Dans tous les problèmes d’angoisse, d’anxiété, de phobie ou de dépression, il y a une constante.

Cette constante repose sur un symptôme commun que l’on appelle le plus souvent:

En fait, bien qu’ils soient responsables de ressentis différents, ces 3 symptômes sont les mêmes.

Globalement, ce sont des symptômes d’anxiété, des symptôme de troubles anxieux et ils sont un frein à votre mieux-être.

Je vous explique.

La déréalisation

En matière de symptômes d’anxiété, la déréalisation est l’impression – fort désagréable – d’être détaché(e) de son corps avec l’impression constante d’être un spectateur de soi même plutôt qu’acteur.

En matière de symptômes d’anxiété, c’est ce que l’on appelle une crise de dissociation. Ce qui revient à dire que l’on arrive pas à s’incarner. A être présent à soi même.

Quand on parle de déréalisation on parle donc de trouble dissociatif ou de crise de dissociation.

De fait, la personne victime de ce type de trouble n’arrive plus à incarner ou à être acteur/actrice de la réalité qui l’entoure.

La dépersonnalisation

A trés peu de choses près, dépersonnalisation et déréalisation sont en bien des points identiques.

Ensuite, on peut « jouer » sur les mots ou sur des différences de ressentis, fondamentalement, c’est la même chose.

Les gens qui souffrent de dépersonnalisation ont souvent le sentiment de ne plus s’appartenir. Qu’il y a comme un écran de fumée entre eux et la réalité extérieure. Un peu comme s’ils étaient sous acides (ex: LSD).

Avec la dépersonnalisation, on a le sentiment d’être là sans y être vraiment, ce qui rend quasi impossible une ou des actions concrètes dans la réalité.

Avec les vertiges, c’est le même problème.

Les vertiges

Comme je l’ai expliqué dans un article que j’ai publié à ce propos, il existe différents vertiges mais, finalement, cela revient au même.

Cependant, il y a une différence de comportement de la part des personnes qui souffrent de déréalisation, de dépersonnalisation ou de vertiges.

Autant les personnes qui souffrent de DP/DR comprennent naturellement qu’elles ont un problème psychique, autant les personnes affectées par des vertiges vont, dans un 1er temps, essayer de trouver des explications médicales.

Ainsi, la plupart des gens vont consulter leur médecin traitant ou un(e) ORL pour essayer d’identifier:

  • Un trouble de l’oreille interne
  • Un problème de cristaux
  • Un trouble vasculaire
  • Un problème d’hypotension ou d’hypertension
  • Etc.

Autant de réactions normales à propos de symptômes qui échappent à leur contrôle. A ceci près que, médicalement, il n’y a jamais rien !

Et le moment est particulièrement long entre celui au cours duquel les gens s’investissent dans un parcours médical vain pour finir par comprendre, et pas toujours accepter, que leurs vertiges ne sont qu’un symptôme.

Le symptôme d’un trouble anxieux la plupart du temps.

Les vertiges sont donc la façon que votre cerveau a de mettre de la distance entre la réalité et vous parce qu’il considère que vous n’êtes pas en état psychique d’appréhender et de supporter la réalité.

C’est là aussi, tout comme avec la déréalisation et la dépersonnalisation, un écran de fumée entre vous et la réalité, lequel écran a pour fonction de vous protéger.

symptômes d'anxiété: déréalisation, dépersonnalisation, vertiges

Quel est le point commun à ces 3 symptômes ?

Le point commun entre ces 3 symptômes c’est leur fonction d’une part et la façon e les traiter d’autre part.

Leur fonction commune consiste à vous protéger d’une réalité extérieure que votre cerveau sait que vous en pouvez pas gérer.

C’est trés pénible et, la plupart du temps, les personnes intéressées ne savent pas comment appréhender ce genre de situation ce qui rajoute à leur difficulté.

Or, ces troubles ont pu particularité d’être des symptômes de problèmes d’angoisse et d’anxiété majeures.

C’est la paroxysme de votre problème en quelque sorte.

L’autre particularité c’est que, mal pris en charge, ces symptômes peuvent devenir un trouble anxio-dépressif voire être responsable d’une dépression.

Du coup, la question de pose de comment traiter un tel problème.

Comment traiter ce type de symptômes ?

Pour traiter définitivement des problèmes de déréalisation, de dépersonnalisation ou de vertiges, il ne faut pas se tromper de combat.

En effet, il n’existe aucun moyen thérapeutique d’aucune sorte pour traiter – de façon directe – ce type de problèmes, à plus forte raison quand on sait qu’ils sont l’expression d’un trouble anxieux.

Il n’existe donc aucun médicament ou aucune thérapie pour directement, et seulement, traiter ce type de problème. Alors, comment faire?

C’est trés simple:

il suffit de thérapeutiquement travailler sur la résolution de problèmes d’anxiété (lesquels sous-tendent des problèmes d’angoisse, de stress, de troubles anxio dépressifs ou de dépression) pour impacter, progressivement, déréalisation, dépersonnalisation et vertiges.

C’est donc en traitant le vrai problème que vous traitez les symptômes à contrario de ce que je préconise le plus souvent en matière de thérapie comportementale, soit:

Éradiquer le symptôme pour traiter le vrai problème.

Déréalisation dépersonnalisation et vertiges sont donc les 3 seuls symptômes à propos desquels on travaille de façon différente à la stratégie thérapeutique habituellement employée.

C’est donc en travaillant sur la compréhension du système – de la mécanique – qui alimente ces 3 symptômes que vous pourrez les traiter de façon rapide et définitive. 

Vous avez du mal à saisir l’opportunité qui s’offre à vous pour vaincre définitivement votre problème d’angoisse, d’anxiété, de dépression, ou de phobie ?

C’est comme çà, et je ne porte aucun jugement de valeurs à ce propos.

1 solution est possible mais le doute persiste

Peut-être est-ce comme si vous étiez resté(e) figé(e) au moment d’attraper une balle? Ce qui, je présume, vous est déjà arrivé, tout comme à moi.

N’est-ce pas horriblement frustrant de ne pas atteindre son objectif alors que vous y étiez presque ?

Sans doute que oui.

La réalité c’est que faisons tous face à des blocages soudains ou répétés. D’aucuns diraient que ça fait partie de la vie.

En conséquence de quoi, ne pas avoir bénéficié du programme quand il était encore temps, c’est comme si vous aviez été empêché(e).

Pour autant, vous êtes toujours abonné(e) à ma liste de diffusion pour recevoir mes messages.

J’en déduis donc que vous poursuivez votre objectif de vous débarrasser de votre problème. Tant mieux ! J’en suis ravi pour vous.

Du coup, j’aimerais vous parler des plus gros blocages auxquels sont confrontés la plupart des personnes dans votre situation.

Cela va vous faire gagner beaucoup de temps et vous épargner bien des frustrations.

Ainsi, vous pourrez ainsi agir dans le sens de votre objectif plus rapidement et plus efficacement.

Blocage N°1

Le tout premier blocage auquel vous devez faire face c’est le doute et l’absence de confiance.

Vous devez y faire face quand il s’agit de prendre une décision qui conditionne votre avenir mais dont vous ne savez pas si elle est la bonne ou non.

Du coup, vous hésitez, vous évaluez vos comportements à l’aune de vos peurs et, finalement, vous ne faites rien.

Plus que le changement qui fait peur (aller bien peut faire peur, si, si !), c’est la peur de se tromper qui inquiète.

La peur de ne pas être à la hauteur. Ou celle de craindre d’être manipulé(e) voire, pire, d’être escroqué(e).

Alors, la somme de ces peurs vous fait rester sur la réserve. Vous repoussez votre décision de passer à l’acte, de devenir – vraiment – acteur de votre vie.

Ce qui alimente votre frustration.

Dès lors, vous pouvez toujours rationaliser en essayant de vous rassurer, comme en vous disant, par exemple, qu’il vaut mieux avoir tort à plusieurs que raison tout(e) seul(e).

Mais quand même. La douleur de la frustration est bien présente.

Y a-t-il une solution à ce problème cornélien ?

Oui et non.

La manière la plus rapide de contourner ce blocage est de s’affirmer et de prendre le risque de faire le bon choix pour soi-même.

Effectivement, beaucoup de gens font des choix par rapport aux autres et non par rapport à eux.

La solution la plus simple consiste donc à exercer votre libre arbitre et à faire ce que vous vous désirez.

Je parle bien de désir et non pas de réflexion intellectuelle ou rationnelle. Mais écouterez-vous plus votre désir que votre peur ?

Cette question me fait penser au domaine sentimental.

Imaginons que vous souhaitiez « amorcer » une relation amoureuse. Débuterez-vous une relation sentimentale avec une personne que l’on vous « conseille » ou avec une personne qui vous inspire ?

Ferez-vous votre choix en fonction des autres ou en fonction de vous-même ?

Comment débloquer la situation N°1 ?

Écouter votre peur (encore une fois) et faire le choix de ne rien faire.

Blocage N°2

Le second blocage auquel vous devrez faire faire face, c’est la peur de ne pas être à la hauteur.

Partant, de ne pas réussir et de craindre d’être jugé(e) en plus de vous juger vous-même.

Vous y êtes confronté(e) une fois membre du programme.

Mais aussi, avant de faire le choix de bénéficier du programme.

Pourquoi ?

Parce-que là aussi, de la même façon qu’au sujet du Blocage N°1, vous anticipez.

C’est-à-dire que vous vous posez les questions suivantes :

  • « Et si les exercices étaient trop difficiles ? »
  • « Et si je ne comprenais pas les exercices ? »
  • « Est-ce que le programme va vraiment marcher pour moi (alors qu’il fonctionne pour plus de 95% des gens) ?
  • Etc.

Cela signifie qu’avant même de commencer, vous vous mettez déjà des bâtons dans les roues en vous projetant, en anticipant de façon anxieuse, en imaginant un avenir dont vous ne savez rien.

En bref, comme le veut la formule consacrée: Vous vous prenez les pieds dans le tapis…

symptômes d'anxiété: quand le traitement de l'anxiété est confronté à des blocages

Comment sortir du blocage N°2 ?

Vous dire que cette peur a pu être votre meilleure amie (elle vous aura protégé quelques temps) mais que, désormais, sur la foi de toutes les conséquences que vous lui connaissez, cette amie est devenue très envahissante au point de vous empêcher de vivre.

Alors, il est temps de lui demander de partir.

A moins que vous n’ayez plaisir à continuer de souffrir en sa présence ?

Un résultat inversement proportionnel à l’effet désiré

Cela alimente – enrichit – votre peur. En conséquence de quoi, vous ne faites aucun choix dans votre intérêt.

Même chose si vous ne réussissez pas à reprendre le contrôle de votre vie malgré le programme.

Avez-vous peur de ce que les gens pourraient dire ?

De ce qu’ils pourraient penser à votre sujet ?

Sans doute, et c’est bien humain.

Vous en conviendrez, ce sont autant de facteurs de frustrations puisque cela vous empêche de prendre la bonne décision pour votre avenir.

Comment contourner ce problème ?

Blocage N°3

Le troisième blocage est plus pervers.

Je vous le résume:

  • « C’est trop beau pour être vrai ! »
  • « Et si ce type – moi – est un charlatan et son offre une arnaque ? »

Peurs ô combien légitime !

Pour nous protéger de nos peurs, nous avons tous nos recettes et celle là en est une. Du coup, vous avez besoin d’être rassuré(e) (ce que je comprends).

Mais, dans le même temps, je sais d’expérience que vous rassurer ne sert à rien.

Pourquoi ?

Parce qu’une fois que je vous aurais rassuré sur un ou plusieurs points, vous en trouverez d’autres à propos desquels vous me demanderez de faire de même:

Vous rassurer encore.

Et, je le dis d’expérience, cela n’aura jamais de cesse. Du moins, pas tant que vous ne prenez pas de décision.

A titre d’exemple, depuis plus d’un an, une dame me téléphone régulièrement pour me poser, à chaque fois, les mêmes questions au sujet du programme.

Il y a trés peu de temps, elle m’a encore téléphoné et posé les mêmes questions.

J’ai fini par lui dire que je comprenais ses inquiétudes mais que je lui avais déjà répondu à diverses reprises.

S’épargner le blocage N°3

Finalement, je lui ai dit :

« Je ne peux pas faire à votre place ce que vous ne faites pas pour vous-même« .

Alors comment faire pour vous convaincre de la réalité de mes compétences et de ma bonne foi ?

Je crois avoir déjà répondu à cette question au sujet des blocages 1 et 2.

Si vous suivez votre désir, il vous emmènera au bon endroit.

Mais, souvenez vous:

Je ne peux pas créer ce désir de reprendre le contrôle de votre vie à votre place.

Le choix vous appartient, et à vous seul(e).

Alors ? Plaisir ou frustration ?


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Profitez de cette chance extraordinaire tout comme celles et ceux qui, avant vous, pensaient ne jamais s’en sortir.


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