On parle sans cesse de confiance en soi. Ce vocable, ou ce comportement, suscite bien des vocations (si si) et bien des fantasmes. Nous devons, toutes et tous, faire de preuve de confiance en soi. Et ce dans toutes les domaines de nos vies. Dans toutes les circonstances. A priori, pour la plupart d’être nous, c’est plus facile à dire qu’à faire.
Le présent article a pour vocation à vous donner les bons outils pour vous permettre de retrouver confiance en soi en quelques semaines seulement. Sans médicaments d’aucune sorte. Ni solution miracle. Juste en utilisant une stratégie comportementale.
En effet, vous possédez déjà toutes les qualités pour retrouver confiance en soi. Le contenu du présent article vous permet de mettre en valeur vos compétences. Et, ainsi, de savoir comment faire pour retrouver confiance en soi. Rapidement, et facilement. Vraiment. Bonne lecture.
Définition de la confiance en soi
Quand on parle de confiance, on parle de sécurité. C’est à dire que l’on se sent affirmé(e) sur ses bases tant personnelles, que sociales, professionnelles, etc. Dans le cas contraire, c’est plutôt l’anxiété qui s’installe de façon durable et qui est parfois agrémentée d’angoisse ou de crise d’angoisse. or, dans les questions de confiance en soi, il existe différentes variables… invariables. Ces variables sont les suivantes:
- Image de soi
- Affirmation de soi
- Sentiment de sécurité (à tous égards)
- Désir de réussir sans en faire un objectif majeur
- Absence objective de peur d’échouer
Pour ne citer que les plus importantes, sans oublier:
- Comportement adulte
- Comportement responsable
En ce qui vous concerne, vous êtes victime d’angoisse, d’anxiété ou de phobie. Depuis le temps que vous en souffrez, il serait normal que l’image que vous avez de vous soit modeste. De fait, il peut vous être difficile de vous affirmer, de dire « NON » à propos de certaines choses ou dans vos relations avec certaines personnes.
L’angoisse, tout comme l’anxiété et/ou la phobie, génère un sentiment d’insécurité patent qui vous empêche de vous sécuriser. Vous avez donc toutes les raisons, du fait de peurs projectives, de craindre de ne pas réussir donc d’échouer.
Confiance en soi: Notions d’échec et de réussite
Ainsi, chacun d’entre nous fait l’objet de ce que l’on appelle une injonction – un ordre -, celui de réussir. Nous craignons donc toutes et tous de ne pas être à la hauteur d’une situation, quelle qu’elle soit, de ne pas avoir le comportement adapté par rapport à une situation.Cette peur est, bien évidemment, facteur d’angoisse voire de crise d’angoisse.
A chaque fois que vous êtes confronté(e) à un événement, et ceci quel qu’en soit le contexte ou l’environnement, dont vous redoutez l’issue – peur de ne pas savoir vous maitriser et maitriser les composantes de cet évènement -, et sur la foi des éléments qui constituent votre personnalité, votre cerveau vous adresse une ou plusieurs informations qui vont vous alerter, et exiger de vous que vous ayez le comportement adapté.
Encore faut-il que vous soyez au clair quant aux objectifs poursuivis. Ce qui n’est pas souvent le cas, loin s’en faut. En conséquence, si, par rapport à la vision que vous avez d’une situation, vous commencez à rentrer dans ce qu’il est convenu d’appeler une « peur projective », c’est à dire une peur irraisonnée de ne pas être à la hauteur d’une situation, vous allez tenter d’ignorer les messages que notre cerveau vous adresse. D’où votre angoisse laquelle peut se muer en anxiété si l’angoisse n’est pas traitée de façon adaptée.
Une réaction improductive
Vous allez donc contrôler votre comportement, donc votre angoisse, en inhibant – en ignorant – la réalité de vos émotions (peur, joie, tristesse, dégoût, colère, honte, culpabilité) pour éviter angoisse, anxiété et/ou phobie.
Il s’agit pour vous de réussir à faire ce que naturellement vous n’arrivez pas à réaliser sans que vos émotions ne vous entravent. En niant la réalité émotionnelle perçue, vous allez souffrir de ce dont vous cherchez précisément à vous protéger. En bref, pour éviter l’angoisse et ses conséquences, vous… la créez!
A ce moment, votre cerveau comprend que vous ne comprenez pas les informations qu’il vous donne. Il va donc augmenter les niveaux d’expression du danger perçu et ainsi, aggraver votre problème de sorte à vous « inviter » à adopter un comportement… adapté.

La preuve par l’exemple
Imaginons que vous ayez peur de croiser quelqu’un pour quelque raison que cela soit (ou peur d’un rendez vous personnel ou professionnel, ou d’une réunion de famille, etc.).
Imaginons maintenant, alors que vous êtes une personne adulte et responsable et que, pour ne pas perdre la face devant les gens avec lesquels vous vous trouvez, vous ne souhaitiez pas que votre peur – votre angoisse – s’exprime devant tout le monde. Pourquoi ce comportement réflexe?
Pourquoi? Tout simplement parce que vous en concevez de la honte, de la culpabilité ou encore que vous ayez peur, à juste titre, que l’on se moque de vous en disant:
- C’est ridicule! Que veux-tu qu’il se passe?
- Cette personne m’a l’air est totalement inoffensif
- Etc
Cela vous rappelle t’il quelque chose ? Peut-être que ces personnes ont raison. Mais, en attendant, vous avez peur. Vous ressentez l’angoisse. Vous avez très peur et ce d’autant plus que, auparavant, vous aviez déjà peur d’avoir peur… Par rapport à vos émotions et aux informations que votre cerveau a accumulé au gré de vos expériences de vie et de votre maturité, il est une réalité:
- Vous avez peur de cette personne (ou de la façon dont l’entretien pourrait se dérouler) et votre peur est incontournable, voire ingérable. Vous n’êtes pas en mesure d’objectiver.
La peur du jugement des autres
Fort des propos des «autres», vous allez vous obliger à vous comporter comme si cette situation ne vous posait aucun problème. Vous ressentez l’angoisse mais allez faire comme si vous ne subissiez aucune angoisse. Votre cerveau vous dit que c’est la guerre et vous, vous feignez la paix! En réagissant de la sorte, votre cerveau comprend que vous ne comprenez pas le danger auquel il vous confronte en vous demandant de faire ce qu’il faut.
Par exemple:
- Vous comporter le plus tranquillement du monde
- Vous écarter de cette personne quand vous la croiserez sans que rien ne puisse laisser préjuger de votre trouble, de votre angoisse
- Passer votre chemin comme si de rien n’était
Avec un grand avantage en réagissant de la sorte. Les autres n’y verraient rien à redire… Alors, peut être que vous allez faire ce que je viens de préciser, mais cela sera précédé d’un cri intérieur ou, peut-être, allez vous partir en courant ou en prétextant un problème de dernière minute (je connais cela pour l’avoir déjà vécu…).
A réaction inappropriée, résultat inversement proportionnel
En faisant comme cela, dans le même temps, vous allez confusément ressentir la peur – l’angoisse – d’être la risée de vos congénères, et vous allez donc craindre de ressentir de la honte et de la culpabilité quant à n’avoir pas su maitriser vos émotions, contrôler votre comportement, contrôler votre angoisse.
Pour vous éviter cela, vous allez vous contraindre à faire comme si de rien n’était. Vous risquez donc d’avoir de plus en plus peur. Vous allez imaginer que cette personne va vous parler, ou vous retenir, pour exprimer quelque chose que vous ne voulez pas entendre, ou que sais-je quoi d’autre encore.
Confiance en soi: Anticiper est une erreur
En bref, vous allez imaginer des choses dont vous ne savez absolument rien. C’est ce que l’on appelle une peur projective (imaginer un avenir dont on ne sait rien). Et vous allez faire « çà » tout en essayant de faire bonne figure.
En effet, vous pourriez dire: « J’ai trop peur. Comment faire faire pour éviter çà? M’en aller? Me cacher?». Or, ce qui vous empêche de faire cela c’est précisément ce que vous craignez que les autres pensent de vous si vous dites cela et si vous vous comportez en conséquence.
Dans le même temps, à propos de cette personne, vous êtes convaincu(e) de choses dont vous ne savez rien. Vous anticipez en permanence.
Vous essayez malgré de tout de vous raisonner mais cela ne marche pas. Sans succès, vous essayez de contrôler le flot de votre angoisse. Vous imaginez des choses qui vous inquiètent et, dans le même temps, vous essayez de contrôler votre peur… Plus vous contrôlez vos émotions, moins vous avez un comportement adapté !
Ainsi, plus vous contrôlez vos émotions plus vous les aggravez. En effet, votre cerveau agit de la sorte car il comprend que vous ne prêtez pas garde au danger qu’il vous présente.
Une perte de maîtrise programmée
De fait, le cerveau accroît l’intensité de votre émotion – angoisse, anxiété, phobie -, plus le cerveau aggrave votre perception, et plus vous essayez de vous enjoindre de contrôler la situation, moins vous la contrôlez, et plus vous êtes… confronté(e) à votre perte de maitrise.
Il y a donc un moment où vous courrez le risque d’être comme « scotché ». C’est à dire que vous avez beau essayer de vous rassurer par rapport à la situation, rien n’y fait puisque, de fait, votre cerveau a le pouvoir sur vous. Votre cerveau, au contraire de vous, agit de façon objective. Votre cerveau se fonde sur les éléments constitutifs de votre personnalité pour vous faire appréhender une situation comme dangereuse ou non.
Donc, plus mal vous réagissez par rapport aux informations que vous donne votre cerveau, plus votre cerveau accroît l’intensité de vos émotions.
Moins vous avez un comportement adapté, plus vous souffrez et moins vous trouvez de solutions à votre problème d’angoisse ou de crise d’angoisse alors que, paradoxalement, c’est précisément ce que vous souhaitez. Maintenant, j’ai une bonne nouvelle pour vous.
Accueillir ses émotions
Quand vous êtes confronté(e) à votre angoisse, et que vous en avez conscience, ce qu’il est important de faire, c’est, séance tenante, de s’arrêter. Vous arrêtez tout ! Cela signifie que vous allez immédiatement cesser d’imaginer la façon dont vous pourriez traverser votre émotion sans encombres.
Du genre : « J’ai toutes les raisons d’avoir peur, de me sentir si mal, mais je vais faire comme si je n’avais pas peur alors que j’ai peur de ne pas arriver à contrôler mon problème». Je vous rappelle qu’en agissant de la sorte vous allez contre votre cerveau lequel va aggraver votre perception émotionnelle.
Donc, plutôt que de lutter contre votre angoisse, c’est de l’accepter. Essayez de vous convaincre qu’il est normal que vous ayez peur, qu’il est normal que vous ressentiez cette angoisse et que vous ayez toutes les peines du monde à la contrôler.
Cela fait de vous un être humain qui a des émotions. Sinon, c’est comme si vous luttiez contre votre joie et que vous affichiez un visage sombre alors que vous ne ressentez que légèreté et bien être. Dans le cas contraire, vous sombreriez dans le cadre comportemental de toutes ces personnes qui font montre d’une pudeur excessive au point qu’elles ne savent même plus exprimer leurs joies, et encore moins leurs désirs et leurs plaisirs.
Confiance en soi: Accepter ses émotions
A quoi tient ce comportement? Et bien, moins vous allez accepter et exprimer vos émotions, plus elles vont se superposer les unes les autres jusqu’à ce que leur poids vous devienne insupportable. C’est ce que, par ailleurs, on appelle dans les domaines de la gestion du stress: « l’escalier de la pression ».
Toutes vos émotions accumulées vont devenir irrespirables et, ainsi, vous prenez le risque dans une situation mineure d’avoir une réaction émotionnelle totalement disproportionnée.
Imaginons par exemple que, comme moi, vous ayez la chance d’être parent, et alors que vous êtes tendu(e), fatigué(e), et que l’un de vos enfants fait une « bêtise », une toute petite bêtise ou plutôt une maladresse du genre de celle de faire tomber l’un de ses couverts de table et, alors que vous « débordez d’émotions », vous admonestez très durement votre enfant voire… le frappez.
Il ne s’agit donc pas de fuir votre émotion ou de la combattre avec des outils inadaptés comme je vous l’expliquais précédemment mais, bien plus, de vous dire:
- OK. Je ne me sens très mal. C’est normal
- Je suis un être humain et je ne peux pas, tout le temps, savoir tout gérer
Soit écrit en passant, être confronté à votre problème est aussi le signe de votre désir de bien faire. Mais… n’en faites pas trop non plus! Nous avons posé la première règle. Qu’en est-il de la seconde?

Le pire pour le meilleur
l existe un exercice bien particulier qui vous aidera en toutes circonstances, qu’il s’agisse d’angoisse, de crise d’angoisse, de phobie, ou encore d’anxiété. Cet exercice, quand vous le réalisez précisément comme je vous l’indique, va calmer les émotions de votre cerveau. Grâce au « langage hypnotique » que vous allez employer, votre cerveau va se réguler et vous ne souffrirez plus d’angoisse, d’anxiété ou de phobie (sachant qu’il vous faudra peut-être utiliser d’autres exercices stratégiques que vous trouverez dans les différents articles de ce blog.
Comment cet exercice agit-il? En fait, il s’agit de quelque chose de très simple. Quelque chose que l’on connaît de façon scientifique et qui est appliqué dans la gestion des personnes atteintes d’hyperactivité et de troubles de l’attention et/ou de la concentration.
Qu’est-ce qu’une personne hyper active? C’est une personne dont le cerveau fonctionne beaucoup plus rapidement que la normale. Schématiquement, imaginez qu’un cerveau normal fonctionne à 100 kilomètres à l’heure et que celui d’un hyper actif « tourne » à 3 ou 400 kilomètres à l’heure!
Ainsi, le trouble est constitué quand un hyper actif veut exécuter une tâche, par exemple attraper un crayon sur une table. Il aimerait le faire mais ne peut y arriver dans des conditions convenues habituellement. Non pas que l’intéressé(e) ne puisse pas l’attraper avec ses doigts mais, au moment même où la personne veut attraper son crayon, son cerveau lui donne une multitude d’autres ordres, ce qui empêche cette personne d’agir conformément à l’ordre initial, prendre un crayon.
Vouloir n’est pas pouvoir
On dit souvent que les personnes affectées par un trouble de l’attention ou de la concentration ont le « tracassin ». Elles ne tiennent pas en place. J’en veux pour preuve ces enfants hyper actifs qui, tant qu’ils ne sont pas diagnostiqués, rencontrent de gros problèmes scolaires, des problèmes d’apprentissage et… de discipline.
Vous aurez beau enjoindre à un hyper actif d’exécuter les ordres que vous lui donnez, vous aurez beau exiger, voire tempêter, il ne le pourra pas. Ce n’est pas qu’il ne le veuille pas, c’est qu’il ne le peut pas. Comme vous à propos de l’angoisse ou de l’anxiété.
Votre cerveau a une particularité
Ces personnes hyper actives sont atteintes d’un trouble neurologique qu’il est impossible à stabiliser sans un médicament spécifique : La Ritaline®. Ce médicament, cette molécule, est une méta amphétamine. C’est à dire un hyper excitant. Et cela va agir sur le cerveau de la façon suivante.
Du fait de ce psycho stimulant, de ce médicament, et alors que le cerveau de l’hyper actif fonctionne très très vite, trop vite au point que la personne rencontre des troubles de l’attention et de la concentration, le cerveau va fonctionner encore plus vite. Passer de 400 à 600 à l’heure (valeur schématique). Devant un tel danger, puisque le cerveau risque d’exploser comme s’il surchauffait (comme une centrale nucléaire), le cerveau va avoir un comportement très particulier.
Le cerveau va auto réguler son système par nécessité de vie. Il va ralentir son mode de fonctionnement pour retrouver une vitesse de fonctionnement normale. C’est à dire que, sous l’effet de ce puissant psycho stimulant, il va revenir à une vitesse stabilisée. Ce qui va permettre à son propriétaire d’avoir une vie… comme tout le monde.
C’est le principe même de cet exercice que j’ai précédemment évoqué. Ceci concerne l’exercice de fond à réaliser quand vous êtes victime d’angoisse, d’anxiété ou de phobie depuis un certain temps déjà et que vous avez essayé nombre de méthodes sans résultats satisfaisants. Maintenant, il se peut, en cours de traitement, que vous soyez de nouveau victime d’angoisse voire de crise d’angoisse.
Je ne le dirais jamais assez…
Peut-être aurez-vous compris que votre cerveau aggrave vos émotions quand vous les refusez, quand vous les occultez. Désormais, vous avez compris combien il est important d’accepter vos émotions pour ce qu’elles sont. Elles font de vous un être humain qui n’a à jouer qu’un seul rôle.
Le sien propre et non celui issu de ce que vous pensez que les autres pensent de vous. Ou de l’image que vous voulez leur donner de vous. Vous, c’est comme avec un enfant qui vous pose une question à laquelle vous ne savez pas répondre.
- Répondre n’importe quoi et avoir mauvaise conscience
- Formuler une réponse un peu au hasard, et vous sentir coupable
- Ne pas savoir mais, ensemble, avec l’enfant, aller chercher la bonne réponse
En faisant acte d’honnêteté avec vous même, vous serez beaucoup plus respecté que vous ne le croyez. Pour y arriver, pour réussir en fait, il vous suffit de faire les exercices dont vous venez de prendre connaissance. Le reste, c’est à dire la confiance en vous, viendra de façon progressive. A votre insu.
Exercices pour développer la confiance en soi
Quel que soit l’âge que vous ayez, quelles qu’aient été – ou soient – vos expériences de vie, il vous est parfois difficile de vous se sentir en sécurité au point de vous affirmer sans difficultés – sans peurs – et ceci, quelles que soient les circonstances. Du coup, comment avoir confiance en soi n’est pas une question facile.
Comment avoir confiance en soi repose sur un schéma d’une simplicité déconcertante. Autant à propos de vos relations affectives, sentimentales, sociales ou encore professionnelles, la confiance en soi repose tout simplement sur un positionnement, un comportement: enfant ou adulte.
Partant, la question de savoir comment avoir confiance en soi, est-ce un truc avec lequel nous naissons ou pas? Est-ce simple d’avoir confiance en soi? Cela nécessite t’il un long apprentissage? Est-ce parce-que vous souffrez d’anxiété sociale que vous êtes condamné(e) à ne jamais répondre à la question de savoir comment avoir confiance en vous? Les ressources pour avoir confiance en soi sont-elles réservées à une élite? Comment estimer votre capital confiance en soi?

Une question d’estime de soi
Chez la plupart des personnes qui me contactent ou pour que je réponde à leurs questions ou en consultation, il apparaît clairement que la confiance en soi a un lien avec l’image de soi. Suis-je belle, beau, intelligent, bien bâti(e)? Ai-je de l’humour ou non? Et j’en passe.
Autant de questions qui, si elles restent sans réponses positives, plongent les gens dans une abîme qui les empêche de montrer et revendiquer leur présence. C’est donc en fonction de l’image de soi qu’un être humain va ou non s’affirmer, prendre la place qu’il souhaite dans ce monde, prendre des risques, réussir ou échouer. Parant de se doter ou non des outils ad hoc pour savoir comment avoir confiance en soi.
Il est évident que moins bonne est votre image de vous même, plus vous aurez de difficultés à marquer votre place dans quelque système que cela soit. Et moins vous pourrez répondre à cette question de savoir comment avoir confiance en soi. Dès lors, comment se fait-il que certaines personnes réussissent mieux que d’autres? Comment se fait-il que des hommes et des femmes sans être des canons de beauté arrivent à séduire des hommes et des femmes considérés – eux – comme des beautés?
Nul n’est besoin d’être grand clerc – de notaire – pour comprendre que moins vous vous aimerez, que plus vous rechercherez l’approbation des autres, et plus vous serez fragilisé, et plus vous aurez des difficultés, assumées ou pas, à répondre à ce besoin de savoir comment avoir confiance en soi.
Faut-il être bien né(e)?
Parfois, d’aucuns me disent qu’il est facile d’avoir confiance en soi quand on naît dans une famille aisée, que l’on habite dans les beaux quartiers de sa ville, quand on a un beau métier, quand… quand… C’est faux ! C’est une erreur de base mais si fréquemment évoquée que je tiens à insister: il n’y a rien de plus faux que cette affirmation qui consiste à être convaincu que savoir comment avoir confiance en soi est réservé aux hommes bien nés!
Je connais bien des gens dont on dit qu’ils ont tout et qui, pourtant, souffrent d’un considérable déficit de confiance en soi.
Il ne s’agit pas d’être bien né(e) pour savoir s’affirmer et prendre des risques. En fait, il est un élément des plus simples, mais aussi des plus compliqués, qui répond à cette question de savoir comment avoir confiance en soi, c’est une question… d’amour.
L’amour des siens, l’amour de soi, l’amour inconditionnel. Plus vous aurez été bien aimé enfant, plus vous vous serez senti(e) en sécurité dans votre environnement familial et affectif, et plus vous serez doté d’un capital de confiance en soi conséquent en qualité d’adulte.
L’argent, le lieu de vie, n’a donc rien à y voir ou, plus précisément, l’argent ne fait pas le bonheur comme le dit l’adage, tout au plus, l’argent participe, pour partie, à votre bien être mais c’est tout. En conséquence de quoi, nul n’est besoin d’appartenir à une élite pour répondre à cette question de savoir comment avoir confiance en soi. Je connais bien des gens pour lesquels cette appartenance est un handicap plus qu’une chance.
Est-ce une question d’apprentissage?
D’aucuns pensent, ou sont convaincus, que savoir comment avoir confiance en soi reposent non seulement sur ce qui est précédemment écrit mais mais aussi, et surtout, sur un long apprentissage. Seconde erreur!
Nul n’est besoin de suivre de longs et coûteux stages de développement personnel pour répondre à cette question de savoir comment avoir confiance en soi.
Il est certain que pour certains, il sera plus difficile de s’affirmer, de s’aimer, de prendre position, de marquer sa présence, mais, avoir confiance en soi est bien plus facile que vous ne le croyez.
Comment avoir confiance en soi? La clé
Nous avons tous une histoire. Nous avons donc tous un passé. Celui-là même qui a participé à construire les schémas de notre personnalité.
En conséquence de quoi, il s’agit pas seulement de savoir comment avoir confiance en soi, ou comment cultiver son estime de soi. Partant, il convient donc de se poser les bonnes questions de sorte à, comme j’aime à dire, faire la paix avec votre passé. Qu’entends-je par là?
Considérant la façon dont vous avons été aimé(e), nous aurons, à des degrés divers, des difficultés à nous affirmer dans certains domaines de notre vie. Dans tout ou partie des domaines de notre vie. Il s’agit donc d’identifier ce qui a pu vous poser problème enfant pour que ce qui fut un problème… n’en soit plus un. Identifier la source vous permettra de comprendre et, partant, de savoir comment avoir confiance en soi en transformant les freins en ressources
De facto, de faire d’un problème une solution. C’est tout l’art de l’approche systémique de Palo Alto: contextualiser un problème pour vous apporter une solution qui vous soit dédiée. L’approche comportementale a fait ses preuves à ce sujet.
Comment avoir confiance en soi: La clé ultime
Une fois les freins identifiés, il va s’agir de créer une dynamique d’expérimentation. Ne vous inquiétez pas. Il ne s’agit pas de prendre le risque de dire, frontalement, à la voisine du dessus que vous l’e……. jusqu’à la dernière génération.
Cela n’ait d’aucune utilité et ne ferait que rajouter au problème. En ré agissant de la sorte vous seriez confronté à un retour de bâton de type, ressentiment, honte, incompréhension, voire pire mais, surtout, et encore, diamétralement opposé à l’effet escompté. En conséquence de quoi, votre image de vous même serait encore plus dépréciée et vous vous retrouveriez bien seul(e) devant l’expression stérile de votre colère. Vous en seriez quitte pour une dose conséquente de honte et de culpabilité. Et il deviendra particulièrement difficile de répondre à la question de savoir comment avoir confiance en soi.
De fait, quand vous voulez aborder un problème, il est totalement inutile, et vain, de l’aborder de façon directe. Seule une approche stratégique et progressive va vous aider. Il s’agit de prendre le problème par la bande, comme au billard français. A l’inverse, si vous attaquez le problème de front, vous allez générer plus de désordre qu’autre chose, et vous en serez pour vos frais!
En sus de la première clé d’accès qui vous permet de savoir comment avoir confiance en soi, il existe une seconde clé qui se suffira à elle même pour vous offrir tout ce que vous puissiez souhaiter
Cette seconde et ultime clé, c’est le transfert d’un statut d’enfant, qui n’ose s’affirmer par peur de ne plus être aimé, à un statut d’adulte qui s’affirme dans toutes les circonstances qui vous tiennent à cœur d’une part, et à propos desquelles il vous apparaît fondateur de vous exprimer d’autre part. En cela, vous aurez répondu à la question de savoir comment avoir confiance en soi.
Cette seconde clé, c’est un petit objet que vous allez utiliser d’une façon dite « transactionnelle ». Je vais prochainement publier une vidéo à ce propos. Le contenu de ce live sera de vous expliquer les mécanismes de votre résistance au changement et de vous expliquer comment utiliser, progressivement et stratégiquement, cet objet grâce à des méthodes d’expérimentation. C’est à dire, vivre, pas à pas, votre affirmation de vous même et progresser en ce sens de sorte à trouver l’équilibre qui vous convient.
Manque de confiance en soi: Comment s’en débarrasser?
Comme vous l’aurez compris, vous disposez d’un capital naturel de confiance en vous. Votre difficulté ne réside pas dans son volume mais dans la façon dont vous osez ou non l’utiliser.
Par exemple, ce n’est pas parce que vous souffrez d’anxiété sociale ou de phobie sociale que vous êtes condamné à ne jamais avoir confiance en vous. L’anxiété n’est que le symptôme de votre problème de confiance, lequel s’exprime, par exemple, par votre peur d’être jugé, votre peur du regard des autres.
Votre problème, et sa solution, sont ailleurs de là où vous pensez qu’ils sont. C’est en découvrant leur mécanique que vous saurez comment faire. Je vais me faire un plaisir de vous le démontrer d’ici à quelques semaines à l’aide d’une série d’EBook dans une collection que j’ai pris plaisir à appeler: « Pour en finir avec… ».
C’est grâce à cela que vous découvrirez les mécanismes auto bloquants qui vous empêche de répondre à la question de savoir comment apprendre à avoir confiance en soi – une sorte d’auto sabotage – lié à des inhibitions répétées et, partant, comment les débloquer pour, enfin, vivre votre vie… comme vous en rêvez?
Pour vous, fini les angoisses ou les crises d’angoisses à l’idée de vous affirmer. D’une façon simple et pratique, et en quelques minutes seulement, vous découvrirez comment faciliter votre épanouissement personnel en prenant – vraiment – votre place dans votre vie. Imaginez donc que ce qui vous est proposé c’est de vous délier de votre inhibition pour accéder à… l’harmonie.
Intéressé(e)?
Si vous êtes intéressé(e) par apprendre comment avoir confiance en soi, à mettre un terme à vos problèmes d’angoisse, d’anxiété, de phobie ou de toc qui vous empêchent justement d’avoir confiance en vous, si vous êtes prêt(e) à vous consacrer 15 minutes par jour pour ce faire, alors j’ai quelque chose pou vous…
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Manque de confiance en soi: Comment s’en sortir?
Avoir confiance en soi et développer une estime de soi équilibrée est essentiel pour mener une vie pleine et épanouie. Sans cela, les adultes qui n’ont pas développé une confiance suffisante en eux peuvent rencontrer de nombreux problèmes sociaux et professionnels.
Le manque de confiance en soi provoque des difficultés relationnelles importantes et empêche de prendre la place que l’on mérite. Heureusement, on peut s’en sortir facilement avec un peu d’aide.
Quels sont les signes d’un manque de confiance en soi?
Les signes du manque de confiance en soi sont nombreux et varient d’une personne à l’autre. Cela dépend surtout de votre histoire personnelle et de vos difficultés psychologiques propres.
Par exemple, rougir en public et souffrir de bégaiement sont des signes typiques du manque de confiance en soi. Pourtant, beaucoup de personnes avec une faible estime d’eux-mêmes n’en souffrent jamais.
Les différents signes les plus fréquents d’un manque de confiance en soi sont:
- L’incapacité à choisir: Les personnes qui ont une faible estime d’elles-mêmes sont toujours convaincues de ne pas être à la hauteur.
Elles ont peur d’échouer ou de ne pas faire les choses correctement.
Résultat, elles ont beaucoup de mal à prendre des décisions et à faire des choix. - Éviter l’intimité, de peur de décevoir ceux qui les connaîtraient vraiment.
Ceux qui ont une faible estime d’eux-mêmes ne s’aiment pas.
Ils craignent donc logiquement que leurs proches ne les aiment plus s’ils découvrent qui ils sont vraiment.
Ils ont donc peur de l’intimité et évitent de se confier.
Souvent, après un moment d’intimité, ils regrettent de s’y être abandonnés et craignent les conséquences. - L’arrogance, la vanité: Même si cela peut sembler paradoxal, les personnes très arrogantes manquent – souvent et cruellement – de confiance en elles.
Comme elles se détestent, elles compensent fortement en renvoyant une image très arrogante.
Cela s’explique aussi par le fait qu’elles souffrent de leur faible estime et ne supportent donc pas que les autres les rabaissent, d’une manière ou d’une autre. - Avoir toujours raison: Là encore, on considère cela comme une tentative de compensation.
La personne qui manque de confiance en elle va chercher à impressionner son entourage pour ne pas entendre ses propres doutes.
Comme elle supporte mal qu’on la contredise, elle pourra réagir très mal aux débats et imposer violemment son point de vue.
Quelles sont les causes du manque de confiance en soi?
Les causes du manque de confiance en soi sont multiples et variées. Elles dépendent vraiment de l’expérience personnelle de chacun. D’ailleurs, l’exploration de ces causes et l’une des pistes pour aider ceux qui souffrent d’un manque de confiance en soi trop important.
Généralement, on commence par considérer les pistes les plus courantes, car elles ne sont pas excessivement nombreuses.

Les troubles anxieux sont une des causes les plus fréquentes. Plus précisément encore, les personnes qui souffrent de phobie sociale semblent avoir presque systématiquement des problèmes d’estime.
Cette phobie pousse le patient à craindre le regard et le jugement des autres en permanence. Naturellement, il craint ce regard parce qu’il est convaincu que les autres ne le trouveront pas à la hauteur et jamais assez bien.
D’une manière plus générale et diffuse, le manque de confiance en soi plonge ses racines dans l’enfance des individus. Notre société a un défaut majeur: elle déresponsabilise complètement les enfants et leur demande de devenir des adultes responsables et majeurs du jour au lendemain.
Par paresse ou par inquiétude, de nombreux parents interdisent à leurs enfants de vivre et de prendre des décisions, même anodines. L’enfant devient ensuite un adulte qui n’a pas bâti d’estime personnelle.
Comment soigner le manque de confiance en soi?
Le manque de confiance en soi n’est pas un état permanent et stable contre lequel on ne peut rien faire. D’ailleurs, ceux qui en souffrent se rendent vite compte que les choses peuvent empirer dramatiquement à certaines périodes de leur vie. Pourquoi?
Parce que l’hygiène de vie a un impact considérable sur notre estime. Manger correctement, faire du sport et bien dormir sont trois conditions essentielles pour diminuer votre manque de confiance en vous.
Cependant, on ne doit pas croire qu’il est toujours possible de guérir seul sans l’aide de personne. Au contraire, l’immense majorité des personnes qui manquent de confiance en elles ont besoin d’aide pour s’en sortir.
C’est parfaitement normal et vous devez vous tourner vers un professionnel pour cela. Un psychothérapeute pourra vous accompagner pendant plusieurs années et vous aider à comprendre les origines de vos difficultés pour en guérir.
Vous pouvez aussi avoir recours aux thérapies comportementales et cognitives. Ces thérapies sont beaucoup plus courtes, mais très efficaces. Elles ciblent des problèmes bien précis, notamment les troubles anxieux et les phobies, pour les soigner en quelques semaines seulement.
Elles peuvent faire des miracles sur le manque de confiance en soi.
Comment reconnaître une personne qui manque de confiance en elle?
Apprendre à reconnaître une personne qui manque de confiance en elle peut vous aider grandement dans vos relations personnelles. Si vous avez une bonne estime de vous-même, vous êtes sans doute très loin d’imaginer le calvaire quotidien qu’endurent ceux qui manquent de confiance en eux.
En les comprenant mieux, vous pouvez avoir des relations plus apaisées avec eux, surtout si vous êtes en couple avec quelqu’un de ce genre. On reconnaît rapidement quelqu’un qui manque de confiance en lui au caractère anxieux et mélancolique de son rapport au monde.
En d’autres termes, il vit constamment dans la nostalgie du passé et dans l’inquiétude de ce que le futur réserve. Il est incapable de profiter de l’instant présent.
À ce titre, vous remarquerez sans doute qu’il repousse indéfiniment l’engagement. Même s’ils vous aiment et expriment son amour, il a toujours peur de devenir trop intime avec vous.
Enfin, l’un des symptômes les plus faciles à repérer, c’est qu’il recherche en permanence l’approbation des autres.
D’un point de vue extérieur, cela vous semblera parfois surprenant de découvrir cette personne, parfois si sûre d’elle dans l’intimité, redevenir un enfant qui acquiesce et cherche absolument à plaire aux gens qu’il rencontre.
Confiance en soi et estime de soi
L’estime de soi est le jugement que vous portez sur votre physique. Vos atouts. Expériences. Capacités. Défauts. Amours, etc. En bref, le regard que vous portez sur vous. Et ce dans tous les domaines de votre vie. Domaines à propos desquels vous estimez échouer ou réussir. Or, avoir une bonne estime de soi est essentiel. C’est l’énergie qui facilite l’assurance nécessaire pour affronter tous les défis de votre vie. Et vous affirmer. Que ce soit d’une façon générale, ou dans un groupe.
Petite précision en passant. Quand j’écris que je vous propose des clés pour avoir une bonne estime de soi, je me permets de préciser que le principe d’une clé est ce qui permet d’ouvrir une porte. Quand elle est fermée.
Si j’en crois certaines définitions, la clé est constituée par un certain nombre d’Informations qui aident à mieux comprendre un comportement. Un phénomène. Une situation. C’est donc un comportement sage que celui ou celle qui tient compte d’éléments d’expériences, et de besoins vrais.
Une clé de la sagesse celle qui permet de mieux appréhender votre bonheur à compter du moment où vos désirs, au lieu d’être illimités, se limitent à la réalité de nos besoins essentiels. J’en veux pour preuve ce qu’en dit Roger Pol Droit, « Lucrèce, l’épicurien », en préface de la traduction de « Lucrèce, De la nature » de José Kany Turpin.
Il est maintenant temps que je vous expose ces 3 clés pratiques pour cultiver l’estime de soi.
S’accepter soi-même
Pour avoir de l’estime de soi, il faut comprendre, et accepter, que l’on n’est pas parfait. Par exemple, il est important de cesser vouloir plaire à tout le monde.
Vous ne pouvez pas vivre avec le désir permanent de plaire aux autres. Alors, je vous suggère de vivre, avant tout, pour vous-même. Ce n’est pas de l’égoïsme. C’est plus simplement logique et honnête. Comment voulez vous apporter aux autres ce que vous ne possédez pas vous même? Si vous faites cela, vous êtes en recherche de l’approbation des autres. Et ce n’est pas bon pour vous.
Le malaise que vous ressentez face au regard des autres est visible dans les situations que vous cherchez à éviter à tous prix. Ce qui vous rend vulnérable.
Dès lors, je vous conseille de lister les situations qui vous posent problème. De planifier une chose chaque jour, pour initier un changement positif chez vous. Il s’agit là de vous confronter à cette réalité douloureuse. Il s’agit de vous affirmer. Et, ainsi, d’avoir une estime de soi la meilleure possible. Meilleure ne signifie pas excessive.
Oser s’affirmer
Vous n’osez pas déranger les gens parce que vous croyez que vous en faites trop? Établissez une liste de cinq à dix personnes à déranger chaque jour.
Quand j’écris « déranger », il s’agit de votre système de pensées. Si ce mot vous dérange justement, remplacez le par « solliciter ». Vous pouvez agir de différentes manières. Cela peut être dans la rue. Essayez de demander un renseignement à un inconnu.
Vous pouvez aussi téléphoner à un proche à qui vous demandez exprès la même chose plusieurs fois. Plus vous multipliez ce genre de situations, plus vous progressez.
Vous avez le droit de ne pas comprendre du premier coup. De redemander une nouvelle fois une chose que vous avez déjà demandé. Parfois, agir de la sorte peut avoir un côté très amusant. Vous n’êtes pas parfait. Acceptez-le. Travaillez vos points de vulnérabilité. Ces fameux points faibles. Ou prétendus.
Je vous entends d’ici me préciser que rien qu’à l’idée d’agir de la sorte, vous sentez les angoisses venir. Je comprends. Mais, si vous ne faites rien, il ne se passe rien. Et vous continuez à vous victimiser. Vous exprimez ainsi de la désapprobation à votre égard. Partant, vous risquez de retomber dans la recherche d’approbation.
Pouvez-vous cesser de ne voir que ce qui ne va pas chez vous ? Identifiez vos qualités. Focalisez vous sur elles. Une bonne technique consiste à affirmer vos qualités sous une forme poétique. Ou lyrique. En agissant ainsi, vous les inscrivez dans votre esprit. Ainsi, vous finissez par vous en convaincre. Il ne s’agit pas de se mentir. Vous avez le droit de sublimer vos qualités. Mais essayez de ne pas vous mentir. Ou d’en rajouter.
Voir les choses sous un autre angle
Cultiver l’estime de soi repose sur l’interprétation que vous faites des choses qui vous arrivent dans la vie. Il ne s’agit pas de fuir la réalité. Plutôt de l’aborder sous un autre angle. Un angle plus bienveillant. Plus objectif.
Prenons un exemple. Votre meilleur ami oublie votre anniversaire. La bonne solution n’est pas de dire que cela ne vous fait rien. Ou de l’agresser avec vos paroles parce que vous vous sentez ignoré(e). La bonne démarche consiste plutôt de se mettre à sa place. D’imaginer les causes probables de cet oubli. Reprenez son excuse sous forme de constat. Il a oublié parce-qu’il a sûrement beaucoup de choses en tête.
Pensez à la culpabilité que votre ami ressent. En fait, tout est fonction de l’angle sous lequel vous voyez les choses. Précisez lui que vous tenez plus à votre amitié qu’à un éventuel cadeau. Ou qu’à son attention à votre égard le jour de votre anniversaire. Ainsi, à ses yeux, comme aux vôtres, vous cultivez alors une meilleure estime de soi.
En finir avec la culpabilité
Quand vous faites une erreur, ne vous assénez pas que vous êtes nul(le). Vous avez fait une erreur. C’est tout. Ça arrive à tout le monde d’en faire. Alors ne culpabilisez pas pour autant. Sortez de ce cercle vicieux qui consiste à définir toute votre vie à partir des erreurs et des fautes que vous faites. D’ailleurs, je vous rappelle que la meilleure façon de réussir c’est d’échouer!
Remplacez des phrases comme:
- « Je suis nul »
- « Je suis un idiot (ou une idiote) »
par
- « J’ai commis une erreur en toute bonne foi »
- « J’essaye »
- « Je fais du mieux que je peux »
Portez un regard bienveillant sur vous même. Regardez vos erreurs non pas comme des fautes graves, mais comme des sources d’informations à propos de ce que vous essayez d’ajuster dans votre vie. Tout est une question de perception. De point de vue. Reculez d’un pas quant au jugement sur vous même. Faites évoluer votre regard. Une critique, oui. Mais constructive.
Ne pas dévaloriser les autres
Vous ne vous en rendez pas compte, mais votre avis sur les autres définit également votre niveau d’estime de soi. Essayez de renoncer à critiquer les autres. Critiquer les autres, et faire des comparaisons, ne sert qu’à une chose. Se rassurer! C’est une sorte de déni de la réalité.
En passant votre temps à voir ce qu’il y a de mauvais chez les autres, vous vous fermez au monde. Au lieu de vous enrichir de ce qu’il se passe autour de vous.
Vos interactions avec les autres influent sur votre perception de vous-même. Faites du mieux que vous le pouvez. Respectez vous. Agissez de sorte à respectant vos limites. Sans qu’on vous demande. Ou sans savoir si c’est mérité. Décidez de faire le bien sans même savoir à qui vous le faites.
Gardez votre capacité à dire non quand cela vous nuit. Faites don de votre gentillesse aux autres. Offrez votre générosité. Ne soyez pas bon seulement quand cela vous est profitable. Soyez bon envers tout le monde. Sans discernement.
Exprimer sa gratitude
Développez votre gratitude. Reconnaissez que vous ne vous suffisez pas. Que les autres apportent de la valeur ajoutée à votre vie. Soyez reconnaissant envers eux pour cela. Cela développe votre sentiment d’appartenance à un groupe. Admirez les autres sans les aduler pour autant. Exprimez vous en regardant votre interlocuteur dans les yeux. Enfin, essayez de vous affirmer sans diminuer les autres.
Je goûte tout le plaisir que j’éprouve à chaque fois que j’exprime ma gratitude. En agissant ainsi, je me rends vulnérable. Ce qui me rend plus fort. Faire fi de mon orgueil – développé – est le meilleur service que je puisse me rendre.
L’approche comportementale
Vous venez de prendre acte de 3 clés qui vous permettent de cultiver une meilleure estime de soi. Peut-être les connaissiez vous déjà. Mais avez toutes les peines du monde à les satisfaire?
Peut-être avez-vous envie de satisfaire à ces 3 clés. ais votre niveau d’angoisse ou d’anxiété, voire d’anxiété sociale, ne vous le permet pas. Ce n’est pas que vous ne voulez pas avoir une bonne estime de vous même. C’est plus que, sans que votre bonne volonté soit à mettre en cause, vous n’y arrivez pas.
Alors, pourquoi ne pas essayer de réussir à avoir une image de soi positive à l’aide de l’approche comportementale? Il s’agit d’un coaching de type bref. Moins de 2 mois. Il a fait ses preuves dans le temps. C’est le fruit de l’association de méthodes issues de plusieurs écoles de pensées. Lesquelles, aujourd’hui, donnent d’excellents résultats pour de milliers de personnes dans le monde entier (16 cas résolus sur 17).
L’approche comportementale vous aide à avoir un meilleur amour de vous-même. En effet, votre amour personnel est fortement lié à la construction de votre personnalité. Cela a donc un lien avec l’image que vous avez de vous enfant. Comme de vos expériences depuis lors. Et ce dans tous les domaines de votre vie.
Devenir acteur – actrice – de sa vie
L’approche comportementale vous aide à identifier toutes les expériences négatives présentes dans votre subconscient. Celles là même qui vous empêchent de vous affirmer. Ainsi, vous apprenez à les rendre positives. A ne plus les vivre, ou les subir, comme des conflits intra psychiques.
À la faveur de mon programme comportemental en ligne, vous vous aimez à nouveau. Vous vous acceptez et vous respectez. Vous avez une meilleure image de vous-même. Corrigez cette perception que vous avez de vous-même. Acceptez le regard des autres. Faites fi de leur jugement à votre égard.
Vous êtes l’acteur (l’actrice) principal(e) de la restauration de votre image vis à vis de vous même. Si vous voulez vous attaquer immédiatement à votre problème d’estime de soi, et ainsi, vous affirmer, je vous invite à cliquer sur l’image ci-après.
Si vous avez une expérience à partager quant à la façon dont vous restaurez votre estime de soi, partagez là. Les personnes qui lisent régulièrement ce blog, et moi même, sommes ravis d’en prendre connaissance. A cette fin, je vous invite à utiliser le formulaire en-dessous de cet article.
4 replies to "Comment se débarrasser du manque de confiance en soi?"
Bonjour,
Je viens de vous adresser un mail pour vous expliquer comment en finir avec vos troubles colopathiques, et comment vaincre les vertiges dont vous êtes victime.
Je reste à votre écoute pour vous apporter toutes les précisions que vous souhaitez.
Bonsoir, j ai les mêmes symptômes depuis peu et c est invivable et anxiogène !!! Mon corps a commencé par de la colopathie et maintenant les vertiges avec acouphènes, je souhaite avoir plus de renseignements sur votre méthode merci pour votre aide
Bonjour Martine,
Bienvenue à vous et merci de votre confiance. Dans le mail que vous avez reçu et qui vous confirme votre identifiant et votre mot de passe, vous avez toutes les explications nécessaires pour vous connecter à votre espace personnel.
Je ne comprends pas comment fonctionne le programme, comment trouver les outils compris dans le programme.
Merci