La phobie d’impulsion, ou peur de faire du mal aux autres ou de se faire du mal, repose sur un schéma simple et désarmant.
Cette peur du passage à l’acte apparait après que vous ayez maintes fois tenté de contrôler angoisses et anxiété, sans succès. Alors, vous vous en voulez, vous vous comparez aux autres, et vous vous dévalorisez.
Autant de comportements qui aggravent le manque de confiance en soi et explique cette impression permanente de se sentir mal.
Un jour, contre toute attente, une pensée intrusive vous traverse : vous avez la soudaine idée de faire du mal à l’un de vos proches ou à vous même.
Dès lors, pris(e) de panique, vous avez peur de passer à l’acte et faites tout pour que cela n’arrive pas. Vous êtes alors victime d’un trouble obsessionnel puisque vous ne pensez plus qu’à çà.
A compter de ce moment, vous essayez de contrôler toute éventualité de passage à l’acte et, dans le même temps, êtes victime d’un toc.
Mais, plus vous essayez de contrôler votre phobie, plus vous enrichissez la peur de passer à l’acte ce qui justifie une peur irrationnelle de perdre le contrôle au même titre que la phobie de vomir.
Dès lors, ce type de phobie revêt un caractère de obsessionnel ce qui explique que ce type de phobie soit classée parmi les troubles obsessionnels compulsifs.
En effet, si passer à l’acte n’était pas un problème, ces personnes n’auraient pas peur, trouveraient leur comportement légitime, et ne s’inquièteraient pas sans cesse.
Dès lors, vous n’avez de cesse de vous poser la question de savoir comment soigner une phobie de ce type.
Y a t’il un médicament qui soigne ce trouble obsessionnel ?
Depuis plus de 30 ans que je consulte, la plupart des personnes victimes de phobie obsessionnelle a consulté tous les médecins et spécialistes possible : psychiatre, psychologue, psychothérapeute, et j’en passe.
Dans la plupart des cas, la réponse a été double : suivi thérapeutique et médicaments. Je parle là de prescriptions d’antidépresseurs et d’anxiolytiques.
Si ces prescriptions se comprennent de la part du corps médical, elles sont, la plupart du temps, totalement inadaptées.
En effet, quand un médecin identifie la bonne molécule pour traiter un symptôme d’angoisse, ou un symptôme d’anxiété, cela ne fait que contenir le dit symptôme donc, cela ne résout pas le problème.
Il en va de même en ce qui concerne les traitements médicamenteux. Comme ce sont des médicaments qui ont pour fonction de faire disparaitre les symptômes d’anxiété traitent la surface du et les symptômes de dépression, ils ne sont que de peu voire d’aucune efficacité pour traiter la phobie d’impulsion.
Pour mémoire, je vous rappelle que prendre des médicaments sans effectuer un travail thérapeutique est dénué d’intérêt et de sens. C’est d’ailleurs comme cela que des gens se voient prescrire ce type de médicament depuis des années sans que leur état émotionnel n’ait évolué.
Moi j’écris çà, j’écris rien.
Comment vaincre une phobie d’impulsion rapidement ?
Nous avons vu que les médicaments ne sont pas la panacée pour traiter ce trouble obsessionnel puisqu’ils traitent l’anxiété mais pas le symptôme, en plus de vous imposer leurs divers effets secondaires et un problème de dépendance même si le corps médical s’en défend.
Et si la solution à votre problème était là où vous ne l’auriez jamais imaginé…
La psychologie clinique ou la psychanalyse vont vous prendre des années. Avec le temps, ces deux approches thérapeutiques vous aideront – sous réserves – à comprendre le lien qui pourrait exister entre votre histoire de vie et les phobies d’impulsions mais cette éventualité est hypothétique.
L’hypnose de type ericksonnienne est une démarche thérapeutique intéressante mais tout le monde n’est pas suggestible et l’expérience me montre que c’est loin de fonctionner dans le traitement de la phobie d’impulsion. Ce n’est pas moi qui assène cette réalité, je ne fais que m’appuyer sur ce que mes patients m’ont rapporté.
Nous avons aussi vu et compris que tenter de se rassurer et, partant, de rationaliser, n’était pas une méthode appropriée pour guérir un tel symptôme d’anxiété puisque cela accroit les manifestations et enrichit les troubles obsessionnels.
Reste l’approche systémique de Palo Alto. En effet, cette approche stratégique brève et orientée solution est de plus en plus préconisée entre autres par la sécurité sociale puisqu’elle offre 16 cas résolus su 17 en moins de 3 mois.
Dans le cadre de ce mode thérapeutique, le ou la patient(e) n’est jamais exposé(e) à son problème et il n’est jamais demandé aux personnes intéressées de se confronter à l’objet de leur phobie.
La thérapie comportementale repose sur un protocole qui se résume en 4 phases :
- Contextualisation : Pour le patient, il s’agit d’utiliser des outils d’analyse mécaniques trés simples qui lui permettent d’avoir une vison trés objective de son problème et de son mécanisme interne. L’exploitation des données issues de cette analyse permet au patient, avec l’aide du thérapeute, de concevoir une stratégie d’intervention et, ainsi, de mettre en place une solution progressive.
- Stratégie d’intervention et exercices thérapeutiques : Le ou la patient(e) expérimente divers exercices sous l’autorité du thérapeute. Ces exercices s’appuient sur la stratégie initialement envisagée au terme de la période de contextualisation. Il est important de préciser que ces tâches thérapeutiques ne passent jamais par des exercices d’exposition.
- Évaluation : Régulièrement, une évaluation thérapeutique est mise en place de sorte à s’assurer des bénéfices de la stratégie thérapeutique d’une part, et des exercices thérapeutiques d’autre part. Si besoin, le thérapeute comportemental initie des recadrages thérapeutiques qui ont pour fonction de permettre au patient de rester focalisé sur son travail thérapeutique et de maintenir une dynamique de résolution.
- Consolidation : Une fois que les solutions ont été mises en places et qu’elles ont été éprouvées dans le temps, le thérapeute et le patient conviennent d’une stratégie de consolidation qui permet de s’assurer, une fois cette pensée obsessive neutralisée, que celle-ci ne cède pas la place à un autre symptôme et que, partant, la solution s’inscrit dans la durée.
Causes et origines de la phobie d’impulsion
Bien qu’on en parle de plus en plus, cette phobie est encore mal connue quoique trés répandue. Cependant, son classement parmi les toc est relativement récent et ne fait pas encore parfaitement consensus.
La science n’a donc pas encore définitivement tranché la question des origines d’une telle phobie. Certaines études poussent à considérer les différentes comorbidités très souvent observées.
Dans beaucoup de cas, la peur panique de perdre le contrôle vient justement d’un désir inhabituel de contrôle. Beaucoup de patients ont vécu un événement traumatisant ou se trouvent dans une situation difficile où ils subissent l’autorité et le désir des autres. ce qui, à titre d’exemple dans un autre registre, justifie la phobie du travail.
Ils souhaitent donc inconsciemment reprendre le contrôle de leur vie et ont très peur de le perdre à nouveau. Ce qu’ils craignent également, c’est de laisser libre cours à toutes les émotions violentes qui les traversent.
Les phobies d’impulsions concernent environ 3% de la population, et se caractérisent, avant tout, par ce qu’il est convenu d’appeler des pensées intrusives.
Dès lors, ces phobies sont caractérisées par une peur intense et persistante de faire du mal aux autres tout en ayant aucune une intention réelle de le faire.
Il est donc important de comprendre pourquoi on a ces phobies. Grâce aux éléments ci-après, vous pourrez mieux comprendre ce qui les motive sachant que ces dernières sont référencées au titre des phobies les plus fréquentes.
Des prédispositions génétiques
Un certain nombre de recherches ont apporté la preuve que certains publics présentent une prédisposition génétique à développer des troubles anxieux et, par conséquent, ce symptôme d’anxiété que constitue cette peur de commettre des actes violents et irréversibles.
Ainsi, des facteurs héréditaires influencent la réactivité du cerveau face à des stimuli anxieux et un jouent un rôle dans le déclenchement de ces peurs irrationnelles.
Des expériences traumatisantes
Des événements passés ayant constitué un choc psychologique jouent un rôle dans l’apparition de ce type de phobie.
Par exemple, des situations de violence intrafamiliales créent une association entre la peur et le fait de faire du mal à autrui.
En matière d’expérience traumatisante, vous pouvez aussi vous être senti(e) humilié(e) pendant que vous preniez la parole en public et, partant, en concevoir une glossophobie aggravée par une peur de commettre l’irréparable.
Pensez à vous à quelques minutes de prendre la parole en public alors que vous êtes fortement stressé(e) et que vous avez peur de jeter le pupitre sur lequel vous allez vous appuyez parce que vous êtes convaincu(e) que votre présentation sera nulle et que vous serez débordé(e) par vos émotions (j’en parle parce-qu’un patient me l’avait raconté).
Un conditionnement social
Notre environnement social et culturel influence la façon dont vous concevons nos pensées et nos actions.
Des normes et des attentes sociales sont susceptibles de renforcer la peur de causer du tort à un(e) personne proche, ce qui en amplifie les conséquences imaginaires, le plus souvent fortement négatives.
Dans un autre registre, c’est exactement comme si vous aviez toutes les difficultés du monde à répondre à cette question : « phobie du dentiste que faire ? »
L’anxiété généralisée
Les personnes souffrant d’anxiété du fait d’une histoire de vie personnelle « lourde » sont susceptibles de développer des phobies d’impulsion.
Ainsi, l’anxiété chronique entraîne une hypersensibilité aux pensées négatives et un manque de contrôle sur les ruminations mentales, ce qui alimentent les phobies dont nous parlons lesquelles sont susceptibles d’être aggravées par des crise d’angoisses nocturnes.
Dès lors, les uns nourrissent les autres.
Les pensées intrusives
La phobie d’impulsion, également connue sous le nom de trouble obsessionnel-compulsif (toc), affecte de nombreuses personnes – environ 3 % – entre 25 et 50 ans.
Elle se caractérise par des pensées intrusives et récurrentes qui provoque une grande anxiété et un sentiment de peur intense. Ces pensées souvent est de nature violente, ce qui peut être extrêmement perturbant pour ceux qui en sont affectés au point d’être responsables d’angoisse la nuit.
Ces pensées intrusives ne pas pas le reflet de qui sommes nous en réalité. Elles ne représente pas nos véritables désirs ou intentions.
Au contraire, ces pensées sont le résultat d’un dysfonctionnement du cerveau et, par conséquent, de désordres psychologiques et chimiques.
Ainsi, un certain nombre d’éléments contribuent à l’apparition de ces pensées intrusives, notamment :
- Les pensées intrusives s’expriment – parfois – à cause de désordres chimiques liés à des neurotransmetteurs comme la sérotonine.
- Des événements traumatisants comme des abus physiques sexuels créent des pensées intrusives. En effet, ces expériences traumatisantes laissent des cicatrices émotionnelles profondes et influencent la façon dont nous nous percevons et dont nous « vivons » les autres.
- Le stress chronique et l’anxiété excessive sont responsables des symptômes de cette peur obsessive et des pensées intrusives. Les situations stressantes de la vie quotidienne créent un terrain favorable à l’apparition de ces pensées obsessionnelles.
Il est important de noter que les pensées intrusives sont multi factorielles et s’expriment aussi chez des personnes qui ne souffrent pas de phobie d’impulsion. Pour autant, ces pensées envahissantes provoquent une grande détresse émotionnelle.
Il est essentiel de comprendre que les pensées intrusives ne sont pas dangereuses et ne sont que le produit de divers symptômes de troubles anxieux.
Un doute constant
Dans la mesure où vous lisez cet article, c’est qu’il est probable que vous souffriez de phobie d’impulsion, et que vous soyez envahi(e) par des pensées négatives et leurs conséquences.
Vous vous inquiétez constamment du faire du mal à vos proches et votre esprit imagine les scénarios les plus sombres et, sans doute, vous demandez-vous pourquoi vous pensez toujours au pire.
Vous trouverez ci-après quelques explications non exhaustives qui vous expliquent pourquoi vous -même ou d’autres personnes souffrez de ce problème :
- Les personnes atteintes de cette phobie sont constamment en alerte et en recherche de signaux de danger. Cette hyperactivité de l’esprit peut être liée à une combinaison d’éléments génétiques, de l’environnement et d’expériences de vie. L’esprit – le cerveau – est constamment en mode survie, à anticiper les situations dangereuses et leurs conséquences négatives. Cela vous pousse à imaginer les pires scénarios possibles, dans le but de vous protéger vous et vos proches.
- Cette peur constante de passer à l’acte est responsable d’une incertitude permanente. Alors, vous exercez un contrôle absolu sur vos pensées et vos actions, de peur de passer de la pensée au geste sous l’effet d’une pulsion. Ce doute constant, cette peur de l’incertitude vous pousse à imaginer toutes les conséquences possibles d’un passage à l’acte de sorte à l’éviter et, ainsi, prévenir toute situation dangereuse. Mais ces focalisations sur le pire scénario renforce l’anxiété et les pensées intrusives.
- Les personnes victimes d’une telle phobie ressentent souvent un biais de négativité. Cela signifie qu’elles sont en permanence à l’affût d’événements négatifs ou menaçants par opposition aux événements positifs. Par réflexe – biais de négativité -, l’esprit est naturellement attiré par les dangers potentiels et leurs conséquences néfastes, ce favorise le fait de penser au pire.
- L’anxiété anticipatoire est aussi un des aspects clé de cette phobie. Vous anticipez les situations anxiogènes ce qui favorise une réponse anxieuse. Cette anticipation permanente aggrave votre anxiété et le cycle de pensées obsessionnelles.
- Ces mêmes pensées et la peur du passage à l’acte sont responsables d’une sorte de cercle vicieux, celui du pire. Plus vous essayez de supprimer ces pensées, plus vous aggravez leurs forces et leur intensité. En conséquence, lutter contre ces pensées renforce leur persistance. La peur de faire du mal aux autres vous pousse à lutter contre vos pensées intrusives, mais cette résistance ne fait qu’amplifier votre anxiété. C’est un cycle difficile à vivre. Il est important de comprendre que ces pensées ne traduisent nullement vos intentions réelles. Soit écrit en passant, la thérapie comportementale est votre meilleur atout pour définitivement traiter les phobies d’impulsion.
Phobie d’impulsion : une solution efficace et durable
La phobie d’impulsion s’inscrit dans une réalité psychique poignante, incarnant la crainte irrationnelle de succomber à un geste impulsif, réfractaire aux valeurs profondes de l’individu, menaçant de ravager son existence ou celle d’autrui.
Elle peut avoir des racines biologiques, génétiques, psychologiques, afférentes à l’environnement familial ou social, et porte le potentiel de bouleverser l’équilibre de vie personnelle, professionnelle et sociale de celui ou celle qui se trouve dans ses griffes.
La phobie d’impulsion se traduit par des pensées envahissantes, une anxiété profonde, des rituels compulsifs et par un comportement d’évitement manifeste.
Le traitement de ce trouble, pourtant, n’est pas hors de portée ; une thérapie ciblée et adaptée comme l’approche systémique de Palo Alto peut atténuer, voire effacer les symptômes, en reformulant les pensées, en pacifiant les émotions et en modifiant le comportement du patient.
Si vous ressentez les symptômes de la phobie d’impulsion, ou si vous côtoyez quelqu’un dans cet état, prenez l’initiative de solliciter l’aide d’un professionnel de santé mentale.
Il pourra vous offrir un diagnostic éclairé, un traitement personnalisé ainsi qu’un suivi méticuleux. Sachez que vous n’êtes pas seul, que des solutions existent pour vous défaire de cette peur de passer à l’acte, pour recouvrer la paix et la liberté.
Face à ces phobies d’impulsion, l’approche comportementale systémique issue du modèle de Palo Alto, offre une solution très satisfaisante.
Cette thérapie brève orientée solutions se concentre sur la compréhension et la modification des interactions et des schémas comportementaux qui maintiennent les pensées intrusives et, partant, la peur de faire du mal aux autres ou de se faire du mal à soi.
Plutôt que de se focaliser uniquement sur les pensées elles-mêmes, cette approche analyse les contextes relationnels et les réactions qui les entourent d’une part et, grâce à une stratégie éprouvée, permet de rapidement lâcher prise quant à sa peur de passer à l’acte.
Témoignages de résolution
De nombreux témoignages soulignent l’efficacité de l’approche comportementale.
Par exemple, une patiente, après plusieurs séances, a pu identifier les situations déclenchantes et les comportements qui alimentaient ses phobies.
Grâce à des techniques spécifiques, elle a appris à réduire l’impact de ses pensées intrusives et à retrouver une vie plus sereine.
Un autre témoignage relate comment un patient, par le biais de l’approche comportementale systémique, a non seulement réussi à neutraliser ses pensées d’impulsion, mais a également amélioré ses relations interpersonnelles en modifiant ses schémas de communication.
Phobie d’impulsion : le témoignage de Marie
Marie a 34 ans. Elle a commencé à souffrir de phobies d’impulsion il y a environ cinq ans. Ses pensées intrusives tournaient autour de sa peur de blesser ses proches. Cette situation l’a énormément angoissée et perturbée.
Après avoir essayé différentes approches sans succès, Marie s’est tournée vers l’approche comportementale systémique du modèle de Palo Alto. Elle a suivi un programme de thérapie sur 4 mois avec un thérapeute spécialisé dans cette méthode (votre serviteur).
Marie témoigne :
« Au début, j’avais du mal à croire que cette méthode fonctionnerait pour moi, car rien d’autre n’avait marché auparavant. Mais dès les premières séances, j’ai commencé à comprendre comment mes interactions et mes réactions contribuaient à maintenir mes pensées intrusives.
Frédéric m’a aidée à identifier les schémas comportementaux négatifs et à les modifier. Par exemple, j’ai appris à ne pas éviter certaines situations et à exploiter mes pensées anxieuses pour contrôler ma phobie.
En deux mois, j’ai vu une amélioration significative. Mes phobies d’impulsion ont disparu et j’ai retrouvé une vie plus sereine. Aujourd’hui, je peux dire que je suis libérée de ces pensées qui me paralysaient.«
Phobie d’impulsion : le témoignage de Thomas
Thomas a 45 ans et souffre de phobie d’impulsion depuis son adolescence. Ses pensées intrusives se manifestaient souvent par la peur de crier des obscénités en public ou de commettre des actes inappropriés. Ces pensées l’ont empêché de vivre sereinement et ont affecté sa carrière professionnelle.
Thomas a découvert l’approche comportementale systémique lors d’une conférence sur la santé mentale. Il a décidé de tenter cette méthode après avoir échoué avec d’autres formes de thérapie, et a commencé un programme intensif de trois mois.
Thomas partage son expérience :
« J’ai toujours eu peur que mes pensées intrusives deviennent réalité, ce qui m’a conduit à éviter de nombreuses situations sociales et professionnelles. La thérapie systémique m’a apporté une nouvelle perspective. J’ai appris que mes réactions face à ces pensées étaient ce qui les amplifiait.
Grâce à une stratégie particulièrement efficace, Frédéric Arminot m’a aidé à neutraliser mes pensées de façon naturelle. Après trois mois de thérapie, j’ai remarqué une réduction drastique de mes phobies d’impulsion.
J’ai repris le contrôle de mes pensées et cette approche a véritablement changé mon existence. Je recommande vivement la thérapie comportementale à toute personne confrontée à des phobies d’impulsion.«
Vous cherchez une solution efficace et définitive ?
Découvrez cette chance extraordinaire dédiée à celles et ceux qui pensaient ne jamais s’en sortir.
Ressources
- « La peur de soi » – Site web du gouvernement du Québec.
- « Les phobies d’impulsion ou le coup de folie » – UPEC – Antoine Pelissolo, Professeur de psychiatrie.