La notion de mal être, est une notion particulièrement subjective. Elle l’est d’autant plus que cela repose sur la vision du monde de chacun. Le mal être est un état d’ensemble, comme une affection, dont il est difficile de cerner le tenants et les aboutissants. C’est donc une impression globale, celle de ne pas être « au mieux de soi ».

Le mal être est une sensation diffuse et désagréable. Un sentiment de déséquilibre qui ne dit ni son nom, ni sur quoi elle repose.

A l’aide du présent article, je vais donc m’employer à vous aider à comprendre votre mal être. Ce qu’en sont les symptômes. Et la façon la plus efficace de traiter votre mal être. Comme à l’accoutumée, en bas du présent article je vous offre une solution simple et puissante qui vous garantit un nouveau et réel bien être et… bonheur. C’est parti.

Lecture rapide | Sommaire

Définition du mal-être

Le mal être est une sensation de malaise. Physique ou mental. C’est un sentiment désagréable de langueur, de faiblesse. D’envie de rien. D’absence d’énergie. Fréquemment, les personnes qui ressentent ce mal être l’associe à une dépression.

Nous vivons tous, à une période donnée de notre vie, des moments et des situations difficiles. Cela peut être une rupture amoureuse. La perte d’un parent. Ou encore une situation de chômage. Ces périodes difficiles entrainent de la tristesse, et de la frustration. Le plus souvent, avec le temps, ces ressentis s’estompent.

Ainsi, vous retrouvez votre joie de vivre et, partant, votre bien-être. Dans ce contexte, vous considérez votre problème comme un trouble mineur. Puisque passager. Mais lorsque cette tristesse, ou cette frustration, perdure, on parle d’un mal être profond. Comme je l’écris précédemment, nous pensons à une certaine détresse. A une certaine déprime. Voire à une dépression.

Dans ces cas, vous vivez votre mal être comme douloureux, et persistant. Ce qui vous empêche de mener votre vie comme vous l’entendez. Pour vous garantir une prise en charge adaptée à votre besoin, il est donc urgent, et important, d’en identifier les symptômes.

Bien-être - Comment faire pour être heureux

Les symptômes du mal-être

Les symptômes du mal être se manifestent sous la forme des troubles suivants:

  • Physique
  • Psychologique
  • Comportemental

Symptômes physiques

Les personnes qui ressentent un mal être ont souvent des troubles du sommeil. Ce trouble s’exprime au travers d’insomnies, ou de cauchemars. Ou de réveils nocturnes. Voire d’angoisses nocturnes.

Ces mêmes personnes ressentent également une sensation d’épuisement. Une sorte de ralentissement général. Cela s’exprime par de la fatigue. Une perte d’énergie croissante. Des problèmes de concentration. Et certains manques d’attention.

Elles connaissent aussi des troubles de l’alimentation qui se manifestent par une perte ou, au contraire, une augmentation de l’appétit. Ces dysfonctionnements entraînent une prise, ou une perte, de poids.

Trouble psychologique

Le mal être se manifeste le plus souvent par du stress, de l’angoisse, de la peur face aux difficultés. Ces troubles sont accompagnés d’un sentiment permanent d’être en situation d’échec. Cela accentue le manque d’estime de soi, ou la perte de confiance en soi.

Les personnes qui vivent ce malaise connaissent aussi des troubles de l’humeur. Ce qui est le propre de la dépression. Les symptômes dépressifs conduisent ces personnes à se replier sur elles-mêmes. A s’isoler. Elles se sentent d’ailleurs très seules. Comme livrées à elles mêmes. Elles se désintéressent des leurs activités habituelles. Perdent aussi la joie de vivre. Si le désespoir est poussé à son paroxysme , elles ont parfois des envies suicidaires.

Comme autres signes de ce trouble psychologique associé au mal être, on peut citer l’agitation. La nervosité. La colère. L’irritabilité. Voire l’agressivité.

Troubles au niveau comportemental

Le mal être entraîne un repli sur soi et, fréquemment l’abandon d’activités pourtant appréciées. Cela conduit certains patients à une consommation excessive de tabac. Voire d’alcool, ou de stupéfiants. En effet, les personnes qui en souffrent ont l’impression d’être comme anesthésiées dans leur quotidien. Elles sont donc à la recherche de sensations fortes qui s’apparentent à celles ressenties dans les sports extrêmes. Ou, par exemple, la conduite à grande vitesse. En bref des conduites à risques.

Lorsque l’agressivité et la colère ne poussent pas les personnes victimes de mal être aux conflits avec les autres, c’est le désespoir qui les amène à de fréquentes envies de pleurer. Dans certains cas, certaines en viennent malheureusement à s’auto mutiler.

Comment soigner son mal-être?

Pour soigner le mal être, il faut d’abord chercher à savoir à quel niveau vous vous trouvez. Si votre mal n’est que passager, vous parvenez à des résultats très satisfaisants. Et ce grâce aux conseils ci-après. Si le problème dure, (ex: plusieurs semaines d’affilées), je vous suggère d’agir. En consultant. Ou en utilisant le bonnes méthodes thérapeutiques.

Il est important d’agir. Si difficile que cela soit. Et dans la mesure où, probablement, vous souffrez d’une dépression. À ce propos, si vous avez des doutes quant à ce que vous subissez, lisez l’article ci-après: « Les angoisses sont-elles un facteur de dépression« .

Mal-être ponctuel: Comment faire?

Confrontés au mal-être, la plupart d’entre nous est démuni et ne sait pas comment faire pour renouer avec le bien-être.

Ainsi, la plupart du temps, la plupart des gens essaie de contrôler leur mal-être, de ne pas se laisser envahir ou submerger par ce sentiment de malaise intérieur. Pour être bref, ce comportement consiste, d’une part, à tenter de contrôler ce qui est vécu comme un problème, et à se contraindre à des actes qui tendent au bien-être.

Ou, plus prosaïquement, à éloigner le mal-être comme si on voulait éloigner le mauvais sort. Mais il existe des façons d’être et de faire plus simples et plus productives pour se débarrasser de son mal-être à « l’économie ».

Je vous en parle ci-après.

Prenez acte de la réalité de votre situation

Si vous vivez un tel malaise, votre état d’âme, ou vos sentiments, sont différents de ce que vous ressentez habituellement. Les symptômes énumérés plus haut vous aident à vous rendre compte plus facilement de la situation que vous vivez.

Identifiez les sources de votre mal être

Il est indispensable de trouver les causes liées à votre état émotionnel. Elles sont différentes d’une personne à une autre. Que ce soit le rejet de son apparence physique. Parce qu’on a 10 kilos en trop. Ou que vous êtes confronté à un échec (scolaire, sentimental, etc.). Ou encore la perte d’un être cher. Dans tous les cas, il faut identifier la raison de votre malaise.

Lorsque vous connaissez les causes de votre malaise, il vous est plus facile d’expliquer ce que vous vivez à votre entourage. En parler avec les autres, et recueillir leur avis, vous permet de savoir si vous exagérez. Ou pas. L’identification de la ou des raisons de votre malaise vous permet de savoir comment, et où, chercher les solutions pour le résoudre.

Agissez vite et de façon adaptée

Partagez votre ressenti avec votre entourage. Le réconfort de personnes proches vous aide à surmonter cette période difficile. Certains spécialistes désignent ces actions, pour vous soigner vous-même, de « psychothérapeutiques ».

Si vous ressentez trop de solitude, ne restez pas seul(e). Retrouvez vos amis à une soirée entre amis par exemple.

Si vous êtes triste, faites des activités qui vous font plaisir. Ou tout simplement accroissent votre joie de vivre. L’achat d’un objet que vous convoitez. Ou un après-midi de shopping. Voire, une séance de pédicure, et de manucure.

Mal-être: Conserver une hygiène de vie équilibrée

Faites en sorte d’avoir une alimentation équilibrée. Un rythme régulier de repos et de sommeil. Consultez votre médecin habituel. Faites vous prescrire du magnésium. Des Oméga 3. Et, surtout, essayez de ne pas arrêter d’agir. Sortez. Travaillez. Distrayez-vous. Tant que vous êtes dans l’action, vous limitez le problème jusqu’à l’inverser. Et à retrouver le bien être.

Si, malgré vos efforts, malgré votre courage, malgré votre implication, votre mal être persiste, il est fort probable, et j’en suis désolé pour vous, que ce soit une dépression. Et là, je ne peux que vous conseiller de demander de l’aide. Rapidement.

Mal-être persistant: Comment faire?

Vous consultez votre médecin traitant. Un généraliste le plus souvent. Puis, un médecin psychiatre. Voire un psychologue ou un psychanalyste. Hors les médicaments, rien ne vous est proposé qui vous satisfasse vraiment. En plus, vous avez bien conscience, pour le vivre, que les médicaments ne sont pas sans effets secondaires.

Votre mal être persiste. Voire, il s’accroît. En plus des conséquences liées aux médicaments, il y a aussi des conséquences personnelles,. Familiales. Sociales. Affectives. Professionnelles.Vous avez bien conscience qu’il est temps d’agir. Sauf à ce que vous ayez un intérêt personnel à cette situation.

En fait, tout ce que vous voulez, c’est retrouver votre joie de vivre. Retrouver votre vie d’avant.

Du mal-être au bien-être

Bénéficiez d’un accompagnement et d’une prise en charge adaptés à votre situation. C’est ce que je vous propose grâce à l’approche comportementale. Méthode dans laquelle je suis spécialisé.

Si vous souhaitez retrouver votre bien être, la paix et la sérénité à laquelle vous avez droit, je vous invite à regarder la vidéo ci-dessous (cliquez sur l’image).

Il s’agit d’un programme thérapeutique comportemental que j’ai conçu. Il est utilisé par beaucoup de personnes qui, comme vous, souffrent de mal être. Qu’il soit accompagné, ou pas, d’angoisses, de crises d’angoisses, d’anxiété, ou de phobie.

En utilisant cette méthode comportementale, vous ne prenez qu’un seul risque. Celui d’aller mieux. Comme plus de 94 % de ses utilisateurs. Ceux là mêmes qui me font confiance.

Bien-être: Comment faire pour être bien dans sa peau?

Le bien-être est un idéal dont rêvent beaucoup de personnes. Moi compris. Tout comme le bonheur, le bien-être correspond à une sorte de graal que nous recherchons tous. Il ne s’agit pas seulement de donner un sens à sa vie, mais d’agir de sorte à ce que celle-ci soit la plus équilibrée possible.

Cette quête, que je qualifierais de spirituelle, non au sens religieux du terme, correspond à une recherche d’apaisement, de laisser aller constructif, où tout est sous contrôle, sans pour autant l’être (nous n’en sommes plus à un paradoxe près).

En tous cas, en terme de contrôle, je ne fais pas allusion au sens pathologique de ce terme. Je fais référence au lâcher prise qui est une réponse au besoin pathologique de certaines personnes de contrôler leur vie.

En effet, par opposition aux problèmes d’angoisse, d’anxiété, de phobie ou de toc, le bien-être constitue comme une sorte de degré ultime de soi. Une quête qui peut aussi être la votre. Mais qui doit sans doute vous interroger quant cette articulation: « Le bien-être? Comment-faire? ». C’est ce à quoi je vais tenter d’apporter des éléments de réponses dans cet article.

Bien-être: Avoir une alimentation saine

La toute première disposition, ou le tout 1er conseil est une clé incontournable. Il est nécessaire, pour ne pas écrire vital pour votre bien-être, que vous ayez une excellente alimentation.

Bien que les médias en parlent souvent, voire trop, beaucoup de personnes ne prennent pas forcément conscience de l’impact qu’a leur alimentation, aussi bien sur leur état physique que sur leur état psychologique.

Même si je trouve que ces questions d’alimentation saine revêtent un caractère quasi obsessionnel, vous n’êtes pas obligé(e), pour avoir une alimentation équilibrée, de vous ruiner.

Cela ne signifie pas non plus que vous deviez vous priver de toute sucrerie et, par exemple, ne plus manger de chocolat (oh non…).

Cela veut juste dire que vous ne devez pas abuser de certains aliments dont, notamment, le sucre, car ils ne sont pas sans conséquences physiques voire médicales.

Pensez à manger équilibré. Qu’il s’agisse de fruits, de légumes, de viandes, de poissons, de sucreries, de diverses boissons (alcoolisées ou non, sucrées ou pas), je vous invite à chercher, et trouver, le juste milieu.

Trop peu, c’est prendre le risque d’une frustration telle que vous n’y tiendrez plus, et vous jetterez goulument sur ce qui, alimentairement, vous aura tant manqué. Trop, c’est prendre le risque de créer une frustration en réponse à l’excès. Ce qui vous ramènera au point de départ.

S’offrir le meilleur

A titre d’exemple, la mauvaise habitude alimentaire – fréquente – consiste à faire un « bon repas » par jour, et de passer le reste du temps à grignoter, ou à manger debout.

Ce type de comportement est réputé très malsain pour votre santé. Ce qui pose la question de savoir ce qu’est une bonne alimentation, une alimentation équilibrée.

Une bonne alimentation est celle qui apporte à votre organisme tous les éléments dont il a besoin pour bien fonctionner. Pour vous offrir le meilleur de lui même. Les éléments nécessaires à votre équilibre sont les suivants.

Les protéines dans l’alimentation

Elles jouent un rôle important dans la construction, et la réparation, de vos muscles. Consommez de la viande, du poisson, ou des œufs, une à deux fois par jour, pour fournir à votre corps la quantité de protéines nécessaires.

Les glucides dans l’alimentation

Ils sont essentiels pour que vous soyez rempli(e) d’énergie tout au long de la journée. Ils sont présents dans des aliments comme les pâtes, le riz, les pommes de terre, le pain, etc. Assurez vous d’en prendre à chaque repas.


pour en finir avec le mal-être

Les lipides dans l’alimentation

Ils fournissent à votre organisme une partie de l’énergie dont il a besoin. Ils sont immédiatement utilisés, ou mis en réserve dans les cellules graisseuses. Pour les obtenir, consommez des matières grasses, mais soyez vigilant à ne pas en abuser.

  • Les vitamines
  • Les minéraux
  • Les fibres

A eux trois, ils n’apportent pas d’énergie à votre organisme, mais sont essentiels pour son bon fonctionnement. Ils sont donc utiles à votre bien-être. Pour en bénéficier en quantité suffisante, rappelez vous de ce slogan: « Mangez 5 fruits et légumes par jour ».

Bien-être: Se tenir à l’écart des personnes négatives

Voulez-vous être une personne qui déborde constamment de joie de vivre? Oui? Alors, suivez le conseil ci-après. Votre bien-être est directement lié au type de personne que vous côtoyez.

Les personnes négatives vous donneront – toujours – une mauvaise image de la vie. Elles vous empêcheront d’agir pour vivre vos rêves, des plus simples aux plus fous. Ces personnes négatives, voire toxiques, vous amèneront toujours à voir les montagnes que vous devrez gravir et affronter pour arriver à satisfaire vos objectifs de vie.

Une personne qui voit tout en noir, cherchera constamment à associer d’autres personnes à sa propre vision (pour se sentir moins seule, moins isolée?). Elle fera tout pour vous prendre en otage. Elle pourra même aller jusqu’à vous culpabiliser, ou vous taxer de comportement irresponsable, si vous n’abondez pas en son sens. Soyez vigilant, car si vous souffrez d’une estime de vous même insuffisante, ou d’une confiance en soi modérée, vous devenez une victime facile.

Gardez l’esprit ouvert. Exercez votre libre arbitre. Agissez de sorte à trouver un  intérêt constructif à toute crise. N’oubliez pas que les plus belles réussites ont toutes commencé par… un échec. Le meilleur moyen de cultiver son bien-être serait donc d’avoir eu sa dose de mal-être! Mais, pour en arriver à ce type de philosophie de la vie, il est nécessaire d’accomplir une étape spécifique.

Bien-être: Faire le tri dans ses relations

Tenez-vous éloigné(e) des personnes qui sont nocives pour vous. Rapprochez-vous plutôt de celles qui vous font du bien, de celles qui apportent un plus dans votre vie. Comme la joie de vivre, ou une certaine culture du lâcher prise (même si, je vous le concède, ce concept fait parfois florès au point d’être vidé de son sens).

Ayez des amis sur qui vous pouvez compter quand vous allez mal. Côtoyez les personnes qui vous poussent à devenir une meilleure version de vous-même.

Il y a une chose que vous devez garder à l’esprit. Le plus important est-il d’avoir beaucoup d’amis, ou des amis d’une grande qualité humaine, sur lesquels vous puissiez compter, comme eux peuvent compter sur vous?

Je vous laisse le soin de réfléchir à cette question, et y répondre. Pensez à constituer un cercle social restreint mais solide. N’oubliez jamais que, pour vous même, vous êtes la personne la plus importante sur terre. Ce sont deux points essentiels qui participent à l’édification et à la pérennité de votre bien-être.

Trouver le juste milieu entre travail et vie personnelle

C’est un véritable challenge pour tout le monde que de concilier travail et vie de famille, ou travail et vie sociale, pour satisfaire à un besoin de bien-être. Le monde professionnel est un environnement qui a beaucoup d’exigences, et manifeste souvent peu, voire pas, de gratitude ou de reconnaissance.

C’est d’ailleurs un grand facteur de stress. Dès lors, je ne saurais que trop vous suggérer de rechercher et, là encore, de trouver, le bon équilibre entre votre boulot et votre vie personnelle. Votre bien-être en dépend.

Sur la foi d’un adage populaire connu qui veut que l’argent ne fasse pas le bonheur, en tous cas pas celui des pauvres comme le chantait Coluche, vous ne serez jamais présent à votre bien-être si vous n’avez personne avec qui partager le bonheur – si c’en est un, puisque pour certains, c’est une malédiction – d’avoir gagné des milliers voire des millions d’euros.

Dans le même esprit, vous n’éprouverez aucun bien-être si vous n’avez pas un travail qui vous permette de subvenir à vos besoins comme à ceux de vos proches. Alors, que faut-il que vous fassiez pour tendre vers votre bien-être?

Fixez des limites

C’est finalement assez simple. C’est une question de bonne volonté et d’honnêteté vis à vis de vous même. Essayez de vous fixer des limites claires. Autant que faire se peut, évitez de ramener du travail à la maison et, sauf situation urgente, ne vous occupez pas de vos affaires personnelles durant vos heures de travail.

Quand vous rentrez du travail en direction de chez vous, respectez un sas de décompression. Vous mettez un terme à un environnement et à son contexte, pour arriver détendu(e) dans l’autre environnement (perso-pro/pro-perso).

Dressez les priorités

Faites la liste de vos priorités et… respectez là! J’ai bien conscience qu’être surbooké(e), c’est être dans le mouv’. Mais c’est aussi une façon de masquer un manque d’organisation. Faites l’effort de planifier votre temps de sorte à vous consacrer aux choses importantes en premier lieu, puis aux tâches secondaires. Ainsi, vous n’évoluerez pas dans l’urgence au point, par exemple, de devoir sacrifier votre temps de repos.

Savoir déléguer

Autant que possible… déléguez! Si vous travaillez en équipe, vous avez donc des collaboratrices et des collaborateurs. Appuyez-vous sur les compétences de chacun(e), et répartissez les tâches de façon équitable. Évitez d’être cette personne qui ne fait pas confiance, et veut tout contrôler. Acceptez de demander et de recevoir de l’aide. Les choses seront plus fluides, et vous n’en serez que plus apprécié(e).

Bien-être: Prendre soin de soi

Dernière chose. Prenez soin de vous! N’oubliez jamais que votre plus grande richesse, c’est vous. Pensez à prendre du temps pour vous-même. Sachez vous accorder du temps pour vous consacrer à des loisirs qui vous procurent plaisir et bien-être.

Sachez faire des pauses, vous relaxer. Mettez vous dans les meilleures dispositions possibles pour bénéficier d’un sommeil réparateur. Comme l’on dit, dormez votre soûl. Pensez à régulièrement couper toutes connexions pendant un moment dans la journée (téléphone, internet, etc.).

Maintenant, si toutes ces préconisations pour donner la faveur à votre bien-être vous sont difficiles à réaliser, ou à suivre, c’est que le problème est ailleurs. Peut-être êtes-vous victime d’un blocage inconscient, et involontaire. Ne vous inquiétez pas, il existe une solution.

Suivre un programme thérapeutique en ligne

Beaucoup de personnes ont des préjugés sur les thérapies. Souvent à tort, certaines personnes pensent que la thérapie n’est réservée qu’aux personnes… malades.

Comme cet adage qui dit: « Je ne vais pas consulter un psy, je ne suis pas fou!« . Grossière erreur liée à un manque d’informations ou, histoire d’être un peu cruel, à un léger problème d’égo.

Bénéficier d’un programme thérapeutique en ligne est la façon la plus confortable de résoudre vos points de blocage. Ceux-là femme qui vous empêchent d’atteindre le fameux graal, le trophée. J’ai cité: le bien-être.

Vous pouvez avoir essayé plein de méthodes pour construire votre bien-être, et ne pas y être arrivé(e). Vous n’en n’êtes pas responsable. En fait, vous bloquez sur un système – une mécanique – qui échappe à votre contrôle. Et si vous suivez une thérapie classique, vous en avez pour des années. Au mieux, vous identifierez un tas de choses, mais ne trouverez pas la solution.

L’approche comportementale vous aide – rapidement – à débloquer les situations anxiogènes ou stressantes. Le programme thérapeutique et comportemental que j’ai conçu, vous garantit un taux d’efficacité record et prouvée: plus de 95%.

Ce programme thérapeutique en ligne a pour fonction de vous aider à mieux vivre votre vie. Le suivre vous permettra de retrouver un mental positif pour affronter les défis quotidiens que la vie vous réserve.

Ne pas attendre qu’il soit trop tard

N’attentez pas de subir les conséquences chroniques d’une prise en charge inadaptée à vos besoins. N’attentez pas d’être perclu(e) de douleurs psychiques ou physiques pour commencer à traiter votre problème.

Respectez vous, et inscrivez vous dès aujourd’hui dans une démarche constructive, et constitutive, de bien-être. Plus vous attendrez, pire ce sera. Plus vite vous agirez, mieux vous vous sentirez. C’est une question de choix.

N’hésitez pas à partager votre point de vue quant à la façon de conserver et cultiver votre bien-être. Toutes les suggestions et les partages d’expériences sont les bienvenus. Pour ce faire, je vous invite à utiliser l’espace « Commentaires » en bas de la présente page.

Bien-être au travail: Comment s’épanouir en travaillant?

Le bien-être au travail est une nécessité, j’irais jusqu’à écrire, un droit! Un devoir vis à vis de soi? Le bien-être au travail est indispensable pour que votre vie professionnelle soit non seulement réussie, mais épanouissante. Sans cet élément, les journées au boulot peuvent ressembler à des jours sans fin, et vous donner l’impression d’être enfermé dans une cage, si dorée soit-elle.

Cela fait quelques mois que vous (ou l’un de vos proches) avez du mal à trouver du bien-être au travail? Vous avez beau chercher, comme beaucoup des personnes qui me consultent, vous vous sentez emprisonné(e) dans une réalité économique, celle de travailler pour payer vos factures. Dès lors, vous n’éprouvez aucun sens à votre activité professionnelle, et n’avez de cesse de ruminer quant à savoir comment inverser ce processus qui vous lamine un peu plus chaque jour.

A la faveur de cet article, je mets à votre disposition 3 clés qui vous aideront de retrouver le bien-être au travail et, partant, à redonner du sens à vos journées, et pas seulement pour régler vos factures.

C’est la première clé pour favoriser un bien-être au travail. Réfléchissez aux moyens de votre évolution:

Bien-être au travail et capacité d’adaptation

Le monde actuel est en constante évolution. A preuve, la volonté déchainée des gens qui nous gouvernent pour gérer le domaine public, et les citoyens, comme on gère une entreprise privée. Dès lors, les défis et les conflits s’accroissent chaque jour. La concurrence est de plus en plus rude. Les entreprises sont confrontées à des challenges énormes pour conserver leur place – ou prétendue place – de leader sur le marché, ou pour accélérer leur croissance. Pour cela, elles se reposent sur leur personnel. Elles se reposent parfois tellement sur lui que celui-ci en sort… exsangue…

Ce monde nous oblige à prendre acte de la nécessité d’essayer de nous adapter et, partant, d’évoluer, de changer. Si vous n’agissez pas en ce sens, ne vous formez pas de sorte à être en adéquation avec certains changements (cf. résistance au changement) dans votre domaine d’activité pour y satisfaire vos fonctions au mieux, vous vous retrouverez très vite en décalage. Et vous risquez d’en payer le prix.

Le prix, c’est votre frustration. Celle-là même que vous éprouverez car on vous confiera moins, voire plus, de responsabilités. Vous n’aurez aucun avancement en termes de poste et de salaire. Vous risquez même d’essuyer un licenciement, ou d’être versé(e) dans une fonction subalterne. Ce qui, vous en conviendrez, serait une source de mal-être importante pour vous.

Pour éviter cet état de choses, réservez du temps à votre évolution professionnelle. Essayez de suivre des formations qualifiantes, de participer à des ateliers et des conférences. Lisez des livres qui abordent des sujets liés à votre secteur d’activité. Cela vous permettra d’accroître vos compétences, et devenir, ou rester, une valeur ajoutée pour votre entreprise.

Travailler la confiance en soi

Si vous éprouvez des problèmes de glossophobie (c’est un exemple), agissez. Cessez de vous battre contre vous. De contrôler l’incontrôlable. Essayez de vous donner les moyens de parler en public avec assurance. Faites vous aider (ou suivez mon programme comportemental – lire en fin d’article) pour développer votre capacité à capter l’attention du public à la faveur de réunions au cours desquelles vous saurez défendre vos positions sans être entravé(e) par l’angoisse. Ainsi, vous ne vous sentirez plus en danger face aux différents changements effectués dans votre département.

En devenant chaque jour plus compétent(e), vous devenez une valeur sûre pour votre entreprise. Vos supérieurs réfléchiront donc à deux fois avant de vous ranger dans un placard ou pire, de vous licencier. Vous pourrez même envisager de négocier une augmentation de salaire, ou une promotion. Autant de nouveaux comportements qui contribueront à votre bien-être au travail.

Bien-être au travail: Objectiver

Si vous êtes une personne nerveuse, ou si vous manquez de confiance en vous-même, vous avez sûrement tendance à prendre les choses trop à cœur. A vous énerver tout le temps. Vous prenez de manière personnelle chaque remarque de votre supérieur ou d’un collègue qui vous est adressée, et vous prenez même à cœur celles qui ne vous concernent pas. Dès lors, vous réagissez.

Pour favoriser votre bien-être au travail, je vous invite à mettre un terme à cette mauvaise habitude. Devenez un vrai acteur de votre changement. réagir sans cesse ruine votre bien-être au travail, et vous rend très susceptible (voire égocentrique). Essayez de comprendre, et d’accepter, que tant que vous êtes dans le monde professionnel, vous côtoierez des personnes qui vous diront des choses qui ne vous plairont pas, ou que vous interprèterez mal.

Essayez de ne pas vous faire du mauvais sang à chaque fois que cela arrive. Recentrez vous sur vous. Essayez de vivre votre de façon simple, sans vous prendre la tête. Ci-après, vous trouverez 2 conseils qui devraient vous aider:

Se concentrer sur la réalité des faits

Concentrez vous sur les faits et non sur le comportement de certaines personnes – A chaque fois qu’un commentaire, une réaction ou un comportement vous met mal à l’aise et vous pousse à avoir des réactions disproportionnées, ne cherchez pas la personne coupable. Essayez plutôt d’examiner les faits, et vous remarquerez que, le plus souvent, vous vous angoissez de façon très subjective. D’où la nécessité de prendre de la distance, d’objectiver.

Prendre du recul

Vous n’êtes pas le « centre du monde » au sein de votre entreprise ». Vous n’êtes pas la seul et exclusive « bonne parole ». Tout ce qui arrive ne vous est pas forcément destiné. Essayez d’analyser objectivement les questions de contexte plutôt que de tirer des conclusions hâtives. Il est clair que vous n’y arriverez pas au premier coup d’essai. Persévérez, et vous y parviendrez.

A ce propos, je vous invite à regarder la vidéo de présentation de mon programme comportemental lequel recèle des outils pour contextualiser une situation et poser sur elle un regard objectif. Vous trouverez le lien correspondant à la fin de cet article.

Bien-être au travail

Bien être au travail: Prendre soin de sa vie personnelle

Ce me semble important de prendre soin de soi. Donc, de vous. C’est une clé qui vous permettra de préserver votre bien-être au travail. Il n’y a pas que le boulot qui existe dans la vie. Existent aussi votre santé. Votre compagne ou votre compagnon. Vos loisirs. Vos passions. Votre famille. os ami(e)s. Etc.

Il est vrai que vous devez travailler pour avoir de quoi subvenir à vos besoins, comme aux autres éléments constructifs de votre vie. Mais, toute votre vie ne doit pas dépendre de votre seul emploi. Vous devez absolument trouver l’équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle. C’est ce que l’on appelle un positionnement spirituel, un état d’esprit en somme (sans considération religieuse).

Si vous n’êtes pas une personne heureuse et épanouie dans les autres domaines de votre vie, vous ne le serez pas non plus au boulot et cela risque d’influer vos résultats. En effet, cela laisserait entendre que pour être heureux, ou heureuse, cela ne passe que par votre travail. Il suffira donc de vous retirer votre travail pour que… vous vous écrouliez!

Voici 3 décisions capitales que je vous invite à prendre dès maintenant pour satisfaire bien-être au travail comme dans tous les autres domaines de votre vie.

Soigner son alimentation

Pour travailler, votre corps a besoin d’énergie. Si vous n’en avez pas, ou plus, vous serez stressé(e) et n’arriverez plus à fonctionner normalement. Ainsi, ne ratez pas votre petit déjeuner. C’est le repas le plus important de la journée. Dans la journée, quelles que soient les tâches que vous avez à exécuter, pensez à faire des pauses, et nourrissez-vous convenablement.

Évitez de grignoter tout en ayant un œil sur l’écran de votre ordinateur. Cela est particulièrement néfaste pour votre organisme. Une fois chez vous, le soir, préparez un bon repas au sens d’équilibré. Évitez les pizzas surgelées, ou la restauration rapide, et privilégiez autant que possible les repas cuisinés à la maison.

Pratiquer une activité sportive régulière

Pratiquer du sport régulièrement vous procurera du bien-être autant sur le plan physique que mental. Sur le plan physique, cela permet de garder vos organes et vos muscles en excellente forme. Sur le plan mental, cela baisse votre niveau de stress et d’anxiété grâce à la production de sérotonine, une hormone responsable du bien-être au travail comme dans les autres domaines de votre vie.

S’accorder du temps

C’est d’une simplicité biblique que de vous retrouver débordé(e), au point d’emporter du boulot à la maison. Vous essayez de bien faire, et de tenir les délais que vous vous imposez. In fine cependant, vous vous manquez de respect, et n’écoutez pas vos limites. Essayez de vous organiser de sorte à avoir du temps pour vous-même et vos proches (famille et amis). C’est important de vous ressourcer.

Inverser la courbe

Comme je vous l’ai proposé dans un chapitre précédent du présent article (« Bien-être au travail – Objectivez! »), si vous souhaitez inverser la courbe de vos comportements au profit de votre bien-être au travail, je vous invite à utiliser des outils pour apprendre à objectiver, et à vous recentrer sur l’essentiel, vous!

Si vous souhaitez partager une expérience liée au bien-être au travail, ou exprimer un commentaire, je vous invite à utiliser le formulaire en dessous de l’article.

Merci de votre attention, de votre intérêt, comme de votre confiance.

Mal-être: Pour en finir avec la dictature du bonheur

Cela fait plus de 20 ans que je m’occupe de personnes qui cherchent à soigner l’angoisse, traiter l’anxiété, vaincre la phobie, soigner une dépression. A tous ces sujets, quelque chose m’interpelle sans cesse. Une sorte de comportement qui nous adresse un message qui m’inspire une ode récurrente à la dictature du bonheur. Un plaidoyer constant où celles et ceux qui ne comprennent pas qu’être heureux, c’est obligatoire.

Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous. Avez-vous parfois, si ce n’est tout le temps, l’impression que chez les autres c’est bien alors que chez vous c’est la guerre au Liban? Vous arrive t’il d’avoir cette terrible impression que, quoique vous fassiez, rien ne va.

Avez-vous ce pénible et fréquent sentiment qu’alors que vous faites tout pour vous en sortir du mieux possible, il y a toujours quelqu’un ou quelque chose qui met à terre vos ambitions de bien être?

Vous arrive t’il d’avoir l’impression que, lorsque vous essayez de suivre des principes de bonheur dûment asséné par des marketeurs enfiévrés, vous n’arrivez pas à grand chose, si ce n’est de considérer que, décidément, vous êtes un bras cassé? Un bon à rien ou à pas grand chose.

Mal-être: L’obligation de réussir à être heureux

Si tel est le cas, alors nous sommes vraisemblablement quelques millions à partager cette impression désagréable et tenace. Alors, je me suis posé une question. Une parmi d’autres, dont il est vrai qu’elle m’escagasse quelque peu. Et si nous n’étions pas responsable de notre échec, ou présumé tel? Et si tout cela reposait sur la dictature du bonheur?

Celle là même qui, par définition, fait que, dans tous les cas, notre quête est vouée à l’échec. Et pourquoi est-elle vouée à l’échec?

Nous y prendrions nous de la mauvaise façon? Autant de questions, comme bien d’autres, à propos desquelles je vais partager mon point de vue avec vous. Vision à propos de laquelle, bien sur, vous n’êtes pas obligé d’être d’accord. N’est pas dictateur qui veut.

D’après un dictionnaire bien connu, la dictature c’est, je cite: « Un pouvoir absolu exercé par une personne ou un groupe dans un domaine particulier« . Ce qui est lié à la tyrannie.

Définition de la dictature du bonheur

Depuis des années, nous sommes sournoisement abreuvés de messages en tous genres. Ces informations, relayées par les médias, nous répètent à l’envi qu’il existe des méthodes simples pour être heureux. Dans le même temps, il nous est dit deux choses très contradictoires.

Premièrement, nous avons les moyens de vous aider à vous rendre heureux. Sous-entendu, vous ne l’êtes pas. Deuxième volet du message. Si vous ne faites pas ce que l’on vous indique de faire, vous êtes mauvais.

La nature humaine est ainsi faite qu’elle ne peut s’empêcher de se comparer au reste du monde. Il y a fort à parier que la plupart de celles et ceux qui le peuvent se jettent sur ces méthodes sans objectivité.

Ainsi, il suffit de quelques mots et phrases intelligemment construits pour nous épater. Nous faire saliver. Faire monter la sève du désir. Et la frustration du plaisir totalement impossible.

Le bonheur ou comment échouer

Parce qu’en fait, de quoi s’agit-il? Le premier point, c’est de nous marteler que nous ne sommes pas ceci ou cela. Le second est que nous devons donc être cela ou ceci. Le troisième, que si nous n’avons pas les moyens d’évoluer, d’autres peuvent les mettre à notre disposition.

Enfin, que si vous ne faites pas ce qu’il vous est quasiment enjoint de faire, ne vous plaignez pas. Il suffit d’assemblages verbaux bien marketés pour appâter le chaland. Comme un appât sur une canne à pêche. Il faut que cela brille. Que cela donne l’illusion. Ferrer la bête. C’est l’objectif.

Celle ou celui qui résiste à l’appât, ou s’en tient à l’écart, prend des risques. Au mieux, de ne pas partager le bien être ou présumé tel du plus grand nombre. Au pire, il continue à se sentir angoissé ou anxieux faute d’utiliser des méthodes qui, pourtant, nous dit-on, ont fait leur preuve sur le plus grand nombre.

Et là, que se passe t’il? Sachant que si nous ne fonctionnons pas comme tout le monde, nous prenons le risque d’être exclu. Mis à l’écart. Nous courrons le risque de nous sentir différent. Même si, sur cette notion de différence, d’autres messages, avec d’autres objectifs, nous informent que la richesse naît de la différence.

Heureux si je veux

La dictature du bonheur: Vivre ou mourir

Voilà à quoi tient cette dictature du bonheur. Si vous n’êtes pas heureux alors que nous vous en offrons les moyens, c’est de votre faute. Si vous ne vous comportez pas de façon adaptée – répondre favorablement à notre offre -, vous en êtes quitte pour souffrir. Et voilà que la culpabilité fait son apparition. Comme pour nous dire qu’il ne tient qu’à nous.

Et dans le cas où nous sommes résistant, de multiples messages qui disent la même chose sous un angle différent nous sont adressés. Cela s’appelle de la publicité.

Le parcours que je viens de vous expliquer est celui là même sur lequel les marketeurs et les publicitaires font leurs courses. Celui de la manipulation. De l’ordre caché. Une peur souterraine savamment distillée.

C’est la dictature du bonheur au sens où, comme le laisse entendre la définition citée précédemment, il s’agit d’exercer un pouvoir absolu sur une personne. Ou un groupe. Ceci pour qu’ils prennent une décision conforme à un objectif.

La dictature du bonheur: Une contrainte permanente

Pour s’assurer de la satisfaction de l’objectif, vont être exercées des pressions renouvelées sur des groupes. Tôt ou tard, ils fléchissent et satisfont l’ordre donné et réitéré. Dans le cas contraire, vous êtes voué aux gémonies. Vous passez pour un « has been« . Quelqu’un qui n’est pas dans le mouvement. Quelqu’un de résolument passéiste. Anti moderne. Enfin, c’est le risque.

J’écris que c’est le risque parce que le système sait, plus tard et de façon opportune, vous faire savoir que vous êtes à la dérive. Mais, mais, mais… Il n’est peut-être pas trop tard pour agir moyennant quelques petits arrangements.

Si vous n’y accédez pas, attention! Vous allez tout perdre. Progressivement. En fait, la dictature du bonheur c’est un peu comme un interrogatoire. On exerce sur vous une pression continue sur vous. Passez aux aveux. Passez à l’acte.

Cela donne toute son importance au temps. Tôt ou tard, vous fléchissez. D’ailleurs, on fléchi tous. En matière de dictature du bonheur comme dans la plupart des domaines de nos vies.

Le langage de la dictature du bonheur

Résister à la dictature du bonheur est aussi difficile que de ne rien dire à celle ou celui qui, depuis 3 minutes, vous colle régulièrement une claque derrière la tête pour vous faire réagir. Si vous ne dites rien, la pression s’accentue. Si vous dites quelque chose, ou réagissez mal, vous passez pour un mauvais coucheur alors que l’autre ne veut que s’amuser.

Résister à la dictature du bonheur c’est comme ne rien dire face à la mauvaise foi. A l’arrogance. Ou à la bêtise. La difficulté n’est pas tant de résister à la dictature du bonheur. C’est de vous ouvrir au vôtre. Tel que vous le concevez. Si tant est que vous en ayez une idée. Il est vrai que c’est là que les choses se compliquent.

Parmi tout ces océans de bonheur proposés, est-ce que j’ai le droit d’aller mal? De me sentir mal? Je suis désolé de plomber l’ambiance, mais je crois que j’ai toutes les peines du monde à partager un bonheur auquel je ne m’identifie pas.

Être un winner ou rien

Si j’en crois les grands principes de la consommation, voire de la grande consommation, pour être reconnu, il est important de consommer  tous de la même chose. Le même produit. De valeur tant qu’à faire. En effet, n’est pas là même, celle ou celui qui roule dans une BMW que celle ou celui qui roule dans une Dacia. Même s’il y a fort à parier que l’un et l’autre n’ont pas la même vision du bonheur.

Il y a celui qui mange des pommes de terre pour remplir le grand réservoir de sa voiture. Il est heureux de montrer sa belle auto. Excité d’être identifié comme un « winner« . Mais bien triste quand, seul, dans son studio sans âme, il aspire à sa prochaine sortie dans sa belle auto.

Il y a le propriétaire de la Dacia qui, lui, ou elle, mange peut-être à sa faim. Il peut remercier sa petite auto qui lui coûte si peu. Mais est vivement moqué par les chantres de l’esthétisme, parce que sa voiture. Quand même. Mais, il a son petit bonheur à lui.

L’un comme l’autre répondent à des messages sociaux et affectifs qui conditionnent leur choix. L’un comme l’autre, sur la vision de leur bonheur fantasmé répondent positivement à une image. Pour être heureux, faites ceci. Si vous ne le faites pas, vous êtes cela.

C’est en permanence, dans tous les domaines de notre vie, la dictature du bonheur. Être heureux passe par la consommation ou l’usage répété d’un certain nombre de choix et de comportements qui nous sont été savamment distillé.

Le régime de la peur

Nous vivons dans une ère où la peur de la frustration le dispute à l’horloge. Tout doit aller vite et être conforme aux diktats d’un certain nombre de personnes. Ceux-là mêmes qui détiennent un pouvoir. Le pouvoir de savoir nous faire prendre des vessies pour des lanternes.

Nous sommes de plus en plus éduqués dans cette idée qui veut que le temps passe. Qu’il nous fait nous décider instantanément. Si je ne fais pas de suite ce à quoi je pense, je suis malheureux. Si je ne porte pas les dernières chaussures à la mode, je suis un loser. Je ne suis pas à la mode.

Cahincaha, nous apprenons à vivre dans la peur. Celle du manque. Celle d’être jugés par nos pairs. Ou nos maires (Oups!). En matière de mode, ne parle-t-on pas de « dictature de la mode »? La dictature, c’est la magistrature suprême et extra ordinaire exercée dans l’empire romain. Vous voyez ce que je veux dire? C’est l’exercice du droit de vie et de mort. Tu réponds favorablement, tu restes en vie. Sinon, t’es mort.

A l’instant où j’écris cette ligne, ma messagerie m’informe d’un message. C’est un éditeur web qui me dit que si je ne donne pas suite à son message automatique, il me raye de ses listes de prospects. La boucle est bouclée.

Mal-être: Comment résister à la dictature du bonheur?

Existe t’il vraiment un moyen de résister à la dictature du bonheur? Honnêtement, je ne sais pas. Je pense que chacun d’entre nous peut avoir la sienne. S’il le souhaite. S’il ou elle ne se sent pas victime de la dictature du bonheur, nul n’est besoin de résister. Dans le cas contraire, je vous explique brièvement comment il m’arrive de faire.

Ce que je fais est simple. Voire basique. Je prends le temps. Et cela me coûte une fortune dont je n’ai pas les moyens. Je prends le temps de m’inspirer. Je prends le temps de comprendre. Celui d’assimiler. Je prends le temps de voir poindre mon désir. Pas de contraintes.

Je préfère penser que l’on ne me vend rien. Que c’est moi qui achète. Or, pour que j’achète, il faut bien que je le veuille. Ou non. Que je sois sensible à tout ou partie d’un message que je vois et revois. De façon consciente ou pas. C’est tout l’art de la publicité.

Résister à la dictature du bonheur, et à son langage, c’est prendre le temps. Celui de vivre. Celui d’assumer que, quelles que soient mes émotions liées aux ressentis d’une frustration, j’ai le droit de choisir. J’ai le droit de jouir de ma frustration.

Donner du sens

J’ai le droit de me sentir mal. Même si certaines personnes pensent que j’ai tout pour être heureux. J’ai le droit d’exprimer mon désaccord. Même si cela déplaît. Même si cela me vaut exclusion. J’ai le droit d’être insensible à une œuvre d’art que la plupart encense. Dussè-je passer pour un inculte

J’ai le droit de satisfaire à mon évolution telle que je la conçois. Et non comme d’aucuns me l’imposent. J’ai le droit d’être un mouton noir. Et non un mouton bêlant. Et si je veux être ce dernier, personne n’a le droit d’en juger.

Mon bonheur c’est d’essayer de donner un sens à ma vie. Mon bonheur, c’est d’accepter que, parfois, je suis triste. Que, parfois, je suis en colère. Et que rien ni personne n’y peut rien changer. Mon bonheur, c’est ce que je m’offre. Et ce que je me refuse. En conscience.

Mon bonheur, c’est celui de faire des choses qui me procurent des émotions. Qui donnent un sens à ma vie. Car, mes émotions, c’est ma vie. Et ma vie, j’essaie de la vivre. Et de la penser. Même si, parfois, ou souvent, je vous le concède, je la pense mal.

Un jour, quelqu’un m’a dit que j’étais un être de conflit alors que je refusais d’obtempérer à une injonction. Cette personne n’imagine pas l’impact que son propos a eu sur moi. M’opposer n’est pas la réponse que j’eusse souhaité produire. C’est la seule que j’ai trouvé et qui me renvoie de moi une image positive. Je me suis affirmé.

Heureux si je veux

Résister à toutes formes de dictatures, tel pourrait être mon bon plaisir. Mais cela ne m’empêche pas d’avoir peur. Parfois, je suis angoissé. Mais je ne suis pas dupe. Je prends le risque d’être seul en résistant à la dictature du bonheur. Mais, in fine, je ne suis jamais seul.

Alors, heureux, si je veux. Et comme je veux. Et surtout pas comme certaines huiles m’en donnent l’ordre. Sans pensées ni libre arbitre. L’impression d’être sous le contrôle de quelqu’un ou d’un système m’est insupportable.

Faire comme tout le monde m’est quasi impossible sans que, pour autant, je veuille me démarquer. Cela ne fait pas de moi quelqu’un d’incontrôlé. Ou d’incontrôlable. J’ai conscience d’évoluer en liberté surveillée. Mais j’aime l’idée de jouer avec mes geôliers.

Restons humble

« L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature; mais c’est un roseau pensant. Il ne faut pas que l’univers entier s’arme pour l’écraser: une vapeur, une goutte d’eau, suffit pour le tuer.
.
Mais, quand l’univers l’écraserait, l’homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu’il sait qu’il meurt, et l’avantage que l’univers a sur lui, l’univers n’en sait rien.
.
Toute notre dignité consiste donc en la pensée. C’est de là qu’il faut nous relever et non de l’espace et de la durée, que nous ne saurions remplir. Travaillons donc à bien penser: Voilà le principe de la morale ».
.
Blaise Pascal – « Pensées« 

Source: Wikipédia

retrouver un sentiment de bein-être


Frédéric Arminot
Frédéric Arminot

Ancien grand anxio-dépressif, et victime d’angoisses aux multiples conséquences des années durant, il est spécialisé dans le traitement des problèmes d'angoisse, d'anxiété, de dépression, de phobie, et de toc, il exerce depuis plus de 25 ans en qualité de comportementaliste (thérapeute comportemental). Ses compétences en matière de coaching comportemental permettent de résoudre 16 cas sur 17, soit + 95 % de résultats en moins de 2 mois. Pour en savoir +, vous êtes invité(e) à regardez la vidéo de présentation du Programme ARtUS

    24 replies to "Mal-être: Comment se sentir plus épanoui(e) et bien dans sa peau ?"

    • Frédéric Arminot

      Victoire,

      Je vous ai répondu affirmativement par mail.

    • Victoire

      Bonjour,

      Est il possible de vous expliquer par mail ?
      Cordialement,
      Victoire

    • Frédéric Arminot

      Bonjour,

      Je viens de vous envoyer un mail car j’ai besoin de précisions pour vous aider au mieux.

    • Bigot

      Bonjour, je viens en vers vous car j’ai des gros problème j’ai plus confiance en moi et j’ai un très gros blocage et impossible d’avancer vers le présent.

    • Bonjour Arthur,

      Eu égard de votre intérêt au Programme ARtUS, je vous invite à cliquer sur le lien ci-après pour en bénéficier.

      « Comment se débarrasser de son mal-être et renouer avec le bien-être? »

      N’hésitez pas à me poser toutes les questions que vous estimerez nécessaires.

      Bien à vous,

    • Arthur

      Bonjour, ayant lu votre article que je trouve intéressant ou je me retrouve dedans j’aimerais avoir cette thérapie que je puisse régler ce problème qui persiste depuis

      Merci à vous bonne journée.

    • Bonjour Dorothée,

      Merci pour votre message.

      Afin de vous proposer une solution adaptée à cette épreuve, je vous invite à cliquer sur le lien ci-après :

      « Mal-être: Comment s’en débarrasser? »

      N’hésitez pas à me solliciter si vous avez des questions.

      Bien à vous.

    • DOROTHEE

      Bonjour Mr Arminot,

      je ressens un mal etre depuis qq temps dejà. J’ai été diagnostiquée dépressive avec perte de gout , des activites que j’aimais faire auapravant.
      Je vis seule en appartement sans exterieur ce qui ne facilite pas les choses.
      Mes amis et ma famille travaillent , moi aussi mais suis enseignante et donc pendant les moments de vacances c’est l’horreur pour moi!
      Apres mes crises d angoisses, spasmes et pleurs, on m a donné des anxiolytiques et anti depresseurs ce qui calme un peu les angoisses mais pas encore l’angoisse de l’ennui au quotidien.
      Je ne fais que m’asseoir sur mon canape devant mon ordi et ma tv car je n’ai plus gout e rien d’autre alors que j’aimerais m’en sortir.
      Le temps me parait incroyablement long et je me sens enfermee dans ce temps et cet appartement!

      J’ai un énorme mal de vivre et ne sais pas comment me sortir de cela car rien ne me donne envie de me lever le matin…

      J’ai pris rdv avec un psychiatre la semaine prochaine mais que puis je faire d’autre car je suis à bout là…?

      merci par avance,

      Cdt

      Dorothee

    • Bonjour Maxime,

      J’ai créé un Programme Thérapeutique conçu pour vous venir en aide.

      Je vous envoie les détails par email.

      Je suis de tout cœur avec vous.
      Frédéric Arminot

    • Maxime

      Je me tourne vers vous car jet un problème je ne dort pas les nuits je suis insomniaque jet un mal être en moi je ne suis pas bien du tout je me reconnais plus je m’en prends à tout le monde jet eu un passage suicidaire et problème de santé je ne veut pas me soigner comment faire pour me sortir de tout sa je garde tout en moi je supporte plus rien j’étais entrain de faire une formation et là tout et fini je suis perdu aider moi svp pour me sortir de tout que je puisse retrouver confiance en moi et repartir comme avant aider moi merci à vous à entendants de vos nouvelles

    • Bonjour Patricia,
      Merci pour votre message.
      Je viens de vous envoyer un message afin de correspondre de façon plus privée.
      Je suis de tout cœur avec vous.
      Frédéric Arminot

    • Patricia

      Bonjour,

      Je me tourne vers vous car je n’arrive pas à comprendre pourquoi je suis tjrs à faire le message….quand s’est pas bien fait cela m’énerve bcp .je m’en prend à la personne qui vie avec moi mon petit ami il me dit qu’il en a mard de m’entendre gueulé, que je pense qu’à moi. Je lui ai dit que je me sentais incomprise.Resultat des courses il est parti et j’aimerais comprendre pourquoi je suis ainsi. Aidé moi

    • Frédéric Arminot

      Bonsoir Ferni,

      Je vais vous adresser un message car j’ai besoin d’un peu mieux comprendre ce qu’il se passe pour vous. Merci par avance de répondre à mes questions. Cela m’aidera à vous aider.

      Bien à vous.

    • Ferni

      Bonjour
      Par où commencer j’ai tellement de choses qui ne vont pas .
      Je dors très mal; je me réveil en sursaut de peur; je ne sais pas vraiment le pourquoi…forcément je crois que la fatigue me prend le dessus ; du coup je suis triste ;mal être; angoisse ;panique; énerve perte d’appétit .
      Je lutte pour trouver envie de m’occuper pour faire quelque chose . En vain pas de force..Comment faire ,,,???
      envie de rien faire…Mon cerveau me laisse pas en paix ;j’ai constamment des idées négatives ;dans tout les sens du terme.

      Je vi dans un appartement 40m2
      Donc je fais le nettoyage en 2h .
      Le comble de tout ça j’en veux énormément à mon copain ;de ne pas se rendre compte que j’ai besoin de lui moralement m’écouter etc…
      .On vi séparer par faute de cette crise du virus …
      J’arrive pas à m’y faire.,ma morale est plu bat.
      Comment m’occuper pour ne pas sombrer dans la tristesse.
      Du coup je vi seule au Luxembourg mon copain vi en Belgique .
      En plus en ce moment de confinement encore plu dur.
      Je sais que il n’y peu pour rien ,d’ailleurs je m’en veux d’être comme ça..
      Je suis même jalouse de savoir qu’il est bien et s’occupe pour passer le temps,normal aussi il a une grande maison et grand terrain donc de quoi sont occupé.
      Et moi je passe mon temps à broyer du noir .
      Je voudrais tellement m’en sortir de se calvaire..

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Diana,

      Pour que nous puissions y voir plus clair dans votre situation, et envisager une solution adaptée à votre cas, je vais vous adresser un mail.

      A bientôt. Prenez bien soin de vous.

    • Diana

      Bonjour,
      Je me reconnais complètement dans votre article.
      Depuis presque un an, j’ai perdu ma joie de vivre et mon énergie. J’ai l’impression d’être constamment en échec. Je me néglige et j’ai perdu toute envie ou force de sortir et faire des activités.
      Et le tout combiné avec un vie de famille, je me culpabilise de me sentir ainsi et de ne pas être là (comme il se doit, en pleine forme) pour mes enfants. Et ma vie de couple bas de l’aile parce que mon conjoint ne comprend pas ce qui se passe. J’ai refusé les médicaments, j’ai vu une psychiatre pendant 6 mois qui ne m’a tellement aidé. C est épuisant de faire semblant que tout va bien hors à l’intérieur de soi sa ne va pas.
      Merci d’avance pour votre aide.

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Chantal,

      Pour être clair, ce que vous m’exprimez et partagez avec moi, avec nous, c’est que vous en avez assez. Assez de supporter un certain nombre de choses, un certain nombre de gens ainsi que, sans doute, leurs comportements.

      Donc, si on se résume, votre demande consiste à demander de l’aide pour vous affirmer (exprimer vos limites) et changer de sorte à être de nouveau heureuse et épanouie. C’est bien çà?

    • Chantal

      je suis toujours enerver un rien m agace je ne supporte plus les gens meme mon mari je suis malheureuse je voudrais avoir toujours le sourire mas cest le contraire mes enfants le voit et ca les perturbe je suis agressive avec tout le monde je me renferme je n aime plusaller chez les gens et j en suffre comment etre mieux

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Morgane,

      Je comprends que vous soyez désappointée face à votre situation. La grossesse elle même, l’imminence de la naissance de votre enfant, et l’après naissance sont autant de facteurs qui peuvent expliquer votre problème.

      Cependant, je suis aussi désappointé dans la mesure où vous êtes membre du Programme ARtUS. Or, vous me demandez des solutions alors que vous en avez une grâce au Programme ARtUS que vous avez commencé il y a peu. Dès lors, avez-vous besoin d’aide à ce propos?

    • Morgane Herbert

      bonjour ,
      depuis maintenant 3 mois je suis anxieuse toute la journee , avec medications et suivi d une psychologue avec qui je ne ressens aucun progres.
      Je suis enceinte et dans le dernier trimestre. Je ne sais pas si mes angoisses sont dus aux hormones mais je n arrive pas a me defaire de cet etat.
      bien sur de plus en plus angoissee tant qu au terme de ma grossesse et de l apres.Peur de ne pas faire ce qu il y a a faire apres l accouchement.
      merci de votre reponse et de me donner vos solutions s il en existe.

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Sandra,

      Vouloir aider la personne que vous aimez est tout à votre honneur. Le mieux serait que ce soit votre compagnon qui me contacte. Dans quelle ville ou région habitez-vous?

    • Fournier

      Bonsoir mon compagnon à divorcer il y a 1ans et il c’est séparer il y a 3ans sa son ex femme est partie avec un autre.mais depuis un petit moment il n’arrive pas à passer le cap du divorce séparation même si je suis avec lui.il ma dit qu’il me quitter.mais moi je l’aime vraiment je ne ve pas le perdre. J’aimerai savoir comment je peut aider à vaincre se mal être en lui il se rabaisse il dit qu’il a encore tout gâcher il ne vaut rien qu’il ne mérite pas d’être aimer

    • Frédéric Arminot

      Bonjour,

      Avant que de vous répondre, je vous suis reconnaissant de votre confiance. Pour ce qui concerne votre fille, et sur la foi de ce que vous partagez avec moi, le plus approprié me semble de réaliser un diagnostic dans un 1er temps.

      Elle et moi passerions 1H à 1H30 ensemble à essayer de comprendre ce qu’il se passe pour elle, et comment les choses se passent (ou pas). Au terme de ce diagnostic, je serais amené à lui communiquer des préconisations thérapeutiques afin de l’orienter et la conseiller au mieux de ses intérêts, de sorte à ce qu’elle retrouve le plaisir d’être et de faire.

      Je reste à votre disposition pour vous apporter toutes les précisions que vous souhaiteriez.

      Frédéric

    • Blache

      Bonjour à vous
      Ma fille depuis un peu plus de 2 ans a un mal être et quand quelque chose ne va pas elle tombe et s enfonce dans ce mal être et se réveil avec de fortes respirations et de cris parfois et elle finit souvent avec les pompiers, elle peut rester jusqu’à 45 minutes sans se réveiller, elle est conciente apparemment, elle a 21 ans, elle est suivi une fois par mois par une psychiatre ( ce que je ne trouve pas suffisant)..il y a 3 jours elle a commencée un stage en cuisine qui malheureusement s est interrompu a cause de 2 malaises en 3 jours…on ne sait plus quoi faire…elle ne pourra jamais avancer dans la vie à cause de ça.
      Merci.

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