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Peur d’Aller au Travail : Comment la Surmonter ?

L’un des meilleurs moyens pour soigner l’ergophobie consiste à suivre une thérapie comportementale que ce soit en cabinet ou en ligne.

En effet, l’approche systémique de Palo Alto, une approche brève orientée solutions, favorise l’objectivation des émotions et, partant, le lâcher prise quant à sa peur au travail.

Grâce à des exercices qui ne reposent en aucun cas sur de la méditation ou de la relaxation, il est facile de permettre à son cerveau de désamorcer ses réactions anxiogènes liées au travail avec un taux de réussite supérieur à 95%.

Pour l’heure, la phobie du travail, que l’on appelle aussi ergophobie (peur d’aller travailler), dépasse largement la simple paresse ou le stress devant un employeur quelque peu difficile ou exigeant.

La peur d’aller au travail empêche ceux qui en souffrent de se rendre au travail ou de chercher un emploi quand ils sont au chômage.

Et si certains ergophobes parviennent à se rendre au travail, c’est au prix d’une grande souffrance psychique ce qui nous amène à nous poser 2 questions :

  1. Y a t’il une relation entre trouble anxieux généralisé et travail ?
  2. D’où vient cette phobie du travail et comment ne plus en souffrir ?

Les symptômes de la peur d’aller au travail

Les symptômes de la phobie du travail sont très proches, voire identiques, aux symptômes de toutes les autres phobies.

Quand le patient se retrouve confronté à l’objet de sa phobie, il ressent les symptômes suivantes :

  • Vertiges, évanouissement, malaise,
  • Bouffées de chaleur, frissons, sueurs froides, etc.,
  • Tremblements,
  • Palpitations, tachycardie,
  • Nausées, vomissements, douleurs abdominales,
  • Peur panique (ex : peur du vide phobie),
  • Sensation d’étouffement.

En revanche, comme pour toutes les phobies, l’objet qui déclenche la phobie du travail varie d’une personne à l’autre. Dans certains cas extrêmes, la simple idée de quitter son domicile suffit à déclencher la crise de phobie.

Dans d’autres cas, ce seront des situations plus précises, comme un entretien avec un supérieur ou une réunion qui produisent la crise. Il en est ainsi quand une personne a peur de prendre la parole en public. Attention : il ne faut pas pas confondre la phobie du travail avec une angoisse existentielle.

La remise en cause de sa vie et de ses accomplissements à certains âges amène à ressentir une grande lassitude dépressive face aux tâches quotidiennes d’un travail qui nous plaisait avant.

On ne parle pas alors de phobie, mais de crise existentielle, associée ou non à une dépression au travail.

Peur d'aller au travail : Symptômes de la phobie du travail

Peur d’aller au travail : les différentes causes de l’ergophobie

L’ergophobie est une phobie peu connue et très mal reconnue, comme la phobie administrative soit-il écrit en passant. Cela s’explique du fait que nos sociétés modernes tournent toutes entières autour du travail.

Pourtant, l’ergophobie est une phobie plutôt banale à bien des égards, d’un point de vue psychiatrique évidemment. Ainsi, les causes de l’ergophobie sont celles de nombreuses phobies. Ce qui signifie que les causes de l’ergophobie sont très différentes d’un patient à l’autre.

Généralement, la phobie apparaît suite à un événement traumatisant. Souvent, ces stress traumatiques ont eu lieu pendant l’enfance ou l’adolescence. Dès lors, ils sont les plus susceptibles de provoquer une phobie.

Un échec professionnel cuisant ou une humiliation publique dans un cadre professionnel sont des sources fréquentes de dépression dont émergent souvent des ergophobies. Certaines personnes semblent également plus frappées par les phobies que d’autres.

Une faible estime de soi et un trouble de l’anxiété généralisée sont des causes fréquentes de phobie. Comme nous passons un tiers de notre vie au travail, cet environnement produit facilement des phobies (phobie sociale, anxiété sociale, peur de mal faire, anxiété de performance, etc.).

Cette forme de prédisposition a donc des origines environnementales et aussi contextuelles. Des parents violents ou souffrants eux-mêmes d’anxiété ont souvent des enfants anxieux.

Peur d’aller au travail ou peur de sortir de chez soi ?

Dans certains cas, le patient confond sa phobie de sortir de chez lui avec une phobie du travail. Puisque le travail représente souvent notre activité extérieure la plus courante, ceux qui ont peur de sortir de chez eux ont peur d’aller au travail.

Ils peinent à faire la différence entre les deux, car penser rationnellement face à une phobie n’est ni facile ni opportun. En effet, si intellectualiser ou rationaliser face à une phobie était la solution, cela se saurait…

Cet aparté étant fait, on appelle souvent la peur de sortir, l’agoraphobie. Cette phobie se caractérise par la peur intense de se trouver dans un endroit dont on ne peut pas s’échapper facilement.

Beaucoup de situations correspondent à cette phobie, notamment le travail. En cas de difficultés ou d’inconfort au travail, le patient ne peut pas simplement s’enfuir et rentrer chez lui. Il associe alors son agoraphobie à de l’ergophobie voire à de l’anxiété sociale.

Pourtant, identifier correctement la nature de ses phobies est essentiel. Sans cela, le traitement de la phobie est impossible. D’ailleurs, le rôle d’un comportementaliste professionnel consiste justement à analyser précisément la phobie, ses origines et, avant tout, à en comprendre le mécanisme.

En effet, grâce à un outil dit de contextualisation, il s’agit d’apporter une réponse adaptée à l’aide de la thérapie comportementale.



Peur d’aller au travail et arrêt de travail

Tous les troubles psychiques et psychiatriques ouvrent théoriquement le droit à un arrêt de travail d’une durée variée. Les troubles anxieux et les phobies ne font pas exception.

Si vous souffrez d’ergophobie, vous pouvez donc demander un arrêt de travail à votre médecin. En revanche, cet arrêt de travail ne pourra pas être rédigé par n’importe qui.

Effectivement, seul un psychiatre est en mesure de statuer définitivement sur l’existence d’un trouble psychique nécessitant un arrêt maladie. La situation est alors douloureuse pour beaucoup de patients qui peinent à obtenir cet arrêt de travail. Cela leur permet pourtant d’obtenir le temps dont ils ont besoin pour se soigner.

A ce propos, il est important de noter que l’Assurance maladie recommande le recours à la thérapie comportementale (ou thérapie cognitivo-comportementale), notamment, parce qu’elle est très efficace et très rapide.

La thérapie comportementale soigne plus de 95 % des phobies en quelques semaines seulement. Les patients peuvent même la suivre en toute autonomie, à distance. Elle est également très utile pour renforcer sa résistance au stress et bénéficier d’un meilleur rapport au travail, quand celui-ci se déroule dans de bonnes conditions évidemment.

Dernière précision, en cas de harcèlement moral de la hiérarchie, le problème ne vient pas du patient phobique, mais de l’organisation du travail laquelle facilite ce type de comportement abusif.

Ergophobie : pourquoi votre travail vous angoisse-t-il ?

Les raisons qui mènent votre travail à vous angoisser sont nombreuses et très diverses. Dès lors, comprendre les raisons derrière le sentiment d’angoisse est une étape essentielle pour se rassurer et vaincre l’anxiété.

Cependant, que ce soit écrit tout de suite: comme vous le lirez souvent dans les différents article de ce blog, en terme purement comportemental, se rassurer au travail ne sert à rien! Seul un travail thérapeutique adapté à votre situation, à l’aide d’exercices comportementaux dédiés, vous aidera à vaincre l’angoisse au travail.

Ainsi, je vous invite à vous interroger sur le contexte et les ces causes de votre angoisse en intégrant la différence fondamentale entre:

  • Les angoisses individuelles,
  • Les angoisses contextuelles.

Les angoisses contextuelles sont les plus évidentes et les plus faciles à résoudre. Comme leur nom l’indique, elles dépendent du contexte dans lequel vous travaillez. Bien sûr, certains éléments de ce contexte vous sont personnels, mais l’angoisse reste contextuelle.

Par exemple, si vous vous sentez inadapté(e) dans votre travail ou que vous manquez de certaines compétences, l’angoisse est personnelle, mais contextuelle. Généralement, les angoisses contextuelles sont liées à l’ambiance au travail, à la pression exercée sur vous et au comportement de la hiérarchie (ex: harcèlement)..

Ces angoisses sont à prendre au sérieux. Elles peuvent provoquer l’apparition de troubles anxieux, des syndromes dépressifs profonds et pousser les travailleurs anxieux au suicide.

Face aux angoisses contextuelles, un changement du milieu ou d’environnement sont absolument nécessaires. De l’autre côté, les angoisses individuelles relèvent davantage de la personnalité et de la psyché de chacun.

Certaines personnes souffrent de troubles de l’anxiété généralisée ou d’une phobie du travail. Ces personnalités anxieuses ressentent une forte angoisse au travail ou à la simple idée de travailler.

Généralement, c’est surtout la pression de la performance ou le fait de devoir obéir à un cadre strict qui génère l’angoisse.

Peur d'aller au travail : Peur de sortir de chez soi pour aller travailler

Ergophobie : comment se rassurer au travail ?

Le travail est le milieu le plus souvent associé à l’angoisse. C’est aussi l’endroit où nous passons le plus de temps dans une journée. Le milieu professionnel peut tout à la fois être l’objet de grandes angoisses et la cause de l’apparition de nombreux troubles anxieux, notamment de la phobie du travail.

Les personnes anxieuses qui souffrent d ergophobie doivent donc apprendre à se rassurer au travail pour briser ce cercle vicieux et délétère. Grâce à quelques astuces simples, vous pouvez vous sentir mieux au travail, combattre l’anxiété et l’empêcher de vous paralyser.

Généralement, les choses s’arrangent progressivement d’elle-même grâce à la mise en place d’un cercle vertueux. Vous gagnez en confiance, vous travaillez mieux et vous angoissez de moins en moins.

Attention tout de même à ne pas sombrer ensuite à la moindre contrariété. La première chose à faire pour se rassurer au travail, c’est d’accueillir l’anxiété et de ne pas essayer à tout prix de la faire taire.

Utiliser quelques exercices de respiration et de cohérence cardiaque est une bonne initiative. Mais cela n’est pas une solution à long terme. En effet, vous ne devez pas en faire une excuse pour ne pas écouter vos tensions et vos inquiétudes.

Prenez le temps de les regarder en face pour mieux les comprendre. Ensuite, essayez de bannir de nombreuses habitudes de travail mal adaptées aux personnes anxieuses. Les listes de choses à faire sont de vrais pièges si vous jugez mal votre temps et la durée de chaque tâche.

Si vous dressez de telles listes, soyez très précis sur la nature de chaque tâche et n’hésitez pas à fonctionner avec des microtâches pour remplir raisonnablement la journée.

Bien sûr, si vous constatez que votre hiérarchie est à l’origine de vos angoisses, car les quantités de travail qu’elle vous donne sont toujours impossibles à finir dans les temps, le problème ne vient pas directement de vous.

Si vous l’estimez nécessaire, essayez de faire comprendre à votre supérieur hiérarchique l’intérêt qu’il a à prendre en compte la question de l’anxiété au travail. Ainsi, n’hésitez pas à l’informer de toute forme de harcèlement dont vous êtes victime.

Autant à propos de harcèlement au travail, que de harcèlement sexuel au travail, n’hésitez pas non plus à informer la médecine du travail. Celle-ci joue un rôle important en matière de prévention des risques psychosociaux.

Je pense, par exemple, au comportement abusif de certains personnels d’encadrement lesquels, bien évidemment, sont la cause d’angoisses chez certains employés quel que soit leur statut.

Comment surmonter l’ergophobie ?

Le problème de l’angoisse au travail, c’est qu’elle ne se limite presque jamais au monde du travail. Soit elle lui préexiste, comme dans le cas d’un trouble de l’anxiété généralisée, soit elle provoque un trouble anxieux qui ne cesse de grandir tant qu’il n’est pas traité.

Heureusement, avec l’aide nécessaire, on peut facilement surmonter ses angoisses. A ce propos, je vous rappelle que l’Assurance maladie recommande aux personnes souffrant de troubles anxieux de suivre une thérapie comportementale.

Peur d'aller au travail : L'angoisse apparait en fonction de certains contextes.

Avec l’aide d’un comportementaliste professionnel, vous apprenez à mieux gérer votre anxiété en comprenant le mécanisme et le contexte des peurs irrationnelles à l’origine de vos peurs.

Cette exploration très personnelle vous mène souvent à comprendre les événements, traumatisants ou non, à l’origine de votre personnalité anxieuse. Ensuite, la thérapie comportementale prévoit des exercices comportementaux qui vous permettent de neutraliser l’objet de votre peur.

Cette mise en situation progressive  – exclusivement mentale – produit une mithridatisation de la peur. Grâce à la compréhension de ces peurs irrationnelles, le patient apprend à ne plus ressentir d’angoisse face à des événements qui le terrorisaient avant.

Il apprend donc à objectiver et à lâcher prise. Les résultats de cette thérapie sont souvent impressionnants. Plus de 9 patients sur 10 sont définitivement débarrassés de leurs angoisses au travail en quelques semaines seulement.

Questions fréquentes

La peur d’aller au travail, ou ergophobie, est une anxiété courante qui a un impact significatif autant sur la qualité de vie que la performance professionnelle. D’où l’intérêt de répondre aux questions fréquemment posées quant à la phobie du travail.

Comment ne plus avoir peur d’aller au travail ?

Pour ne plus avoir peur d’aller au travail, il est essentiel d’identifier les déclencheurs de cette anxiété.

Cela concerne des facteurs de stress spécifiques au travail, comme des tâches difficiles, des relations tendues avec des collègues ou des supérieurs, ou un manque de reconnaissance.

Une fois les déclencheurs identifiés, plusieurs stratégies peuvent être mises en place :

  1. Préparation mentale : prendre quelques minutes chaque matin pour se préparer mentalement à la journée de travail. Par exemple, se voir en train de réussir ses tâches et de gérer des situations stressantes avec confiance et détermination.
  2. Techniques de relaxation : utiliser des techniques de relaxation comme la respiration profonde, la méditation ou le yoga pour réduire l’anxiété avant de partir au travail.
  3. Communication ouverte : partager ses préoccupations avec des collègues ou son supérieur hiérarchique. Une communication honnête participe à résoudre les problèmes et à réduire le stress.
  4. Organisation : planifier votre journée de travail à l’avance pour éviter de se sentir submergé par les tâches à accomplir.

Pourquoi j’angoisse avant d’aller au travail ?

Plusieurs facteurs sont responsables de l’angoisse avant d’aller au travail.

Les pressions professionnelles, les attentes élevées, les conflits interpersonnels, et le manque de contrôle sur les tâches contribuent à cette anxiété.

Dans la même veine, des expériences passées négatives au travail déclenchent cette angoisse. Il est important de reconnaître ces déclencheurs pour esayer de les appréhender au mieux de ses intérêts.

Comment ne pas être anxieux à l’idée d’aller travailler ?

Pour ne pas être anxieux à l’idée d’aller travailler, il est important de développer des stratégies de gestion du stress. Voici quelques conseils pratiques :

  1. Routine matinale : établir une routine matinale apaisante qui inclut des activités que l’on apprécie, comme lire, écouter de la musique ou faire de l’exercice.
  2. Positivité : se concentrer sur les aspects positifs de son travail, comme les opportunités de développement professionnel ou les relations avec des collègues sympathiques.
  3. Fixation d’objectifs : définir des objectifs réalistes pour la journée.

Pourquoi je n’arrive pas à aller travailler ?

Il peut y avoir plusieurs raisons pour lesquelles on n’arrive pas à aller travailler.

Il peut s’agir de facteurs de stress élevés, d’un manque de motivation, de problèmes de santé mentale comme la dépression ou l’anxiété, ou de conflits interpersonnels au travail.

Parfois, un manque de clarté quant à son rôle et à ses responsabilités justifient cette difficulté. Identifier ces raisons permet d’envisager des solutions adaptées.

Qu’est-ce que l’ergophobie ?

L’ergophobie est la peur irrationnelle et persistante du travail.

Cette phobie peut se manifester par :

  • Une anxiété intense à l’idée d’aller au travail,
  • Des symptômes physiques comme des palpitations,
  • Des sueurs,
  • Des nausées,
  • Évitement des situations de travail.

Comment soigner l’ergophobie ?

Soigner l’ergophobie nécessite souvent une approche centrée sur le mécanisme du problème.

La thérapie comportementale est une méthode reconnue qui aide à identifier et à objectiver les schémas de pensée douloureux associés à la peur du travail.

Apprendre à lâcher prise grâce à des techniques spécifiques à l’approche systémique de Palo Alto s’avère très efficace. Par ailleurs, des techniques de relaxation réduisent l’anxiété globale. Attention cependant, ces techniques ne résolvent pas le problème.

Pour bénéficier de stratégies personnalisées, il est conseillé de consulter un thérapeute spécialisé dans le traitement des phobies ou d’utiliser un programme thérapeutique en ligne pour surmonter l’ergophobie (lire plus bas).

Peur d'aller au travail : Harcèlement et gestion du risque social en milieu de travail

Pourquoi fuis-je le travail ?

Fuir le travail peut être le résultat de plusieurs facteurs, notamment un stress élevé, un manque de motivation, des problèmes de santé mentale, ou des conflits internes à sa vie professionnelle.

Parfois, un manque de clarté quant au champ de son activité comme à ses responsabilités participe à des comportements de fuite.

Enfin, la tension générée par les objectifs à réaliser et l’éventuel manque d’affirmation de soi quant à ses limites fonctionnelles participent à nous faire fuir notre emploi.

Comment s’appelle la peur du travail ?

La peur du travail est appelée : ergophobie.

Cette phobie se manifeste par une anxiété intense à l’idée d’aller au travail accompagnée de certains symptômes physiques (nausées, palpitations, etc.).

Comment soigner la phobie du travail ?

Soigner la phobie du travail, l’ergophobie, nécessite souvent une approche faisant appel à différentes approches thérapeutiques mais complémentaires les unes par rapport aux autres. Les réponses à cette question se trouvent dans un chapitre précédent.

Comment faire quand on a peur de travailler ?

Lorsque qu’on a peur de travailler, il est important de prendre des mesures pour gérer cette anxiété.

Voici quelques stratégies en plus de celles évoquées précédemment :

  1. ne pas s’isoler : discuter de ses préoccupations avec un thérapeute, un conseiller ou un ami de confiance permet de sortir de son éventuel isolement.
  2. Se fixer des objectifs réalistes : décomposer ses tâches en étapes petites et supportables. Une tâche à la fois. On en commence pas une autre sans avoir terminé la précédente.
  3. Prendre soin de soi : il faut s’assurer de bien dormir, de manger sainement et de faire de l’exercice régulièrement. Prendre soin de sa santé physique à un impact positif sur sa santé mentale.

Pourquoi je me sens mal dans mon travail ?

Se sentir mal dans son travail peut être dû à plusieurs facteurs, notamment un environnement de travail toxique, des attentes irréalistes, ou des frustrations en matière de reconnaissance.

Quelles sont les peurs au travail ?

Les peurs au travail varient d’une personne à l’autre. Voici les plus courantes :

  1. Peur de l’échec : crainte de ne pas réussir ou de ne pas atteindre les objectifs fixés.
  2. Peur de la critique : peur d’être jugé ou critiqué par des collègues ou des supérieurs.
  3. Peur de l’inconnu : anxiété face à des changements ou à des situations nouvelles.
  4. Peur des conflits : crainte de confrontations ou de désaccords avec des collègues de travail.
  5. Peur de la surcharge de travail : anxiété face à une quantité excessive de travail ou des délais trop serrés.

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