La photo mise en légende du présent article n’a rien d’innocent. Il en est ainsi de la société que nous construisons patiemment où l’homme creuse sa tombe. Le même exprime quotidiennement son déni quant à sa peur d’échouer. Avec pour symptôme son anxiété de performance.
Face à une telle évidence, l’intéressé préfère mettre sa tête dans le sable. C’est l’expression de son déni. Plutôt que d’agir de façon honnête, adulte et responsable pour lui même. Pour commencer.
L’anxiété de performance, ou la peur d’échouer, si l’on se situe dans un cadre socio professionnel, est un trouble généralement constaté chez les adultes. Et ce dans la période qui précède une évaluation importante. Et, justement, soit écrit en passant, à propos de ces entretiens d’évaluation, je ne suis pas convaincu que ce soit fait dans les règles de l’art.
C’est toujours un supérieur hiérarchique qui évalue. Inéluctablement, les paramètres subjectifs sont autant de biais susceptibles d’aggraver la peur d’échouer. La peur de ne pas être à la hauteur. Partant, d’avoir à en subir les conséquences. Quant à les assumer, c’est une autre histoire.
Dès lors, l’anxiété de performance, ou peur d’échouer, est le lot commun de femmes et d’hommes perfectionnistes. Lesquels sont soucieux de précision et de concision. Et ce dans chacune de leurs actions et décisions.
Ce qui a pour fonction de les rassurer. Mais donne un résultat inversement proportionnel à l’effet désiré puisque ce besoin n’a jamais de cesse. CQFD.
Dans cet article, découvrez la définition de ce trouble anxieux qu’est la peur d’échouer. Ainsi que ses origines. Pour conclure, je vous offre une solution particulièrement efficace pour traiter l’anxiété de performance. En bref, pour lâcher prise!
Définition de la peur d’échouer
Si l’on reste dans le cadre professionnel, l’anxiété de performance liée à la peur échouer est définie comme une anxiété liée aux situations de test et d’évaluations. Elle diffère d’une crise d’anxiété simple. Ou d’un stress. Et ce par le fait qu’elle est motivée par une peur irrationnelle de l’échec.
Notre société est de plus en plus rigoureuse envers les personnes. Elle exige en quelque sorte qu’elles soient « parfaites ». Comme irréprochables. Dès lors, qu’elles aient une vie et une situation sociale intéressante stables.
Du coup, beaucoup d’hommes et de femmes sont guidés par le paraître. Moins par l’être. Beaucoup ne semblent motivés que par le besoin de se revendiquer à propriétaire de la voiture technologiquement la plus représentative de ce qui se fait de mieux. Du poste le plus rémunérateur. Et aussi le plus valorisant possible socialement. Et aussi d’être un(e) chef de famille représentatif d’un certain nombre de valeurs. Rouler carrosse. Porter des vêtements à la mode. Et j’en oublie surement.

Un simili de prise d’otage
Otage de ces nombreuses exigences, l’être humain se lance dans une concurrence inconsciente entre les autres et lui. Voire contre lui-même. Il tient à obtenir toutes ces choses pour démontrer qu’il réussit.
Ainsi, nous nous rendons compte que cet homme, ou cette femme, ne fait plus d’efforts au travail pour le plaisir et la satisfaction que cela lui procure. Beaucoup plus pour les honneurs et les bénéfices qu’il ou elle en tire.
L’intéressé devient donc hyper exigeant avec lui-même. Dans certains cas, il n’hésite pas à piétiner les autres pour se faire sa place au soleil. C’est le moyen qu’elle a de se protéger des ses angoisses. C’est aussi cette sorte d’ivresse que procure le pouvoir. En l’espèce, d’aucuns persistent à confondre autorité et pouvoir.
De tels comportements laissent penser que cette personne est mue, de façon paradoxale, à la fois par le besoin de réussir, mais aussi par la peur d’échouer. Il devient aisé d’imaginer que l’intéressé(e) souffre d’anxiété de performance. De peur de l’échec. Ce qui fait écho au besoin de reconnaissance. A la peur de ne plus être aimé. Comme à l’absence de confiance en soi. Lesquels ne sont pas sans rappeler des petits troubles narcissiques.
Les symptômes de la peur d’échouer sont beaucoup plus accentués lorsque la personne intéressée connait des succès dans le domaine de son challenge actuel. Elle veut à tout prix conserver son « palmarès ». Cette même personne a donc toutes les raisons de s’inquiéter d’en perdre les bénéfices.
Peur d’échouer dans le monde du travail
Le monde du travail est l’environnement le plus touché par la peur d’échouer. Le contexte économique est de plus en plus difficile. Pour ne pas écrire instable. Les objectifs fixés aux salariés sont particulièrement élevés. Alors que les moyens mis à leur disposition diminuent.
Ces salariés semblent sur un siège éjectable, ce qui alimente un sentiment d’insécurité. Comme le veut l’adage, ils sont pressés comme des citrons. Puis jetés quand ils ne remplissent plus leur office. C’est d’ailleurs dans ce cadre qu’il arrive fréquemment que des salariés sont victimes de harcèlement.
Pour faire monter la pression, certains dirigeants mettent en jeu d’éventuelles promotions. Des augmentations de salaire. Plus certains avantages déterminés de façon souvent arbitraire. Ou fondés sur des questions de représentation sociale.
Autant de comportements qui accentuent rivalités et ressentiments entre salariés. Ce qui n’est pas de nature à favoriser leur état mental. D’ailleurs, certains d’entre eux finissent par faire un burnout.
Les signes ou symptômes de la peur d’échouer, ou de peur de l’échec, sont les suivants:
- Piètre image de soi
- Autocritique négative
- Remise en cause perpétuelle
- S’auto désigner coupable de chaque problème survenu
- Évitement de certaines tâches
- Sueurs froides
- Transpiration abondante
- Problèmes digestifs
- Douleurs intestinales
- Migraine
- Blackout
Les origines de la peur d’échouer
Dans la plupart des cas, la peur d’échouer trouve ses origines dans l’enfance:
- Une éducation trop stricte: Les parents croient souvent bien faire en étant très exigeants avec leurs enfants. Ils mettent la barre très haute pour « les pousser » à donner le meilleur d’eux-mêmes
- Ces mêmes parents n’hésitent pas à faire des comparaisons entre leurs enfants et leurs camarades. Lesquels, parfois, excellent dans un domaine ou dans un autre. Un tel comportement est on ne peut plus toxique
En effet, cela crée dans l’esprit de l’enfant une comparaison malsaine. Teintée de jalousie. Il grandit avec. C’est ainsi qu’il rentre dans la vie active. Constamment, cet enfant passe son temps à se comparer aux autres. Il n’a jamais été encouragé pour ses efforts personnels. Il en vient alors à se dévaloriser. Même quand il réussit. C’est un éternel insatisfait.
Même si l’enfant est éduqué dans un environnement qui lui donne confiance en lui-même, l’école participe à le déstabiliser. A lui faire adopter un comportement inapproprié.
Cela se produit lorsque ses performances sont comparées avec celle des autres élèves. Ou lorsqu’il est dévalorisé par les enseignants. Généralement devant les autres élèves. C’est tellement plus porteur… Ou lorsqu’il se sent méprisé parce-que non écouté.
Le fait de grandir dans un environnement où l’on est constamment jugé par rapport à ses notes, et/ou à l’ensemble d’un comportement scolaire donné, prédispose à vivre une vie adulte au cours de laquelle l’on se juge en fonction de ses performances extérieures.
Dès lors, on ne s’évalue pas par rapport à soi. On s’évalue par rapport à sa peur du jugement des autres.
Comment affronter la peur d’échouer?
La première des difficultés consiste à accepter que vous vous ne faites plus que réagir par peur. De façon empirique. Non sur la foi d’objectifs précis. Quantifiables. Qualifiables. Vérifiables (ou very fiables… Oups!). En bref, il s’agit de reconnaître, et accepter, que vous avez perdu le contrôle.
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