettes ce qui, à l’époque, il y a 3 ou 4 ans, leur a valu une mise à pied.
Chez cette employeur, les tâches sont multiples, il faut les accomplir en un temps réduit, sans répit, et ce d’autant plus que cette société est le plus gros employeur de la région.
Les salariés n’ont pas droit à des pauses physiologiques. Plus de repos, aucun temps mort, ne serait-ce que pour souffler et se changer les idées. Les salariés sont sous une pression permanente, pas seulement à cause des tâches à accomplir dans un flux ininterrompu, mais, également, à cause du résultat attendu.

Harcèlement et souffrance au travail
Constamment, vous êtes soumis(e) à l’évaluation de votre rendement comme de vos compétences. Je pense aux entretiens annuels qui alimente votre peur de ne pas être à la hauteur, en plus de mettre à mal l’expression de vos limites comme celle de vous affirmer.
Aujourd’hui, les nouvelles technologies sont complices de votre malheur. Vous ne pouvez plus avoir une vie privée bien séparée de votre vie professionnelle.
Par le biais de votre téléphone portable, vous êtes susceptible d’être joint(e) à tout moment. Aujourd’hui, la situation empire à cause de la popularisation des smartphones. Il est désormais très facile de vous localiser avec un logiciel GPS.
Quand vous êtes connecté(e), votre entreprise le sait. Votre supérieur hiérarchique aussi. Ils peuvent vous suivre voire, comme cela se fait vraisemblablement de plus en plus, lire vos échanges de SMS et de mails. En somme vous traquer, même si la loi leur interdit, et qu’ils s’en défendent.
A ce propos, le gouvernement vient de faire voter une loi pour regarder dans nos téléphones…
À cause de la quantité ou de l’importance, des tâches professionnelles à satisfaire, il y a de fortes présomptions pour que vous emportez du travail chez vous. Le soir, pendant les week-ends, voire pendant vos vacances.
En effet, le travail sur ordinateur portable, ou sur support de masse amovible, favorise ces comportements.
De facto, cela maintient une pression constante sur vous même si avez bien conscience que ce sont des facteurs de stress. Dès lors, il vous est difficile d’y déroger si vous vous comparez aux autres qui, eux, le font surement.
A tout le moins, pour la plupart d’entre eux.
Des causes liées au management
Ici, c’est le comportement de votre manager, de votre responsable, de votre superviseur, qui pose problème.
Il y a de ces responsables hiérarchiques qui vous rendent la vie dure. Parfois méprisants à votre égard, ils vous humilient voire, vous écrasent en exerçant sur vous un tel contrôle que ça en est à la limite du comportement pervers.
Vous êtes victime de discrimination. Ils vous isolent, vous stigmatisent. Ils se forgent des préjugés à votre sujet et vous traitent en conséquence. C’est une souffrance morale terrible puisque, souvent, ces managers préoccupés et obnubilés par leur désir de réussir ou de relever un défi, répercutent leur stress sur vous.
D’ailleurs, il arrive que cette pratique soit consciente mais, le plus souvent, le manager n’a pas conscience du tort qu’il vous fait. Il est dans ses besoins, dans ses inquiétudes et transfère son anxiété sur vous.
Autre situation difficile à vivre, celle qui trouve sa source dans vos efforts mal appréciés par la hiérarchie.
Vous essayez de donner le meilleur de vous-même, avez envie que ça marche, aimez l’entreprise dans laquelle vous travaillez. Peut-être appréciez-vous votre patron(ne) et avez à cœur de lui faire plaisir. Mais, vos efforts, louables, ne font l’objet d’aucune reconnaissance.
Des causes liées à l’environnement
Par environnement, il faut comprendre tout ce qui vous entoure. Partant, tout ce qui vous permet de faire le job. Cela concerne aussi les personnes autour de vous.
Un lieu de travail mal ou non, aéré qui retient de la chaleur. Un environnement sale, bruyant ou, paradoxalement, trop calme.
Ce sont des sources de souffrance au travail tout comme un matériel de travail défectueux ou insuffisant. Cela vous incommode parfois, au point de vous amener à ne plus supporter.
Le mépris, l’irrespect, ou le harcèlement, d’un(e) collègue peuvent vous conduire à cette souffrance au travail.L’intensité de vos ressentis dépend également du domaine d’activité dans lequel vous travaillez.
Ceci étant dit, ou écrit, la souffrance au travail et, partant, l’angoisse au travail, n’est pas sans conséquences.
Les conséquences de la souffrance au travail
En règle générale, angoisse au travail et souffrance au travail conduisent à de l’improductivité.
Vous réussissez à vous contenir, à subir toutes ces pressions, à encaisser tous ces coups, tout en étant productif(ive) mais cela ne s’inscrit pas sur le long terme. Alors, vous finissez par en payer les conséquences.
Plus la situation dure, plus la chute est lourde. C’est un peu comme le cratère d’un volcan. Il gronde, parfois sans cesse et quand il arrive à maturité, il déchire la terre, rejette son amas dans un bruit impressionnant.
Il risque d’en être de même à propos de votre souffrance au travail laquelle est répartie en deux catégories :
- La surcharge psychique
- La surcharge comportementale
Quelles sont les surcharges liées à la souffrance au travail ?
En matière de surcharge psychique et de souffrance au travail, il s’agit de dépressions, de maladies professionnelles, de stress post traumatique, d’épuisements nerveux lesquels mènent parfois à des suicides.
En milieu de travail, ce sont autant de sujets abordés par des groupes liés à la prévention des risques psychosociaux. C’est une quasi obligation au sein d’entreprises qui dépassent les 50 salariés.
Mon expérience me montre que, depuis des années, ce travail de groupe est déconsidéré voire ignoré. Cela coûte et ne rapporte pas grand chose. Après des années à réaliser des audits à ce sujet, force m’est de constater que beaucoup d’entreprises ne tiennent aucun compte des recommandations qui leur sont faites ou si peu.
La surcharge comportementale correspond aux violences que vous pouvez manifester envers vos collègues, l’encadrement technique ou l’outil de travail.
Dans les deux cas, la coupe est pleine et il est grand temps que vous affirmiez vos limites.
Souffrance au travail : Comment exprimer sa limite ?
Avec le temps, vous rendez compte que, même si vous aimez votre métier, vous l’exercez « à reculons ».
Mais, jusqu’à quand allez-vous vous comporter ainsi ? Jusqu’à la dépression que vous craignez tant ? Vous attendez d’être licencié(e) ? Vous persistez jusqu’à ce que vos humeurs remettent votre couple ou votre famille en cause ?
Je peux continuer encore longtemps à dresser une liste noire des ressentis et conséquences liés à cette souffrance au travail. Cela n’a aucun intérêt.
Par contre, si vous…
- Convenez que vous avez besoin d’aide.
- Acceptez l’augure que votre orgueil vous joue des tours.
- Comprenez que vous n’êtes pas responsable de votre propre souffrance mais…
- Envisagez, sérieusement, que vous êtes responsable quant à faciliter votre mieux être et…
- Reconnaissez qu’il est grand temps d’agir.
alors je vous invite à vous intéresser à ce qui suit.
Une solution à l’angoisse au travail
Je pense que, désormais, vous en savez beaucoup – que vous ne sauriez déjà – quant aux origines et aux causes de l’angoisse au travail et de la souffrance au travail.
A ce stade vous en êtes à trouver une solution à l’angoisse au travail. A cette fin, je vous invite à cliquer sur le lien ci-après :
Angoisse au travail ? Ce livre est fait pour vous !

Vous en avez plus qu’assez de vous perdre dans ces thérapies classiques qui ne vous offrent que peu voire pas de résultats ?
Vous en avez marre de consommer des médicaments (anxiolytiques, antidépresseur, neuroleptiques, etc.) comme de toutes vos démarches – répétées mais vaines – pour essayer de comprendre quelque chose qui échappe totalement à votre contrôle ?
Alors, faites votre révolution mentale en bénéficiant du Programme ARtUS.
C’est une méthode simple, à suivre étape par étape, basée sur l’expérience de milliers de personnes comme vous, dont les résultats ont été scientifiquement prouvés par une étude de l’INSERM*.
Grâce à des techniques comportementales qui ont fait leurs preuves, comprenez enfin ce qui vous bloque et vous empêche de vous épanouir.
Hackez votre cerveau pour reprendre le contrôle de votre vie en moins de 2 mois, sans médicaments, avec un taux de réussite supérieur à 95%.
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* Institut National Scientifique d’Études et de Recherches Médicales
18 replies to "Comment se débarrasser de l’angoisse au travail ?"
Bonjour Josiane,
L’angoisse au travail est toujours d’autant plus pénible que le travail est un stress en soi.
Pour remédier à votre problème et retrouver confiance en vous, je vous invite à cliquer sur le lien ci-dessous. Les informations auxquelles vous accédez vous permettent de retrouver confiance et, surtout, de ne plus être angoissée.
Bien à vous.
« Comment ne plus être angoissé(e) au travail »
bonjours je m’appelle Josianne je suis tresse je vien de recommence a travaille et je sais pas ce que j’ai et aujourd’hui j’ai appelle ma gérante pour lui dis que j’ai pas dormier et sais vrai a causse de mon stress c’est pas la premier fois que je fait sa je parle avec mon conjoins a tout les jours mais din fois je sais pas trop comment reagire je travaille dans un tim de nuit et sa me stress beaucoup desolet pour le derangement et merci pour le texte que tu a écrire sa ma beaucoup aider et j’espere que je vais aller mieux demain matin et que je vais bien dormier ce soir
Bonjour Virginie,
Merci de votre témoignage. Je crains cependant que le choix que vous faites de travailler en Freelance ne va rien résoudre. C’est une je ne sais quantième tentative de solution, et vous savez, pour l’écrire vous même, que cela ne donnera rien (en plus d’aggraver – enrichir – votre problème).
Peut-être pourriez-vous envisager de traiter le problème dont vous êtes victime au fond et non dans la forme?
Je suis à votre écoute pour en parler si vous le souhaitez. Prenez bien soin de vous.
Merci pour votre article
Je me reconnais dans tous ces commentaires.
Depuis 3 ans je ressens la peur d aller travailler
Du coup j enchaîne les boulots mais sans en retirer
Quoiquesoit alors que j ai eu des postes qui m apportaient des satisfactions du travail bien fait.
Je vais essayer le freelance au moins si je me plante je saurai pourquoi.
Bonjour Mary,
Je crois que nous vivons dans une société, un système, où l’être humain devient quantité négligeable. Seuls comptent la production, la rentabilité, le profit, l’excellence au nom du profit. Et j’en oublie. Si je résume, un tel contexte signifie faire plus en ayant moins. Une aberration que soutiennent certaines personnes qui n’ont aucun sens des réalités sociales. Et qui, par ailleurs, vivent elles aussi dans la peur.
On assiste donc à un comportement bien connu. Quand la peur du N°1 s’exprime, elle redescend sur les niveaux hiérarchiques subalternes. Mais, la pression ainsi générée est empêchée de remonter. Et, quand elle remonte, on parle de « sédition ». Et là, c’est le chaos. Celui-là même au sujet duquel les responsables expriment un déni effarant: « C’est pas moi. C’est la nécessité du changement ».
Le seul moyen de valoriser un changement c’est d’y associer tous les membres. Pas de les contraindre. Sinon, tôt ou tard, la réaction se fera entendre. En l’espèce, je pense aux #giletsjaunes et à la violence d’état.
Vous en serez donc quitte pour des émotions particulièrement pénibles, lesquelles reposent quasi exclusivement sur la peur (j’ai rédigé un article sur la peur comme élément de gouvernance). La peur et, partant, l’anxiété qu’elle soutient, justifie des problèmes de tétanie comme le vôtre. C’est du domaine de la réaction.
Les crises de tétanie, en plus de leur dimension physique, sont souvent liées à des problèmes d’angoisses. Anticipation, tentatives répétées de contrôles émotionnels, charge mentale. Perte de contrôle du contrôle, etc.
Si vous voulez sortir de cet enfer, et prendre la distance par rapport à cet environnement professionnel toxique, c’est à dire « objectiver », je vous invite à regarder cette vidéo. Vous y découvrirez comment reprendre acte de vous, prendre soin de vous, vous affirmer, ne plus être mise à mal par vos émotions, exprimer vos limites, vous respecter sans peurs, etc. Un vaste programme donc, mais simple, rapide, et efficace.
« Comment ne plus avoir peur dans un environnement professionnel toxique? Comment reprendre confiance en soi?«
Bonjour,
Votre article a fait tilt dans ma tête !!!! Je me reconnais tellement !!!!
Travaillant dans une mairie, nous changeons d’employeur tous les 6 ans (normalement) et donc pour moi depuis 2014 c’est l’enfer. Je fais crises de tétanie sur crises de tétanie la nuit tellement mon travail est stressant angoissant avec une hiérarchie plus qu’oppressante. Je suis actuellement en arrêt maladie et je sais pas comment envisager la suite… je suis perdue. Nous sommes 3 à avoir craqué.
Bonjour Justine,
La France est devenue, en Europe, le pays champion d’épouvantables conditions de travail fruit d’un libéralisme outrancier. A titre d’exemple, l’état français, est l’un des pires employeurs qui soit.
La peur générée par des conditions de travail délétères (menaces, harcèlement, etc.) peut-être freinée et éliminée à la condition d’utiliser les bonnes méthodes comportementales pour vous affirmer et vous respecter. Il s’agit donc de réduire le stress induit (perçu et vécu) de sorte à retrouver confiance.
Vous ne pourrez pas changer votre environnement de travail. Mais vous pourrez changer votre vision des choses, votre façon d’être et de faire. Partant, vous aimer et vous respecter en cessant d’être otage de cette même peur que beaucoup de responsables utilisent pour se protéger de leurs propres peurs.
Dès lors, à vous les nuits de sommeil paisible, et la tranquillité de l’esprit.
Bonjour, j’ai lu attentivement votre article et je me retrouve totalement dedans , de part la situation précaire d’un travail en CDD donc la peur de le perdre facilement, un management très limite qui gère une équipe où beaucoup sont absents et donc qui compte sur les autres pour faire des heures presque sous la menace …
La peur de faire des erreurs préjudiciables
Du coup ça donne un stress permanent, insomnies etc un vrai cercle vicieux
Difficile d’en sortir parce qu’on se sent seul
A voir la suite de la situation…
Merci de votre partage. Si je peux vous être utile pour ne plus souffrir de stress et d’angoisses, et vivre une grossesse apaisée, n’hésitez pas à me solliciter.
je me suis retrouvée dans votre article ça m’a fait du bien et me suis dit que je ne suis pas folle sa me rassure.étant enceinte sa n’arrange pas le fait que je sois stressé et angoissé merci à vous et bonne continuation
Bonjour,
Je suis ravi d’apprendre que vous vous sentez moins seule après la lecture de cet article. Si vous avez besoin de précisions, ou avez des questions à me poser, n’hésitez pas à me contacter.
Je vous souhaite une belle journée, et prenez bien soin de vous.
Je suis tombée sur votre article et je me suis tellement retrouvée dedans…
Tout ce que vous écrivez est malheureusement vrai…
Et on fait un OUF en se disant ca va je ne deviens pas folle…
Bonjour Virginie,
Vous comme moi pouvons trouver tout un tas d’explications à votre problème. Pour autant, cela ne vous donnera pas la solution. Je vous invite à parcourir le blog pour trouver d’autres ressources.
N’hésitez pas à me re contacter si vous avez des questions ou besoin d’accéder à d’autres ressources pour trouver une solution. Je vous souhaite une excellente journée.
Frédéric
Bonjour
je suis tombée sur votre article parce que justement je pense que j’ai ce genre de problème… du moins je pense aussi que je suis dégoutée du travail en général et pourtant je n’ai que 26 ans…
Je suis actuellement en arrêt pour une baisse de tension, mais rien que de penser que je vais devoir travailler demain, m’angoisse… pourtant tout ce passe bien dans mon nouveau boulot! Après est-ce que c’est du aux nouvelles responsabilités? Peut-être! Est-ce que c’est du au traumatisme de mon ancien boulot? Sûrement! je ne sais pas dans le fond…
Et votre article a mieux comprendre le système qui nous entoure et apprendre à vivre avec!
Je vais essayer de trouver les autres articles
Cordialement
Bonjour Franck,
Merci de votre témoignage. A tort ou à raison, je fais partie de ceux qui pensent que nous sommes utilisés, instrumentalisés, voire infantilisés. Il n’y a qu’à regarder l’impact qu’ont certains réseaux sociaux sur une partie de la population pour s’interroger sur cette notion d’image et de jugement.
Il en va de même dans le monde du travail où, quand il ne s’agit pas de procédures contradictoires, il faut produire, encore et toujours, au détriment de l’homme et de sa nécessaire harmonie. Le plus souvent, l’homme réagit par peur dans un monde qui lui promet l’ostracisme, s’il ne fait pas ce qu’il faut.
A trop attendre d’être aimé et reconnu des autres, on s’en oublie soi même et les conséquences en sont souvent désastreuses.
Bonjour,
Je partage volontier l’analyse que vous faites de l’angoisse au travail de nos jours, dans votre article.
Des solutions existent pour remédier à nos maux(En l’occurrence les miens…) J’ai lu votre parcours de présentation dans « Qui suis-je? », et je dois dire que m’y suis en partie reconnue(Je n’ai pas abusé de toxiques cela dit…),mais j’ai en revanche, j’ai recours aux anti-dépresseurs et anxiolytique(Non benzo, toutefois…) depuis longtemps. Cela-dit, sans avoir le désir pour autant de devenir comportementaliste, j’apprécie de savoir que le monde que vous décrivez est une impasse humainement abject, et que ce constat doit nous conforter dans le fait que notre raison n’est pas forcément celle qui déraisonne le plus; et que ce n’est pas si mal de fait, en conséquence de penser à s’aimer davantage, en effet…
CORDIALEMENT
Bonjour Mathilde,
Je suis toujours ravi quand mes articles apportent de l’aide aux personnes qui, comme vous, prennent la peine de les lire jusqu’au bout… Si vous avez des questions, n’hésitez pas à me contacter. Prenez bien soin de vous.
Merci pour votre article !
Moi qui éprouve de terribles angoisses au travail, j ai éprouvé du soulagement en lisant cet article . Je ne sais pas comment va se dérouler la suite, mais je vais lire le reste de ce que vous avez écrit sur le sujet !
Salutations !