L’angoisse nocturne est une variation fréquente de troubles anxieux typiques.

Dès lors, chaque personne intéressée se devrait d’agir pour s’en débarrasser et, ainsi, commencer par se poser la question de savoir quel est le meilleur traitement de l’anxiété nocturne.

Ainsi, les personnes atteintes d’anxiété généralisée sont nombreuses à constater une aggravation de leurs symptômes le soir et pendant la nuit.

Souvent, celle-ci se constate quand le patient est sorti de sa routine. Par exemple quand il dort dans un nouveau lieu ou qu’il part en vacances. Dans les cas de troubles anxieux les plus sévères, l’aggravation intervient même à la maison.

Cette aggravation de l’anxiété nocturne s’explique aussi par la baisse d’activité cérébrale que l’insomnie substitue au sommeil.

La journée, le cerveau est occupé par de nombreuses pensées. La nuit, quand tout se calme et que l’on devrait dormir, notre cerveau peut rapidement s’emballer et l’angoisse prend alors le dessus ce qui, in fine, répond à la question de savoir pourquoi une personne est angoissée la nuit.

Il en va ainsi quand nous sommes perturbés par une angoisse du travail.

Causes médicales et physiologiques

L’anxiété nocturne apparait généralement pendant la première moitié de la nuit ce qui entraîne des sentiments d’effroi, de panique et de confusion.

Pour mieux comprendre ce phénomène, il est essentiel de se pencher sur ses causes et ses origines.

Plusieurs facteurs médicaux et physiologiques participent à ce type d’angoisse :

  • Apnée du sommeil : C’est un trouble respiratoire pendant le sommeil, peut provoquer des réveils soudains accompagnés d’angoisse.
  • Cauchemars : Ils surviennent pendant la phase de sommeil paradoxal, et sont à l’origine d’épisodes angoissants.
  • Fièvre, fatigue extrême : Le stress excessif augmente la probabilité d’angoisses nocturnes.

Causes et origines psychologiques

Le stress, l’anxiété et la dépression sont souvent associés à des épisodes d’angoisses ou de terreurs nocturnes.

Les personnes qui souffrent de troubles anxieux d’anticipation ont souvent des pensées intrusives et des préoccupations qui se manifestent la nuit, ce qui justifie des épisodes de terreur nocturne.

Dans la même veine, des expériences traumatisantes, surtout celles survenues dans l’enfance, sont également à l’origine de d’angoisse la nuit.

Les causes à l’origine de l’apparition d’une angoisse nocturne varient d’un patient à l’autre. Parfois, la raison est bien prosaïque et facilement identifiable : un examen important approche, une séparation difficile à gérer, des problèmes professionnels, etc.

La consommation d’alcool, de tabac et de drogues dans la journée, ou quelques jours avant, peut également provoquer des angoisses nocturnes. Le corps et l’esprit sont fatigués et leur relâchement peut provoquer de l’anxiété supplémentaire chez les personnes déjà anxieuses.

Enfin, de plus en plus de psychiatres estiment que l’anxiété nocturne témoigne d’une difficulté à gérer et à évacuer les tensions emmagasinées dans la journée. Ce trop-plein vous garde alors éveillé(e) et anxieux(se) parce que votre cerveau a encore trop de travail pour vous laisser vous endormir.

Prendre la peine – et le temps – d’évacuer ses problèmes tout au long de la journée serait donc une solution. La méditation peut s’avérer une solution provisoire mais, tout comme la relaxation, ce n’est pas une solution à long terme.

Causes et origines génétiques

Des études suggèrent qu’il existe un lien génétique dans le développement des troubles du sommeil et de les angoisses nocturnes.

Par exemple, si l’un ou les deux parents ont des antécédents de terreur nocturne, les enfants sont plus susceptibles de développer ce type d’angoisse nonobstant différents facteurs dont il faut aussi tenir compte.

Les symptômes physiques

Les symptômes de cette forme d’angoisse sont, le plus souvent, les mêmes que l’angoisse elle même :

  • Difficulté à respirer, arythmie cardiaque,
  • Sentiment d’oppression de la cage thoracique,
  • Transpiration abondante,
  • Altération de l’humeur,
  • Difficulté à déglutir,
  • Gorge sèche,
  • Tremblements (mains, tête, jambes),
  • Incapacité à objectiver,
  • Boule au ventre,
  • Maux intestinaux,
  • Peur de la peur (phobophobie).
Comment contrôler une crise d'angoisse nocturne ?

Ces symptômes d’angoisse sont aggravés par d’autres symptômes plus spécifiques à ces angoisses la nuit. Cela signifie que la personne qui en souffre est très souvent angoissée bien avant même d’aller se coucher.

Ainsi, cette personne s’angoisse à l’idée d’aller dormir et a toutes les raisons d’avoir peur de ne pas s’endormir et toutes les raisons d’être angoissée à ce sujet.

Si elle ne souffre pas trop de problèmes d’endormissement, l’idée de se réveiller une ou plusieurs fois dans la nuit et d’être épuisée, de façon ponctuelle ou récurrente, demeure un facteur supplémentaire.

Les symptômes psychiques

La plupart du temps, les personnes victimes d’angoisse le soir, font tout pour se rassurer. En règle générale, cela aggrave le problème lequel débute à un moment particulier de la journée.

Tout commence vers la fin de l’après-midi, en début de soirée. La journée touche à sa fin, vous avez vaillamment lutté contre vos angoisses dans la journée, et vous appréciez de pouvoir rentrer chez vous où vous vous sentez en sécurité.

A ceci près que, de façon un peu sourde, vous commencez à avoir peur de la façon dont votre soirée va se dérouler. A un moment ou à un autre, il va vous falloir affronter d’autres réalités dont celle de votre endormissement. Alors, vous commencez à redouter l’angoisse du soir.

Vous commencez à ressentir la peur. Non sans crainte, vous pensez à la façon dont votre soirée et votre nuit vont se dérouler. Vous imaginez quelque chose dont vous ne savez rien, y pensez de façon d’autant plus angoissante que ce n’est pas la première nuit que vous redoutez cette fameuse angoisse..

Vous y pensez et redoutez ce moment d’autant plus que, la nuit précédente, vous avez été victime d’une attaque de panique nocturne. Ce fut si violent qu’il a été nécessaire que vous preniez du Xanax® (ou un autre anxiolytique) pour vous calmer.

Vous essayez de vous donner bonne contenance, vous essayez de contrôler vos ruminations, et autres pensées obsessionnelles, mais les symptômes sont bien présents.

Vous trouverez ci -après, la liste des symptômes d’angoisse du soir les plus fréquents :

  • Boule à l’estomac,
  • Irritabilité,
  • Peur irraisonnée,
  • Perte de contrôle de ses émotions,
  • Perte de contrôle de soi,
  • Irritabilité,
  • Difficultés à déglutir (avaler sa salive),
  • Impatience,
  • Agressivité,
  • Peur d’avoir peur,
  • Peur de perdre le contrôle,
  • Tristesse,
  • Colère,
  • Sentiment d’impuissance,
  • Ressentiment.

Sans oublier des symptômes d’angoisse existentielle puisque, in fine, souffrir autant ne peut que vous amener à vous interroger sur le sens de la vie dans de telles conditions.

Les différents facteurs déclenchants

Différents facteurs sont responsables de l’anxiété nocturne. Ainsi, de la solitude à la peur de mourir seul, ou divers problèmes médicaux, sont à considérer.

Vous en trouverez la liste ci-dessous.

La solitude

Il est trés fréquent que les personnes qui vivent seules soient angoissées la nuit puisque, le plus souvent, ces mêmes personnes subissent leur solitude. Elles n’ont pas choisi cette dernière.

La solitude est parfois liée à une rupture sentimentale, au décès d’un(e) conjoint(e), ou encore à de simples circonstances sociales ou affectives qui font que l’on a pas rencontré l’élu(e) de son cœur ou que l’on ne partage pas ou plus la vie de quelqu’un(e). C’est ce que d’aucuns appellent : les circonstances de la vie.

Quand on est seul(e) la nuit, il n’y a personne à côté de soi pour nous rassurer, nous envelopper si, d’aventure, on a peur de la nuit noire, peur de l’orage, peur du vent ou de je ne sais quoi encore.

On est donc livré(e) à soi même, sans aucun appui et il nous incombe alors d’appréhender la situation au mieux ce qui est d’autant plus difficile quand il faut assumer, seul(e), ses comportements, ses choix, ses façons d’être et de faire.

Ainsi, quand la solitude est un facteur d’angoisse, c’est une preuve supplémentaire que si l’être humain savait vivre seul, cela se saurait. Nous avons toutes et tous besoin d’un(e) partenaire et pas seulement dans le souci de se reproduire.

L’angoisse de mort

Dans les cas les plus graves d’angoisse la nuit, vous pouvez ressentir une angoisse de mort. Elle est souvent accompagnée du sentiment terrible de devenir fou ou folle puisque plus rien ne vous appartient, et que vous ne contrôlez plus rien.

Vous ne comprenez pas ce qu’il vous arrive. Vous êtes victime de terreur nocturne et vous vous posez la question de savoir si vous êtes en dehors de la réalité, tout en ayant conscience que vous êtes dans une irréalité éveillée ?

Cette sensation est horrible et je ne la souhaite à personne. Dans tous les cas, hors les symptômes d’angoisse de mort, il n’y pas d’explications rationnelles à ces épisodes nocturnes angoissants.

Des facteurs psychologiques expliquent un certain nombre de choses qui facilitent le traitement de l’angoisse nocturne chez l’adulte. Mais il existe aussi des facteurs affectifs dont il faut tenir compte.

La peur de mourir seul(e)

La solitude rend cette angoisse d’autant plus prégnante (elle s’impose à nous) qu’il est fréquent que les personne seules fassent des crises de panique nocturne.

Quand on arrive pas à calmer une crise d’angoisse en pleine nuit alors qu’il n’y a personne d’autre que nous dans notre lit et, à plus forte raison, dans la maison ou dans l’appartement dans lequel on vit, la peur la plus forte, la plus violente, est la peur de faire une crise cardiaque et de mourir seul(e).

Ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que angoisse et solitude s’entretiennent l’une l’autre. La solitude nous livre à nous même et nous avons autant plus de raisons de cultiver la phobie de mourir, que nous sommes livré(e) à nous même.

En guise d’anecdote, en ce qui concerne la peur de dormir seul, je dors comme un bébé comme mon épouse dort avec moi, et moins bien quand elle n’est pas là…

Petite précision au passage, l’angoisse que nous évoquons dans cet article s’accentue quand on souffre d’hypertension ou de troubles digestifs.

L’hypertension

Hypertension et troubles digestifs sont deux symptômes d’anxiété laquelle nourrissent l’angoisse.

En matière d’hypertension, j’entends souvent des patient(e)s me dire : « je souffre d’extrasystoles« . Du coup, les gens focalisent leur attention sur leur trouble du rythme cardiaque ce qui, in fine, accroit leur inquiétude au point, là aussi, d’avoir peur de mourir en pleine nuit.

Il existe différentes façons de traiter les extrasystoles liées à de l’anxiété et je vous encourage à chercher ces informations au sein du présent blog.

Problèmes de digestion

En ce qui concerne des problèmes de digestion, peut-être avez-vous avez mangé « un truc qui ne passe pas », ou alors, il se peut que vos troubles digestifs soient le symptôme d’un trouble anxieux. En effet, ne dit-on pas que la sphère abdominale (estomac et appareil digestif – intestins -) est notre deuxième cerveau ?

Quoiqu’il en soit, cela signifie que beaucoup de nos émotions se ressentent dans le ventre au point, parfois, d’avoir des remontées d’acide ce qui, bien évidemment, participe à vous laisser éveillé(e) d’une part comme à craindre de ne pouvoir s’endormir d’autre part.

Si vous ne vous endormez pas, vous avez sans doute aussi peur que la journée à venir vous soit pénible et difficile.

En effet, au sortir d’une nuit à avoir eu mal au ventre, comment aborder sa journée sereinement ? Alors, vous anticipez, vous vous énervez, et avez toutes les raisons de craindre ne pas être en forme le lendemain, à plus forte raison si vous avez des engagements importants.

Ainsi, hypertension et digestion sont effectivement deux facteurs à cette angoisse et, par extension, deux symptômes d’anxiété qu’il faut traiter.

Pour traiter l’anxiété, vous trouverez toutes les précisions nécessaires dans le cadre du protocole thérapeutique que j’ai conçu lequel vous promet 95% de réussite de moins de 2 mois, en bas du présent article.

Angoisses sans raisons avant le coucher

Imaginez que vous êtes allongé(e) depuis quelque temps déjà. Je précise : depuis quelques minutes, pas depuis des heures. Vous sentez votre corps s’alanguir et votre esprit se relâche. Vous vous sentez bien, du moins, vous le croyez.

C’est là qu’il va se passer quelque chose. Quelque chose que vous avez sans doute déjà subi, quelque chose que vous redoutez. Vous y avez pensé avant même d’aller vous coucher au point d’être vaguement angoissé(e). Une angoisse diffuse mais, plus pénible encore, une peur sourde que vous en comprenez pas : une angoisse sans raison.

Vous craignez d’être de nouveau victime de troubles de l’endormissement ou de troubles du sommeil. Malgré votre crainte d’une crise d’angoisse en pleine nuit, vous allez vous coucher.

Comment stopper une crise d'angoisse nocturne?

Stratégiquement, vous retardez le plus possible le moment où vous allez dormir, histoire d’être bien fatigué(e) et, ainsi, de vous rassurer quant à votre endormissement. C’est fin mais c’est inutile.

Vous êtes bien victime de cette forme d’angoisse que vous redoutez tant. Couché(e), vous sentez le sommeil vous prendre. Vous essayez de vous laisser aller, vous essayez de lâcher prise puis, enfin, vous commencez à vous endormir.

Au début de cette période, votre corps se répare en dehors de votre propre contrôle. Vous cerveau prend les commandes mais, tout d’un coup, vous vous réveillez, de façon soudaine, brutale. violente.

Votre cœur bat très fort que vous ressentez une oppression importante de la cage thoracique. Peut-être même avez-vous eu l’impression d’étouffer et d’avoir poussé un long râle ?

Paniqué(e), vous vous réveillez en sueur. L’angoisse vient de s’exprimer. Mais que s’est-il passé ?

Avant d’aller vous coucher, vous avez anticipé. Vous ressentiez une forme d’appréhension à l’idée de vous réveiller angoissé(e) en pleine nuit. Du coup, vous avez exprimé à la fois votre peur de ne pas dormir et votre volonté de dormir.

Votre cerveau a bien noté ce conflit qui a consisté à anticiper tout en essayant de vous imposer le sommeil par peur de ne pas arriver à dormir.

Vous vous êtes inconsciemment programmé(e) pour vous réveiller ce qui alimente votre anxiété nocturne et, bien évidemment, ce n’est pas sans conséquences.

Les troubles de l’endormissement

L’angoisse se manifeste donc dans les premiers instants du sommeil, peu de temps après les premiers moments de votre endormissement, à ce moment où le corps et l’esprit ont trouvé un cycle de sorte à ce que nous puissions nous relâcher.

C’est sans aucun doute le moment le plus important de notre phase de sommeil. C’est la raison pour laquelle ces symptômes sont à la fois simples et spécifiques.

Ils n’apparaissent pas à tous moments durant votre nuit de sommeil et ces symptômes vont jusqu’à générer de l’insomnie, ce qui, bien évidemment, va aggraver votre situation émotionnelle.

A ce sujet, une étude conduite par l’Institut national du sommeil et de la vigilance (INSV) démontre que plus de 40 % des français ont des problèmes de sommeil.

Comment calmer l'angoisse nocturne ?

Des difficultés à lâcher prise

Continuons au sujet de votre sommeil. Imaginez que vous sentez votre sommeil vous prendre mais que vous vous réveillez tout d’un coup, dans une torpeur incroyable. Vous êtes alors pris(e) d’angoisses aussi pénibles que soudaines et inexpliquées.

L’anxiété en pleine nuit vient de trouver son point d’orgue !

Vous sentez la peur vous envahir et celle-ci est d’autant plus importante que la nuit est silencieuse. Pas un bruit, un environnement calme, trop silencieux.

Cette solitude vous oppresse et plus vous luttez, pire est votre problème.

Une prise en charge tardive

En pareille situation, réveillé(e) en pleine nuit et angoissé(e), un adulte tente de se créer des activités occupationnelles.

Il cherche à se libérer de son angoisse. Par exemple, en pratiquant des exercices de relaxation tout en nourrissant – parfois – du ressentiment ou de la colère contre ses proches. Ils ont de la chance, ils dorment !

La personne se sent d’autant plus victime qu’elle pense qu’aucun de ses proches ne se préoccupe d’elle. Elle peut alors être convaincue que personne ne s’intéresse à son problème et encore moins à elle. Elle se sent abandonnée, livrée à elle même.

Dans un tel contexte, le risque est grand que cette personne souffre d’épuisement physique, et aussi de symptômes de stress, comme de déséquilibres émotionnels.

Ainsi, au gré du temps, la personne qui souffre d’angoisse est susceptible de souffrir de dépression, de phobie, de toc, le tout alimenté par une angoisses au lever.

Je vous concède que ceci est un tableau clinique peu encourageant, mais il existe des solutions pour calmer ces angoisses dont vous souffrez.

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