Enfant, j’ai beaucoup souffert à l’école. Je ne parle pas de phobie scolaire à proprement parler mais, pour moi, l’école s’est trouvée être un lieu peuplé d’inter actions particulières lesquelles, la plupart du temps, m’échappent encore aujourd’hui.

Pouvoirs et contre pouvoirs, c’est ce à quoi je pense quand je revisite ma scolarité. Une remise en question constante de la territorialité. L’école est un lieu d’autant de douleurs que je suis un hypersensible, donc victime de troubles anxieux, et, à ma connaissance, pour l’éducation nationale, phobie scolaire, troubles anxieux, refus scolaire anxieux, sont des gros mots même si les intéressés s’en défendent.

Les enjeux scolaires, le comportement de certains enseignants comme celui de certains élèves sont autant de facteurs d’une douleur indicible.

Jusqu’à tard, j’ai souffert d’un symptôme d’anxiété persistante, d’une sorte de peur constante qui m’a rendu inventif en matière de comportement d’évitement. Mal pris en charge, elle m’accompagnera des années durant et même au delà de ma scolarité quand il s’agissait d’aller au travail.

Il y a l’école, le système pédagogique, certains des membres de l’éducation nationale, certains enseignants, des élèves et des parents aussi lesquels sont autant de facteurs potentiellement anxiogènes qui alimentent la phobie scolaire. Pourquoi ?

Parce-que même s’ils le dénient, beaucoup d’entre eux sont dans l’incapacité d’appréhender le problème, voire, ils ne font aucun cas de la phobie scolaire si ce n’est d’inviter les élèves en souffrance à, par exemple, pratiquer la relaxation ce qui, à mon époque, n’existait pas.

Alors, autant le savoir tout de suite, oui, la phobie scolaire est à prendre très au sérieux, et non, ce n’est pas un caprice d’enfant ou d’ado boutonneux. C’est une vraie névrose phobique aux conséquences parfois dramatiques.

Contexte et prise en charge de la phobie scolaire

J’entends déjà les politiques hurler au scandale. Sans doute vont-ils s’empresser de nous préciser que les équipes pédagogiques sont formées à la prise en charge de la phobie scolaire. Ce n’est pas faux mais c’est loin d’être vrai.

Le plus souvent, leurs interventions mettent l’enfant ou l’adolescent dans un système de contraintes qui ne fait qu’alimenter la phobie scolaire au lieu de la traiter de façon adaptée.

Pour moi, il ne s’agit pas d’écrire que c’est peine perdue que de demander des aménagements à l’établissement scolaire dans lequel votre enfant se trouve.

Je demande juste que l’on m’explique comment aider un enfant à traiter sa phobie scolaire et ce, alors que le système lui même ne prend nullement en compte combien il doit changer de l’intérieur partant, évoluer. Le mammouth qu’est notre système scolaire est l’un des facteurs de la souffrance de certains de nos enfants lequel, parfois, justifie un comportement de phobique social.

In fine, c’est exactement le même postulat quand des personnes essaient de fantasmer sur une solution à un problème dentaire et qu’ils aspirent à se dire : »J’ai vaincu ma peur du dentiste« .

Certains enseignants et des parents, dont beaucoup adhérents à des associations de parents d’élèves fort orientées politiquement, l’institution, bref, tous et chacun à leur façon, attachés à leur pré carré, sont pour une bonne partie responsables de la phobie scolaire de certains élèves lesquels, avant de l’être, sont des enfants.

Il ne s’agit pas que de leur faire ingurgiter des programmes. Il s’agit de les considérer, de les reconnaître, ces enfants. Ce qui revient au même type de problèmes que dans le monde du travail : l’absence de considération et l’absence de reconnaissance.

Il me semble évident que la responsabilité ne peut en incomber qu’au seul système ou, de façon exclusive, à certaines personnes. Bon nombre de parents sont responsables de la phobie scolaire de leur enfant. En effet, l’école est le lieu de confrontation de toutes les angoisses et, tout comme la famille, c’est la grand place de l’anxiété puisque c’est souvent en leur sein que les enfants apprennent à cultiver la peur de l’échec.

Les problèmes relationnels facteurs de phobie scolaire

Ainsi, il est notoire que des enfants qui souffrent de problèmes relationnels, ou des problèmes de comportement, expriment les problèmes familiaux au sein de l’établissement scolaire.

Certains enfants font une véritable crise de panique quand il est l’heure de se rendre à l’école. Peu ou mal entendus et compris, ces enfants se retrouvent fréquemment otages d’incompréhensions, tant institutionnelles que familiales.

Dès lors, je parle d’angoisse d’abandon, d’angoisse de séparation, de peurs mal identifiées et aussi de harcèlement comme de violences diverses. Mais, comme cela s’exprime au sein de la scolarité, c’est donc à l’institution de prendre cela en charge.

Force est de constater que si des actions sont menées, elles sont le plus souvent inadaptées à la réalité du besoin. Nous demeurons dans un cadre dument établi et normatif dont il ne convient pas de sortir. Alors, le problème demeure.

Si je l’écris avec tant de force, c’est parce que je conserve en mémoire les propos de ces enfants qui viennent pour soigner leur phobie scolaire. Tout comme je garde à l’esprit le désarroi de ces parents insistants quant au fait que si l’institution propose des aides, elles sont le plus souvent tellement circonstanciées et générales.

De fait, elles sont inadaptées, comme stériles, et rationalisent à outrance sur le sentiment de danger que ces enfants éprouvent.

La phobie scolaire n’est pas un mythe

Il est un fait certain : la phobie scolaire est un problème auquel il convient d’accorder la plus grande attention dans le mesure où il exprime une sensation d’insécurité.

La phobie scolaire n’est donc pas un mythe mais une réalité, et il ne suffit pas d’écrire ou de communiquer sur la phobie scolaire ni sur le harcèlement scolaire comme l’a récemment fait Monsieur Gabriel Attal pour faire croire qu’elle est prise en charge.

D’ailleurs, la seule solution proposée par cet ancien ministre de l’éducation nationale devenu 1er ministre a été d’accroître les sanctions juridiques en matière de harcèlement scolaire alors qu’il s’agit d’éduquer les mentalités.

La phobie scolaire ne relève aucunement d’un caprice d’enfant. C’est une vrai douleur, un vrai problème dont l’institution ne prend pas la mesure, ou alors seulement de façon technocratique.

Cela repose sur un réel et patent manque de moyens financiers et pédagogiques et aussi un manque de désir de doter le cadre scolaire de vrais moyens de prise en charge psychologique. Il en va aussi de positionnements politiques ce que, bien sur, les intéressés nieront.

Adresser les enfants victime de phobie scolaire dans les CMP, ou à des psychologues scolaires, est une funeste plaisanterie, comme si la réponse psychiatrique ou psychologique était la seule possible. En effet, pathologiser un refus scolaire anxieux est le meilleur moyen de l’aggraver.

Dans le même temps, il ne suffit pas d’aménager le temps scolaire ou de contacter la médecine scolaire quand elle existe encore ce qui est de moins en moins le cas. Il s’agit d’éduquer les enseignants à la phobie scolaire, et aussi les élus locaux, et les parents. De les informer précisément de  la nécessité de prise en charge adaptée et de ne pas se contenter de petits arrangements entre amis ou classes sociales.

Le faux investissement des institutions à propos de la phobie scolaire

Phobie scolaire et harcèlement

Il n’y a que trop d’enfants déscolarisés, ou en échec scolaire, du fait de cette phobie scolaire. Pourquoi, à l’instar des pays nordiques, notre système ne fait-il pas ce qu’il faut pour traiter la phobie scolaire à bras le corps ? Le traitement du refus scolaire anxieux est-il une question d’argent ?

Imaginez le nombre de consultations dont peuvent bénéficier ses enfants en proie à la phobie scolaire avec le million d’euros qu’était accusé d’avoir détourné un homme politique qui se présentait aux élections présidentielles de mai 2017.

J’ai compté. Cela fait 12 500 consultations qui permettent, en moyenne, de soigner 1785 élèves. Çà ne fait pas tout, mais c’est loin d’être rien.

Ne vaut-il pas mieux employer le temps et l’argent à réfléchir à se doter de vrais moyens pour agir ? Ce même temps consacré au nom à donner à un ballon. Ainsi, ce temps dilapidé finit, au terme de palabres, d’argent et d’énergie outrageusement dépensées, par accoucher du mot « référentiel bondissant » pour nommer un ballon, et ce n’est pas une plaisanterie.

Nonobstant mes considérations autant personnelles que professionnelles, j’essaie d’apporter ma pierre à l’édifice. Dès maintenant, je vais vous expliquer de quoi il retourne en matière de symptômes de ce trouble phobique, des comportements à adopter, et de traitement de la phobie scolaire.

Définition et symptômes de la phobie scolaire

Comme je l’écris souvent, la phobie se comprend comme une peur irrationnelle que l’on éprouve vis-à-vis d’un objet précis, ou d’un sujet.

Dans le cas de la phobie scolaire, l’enfant ou l’adolescent ressent une crainte irraisonnée à l’idée de se rendre à l’école. Pour des motifs divers, il est très angoissé, voire anxieux face à cette éventualité. Ce qui peut aller jusqu’à provoquer chez lui des crises de panique.

L’expression de cette phobie scolaire se manifeste de diverses façons. Chaque enfant est unique et, d’un individu à l’autre, les symptômes sont différents.

Toutefois, il importe de reconnaître les signaux d’alarme de ce refus scolaire anxieux afin de réagir en conséquence. Voici quelques symptômes courants de la phobie scolaire :

  • Tremblements,
  • Convulsions,
  • Sueurs,
  • Pleurs,
  • Nausées et peur de vomir,
  • Maux de tête,
  • Maux de ventre,
  • Sensation d’étouffement,
  • Douleur à la poitrine,
  • Troubles de l’endormissement,
  • Cauchemars,
  • Troubles du sommeil,
  • Irritabilité, parfois colère ou violences,
  • Manque de confiance en soi,
  • Mésestime de soi,
  • Peur de parler en public,
  • Etc.

En général, la crise d’anxiété correspondante ne dure pas. L’enfant se sent mieux au bout de quelques minutes. Ensuite, pour faire plaisir, et pour se défaire de la pression environnementale, il promet d’aller à l’école le jour suivant. Mais, le lendemain, la crise se reproduit et tout le monde de raisonner autour de lui.

La vérité, c’est que l’angoisse excessive de l’enfant vis-à-vis de l’école augmente au jour le jour. Si rien n’est envisagé de façon stratégique, et adaptée, cette phobie scolaire ne fait que croitre et s’aggraver, au point de générer une rupture sociale et relationnelle puisqu’ils subissent une anxiété anticipatoire laquelle peut aboutir à une attaque de panique avec agoraphobie.

En effet, les enfants atteints de phobie scolaire, et qui ne sont pas pris efficacement en charge, finissent par quitter l’école. Ils souffrent alors de désocialisation, de dépression, ce qui, bien évidemment, gâche leur vie et leur avenir.

Doit-on prendre la phobie scolaire au sérieux ?

Je peux vous assurer que la phobie scolaire n’est pas un problème ponctuel. On ne peut pas s’offrir le luxe de le minorer, de le négliger. Que votre enfant fasse une crise de larmes une fois au sujet de la chose scolaire, c’est tout à fait normal. Mais quand les crises se répètent, et deviennent plus intenses, il est obligatoire de réagir. A ce propos, il convient de prendre la mesure d’un certain nombre de symptômes, voire de leur dimension répétitive.

La phobie scolaire n’est pas à proprement parler une maladie, et il est vraiment imprudent de la traiter comme telle. Elle est plutôt la conséquence directe d’un ensemble de facteurs difficiles à cerner comme ceux qui justifieraient la timidité et la peur de rougir.

C’est une angoisse difficile à comprendre et à déterminer. Les causes de ces angoisses sont multiples et variées. Elles sont classées en 2 catégories :

  • Environnementales,
  • et individuelles.

Harcèlement et refus scolaire anxieux

Le harcèlement scolaire et les brimades à l’école sont dangereux pour le bien-être des enfants. Quand un enfant redoute de revivre de telles situations, il peut finir par développer une phobie scolaire qui s’exprime par une forme de besoin renouvelé d’isolement. Mais dans la réalité des faits, son trouble est plutôt lié à un choc post-traumatique lequel peut l’amener à mettre fin à ses jours, nous l’avons encore récemment vu du fait de suicides de trés jeunes adolescents.

Réseaux sociaux et phobie scolaire

Autant que vous en soyez informés, ce doit être mon âge, mais je considère les réseaux sociaux comme d’innommables bouses !

La montée en puissance des réseaux sociaux a transformé la façon dont les jeunes interagissent, communiquent et perçoivent le monde qui les entoure.

Alors que ces plateformes offrent une connectivité instantanée et des possibilités de partage sans précédent, elles peuvent également exercer une influence profonde sur le bien-être mental des jeunes.

Parmi les nombreux défis auxquels sont confrontés les adolescents et les enfants aujourd’hui, la phobie scolaire se démarque comme un problème de santé mentale croissant. Dès lors, Eexaminons de plus près le lien complexe entre l’utilisation des réseaux sociaux et la phobie scolaire.

Évolution des réseaux sociaux et conséquences

Les réseaux sociaux ont considérablement évolué au fil des ans, offrant une variété de plateformes telles que Facebook, Instagram, Snapchat et TikTok, où les jeunes peuvent interagir, partager du contenu et se connecter avec leurs pairs.

Cependant, cette omniprésence numérique comporte des risques, notamment l’exposition à des normes de beauté irréalistes, la pression pour obtenir des likes et des followers, ainsi que le cyberharcèlement, le trolling, ou encore le chantage sexuel pour ne citer que lui.

Autant de problèmes de comportements asociaux qui peuvent expliquer une phobie scolaire.

Impact des réseaux sociaux sur la phobie scolaire

La phobie scolaire se caractérise par une peur intense et persistante d’aller à l’école, souvent associée à des symptômes physiques tels que des maux de tête, des nausées et des douleurs abdominales. Les réseaux sociaux peuvent aggraver cette anxiété de plusieurs manières :

  1. Pression sociale : Les jeunes peuvent ressentir une pression sociale pour maintenir une certaine image en ligne, ce qui peut entraîner des sentiments d’insécurité et d’inadéquation par rapport à leurs pairs ce qui peut les amener à créer des rituels qui s’apparentent à des troubles obsessionnels, ce que l’on appelle plus communément des troubles obsessionnels compulsifs, pour se protéger. Ce qui, bien évidemment génère un résultat inversement proportionnel à l’effet désiré puisqu’un tel comportement alimente des réactions phobiques.
  2. Comparaison négative : La tendance naturelle à comparer sa propre vie à celles des autres est amplifiée sur les réseaux sociaux, où les utilisateurs partagent souvent des moments sélectionnés de leur vie qui peuvent sembler idéalisés.
  3. Cyberharcèlement : Le harcèlement en ligne peut avoir des conséquences dévastatrices sur la santé mentale des jeunes, contribuant à l’anxiété sociale et à la peur de retourner à l’école.
  4. Distraction et procrastination : Passer trop de temps sur les réseaux sociaux peut entraîner une diminution de la concentration et de la productivité, ce qui peut rendre l’idée d’aller à l’école encore plus stressante pour certains jeunes.

Stratégies de prévention

Pour aider les jeunes confrontés à la phobie scolaire exacerbée par les réseaux sociaux, des stratégies d’intervention et de prévention sont essentielles :

  1. Éducation et Sensibilisation : Il est important d’éduquer les jeunes sur les effets néfastes potentiels des réseaux sociaux sur leur santé mentale et de les encourager à adopter une utilisation plus équilibrée et consciente de ces plateformes et des objectifs marketing de ces dernières.
  2. Encadrement Parental : Les parents peuvent jouer un rôle crucial en surveillant et en guidant l’utilisation des réseaux sociaux par leurs enfants, en créant des limites de temps et en favorisant des discussions ouvertes sur les défis en ligne.
  3. Soutien Psychologique : Les jeunes souffrant de phobie scolaire peuvent bénéficier d’un soutien psychologique professionnel pour identifier et traiter les causes sous-jacentes de leur anxiété, ainsi que pour développer des stratégies de gestion du stress.
  4. Promotion d’un Environnement Scolaire Inclusif : Les écoles peuvent mettre en place des programmes visant à promouvoir un environnement scolaire inclusif et bienveillant, où les élèves se sentent en sécurité et soutenus dans leur développement social et émotionnel.

Pour une utilisation saine des réseaux sociaux

Alors que les réseaux sociaux continuent de jouer un rôle central dans la vie des jeunes, il est impératif de reconnaître et de comprendre leur impact sur la santé mentale, y compris leur lien avec la phobie scolaire.

En sensibilisant, en éduquant et en fournissant un soutien approprié, il est possible de promouvoir une utilisation plus saine et équilibrée des réseaux sociaux, contribuant ainsi au bien-être mental et émotionnel des jeunes générations.

L’angoisse vis à vis d’un(e) professeur(e)

Il y a des enseignants extra ordinaires. Mais, je vous le confirme, certains professeurs sont vraiment difficiles à vivre et se comportent particulièrement mal avec les enfants. Ainsi, humiliations et mépris sont leur carburant.

Si votre enfant est confronté à un tel enseignant, la crainte de devoir le subir au quotidien ou, pire, toute l’année, est tellement douloureuse et anxiogène que cela risque de provoquer une phobie scolaire.

Les causes individuelles sont plutôt liées à l’enfant lui-même, à son vécu antérieur, comme à sa vie de famille.

Les origines ou causes individuelles sont :

  • La phobie sociale, ou la peur de l’autre.
  • L’anxiété de séparation.
  • Les troubles « Dys » : dyslexie, dyspraxie, dysphasie.
  • Les troubles de la concentration : TDHA, Hyperactivité.

La phobie scolaire est aussi la conséquence d’un autre problème psychologique, en particulier d’un trouble du comportement comme le trouble des conduites. On entend par là un ou des comportements qui ne respectent pas les autres. Le harcèlement est l’un d’entre eux.

Comme vous le constatez, il n’est pas facile d’identifier la raison pour laquelle un enfant souffre de phobie scolaire, partant, de refus scolaire anxieux. Cependant, n’ignorez pas les difficultés de votre enfant. Ne le contraignez pas à se rendre à l’école s’il vous dit que cela lui est difficile, voire impossible. A l’inverse il courre un risque dépressif.

N’encouragez pas non plus son absentéisme. Permettez lui de rester à la maison à la condition que, avec vous, il cherche une solution à sa phobie scolaire.

Sachez faire preuve de mesure, observez, communiquez, posez des questions et prenez des décisions avec l’enfant et pas seulement en ne tenant compte que de votre propre besoin. Ne cherchez pas à être rassuré ou à satisfaire votre emploi du temps.

Comment aborder une phobie scolaire ?

Le plus important n’est pas de coller une étiquette sur la difficulté de votre enfant. Le plus important, c’est d’en parler avec lui ou avec elle, comme avec son père ou sa mère, voire ses camarades de classe et enfin, les professeurs. Si nécessaire, n’hésitez pas à contacter la médecine scolaire.

En fonction de tous ces éléments, consultez un coach comportemental avec votre enfant. Si vous ne savez pas ni où ni comment en trouver, adressez moi un mail. En fonction de là où vous habitez, je vous orienterais au mieux des intérêts de votre enfant.

Il faut agir dès que le problème se fait jour. Soyez à l’affût de signes qui puissent vous renseigner. Plus tôt un diagnostic est établi, mieux votre enfant est pris en charge. Ainsi, plus vite, et bien, il met un terme à sa phobie scolaire. C’est comme un cancer : lus tôt c’est diagnostiqué, plus c’est facile à soigner.

Dans le cas d’un problème d’adaptation à l’école lié à un trouble comme la dyslexie, il faut cesser d’envoyer votre enfant à l’école classique. Il a besoin d’étudier dans un centre adapté à son besoin. Si vous n’en avez pas à proximité, renseignez-vous auprès d’un orthophoniste ou d’un psychomotricien.

Si la phobie scolaire de l’enfant est plutôt due à un trouble du comportement, c’est cela qu’il faut traiter pour l’apaiser, pour qu’il reprenne sereinement le chemin de l’école.

Mais je vous déconseille fortement, même s’il s’agit d’un adolescent, d’accepter la prise de médicament, ou de le faire être hospitalisé, sauf à ce qu’il coure un vrai danger : le suicide.

Les médicaments entraîne une dépendance précoce chez l’enfant. Une hospitalisation, même dans un but thérapeutique, est souvent la source d’une autre angoisse.

Dès lors, je ne suis pas convaincu que psychiatre et psychologue soient les plus à même d’aider un enfant à lutter contre l’anxiété si ce n’est en lui opposant des considérations rationnelles et intellectuelles. J’en veux pour preuve une exposition graduelle qui est souvent contre-productive.

Comment traiter une phobie scolaire ?

La solution la plus adaptée pour  traiter la phobie scolaire est l’approche systémique de Palo Alto, une approche brève orientée solutions.

Il faut en effet aider l’enfant à changer la perception qu’il a de sa relation avec les autres. Il s’agit de l’aider à aborder sa vie de manière positive. Progressivement, il se sentira mieux et pourra, à sa propre demande, retourner à l’école.

Si la source de la phobie scolaire provient d’une situation de harcèlement, ou d’un souci avec l’un des enseignants, je vous conseille de le signaler à la direction de l’école, voire, de prévenir l’inspecteur d’académie, ou le rectorat mais pas seulement.

En effet, si votre enfant est traumatisé, il y a de fortes chances que d’autres enfants le soient aussi. Il importe que l’école prenne ses responsabilités et mette fin à ces déconvenues. N’hésitez pas à prendre conseil auprès d’un(e) avocat(e) spécialisé(e). Il, ou elle, est là pour vous soutenir juridiquement et saura quoi dire et comment faire à ces propos.

Si vous souhaitez apporter votre témoignage, ou me demander un conseil, ou une adresse, n’hésitez pas à utiliser la zone des commentaires en dessous de cet article.

Une toute dernière chose quand aux conséquences de la phobie scolaire.

N’oubliez jamais que la plupart du temps, les enfants victimes de phobie scolaire, retournent ce problème contre eux mêmes. En effet, ils se sentent incapables de supporter et encore moins de résoudre ce conflit intra psychique.


Frédéric Arminot
Frédéric Arminot

Ancien grand anxio-dépressif, et victime d’angoisses aux multiples conséquences des années durant, je suis spécialisé dans le traitement des problèmes d'angoisse, d'anxiété, de dépression, de phobie, et de toc, et exerce depuis plus de 25 ans en qualité de comportementaliste (coach comportemental). Mes compétences dans les domaines de l'approche systémique de Palo Alto (approche stratégique et brève orientée solution) me permettent de résoudre 16 cas sur 17 en moins de 2 mois (95 % de résultats). Pour en savoir +, je vous invite à prendre connaissance du protocole de résolution de problèmes en ligne que j'ai conçu. Si vous le souhaitez, vous pouvez aussi bénéficier de consultations thérapeutiques en cliquant sur ce lien : Consultations thérapeutiques

    57 replies to "Phobie scolaire : faut-il accorder du crédit au refus scolaire anxieux ?"

    • Frédéric Arminot

      Bonjour,

      Je en connais aucune consœur ni aucun confrère dont je puisse me porter garant auprès de vous dans la région de Chartres pour s’occuper de votre fille en classe de CM2 laquelle n’arrive plus à aller à l’école.

      Par contre, je vais vous communiquer les coordonnées d’un excellent confrère que vous pourrez contacter de ma part.

    • Loune

      Bonjour,
      Est ce possible de me communiquer des coach sur chartres (dpt 28) ou alentour ?
      Notre fille en classe de CM2 n’arrive plus à aller à l’école. Il est impossible de penser à un aménagement des horaires car le fait de penser à un retour est encore source de forte angoisse et « crise » ( larmes, tremblement, colère…)
      Elle ne va pas à l’école depuis 1mois et demi. Il reste la même durée avant les grandes vacances. Elle est suivi par une psychologue depuis 1 mois.
      Merci de votre retour.
      Bonne journée

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Delphine,

      Il semble que le refus de votre fils de se rendre au collège soit motivé par des choses qu’il a faites et qu’il regrette. Ce serait donc qu’il a peur d’être confronté à la réalité de ses comportements.

      Il conviendrait donc qu’il puisse en parler et retrouve confiance.

      Quelles démarches thérapeutiques avez-vous envisagé à ce propos, ou quelles démarches avez-vous faites en ce sens ?

      Enfin, où habitez-vous (région ou ville) ?

    • Delphine

      Bonjour mon fils a 14 an et depuis les vacances des fête il c renfermer suis lui et a la rentré il c préparer mes a commencer à pleurer et me dire qu’il veu plus aller au collège qu’il a peur pour son avenir .et li à des problèmes de lecture écriture et de compréhension .on a discuté avec lui mes les seul chose qui nous dit c qu’il veu plus aller au collège et que dans sa tête il réfléchir beaucoup qu’il regrette des chosse qu’il a fe ect …

    • Bonjour Jessica,

      Je vous ai répondu par mail.

      Bien à vous.

    • Jessica

      Bonjour ma fille de 14 ans es en phobie scolaire.
      Ça a commencé l année dernière en février elle s est fait harcelé au collège elle a loupé tous le 3ème trimestre. Le collège a été prévenu suivi du psy du medecin traitant
      La 1er et 2ème jours de la rentrée elle y a été mais depuis elle refuse d allée en cours
      Pourtant tous les soirs elle rattrape fait ces devoirs elle prépare son sac pour le lendemain.
      Mais le lendemain impossible elle a mal au ventre, pleurs.
      Je suis un peu demuni comment l aidé ???

    • Bonjour Cléa,

      Je viens de vous envoyer un mail en privé.

    • Cléa

      Bonjour,
      Je suis atteinte de phobie scolaire depuis six ans. ça a commencé avec des vomissements en CM2, j’avais dix ans. Un lundi sur deux, j’étais absente. Six ans plus tard, une douzaine d’autres symptômes sont apparus. L’an dernier, j’étais malade tous les jours. Mais je me suis toujours forcée à y aller. Dois-je continuer comme ça?
      D’autant plus que, pendant les treize premières années de ma vie, plus six mois, j’ai été maltraitée physiquement, psychologiquement, moralement et verbalement par mon père, ce qui a laissé un traumatisme et certainement un lien avec la phobie scolaire car il m’a toujours mis la pression, critiquée négativement, fait faire du niveau 3e quand j’avais sept ans…
      Que dois-je faire? Me déscolariser? Continuer comme ça?

    • Bonjour,

      Je vous conseille de consulter cette page:

      « Comment se débarrasser du refus scolaire anxieux (phobie scolaire)? »

      Avec cette Faster Class vous aurez tous les outils nécessaires pour aider votre fille.

      Tenez-moi au courant de ses progrès, je suis de tout cœur avec vous.

      Frédéric Arminot

    • PELIX

      Bonjour, ma fille de 12 ans est atteinte de « phobie scolaire », l’équipe enseignante est au courant et bienveillant avec elle mais rien ne fait, elle souffre et je ne sais plus quoi faire pour l’aider. Pouvez-vous nous aider s’il vous plaît. Merci.

    • Bonjour Jacques,
      Merci pour votre message.
      Je viens de vous envoyer un e-mail au sujet de votre fille.
      Bien à vous,
      Frédéric Arminot

    • Jacques

      Bonsoir, je suis désespéré de voir ma fille, adolescente de 16 ans en état de « phobie scolaire ». Cela à commencé en cours d’année 2021, elle était en seconde. Elle n’est pas du tout allée au lycée au 3eme trimestre. Pour cette rentrée 2021/22 elle a changé de lycée et a commencé en 1ere générale, mais après les vacances de la Toussaint elle n’est pratiquement plus retourné au lycée. Tout ceci a été suivi par un certain nombre de spécialistes, notamment psychiatre, psychologue privé ainsi que toute l’équipe éducative du lycée ‘ CPE, médecin scolaire, assistant sociale…) mais rien n’y a fait, elle est toujours en situation d’échec et ressent les mêmes symptômes que ceux décrit dans les autres cas. Je suis son père et en ai la garde après une séparation qui remonte à 9ans. Je vous préciserai également que ma fille était une excellente élève, tant sur le plan scolaire que sur le plan comportemental. Je vous remercie par avance de vos éventuels conseils. Cordialement

    • Bonjour,
      Merci pour votre message.
      Je viens de vous envoyer un message afin de correspondre de façon plus privée.
      Je suis de tout cœur avec vous.
      Frédéric Arminot

    • Jedrzejewski

      Bonjour ma fille de 12 ans souffre de phobie scolaire, je ne sais pas quoi faire pourriez vous m’orienter vers un professionnel compétent merci je viens du centre 03.

    • Bonjour Cynthia,
      Merci pour votre message.
      Je viens de vous envoyer un e-mail pour échanger de façon plus privée.
      Bien à vous,
      Frédéric Arminot

    • Cycy

      Bonsoir ma fille de 15 ans n’arrive plus à aller au collège 3eme prépa métiers depuis la rentrée . Rien que le fait de penser à l’école elle fait des angoisses , elle pleure, elle manque de confiance en elle et elle se mésestime . Elle est suivi par un psychologue mais j’aimerai avoir des conseils .

    • Bonjour Anne,
      Merci pour votre message.
      Je viens de vous envoyer un e-mail afin de correspondre de façon plus privée.
      Bien à vous,
      Frédéric.

    • GEIST

      Bonjour,

      Mon fils de 14 ans ne va plus au collège depuis 3 semaines. Il a mal au ventre quand il pense à l’école. Chaque jour, il me dit qu.il va retourner au collège mais chaque matin, ça lui est impossible. Il a vu une psychologue, une sophrologue mais il n’y a pas d’amelioration. Il a été diagnostiqué TDAH.
      Pouvez-vous nous conseiller un professionnel susceptible de l’aider.
      Je vous remercie par avance.

    • Bonjour Magalie,
      Je viens de vous envoyer un e-mail au sujet de votre fille.
      Bien à vous,
      Frédéric.

    • Magalie

      Bonjour.
      Ma fille de 12 ans souffre de phobie sco lié semble t il à de l’anxiete de performance et c’est pourtant une excellente eleve pourtant
      Je suis dans le 93 proche 77
      Je cherche des professionnels compétants et spécialistes du sujet car j’ai vu un psychiatre hiet qui m’a dit des choses ahurissantes.
      Merci par avance pour votre aide

    • Bonjour Lola,

      Pour vous répondre au mieux au sujet de votre fils, je vais vous adresser un questionnaire dont les réponses que vous apporterez m’aideront à vous orienter au mieux.

      Bien à vous.

    • Lola

      Bonjour, mon fils n’arrive plus à aller au lycée depuis quelques semaines, il a très mal au ventre, envie de vomir , il angoisse dès qu’il pense au lycée.
      Il me réclame régulièrement près de lui mais il ne faut pas que je lui pose de questions sur son mal être sinon il se braque et il s’isole.
      Je ne sais pas quoi faire pour l’aider, il l’affirme qu’il n’est pas harcelé mais je ne sais pas quoi penser, j’ai peur qu’il se renferme et se coupe de la réalité.

    • Bonjour,
      Je viens de vous envoyer un e-mail au sujet de votre fils.
      Bien à vous,
      Frédéric.

    • Ledoux

      Bonjour, mon fils rencontre actuellement des difficultés pour se rendre au collège 6eme. Se sont des pleurs des crises le soir et le matin et toute la journée au collège. Il dit qu’il n’arrive pas à y aller qu’il se force mais que c’est trop dur. Il nous supplie de l’aider mais ne comprends ce qui lui arrive. Nous avons vu une psy mais rien a changer elle n’a pas su nous aider. Auriez vous des conseils ou des personnes qui peuvent m’aider je suis du nord? Merci

    • Ludivine

      Bonjour je cherche de l aide pour ma fille de 11 qui a bcp de mal a aller à l école depuis la deuxième année de maternelle . Merci dans le Doubs vers Besançon des conseils à me donner ?

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Nathalie,

      Pourriez-vous me préciser dans quelle région, ou dans quelle ville, vous habitez pour que je puisse, sous toutes réserves, vous communiquer les coordonnées d’une consœur ou d’un confrère compétent à aider votre fils?

    • Nathalie

      Bonjour,
      Pourriez-vous me communiquer les coordonnées de personnes ou associations autour de moi…
      Mon fils de 7 ans et demi développe des troubles anxieux forts et répétitifs et est en train de mettre en place un comportement qui ressemble à une phobie scolaire…
      Il y a eu de la violence à l’école il y a 2 mois, dont il a été témoin et en partie victime. Hypersensible de nature, il semble que cela ait causé un traumatisme chez lui, qu’il ne parvient pas à dépasser…
      Nous faisons tout pour l’accompagner (liens école/psy scolaire/médecin traitant/psy libéral (suivi qui démarre juste).
      Mais je souhaite aussi mettre l’école face à ses responsabilités (contacter l’Inspection, les représentants des parents d’élèves…etc).
      Merci par avance pour vos conseils
      Nathalie

    • Frédéric Arminot

      Bonjour,

      Merci pour votre commentaire.

      Je suis navré que votre fils souffre ainsi. Le programme ARtUS est tout à fait adapté à sa situation.

      Je vous envoie plus d’informations en privé.

    • MARTIN

      Bonjour,
      mon fils de 17 ans souffre de phobie scolaire depuis le début de l’année. Il a consulté une psychologue avec qui il a eu des séances d’hypnose mais il n’y a pas eu d’amélioration. Il a ensuite consulté une autre thérapeute avec qui il a fait des séances EMDR. Il ne souhaite toujours pas retourner au lycée. Il dit pourtant ne pas avoir subi d’harcèlement. Certains de ses professeurs sont dévalorisants et il se sent seul dans sa classe (il n’a pas vraiment d’amis). Nous ne savons plus quoi faire. Nous lui proposons un changement d’établissement pour l’année prochaine, mais sera t-il capable de s’y adapter, nous n’en sommes pas sûrs. Vous quoi pouvons-nous nous tourner pour l’aider. Nous sommes dans les Yvelines (Rambouillet).
      Merci de votre aide

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Florence,

      Si votre fils n’a pas peur de vomir, le fait qu’il régurgite avant d’aller au lycée traduit une angoisse trés forte. Le fait qu’il vomisse est donc le symptôme d’un autre problème.

      Bien qu’il n’ait jamais été agressé ou harcelé sur le chemin de l’école, du collège ou du lycée, ou victime de harcèlement dans un établissement scolaire, il se passe quelque chose qui l’angoisse. Et cette peur le poursuit depuis qu’il est scolarisé. Soit, depuis plus de 15 ans…

      Il semble que ce soit sa façon d’anticiper sur ce qu’il va avoir à vivre au sein même de l’établissement scolaire qui l’angoisse trés fortement. Dès lors, s’agit-il d’angoisse de performance? D’anxiété sociale? Ou d’un autre sujet à propos duquel il s’inquiète de ne pas être à la hauteur (angoisse de performance, interrelation sociale, autre)? Dans tous les cas, il souffre!

      La question n’est pas de savoir pourquoi il se retrouve dans cette situation douloureuse. La question la plus importante consiste à savoir comment faire pour l’aider à être serein. A cesser de projeter. Ainsi, à retrouver d’autant plus confiance en lui que, scolairement, il réussit. Et ce d’autant plus que le rassurer ou tenter de le convaincre ne fait qu’alimenter son problème.

      J’ajoute que vous n’êtes nullement responsable de cette situation. La plupart des parents réagissent comme vous – rassurer -, et c’est normal. Et, soit écrit en passant, je trouve votre fils trés courageux. Malgré son problème, il semble n’avoir jamais été déscolarisé. Son problème ne relève donc pas nécessairement de la phobie scolaire. Peut-être une forme d’anxiété?

      Pour que votre fils retrouve confiance, et mette un terme définitif à l’angoisse qui le submerge chaque matin avant d’aller au lycée, je vous invite, votre fils et vous, à regarder la vidéo dont le lien apparait ci-dessous.

      Bien sûr, je reste à votre écoute pour vous apporter toutes les précisions que vous jugeriez nécessaires.

      « Comment vaincre l’angoisse et retrouver confiance en soi? »

    • Florence

      Bonjour je me permets de vous contacter car mon fils de 19 ans se remet à faire ce que je pense être de grosses angoisses.
      Elles se traduisent par des envies de vomir et finissent souvent comme ça d’ailleurs avant le départ, puis a un endroit sur le chemin du lycée. Je précise qu’il n’a jamais été agressé sur le chemin.
      Il faut savoir que dès petit il vomissait très souvent au moment du départ déjà a l’école maternelle.
      Il est démotivé et je n’arrive pas a le réconforter et a le rassurer.
      J’ai peur qu’à la longue il finisse par ne plus pouvoir y aller malgré une forte envie de sa part de rester en cours ou il a d’excellentes notes et se sent valorisé par certains de ces professeurs.
      Comment en finir avec ce cercle vicieux.
      Nous habitons sur la commune de l’haÿ les Roses dans le Val de Marne.

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Dieu,

      J’ai créé une « FASTER Class » pour aider les parents à aider leurs enfants à vaincre leurs peurs et leurs angoisses rapidement. Vous en trouverez la présentation en cliquant sur le lien ci-après:

      « Découvrez une solution trés simple pour vaincre l’angoisse chez l’enfant en quelques minutes seulement »

    • Dieu

      Bonjour ma fille de 12 ans angoisse pour aller en cours avec un de ses profs qui depuis le début d année sa se passe très mal .Aujourd hui encore sa c est mal passé ont remet toutes les fautes sur ma fille alors qu avec les autres professeurs sa se passent très bien .Elle ne veut plus aller au cour de se professeur.Elle angoisse ,elle pleure, une boule au ventre elle en fait des cauchemars que doit je faire .Merci .

    • Frédéric Arminot

      Bonjour,

      Afin de mieux comprendre le problème de votre fille et, partant, de l’orienter au mieux de ses intérêts, je vais vous adresser un questionnaire thérapeutique.

      En fonction des réponses que votre fille me communiquera, je lui dirais comment faire, ou à quel professionnel compétent s’adresser.

    • tenor

      Bonjour Monsieur,
      Je viens de lire votre article sur la phobie scolaire ,ma fille âgée de 15 ans en première ,bonne élève mais très timide .Durant 2 ans beaucoup de coups durs: déménagements , décès du papi, confinement ,grave maladie de son père . Toutes ces raisons ont accentuée sont mal être et est prise de plus en plus souvent de crise de larmes ,de vomissements ,de mal de tête et de ventre et ne veut plus aller au lycée .Elle me dit que ces crises se déclenchent des qu’elle pense à repartir au lycée ,l’angoisse arrive, pourtant elle aime étudier et me demande de suivre une éducation à distance avec son lycée .Je suis perdue ,je ne sais ou m’adresser ni ou me renseigner pour aider ma fille .Si vous pouviez me conseiller .Je vous en remercie par avance
      cordialement Véronique

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Véronique,

      Merci pour ce message.

      Je suis navré d’apprendre que votre fils souffre ainsi.

      Je vous envoie un mail privé aujourd’hui.

      Bien à vous,

    • Depagne

      Bonjour,
      Notre adolescent de 17 ans souffre de phobie de l’échec qui le paralyse notamment pendant ses contrôles de maths : comment faire : il est interne : organisez vous des consultations le samedi ?.

      Un grand Merci pour votre retour

      Sa maman Véronique

    • Frédéric Arminot

      Bonjour,

      Merci de votre message.

      Je vous envoie un mail avec plus d’informations.

      Belle journée,

    • THIVICHON

      Bonjour,
      En lisant cet article, je reconnais tout à fait mon fils de 11 ans en classe de 6ème depuis le début de cette année scolaire. En fin de primaire, il refusait d’aller dans ce collège, mais la carte scolaire l’y a obligé. La rentrée de septembre s’est, néanmoins, bien passé, jusqu’à il y a une quinzaine de jours où il n’a plus voulu se rendre au collège invoquant des maux de ventre, nausées, maux de tête. Les examens médicaux n’ont rien montré, les professeurs consultés ont été très surpris car c’est un élève qui semble intégré dans la classe, qui participe bien aux cours, qui a de bons résultats et qui ne semble pas avoir de problème particulier . Alors, pourquoi ce refus de l’école soudain. Lorsqu’on lui pose des questions, on n’obtient aucune réponse et l’interrogatoire se termine toujours par des pleurs. Il n’y a rien eu de nouveau au sein de la famille. Nous sommes désemparés et craignons pour son avenir. Merci de votre aide.

    • Frédéric Arminot

      Bonjour,

      Où habitez-vous et qui avez-vous consulté pour que votre fille trouve, ou tente de trouver, une solution à son problème?

      Je viens de vous adresser un questionnaire thérapeutique. Les réponses que votre fille et vous même m’apporterez m’aideront à vous orienter pour trouver une solution à ces troubles anxieux.

    • Naltchayan

      Bonjour ma fille de 12 ans a decla Depuis 3 mois des troubles anxieux généralisés elle est maintenant sous traitement anxiolytique depuis deux semaines. On pense qu’elle va mieux et hop elle rechute … je cherche désespérément un cadre adapté afin de pouvoir l’oriEnter sérieusement mer i pour votre aide

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Ladaycia,

      Je suis désolé des difficultés que votre fille rencontre. Je comprends que toutes deux vous cherchiez « pourquoi » elle rencontre ce problème. Cependant, ce n’est pas cela qui l’aidera à trouver une solution, et à reprendre le chemin du Lycée en toute confiance.

      Dès lors, qu’attendez-vous de moi?

    • Ladaycia

      Bonjour. Ma fille ne va plus au lycée demuis quelques jours. A son arrivée elle bloque. Et fais demi tour. Nos rdv avec une psychologue ne va pas tarder a nous être communiqué. Elle va voir une kinesiologue la semaine prochaine afin de voir d où vient le mal être. Sur dois je faire et penser en attendant. Merci. Bonne réception

    • Frédéric Arminot

      Bonjour,

      Je vais vous adresser un mail au sujet de votre fille.

    • Giret

      Bonjour Monsieur,
      J’ai lu votre article très riche et je retrouve tout à fait la problématique que rencontre ma fille.
      Ma fille âgée de 10 ans rencontre des difficultés pour se rendre au collège (sixième) depuis la rentrée de Septembre.
      Au début cela s’est traduit par des pleurs et des douleurs aux ventre et à la tête puis petit à petit par une incapacité à se rendre à l’école.
      J’ai rencontré son professeur principal et également l’infirmière scolaire. Puis récemment une psychologue extérieure mais ce rendez-vous n’a pas « plu » à ma fille.
      Pourriez-vous me conseiller une personne au fait de ce problème qui pourrait aider ma fille dans la région Rhône-Alpes nous habitons Villefranche sur Saône.
      Je vous remercie pour votre aide.
      Cordialement

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Jean-Marie,

      Je ne connais aucune consœur ni aucun confrère dans votre région dont je puisse me porter garant auprès de vous et de votre fils.

      Dès lors, je vous suggère de rechercher un(e) professionnel(le) de l’approche systémique de Palo Alto avec les mots suivants:

      – approche systémique de palo alto (en indiquant votre région)
      – thérapie palo alto (+ ville ou région)

      J’ai un peu cherché. Les personnes les plus proches se trouvent à 70 kms de chez vous.

      Je suis désolé de ne pouvoir faire mieux.

    • Geoffroy jean-marie

      Bonjour Mr Armino ,j’ai lu votre article sur les phobies et je pense que vous pouvez m’aider ,je suis a la recherche d’un coach comportemental dans le département des vosges pour mon fils Matthieu de 17 ans qui nous fait une phobie individuelle contre sa prof de math un peu rude,surnommée « la dragonne « par les elèves, deuxieme année avec elle et il a du mal en math et je pense qu’il a démissionné à cause des réprimandes ,il participe aux autres cours et a de bons rapports avec les autres eleves. Celà fait 1 semaine qu’il sèche les cours de math, il est angoissé , stressé et a du mal a dormir, il est en terminal STI2D et je pense que les enseignants mettent la pression,il a des résultats moyens.Matthieu est discret et solitaire sort en moto seul ,mais calme en classe , intelligent,bosseur , il n’hesite pas a se lever de bonne heure pour réviser , il s’accroche .Nous avons pris rendez-vous avec son prof principal et CPE du lycée pierre mendes france d’epinal afin de faire le point avec eux.Je cherche un specialiste qui pourra lui donner envie de positiver .D’avance merçi pour votre réponse et votre soutien

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Sophie,

      Je vais faire des recherches dans votre département et vous adresse un mail pour aider votre fille. Pourriez-vous m’expliquer ce qu’il s’est passé pour elle à la rentrée? Merci de votre confiance.

    • Sophie

      Bonjour, pouvez vous me conseiller un coach comportemental sur Moulins dans l’allier ?
      Ma fille ne va plus au collège depuis la rentrée.. Elle n’a jamais aimé l’école mais était une bonne élève jusqu’à maintenant. Mais depuis sa rentrée en 5eme, tout a basculer.

    • Frédéric Arminot

      Bonjour,

      Je fais suite à votre commentaire relatif aux problèmes rencontrés par votre fille. Je vais vous adresser un mail au sujet de votre demande.

    • harlet

      bonjour
      ma fille TDAH en 3e se met tellement la pression pour avoir l’orientation dont elle rêve (un sport étude très sélectif en seconde) que cela fait l’effet inverse. elle n’arrive plus à entrer dans la salle de classe depuis deux semaines. son parcours scolaire a été très compliqué mais elle semblait mieux depuis l’an dernier. Auriez vous quelqu’un à me conseiller vers Marseille pour un suivi TCC ou coach comportemental svp ?

    • Frédéric Arminot

      Bonjour,

      Je comprends que votre réaction, de fatigue et de lassitude, soit de « déscolariser » votre fils. Pour autant, moi qui, depuis toujours, entretient des relations délétères avec l’éducation nationale, je pense que ce n’est pas nécessairement la solution pour votre fils.

      En effet, je ne pense pas que votre enfant souffre de phobie scolaire à proprement parler. Mais plutôt que, du fait de divers problèmes dont il est victime, votre fils exprime une souffrance qui nécessite une prise en charge adaptée à son besoin. Dès lors, puisque les instances peinent à vous répondre et à vous aider (médecine scolaire, psy scolaire, etc.), je vous suggère de saisir l’inspecteur d’académie, de prendre rendez-vous et de l’informer des difficultés rencontrées. Enfin fait, de lui exposer la situation et de lui demander son aide.

      Dès lors, il va vous falloir composer politiquement avec ces personnes et, au regard de votre courroux, cela va vous demander de « mettre de l’eau dans votre vin » tout en exigeant des actions de façon habile.

      L’inspecteur d’académie est la personne la plus à même de faire mettre en place un emploi du temps adapté de sorte à ce que votre fils consulte un(e) orthophoniste à des horaires possibles (pendant les heures de cours), et que sa scolarité soit adaptée au sens où il pourrait le faire intégrer un établissement scolaire en mesure de prendre en compte les problèmes « dys » de votre fils.

      Un certain nombre de dispositions au bénéfice de votre enfant sont possibles. Si l’inspecteur d’académie n’agit pas – rapidement -, vous pouvez saisir les instances supérieures et exiger d’elles – gentiment – qu’elles agissent au bénéfice de votre fils.

      Enfin, en ce qui concerne l’enseignante, la plupart ne sont pas formé(e)s pour se comporter personnellement et professionnellement de façon adaptée face à des publics en difficultés comme l’est votre enfant. La réaction de cette personne peut aussi être motivée par les comportements de votre fils lequel ne se montre pas nécessairement agréable (du fait de ses difficultés) ce qui pourrait le rendre pénible aux yeux de l’enseignante, laquelle réagit. C’est humain. Nos enfants, si géniaux soient-ils, ont parfois des comportements en société qui nous étonnent beaucoup, nous, les parents.

      Pour conclure, nonobstant des questions de personnes, il convient d’agir au bénéfice de votre fils alors que vous êtes confrontée à une mécanique institutionnelle trés cadrée et lourde à faire bouger. Mais c’est possible.

    • CATELOY

      bonjour et merci pour la pertinence des propos de votre article.
      Mon fils a 10 ans et je prends la décision aujourd’hui de le déscolariser.
      Depuis la maternelle, il a du mal a trouver sa place à l’école. Il aime ses instits et y retrouver ses copains, mais pour les apprentissages, c’est compliqué. Il a des capacités, il le prouve à maintes reprises en dehors de l’école quand il a la liberté d’apprendre seul ce qu’il souhaite à ce moment là. Donc, ce n’ai pas un souci cognitif à priori. Depuis le primaire, les troubles du comportements s’aggravent / école : désintérêt pour les enseignements, provocation, copies blanches, refus des devoirs, troubles de la concentration, dys-orthographie et dys-calculie….mais des copains et de l’humour. Jouer est son crédo ! Un an et demi sur liste d’attente pour de l’orthophonie (Vendée), RASED injoignable, médecin scolaire injoignable….Ecole désinvestit et instits sans bienveillance ! On déménage l’automne dernier, il est en CM2. Je briefe sa nouvelle instit et son refus d’aller à l’école s’accompagne cette fois-ci par des fugues, des idées suicidaires et de grosses grosses colères. Son instit continue de le considérer comme un élève lent, fainéant, qui ne fera rien de sa vie et est dans l’absence totale de communication avec nous, et ne souhaite pas tenir compte des bilans de l’orthophoniste et de la psy scolaire ( trouble de l’attention, haut potentiel, arborescent, dys-calculie) la psy du RASED est débordée, le médecin sco injoignable et une maman démunie devant la souffrance de son fils. …alors, je ne l’amène pas ce matin….erreur ou pas de ma part !? les critiques sont faciles à posteriori mais personne ne propose ou n’aide…alors….je ne suis pas convaincu qu’entamer un parcours CMP soit la solution ! je ne sais plus en fait…..

    • Frédéric Arminot

      Bonjour,

      Comme pour Sandrine, pouvez-vous m’en dire plus?

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Sandrine,

      Pour vous orienter au mieux, pourriez-vous m’en dire plus sur votre problème. Quelles sen sont les symptômes? Ce que vous avez fait jusqu’à maintenant pour le résoudre. Etc.

    • Manzetti

      Bonjour je suis de l Isère pouvez vous me conseiller un coach comportementale svp
      Cordialement

    • Paziaco

      Bonjour pouvez vous me conseiller un coach comportemental en Lorraine? Merci

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