Au lendemain des drames terribles que sont les assassinats des journalistes et dessinateurs de Charlie Hebdo comme le meurtre d’une policière à Montrouge suivi de la prise d’otage et de l’assassinat de 4 personnes au sein de l’Hyper Casher de Vincennes, il semble que la France, et les français, sont rentrés dans une peur terrible au point que la vente d’anxiolytiques a augmenté de 18,5 % en un espace temps particulièrement court. Quand je parle d’anxiolytiques, je fais allusion aux médicaments contre l’angoisse, et autres calmants de type benzodiazépines.

Que s’est-il donc passé dans l’esprit de nombre de nos concitoyens? La France tient le haut du pavé en matières d’usage de médicaments, dont les anxiolytiques. Il y a plus de 3.500.000 consommateurs excessifs ou dépendants de médicaments. Une paille.

Je m’intéresse beaucoup aux questions relatives aux anxiolytiques. J’en ai moi même consommé une quantité industrielle tout au long de mon parcours personnel. Lequel, comme vous le savez peut-être, est parsemé d’angoisses et d’anxiété.

Anxiolytiques: Quelle est leur vocation?

Les anxiolytiques sont des médicaments utilisés contre l’anxiété. Et aussi contre l’angoisse. Différentes substances composent ces médicaments. Lesquels, de fait, ont des effets plus ou moins bénéfiques en cas d’angoisses ou d’anxiété.

Les anxiolytiques sont des tranquillisants. Que l’on appelle aussi des benzodiazépines.

Les plus connus de ces anxiolytiques sont:

  • Alprazolam
  • Lexomil
  • Lyznxia
  • Lorazepam
  • Serestat
  • Temesta
  • Valium

Ils sont prescrits en fonction d’un certain nombre de paramètres médico psychiques (symptômes, antériorité médicale du patient, corpulence, etc.).

A quoi servent les benzodiazépines?

Toutes ces substances ont donc pour vocation d’aider les patients. Les aider à ne plus souffrir de ces angoisses, ou de troubles anxieux. Il est important de noter que ces médicaments sont dotés d’un principe de demie vie. A plus forte raison, les anxiolytiques.

Ainsi, chaque molécule produit un effet en fonction des symptômes et de la physiologie du patient. Mais une partie de cette molécule fait un autre voyage. Ces médicaments ne sont donc pas sans risques.

Une partie de la molécule agit pendant un temps donné sur le patient. L’autre partie de molécule, le résidu, se fixe sur les cellules grasses du cerveau et des reins. Cela signifie que chaque médicament a d’une demie vie. Lequel principe s’associe à un second principe. Celui du relargage. Je m’explique.

Le principe de demie vie des anxiolytiques

Chaque molécule, qu’elle soit ou non un anxiolytique, est considérée comme un médicament par les professionnels de la santé. Cela signifie qu’il est nécessaire de mesurer, qualifier et contrôler à la fois les usages et les effets dudit médicament.

Un médicament est déclaré comme tel en fonction de ses composants. Naturels ou pas. Et ceci, dès lors qu’ils sont identifiés comme des substances plus ou moins toxiques, voire dangereuses.

Chaque médicament est produit sous contrôle. Cela s’inscrit dans des processus plus ou moins industriels. Ceux-ci sont placés sous l’autorité médicale de professionnels reconnus. Ces démarches aboutissent à une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché). Celle-ci est délivrée par le Ministère de la Santé. Cette démarche est importante pour les raisons qui suivent.

Les anxiolytiques, comme tous les autres médicaments, sont dotés d’un principe de demie vie. En clair, cela induit que les personnes qui se les font prescrire sont susceptibles d’être victimes d’un relargage brutal et spontané dans l’organisme.

Ainsi, une personne qui prend des anxiolytiques bénéficie d’une partie de l’effet du médicament. Cette substance agit sur un endroit ciblé du corps et aura – ou pas – l’effet clinique souhaité.

Cette première partie de l’anxiolytique est donc comptabilisée sur sa cible. Une autre partie s’égare sur des cibles diverses, et sans que cela procure d’effets spécifiques.

Effets secondaires et risques des anxiolytiques

Cette autre partie de l’anxiolytique s’appelle un « résidu ». Lequel génère ce que l’on appelle la demie vie du produit. En fonction d’un certain nombre de facteurs, ce médicament fait l’objet d’un relargage brutal dans l’organisme.

Cela dépend de la molécule elle même. De l’état d’imprégnation du patient. Comme de sa masse musculaire. Et, enfin, d’une question hygiène de vie. Je vous laisse donc imaginer les conséquences physiologiques et psychiques pour le patient.

Au lendemain des attentats odieux dont je vous parlais plus haut (janvier 2015), les gens consomment beaucoup plus d’anxiolytiques. Pour avoir un effet durable, ces molécules sont prescrites pour 3 semaines. Au minimum. Et ce pour une durée de 3 à 6 mois. Ce qui pose la question du sevrage.

En effet, beaucoup de gens arrêtent de prendre ces anxiolytiques de façon spontanée. Ce qui pose des problèmes d’équilibre psychique.

Beaucoup de ces personnes, auto sevrées, et sans suivi médical, décompensent au bout de quelques jours. Ce qui fait qu’elles vont plus mal après qu’avant.

Ceci pose la grave question de la prise de ce type de médicaments. Ces derniers ont pour vocation d’aider les personnes souffrant d’angoisses, d’anxiété ou de stress. Cela permet de diminuer les symptômes dont elles sont ponctuellement ou durablement affectées.

Or, dans le cas qui nous occupe, il s’agit d’une très forte augmentation de la prescription et de la vente d’anxiolytiques. Et ce, au lendemain des attentats de Charlie Hebdo et de l’Hyper Casher de Vincennes. Que déduire de cet évènement dans les évènements?

Les anxiolytiques sont une solution temporaire au traitement de l’anxiété

Je m’en voudrais d’être cruel, ou agressif, mais les professionnels de la santé mentale n’ont pas attendu les recommandations de la HAS. Ils ont bien compris que les benzodiazépines ne sont pas une solution sur le long terme pour traiter l’anxiété. Il en existe d’autres comme l’homéopathie. Et ceci bien que, fort récemment, il y ait eu de fortes controverses à propos du traitement par homéopathie.

La France peut s’enorgueillir d’héberger plus de 3.5 millions de pharmacodépendants. Ceci alors que nous connaissons les dangers encourus du fait de prescriptions médicamenteuses inadaptées.

Prendre un « calmant » pour apaiser la douleur est un comportement bien légitime. Il convient que cela ne soit pas la seule et unique réponse. A plus forte raison quand il s’agit d’angoisse, de crise d’angoisse ou d’anxiété.

Il est de coutume de prescrire ces médicaments « en cas de besoin ». Essayons de ne pas traduire par « autant de fois que j’en ai envie, quand j’en ai envie ».

Anxiolytiques: Les recommandations discutables de la Haute Autorité de Santé

Si j’en crois les recommandations de la HAS, l’intérêt des anxiolytiques, communément appelés benzodiazépines, est maintenu. Je le comprends au sens émotionnel du terme, mais il conviendrait que cela ne soit pas la seule et unique réponse. A moins qu’il soit clair – transparent – que cela profite aux laboratoires?

Labo ou pas labo, il n’en demeure pas moins que les benzodiazépines génèrent une forte accoutumance. Pas plus tard qu’hier, j’ai conversé avec un patient qui prend jusqu’à 12 comprimés de Lexomil ®, lequel comprimé est du Bromazépam.

Ce médicament est sécable en 4 parties. Chaque jour, des millions de personnes en consomment dans le monde. Alors, imaginez e qu’il en est depuis sa mise sur le marché par les Laboratoires Roche en… 1970. Ce médicament induit une forte dépendance. Dès lors, je me pose des questions quant aux professionnels de santé qui prescrivent cet anxiolytique sans attention particulière.

C’est bien gentil de dire qu’il faut prescrire avec parcimonie. J’aimerais un changement chez les membres de la HAS. Ceux-là même qui recommandent de moins utiliser les benzodiazépines. Qu’ils participent à éduquer personnels soignants et malades. Ainsi, les dangers du Bromazépam sont compris. Et mieux expliqués.

Une meilleure information liée aux anxiolytiques

Peut-être les « gens » de la HAS pourraient-ils inviter soignants et soignés à plus consulter des professionnels de l’approche comportementale? A moins que cela n’angoisse les intéressés? Ainsi, ils prendraient l’avantage social et médical que leur confèrent leurs prescriptions. Lesquelles prescriptions seraient, de fait, plus contrôlées.

Un peu comme les intellectuels de l’Éducation Nationale qui pondent les programmes pédagogiques. Il les conçoivent sans que je sois certain que, dans leur réflexion, ils aient pris acte des contraintes pédagogiques liées au développement de nos charmantes têtes blondes. Ni, sans trop consulter les enseignants.

Mais bon, c’est une autre histoire.

La HAS vient de réévaluer les benzodiazépines dans le traitement de l’anxiété et a décidé de maintenir un intérêt thérapeutique important pour ces produits

Je ris sous cape…

Anxiolytiques: Le sevrage médicamenteux

Il n’en demeure pas moins que si vous souhaitez arrêter les anxiolytiques, il ne faut surtout pas vous arrêter de votre propre chef ans consulter votre médecin traitant. Ce type de médicaments génère une dépendance assez forte.

Je vous recommande donc vivement de ne faire ni de l’auto médication ni de vous sevrer seul(e). Vous risquez de souffrir le martyr comme beaucoup de ces personnes désemparées qui m’appellent à l’aide à ce propos.

Beaucoup d’entre elles sont victimes de symptômes de sevrage particulièrement pénibles. Le plus important de ces symptômes étant une résurgence trés importante des symptômes d’angoisse, ou des symptômes d’anxiété.

La médecine douce - Définition de la médecine douce

En conséquence, si vous souhaitez arrêter de prendre des anxiolytiques et ainsi retrouver confiance en vous, je vous suggère de consulter votre médecin d’une part et, dans le même temps, de bénéficier de mon programme thérapeutique en ligne.

N’oubliez pas qu’arrêter un médicament contre l’angoisse sans suivi ou prise en charge thérapeutique est un non sens.

La médecine douce – naturelle – peut-elle remplacer les anxiolytiques?

Je me souviens d’une époque où la médecine douce est la panacée universelle. Proposée pour avoir une vie meilleure. Garante d’une santé mentale et physique au top. Et ce, grâce à diverses méthodes naturelles. Et aussi pour satisfaire un objectif de bien-être. D’ailleurs, en réponse à ce courant, pléthore de magasins se sont ouverts. Ils véhiculent ce concept de bien être et de médecine douce.

Depuis, le temps passe. Les magasins et autres vitrines web sont rentrés de la paysage. Du coup, l’impact en est modifié. Pour autant, et nonobstant le camp des pro médecine douce, et de ses adversaires, celle-ci la est toujours d’actualité. Elle soigne des maux comme le stress, l’anxiété, la dépression.

A quoi pense t’on quand on parle de médecine douce? On pense à une alternative aux médicaments. Mais, existe t’il une autre alternative? Une sorte de troisième voie? Bien plus profitable et naturelle pour vous. Traiter l’anxiété. Soigner une dépression. Gérer le stress. Et je ne sais quoi d’autre encore.

C’est à ces questions, comme à d’autres, que je tente de répondre au travers du présent article. Pour commencer, en quoi consiste la médecine douce? Quelle est la définition de la médecine douce?

Anxiolytiques: Définition de la médecine douce

Le terme « Médecine douce » est utilisé pour désigner toutes les pratiques médicinales qui diffèrent de celles qui sont officiellement reconnues. Dans un cadre médical et non para médical.

La médecine douce repose donc sur des traitements spécifiques. Ceux qui n’utilisent pas de médicaments. Ou de molécules chimiques dans le traitement des patients. Voici quelques types de médecines douces fréquemment utilisées.

Comment traiter l'angoisse de façon naturelle?

La phytothérapie comme médecine douce

Les origines de la phytothérapie sont plus lointaines que celle de la médecine moderne. Chaque peuple a son histoire au sein de l’humanité, il y a toujours eu une époque où l’on recourt exclusivement aux plantes pour soigner des maladies. C’est justement à partir des végétaux que les scientifiques conçoivent les tous premiers médicaments.

Cette forme de traitement connait un succès fulgurant en Asie. Aujourd’hui encore, elle est très utilisée par de nombreux asiatiques. Comme par des européens et des américains. La phytothérapie est utile pour prévenir et soigner de nombreux maux.

Peut-on considérer l’homéopathie comme une médecine douce?

L’homéopathie consiste essentiellement à traiter une maladie par des substances pouvant causer les troubles semblables chez d’autres sujets. L’homéopathie repose sur un principe central. Une substance susceptible de causer des troubles chez un individu bien portant guérit une autre personne qui en souffre.

L’homéopathe ne soigne pas la maladie. Mais plutôt la personne malade. L’homéopathe prend en compte les symptômes du patient. De même que les spécifiés liées à l’organisme. Comme à la personnalité du patient. Comme à son environnement.

Les médicaments utilisés en homéopathie sont obtenus par un procédé de hautes dilutions. Et d’agitations. La dilution est faite en utilisant de l’eau et de l’alcool. Cette méthode efface complètement toutes les traces chimiques des molécules qui composent la substance d’origine.

Entre plusieurs procédés de dilutions, la molécule obtenue subit une série de secousses. Selon le jargon homéopathique, elles ont pour fonction de le « dynamiser ». Ce procédé est nécessaire pour l’efficacité du remède final obtenu.

Médecine douce: Quid des thérapies manuelles?

Les praticiens n’utilisent que leurs mains dans le traitement de troubles physiques ou psychiques. Les thérapies manuelles les plus fréquentes sont les suivantes.

Ostéopathie

L’ostéopathie est une thérapie selon laquelle tout problème de santé est lié à une baisse de mobilité au niveau des muscles. Et aussi des articulations. Des ligaments. Des viscères. L’ostéopathe (le praticien en ostéopathie) intervient donc sur l’ensemble de ces structures du corps. Il agit par des mouvements de pressions. Mais aussi d’étirements et de relâchement. Ceci afin de guérir le corps.

Pour parvenir aux résultats escomptés, l’ostéopathe s’intéresse au corps dans sa globalité. Beaucoup de personnes qui souffrent de troubles neurologiques, digestifs, locomoteurs, cardio-vasculaires recourent à cette médecine douce.

Éthiopathie

Les techniques et méthodes de l’étiopathie sont similaires à celles utilisées en ostéopathie. La différence ici est que l’étiopathe exerce exclusivement une pression manuelle sur les articulations et les viscères. Elle est utilisée pour les femmes enceintes dans la préparation des accouchements.

Chez les enfants pour les problèmes de régurgitation. Et aussi pour traiter des problèmes au niveau du système ORL. Ou encore chez les sportifs dans le soulagement de la tendinite.

Kinésithérapie

C’est une spécialité paramédicale qui utilise les massages dans le soulagement ou dans la prévention de quelques troubles physiques. Elle est beaucoup plus utilisée dans la rééducation neurologique. Et aussi respiratoire. Ou posturale, etc. Le kinésithérapeute est un très bon allié pour les sportifs au cours de leurs séances de préparation, et de renforcement musculaire.

Médecine douce: Quelle est l’efficacité de la médecine naturelle?

Les médecines douces ont toujours fait l’objet de vives critiques. Ceci en raison des méthodes utilisées. Des résultats obtenus. Et de leurs coûts.

En ce qui concerne les méthodes utilisées en médecine douce, elles ne sont pas formellement validées par des recherches scientifiques. Par exemple, les effets de l’homéopathie sont soupçonnés de n’avoir qu’un effet placebo. En effet, les substances utilisées sont dépourvues de tout principe actif.

Aucun de ses principes clés n’a reçu l’approbation de la communauté scientifique. A preuve, en 2019, le gouvernement français a réclamé la fin du remboursement des soins homéopathiques. Pour les phytothérapies, de sérieux doutes se posent quant aux dosages des différentes plantes utilisées.

En ce qui concerne les résultats obtenus, même si les premiers effets des traitements sont rassurants, les cas de rechute sont fréquents.

Le coût est également une limite importante quant aux médecines douces. La plupart d’entre elles ne sont pas remboursées par la sécurité sociale. La totalité des frais est donc à la charge exclusive des patients.

Dès lors, je n’exprime aucun avis contre la médecine douce. Je crois que c’est à chacun de faire ses choix. Et de les assumer. Souvenez vous que je fais partie de ces coach ou thérapeutes qui estiment que si faire les pieds au mur vous apporte bonheur et bien être, je n’y vois aucune contre indication thérapeutique.

La médecine douce est-elle une solution en soi?

Cependant, il est important de prendre acte que si la médecine douce vous apporte du mieux être, elle ne constitue pas une solution à votre problème.

En effet, c’est un peu comme n’importe quelle blessure. Autant du corps que de l’âme. Si vous ne faites que « soigner autour », vous ne réglez pas le problème de fond. Pour cette raison, je vous invite à utiliser la médecine douce dans tous ses aspects. Je n’en traite qu’une infime partie. Ce type de soins doit être soutenu par une véritable prise en charge thérapeutique. C’est la 3é voie.

Existe t’il une alternative à la médecine douce?

Pour ce qui me concerne, je recours à une médecine douce comme la kinésithérapie ou l’ostéopathie. Je suis moins enclin à l’usage de plantes.

J’ai bien conscience que ces dernières sont pour une grande partie dans notre culture médicale. Ou plus généralement de soins. Mais j’exprime quelques réserves quant à leurs effets réels. Doutes aussi au sujet des personnes dont la compétence à ce propos n’est pas toujours évidente.

Vous souhaitez une approche thérapeutique qui fait scientifiquement fait ses preuves? Référez-vous au rapport de l’ INSERM. J’en parle souvent dans ce blog. Dès lors, je  vous conseille d’utiliser l’approche comportementale. C’est une alternative efficace aux traitements médicamenteux. Comme à leurs nombreux effets secondaires.

L’approche comportementale est le fruit de trois écoles complémentaires. Cette approche traverse les années sans encombres. Aujourd’hui, elle est utilisée dans le traitement curatif et/ou préventif de nombreux troubles physiques et psychiques.

Le coaching comportemental aborde deux principaux aspects.

Médecine douce: L’importance de la question comportementale

L’aspect cognitif dans l’approche comportementale consiste en l’identification, et en la correction, de schémas de pensées à la base des différents troubles. Ou de ceux qui les entretiennent.

C’est précisément ce type de travail que vous suivez dans le cadre de mon programme thérapeutique et comportemental en ligne. C’est trés simple. Il vous suffit de faire exactement comme je vous l’indique.

Grâce à un questionnaire méthodique (outils de contextualisation), ce programme thérapeutique en ligne vous aide à vous rendre compte par vous même des différents automatismes qui sont présents dans votre esprit. Lesquels automatismes bloquent votre développement personnel. Au sens de votre épanouissement.

Dans le cadre du programme, travailler avec cet outil équivaut à 2, voire 3, séances de coaching comportemental d’une heure. Avec le programme comportemental que j’ai conçu, vous faites ce travail en l’espace d’une semaine: 5 à 10 minutes par jour suffisent.

Vous gagnez donc en rapidité et en efficacité. En plus, vous ne subissez aucune contrainte liée à d’éventuelles consultations. Je pense aux déplacements allers-retours. Aux coûts. A la fatigue. Etc.

Par ailleurs, vous bénéficiez d’un accompagnement personnalisé. Comme si vous me consultez au cabinet!

En toute bonne foi, vous ne vous rendez surement pas compte d’un problème majeur. Votre comportement, votre réponse, est le principal responsable de nombreux de vos troubles.

En effet, vous éliminez ces comportements toxiques en adoptant des comportements plus en phase avec la réalité de vos besoins. Plus respectueux de vous même donc. Du moins, c’est ce que vous croyez.

C’est ce travail de prise de conscience que ce programme en ligne effectue pour vous. Progressivement, vous quittez ces comportements qui vous plongent dans diverses douleurs. Naturellement, vous retrouvez confiance en vous avec une vitesse et une facilité étonnante.

Traitement naturel de l'angoisse et des crise d'angoisse.

Frédéric Arminot
Frédéric Arminot

Spécialisé dans le traitement des problèmes d'angoisse, d'anxiété, de dépression, de phobie, et de toc, il exerce depuis plus de 25 ans en qualité de comportementaliste. Ancien grand anxieux, et victime d’angoisses aux multiples conséquences des années durant, il a créé un programme de coaching comportemental en ligne: Le Programme ARtUS Cette méthode de coaching résout 16 cas sur 17, soit + 95 % de résultats.

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