L’approche systémique de Palo Alto est une approche comportementale très pragmatique et simple. Elle est d’ailleurs plus communément appelée : approche stratégique et brève orientée solutions.

De fait, la thérapie comportementale issue de cette approche aide à comprendre et à trouver des solutions à tous les problèmes afférents de façon directe ou indirecte à tout sujet que nous vivons comme un problème.

En effet, au regard de ses conséquences psycho sociales et affectives, le manque de confiance en soi est un problème couramment associé aux troubles de l’angoisse, de l’anxiété (dont les phobies sont un symptôme) et à la dépression.

Encore faut-il, pour arriver à satisfaire un tel objectif, trouver des solutions en levant les résistances au changement.

Dès lors, la question se pose : comment l’approche systémique de Palo Alto peut-elle nous aider à cesser de résister au changement, lequel comportement est un symptôme d’anxiété et d’accepter de ne plus avoir le contrôle ?

En bref, de lâcher prise.

L’absence de confiance en soi a des aspects si récurrents et oppressants qu’elle nous enferme dans un cercle vicieux de négativité. Au point, parfois, de nous empêcher de trouver une issue favorable à ce que nous vivons comme un problème.

A contrario, si nous comprenons mieux ce qui nous arrive, nous nous sentons plus libre et retrouvons notre autonomie. Pour enclencher ce processus de changement, processus vertueux s’il en est et, ainsi, retrouver votre sérénité, l’approche comportementale de Palo Alto est fortement recommandée.

C’est le chemin le plus sur, le plus efficace, et le plus rapide. Celui-là même qui nous donne les moyens de renouer avec la confiance en soi.

La mécanique de votre histoire

Le besoin de contrôler est un mécanisme d’auto défense naturel. Il est interprété comme le choix de demeurer actif face à un danger. Le cerveau humain l’adopte d’instinct parce qu’il a appris que mieux vaut combattre plutôt que de subir l’obstacle auquel on est confronté.

Dans notre monde moderne, plusieurs facteurs expliquent l’apparition et le développement de stratégies de contrôle. Généralement, cette façon de faire et d’être en soi trouve ses origines dans l’enfance.

En pareille situation, ces expériences douloureuses remettent en cause notre capacité à nous protéger de ce que nous percevons comme un danger. Mais, ce faisant, en réagissant ainsi, nous avons l’illusion d’agir et notre capacité à nous adapter est comme rendue stérile le temps aidant.

Ainsi, lorsque nous sommes face à des situations analogues à celles qui nous ont tant faites souffrir quand nous étions enfant, instinctivement, nous réagissons de sorte à contrôler ce que nous vivons comme un problème mais, à force, nous finissons par subir la situation. Ce n’est pas que nous ne voulons pas changer, c’est que nous n’y arrivons pas et que, involontairement, nous enrichissons notre problème..

C’est un peu comme avec la procrastination. Si, durant notre jeunesse, nous avons entendu nos proches nous asséner que nous sommes nul(le), ou pas loin, et n’arriverons à rien, nous ne pouvons qu’avoir peur de ne pas réussir et, partant, nous modélisons notre échec à venir de façon inconsciente, ce qui aggrave notre peur d’échouer, d’être jugé, désaimé, etc.

Nous considérons alors que nous manquons de forces ou de qualités, voire que nous êtes nul(le) ou, pire. médiocre. Nous nous résignons, pensant que nous ne pouvons rien y changer, comme une fatalité. Admettons, mais alors quel vrai problème se cache derrière cette intention hors d’un contrôle constructif ?

Quel est le problème ?

Le problème c’est que nous nous convainquez de tout ce qui vient d’être évoqué. Comme si nous n’étions pas légitime à aller bien. D’ailleurs, il y a de fortes présomptions que nous nous le répétions souvent jusqu’à en être convaincu(e) au point que nous n’arrivons plus à penser le contraire. Comme si nous étions condamnés.

Ainsi, bien que nos proches tentent de vous remonter le moral, rien n’y fait. Rien ne nous rassure vraiment. Nous nous sentons impuissants. Notre estime de nous mêmes est quasi totalement détruite. Sur le long terme, des crises d’angoisses apparaissent lesquelles sont la porte d’entrée à l’anxiété (cf. anxiété sociale ou phobie sociale).

Tout cela s’explique par ce comportement négatif que nous manifestez à notre endroit. Comme à toute chose qui nous concerne. Même s’il est vrai que ce n’est pas un choix raisonné, nous sommes dans un stress patent.

Nos réactions, ou absence de réactions, sont plutôt le résultat d’un réflexe conditionné depuis de longues années. J’en veux pour preuve ce que je dis et répète souvent à mes patients :

« Comment voulez savoir faire quelque chose que l’on ne vous a pas appris ou que l’on vous a empêché d’apprendre?« .

Ce réflexe négatif que nous exprimons à chaque situation déplaisante, n’est pas immuable. Nous ne sommes pas condamné(e)s à le subir toute votre vie durant. Nous sommes capable de rompre le cycle. Nous pouvons le modifier ou l’inverser, de sorte à gagner de la confiance en nous-même.

Thérapie comportementale: le processus de contextualisation

Une approche stratégique qui vous veut du bien

La majorité des thérapies visent à rompre le manque de confiance en soi. Elles se basent essentiellement sur notre passé, sur les difficultés autrefois vécues. Or, avant d’obtenir un soupçon de résultat, il nous faut parfois attendre des années.

S’il est très intéressant d’identifier « pourquoi » nous souffrons d’absence de confiance, cette identification ne nous donne pas la solution.

Ces thérapies, dites analytiques, sont d’autant plus longues et ingrates qu’elles ne nous protègent pas de rechutes lesquelles il est très fréquent d’observer à cause de l’environnement social ou familial.

Non pas que notre environnement (social, affectif, économique, sentimental, familial, etc) soit responsable d’un problème soudain mais plus parce que les inter actions avec lui sont quasi incontournables.

S’affirmer dans des environnements à l’égard desquels nous avons du mal à nous positionner de façon appuyée, nous fait craindre les conflits. Du coup, cela nous invite à adopter un positionnement de repli ou d’évitement, ce que nous ne connaissons que trop et qui justifie ce que nous avons coutume d’appeler une « rechute ».

Ici et maintenant

A contrario, l’approche systémique de Palo Alto est objective, stratégique et brève. Elle ne s’appuie pas exclusivement sur les faits passés mais beaucoup plus sur le présent. Elle prend en compte le fait que nos ressentis et nos comportements, sont également influencés par notre entourage et notre quotidien.

Nos problèmes de comportements sont le fruit d’une question de personne bien sur mais aussi de contexte et d’environnement. Comment exiger de soi de se sentir en sécurité avec une horde de voyous constamment armés autour de notre lieu d’habitation ?

L’approche stratégique et brève issue du modèle Palo Alto se sert de ce  que nous vivons ici et maintenant. Cela permet de calibrer le processus stratégique d’intervention, c’est à dire construire et conduire le changement.

Cette façon d’aborder notre problème, et de « le travailler », favorise l’éclosion de solutions à court terme. C’est à dire en moins de 2 mois.

Dans cette démarche, sont pris en compte:

  • Notre système relationnel,
  • Les différents environnements et contextes dans lesquels nous évoluons.

Comprendre et agir

Dans la pratique, et dans un 1er temps, le coach ou le programme thérapeutique en ligne qui utilise cette approche systémique établit un diagnostic comportemental.

Il s’agit de la même démarche dans le cadre d’un coaching, qu’il s’agit de coaching comportemental ou d’un coaching de vie intégré à un processus de développement personnel.

En second lieu, il est préconisé de suivre certains exercices. Ceux-ci relatent précisément nos perceptions émotionnelles dans tous les domaines de notre vie. A titre d’exemple, il nous est demandé de tenir un tableau de bord émotionnel.

Les informations rapportées au thérapeute, ou coach, ou dans l’espace personnel d’e votre d’un programme en ligne, nous permettent de comprendre comment nous réagissons dans une situation donnée, partant, ce qui fonctionne ou non.

Cela nous évite la réitération d’erreurs comportementales. Avec aisance, sans y consacrer un temps chronophage, nous accédons à des moyens, simples et pratiques, pour retrouver la sérénité à laquelle nous aspirons légitimement.

Identifier les processus de blocages

Les solutions identifiées comme défectueuses, et que nous expérimentons, sont classées dans 3 catégories :

  • Évitement,
  • Contrôle,
  • Croyances.

Dans la phase d’évitement, nous cherchons à éviter toutes les difficultés qui se présentent à nous. C’est ainsi que, contre toute attente, nous nous retrouvons pris au piège.

Dans la phase de contrôle, nous tentons par tous les moyens de conserver la maitrise. Mais, dans la plupart des cas, nous obtenons les effets contraires à ceux souhaités jusqu’à perdre le contrôle du contrôle.

Dans la phase des croyances, nous sommes convaincus de votre incapacité à faire quelque chose de bon ou de bien. Quand la croyance devient forte, elle finit par se réaliser. C’est ce que l’on appelle « la prophétie auto réalisatrice » laquelle nous confirme dans votre incapacité à « faire bien ».

Un systémicien, un thérapeute comportemental donc, cherche d’abord à comprendre quel est votre problème de sorte à en identifier le mécanisme.

A cette fin, il contextualise, c’est à dire qu’il cherche à identifier et comprendre vos comportements réponses, de sorte à catégoriser l’ensemble.

Une fois la situation éclaircie, il s’agit de travailler à changer notre perception des choses. C’est à dire, débloquer notre système en neutralisant les informations négatives et toxiques, ces ancres émotionnellement inertes de sorte à ce qu’elles ne soient plus des entraves au changement. Un déblocage qui, de fait, facilite notre autonomie, notre estime de vous même et, par extension, notre confiance en nous.

Tout ceci n’est possible qu’en amorçant un cercle vertueux de changements, et c’est précisément ce que favorise la thérapeutie et comportementale fondée sur l’approche Palo Alto.

Conduire le changement

Pour étayer ce propos, prenons un exemple simple : celui d’un cadre d’entreprise en difficultés relationnelles ou plutôt interactionnelles.

A tort, il se pense mal aimé de ses collègues de travail, et va jusqu’à s’imaginer que ces derniers désirent son échec. Ce cadre passe son temps à ruminer, au point de devenir improductif. Comment aborder et traiter ce que cet homme vit comme un problème ? Comment conduire le changement ?

Pour qu’il s’en sorte, il faut d’abord qu’il change son point de vue vis-à-vis de sa relation avec ses collègues comme avec lui-même. C’est en comprenant le cheminement de ses idées, et ce à quoi cela fait écho, qu’il prend acte que son raisonnement est erroné.

Dans la même veine, il identifie ses modes de communication interactionnels. Il comprend mieux ce qui fonctionne mal dans ses relations professionnelles et, dès lors, adopte des modes de communication plus objectifs.

Grâce à des exercices comportementaux adaptés à sa situation, ce monsieur est plus objectif et plus distancié. De façon naturelle, il compartimente ses réactions émotionnelles et ne fait plus cet amalgame toxique entre le « moi affectif » et le « moi fonctionnel ».

Dès que cette étape est franchie, un cercle vertueux s’enclenche de façon progressive et automatique. Ce cadre a plus d’assurance, il se sent mieux, ses rapports avec ses collègues s’améliorent et, enfin, il retrouve du plaisir à travailler.

Ainsi, il aura su traiter la résistance au changement.

Restaurer la confiance

In fine, grâce à l’approche systémique de Palo Alto, il est très simple de vaincre n‘importe quel problème de type interactionnel. Le seul pré requis est de prendre conscience de notre problème et d’être prêt(e) à changer. Cela signifie, co-créer, avec notre coach ou un programme en ligne un comportement pro actif.

Pour que la conduite de notre changement soit un succès, comme pour notre bien être, il est fondamental de cesser de culpabiliser. Nous ne sommes pas des erreurs de la nature ni la source des difficultés que nous rencontrons au quotidien. Cette thérapie comportementale nous est alors d’une grande aide pour comprendre et accepter cette réalité.

Cette conduite du changement nous aide à « nettoyer » tous les traumas à propos desquels nous sommes dans une stratégie de défense. Nous passons alors à une stratégie relationnelle offensive, parce-que très opérationnelle. Ainsi, nous capitalisons et fructifions notre capital de confiance.

Du problème à la solution

Pour satisfaire ces objectifs, j’ai le plaisir de vous informer avoir créé un programme thérapeutique et comportemental en ligne qui vous garantit une efficacité supérieure à 95%, en l’espace de 2 mois, qu’il s’agisse traiter des problèmes d’angoisse, d’anxiété, de phobie, de toc ou encore de dépression.

Ce programme est le fruit de mes 25 années d’expérience en thérapie comportementale. Je parle ici de l‘approche systémique de Palo Alto, une approche stratégique et brève orientée solutions. Dès lors, plutôt qu’un long discours, je vous invite à regarder la vidéo de présentation de cette méthode en cliquant sur le lien ci-dessous.


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Profitez de cette chance extraordinaire tout comme celles et ceux qui, avant vous, pensaient ne jamais s’en sortir.

    2 replies to "Approche systémique de Palo Alto et thérapie comportementale"

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Ella,

      Pour traiter votre problème, n’hésitez pas à me solliciter à l’aide la page contact.

      Je vais vous envoyer un questionnaire car j’ai besoin e précisions pour savoir si je suis ou compétent à vous aider.

    • Gangloff

      Votre article m a beaucoup parlé !!!!….👍🙏…très intéressé pour un coaching!…

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