« La folie, c’est de recommencer les mêmes erreurs en attendant des résultats différents ». Cette citation concerne tout autant la façon de soigner l’angoisse que tout un tas de démarches actives pour retrouver autonomie et confiance en soi.

Le problème c’est d’arrêter de reproduire les mêmes solutions en espérant un changement. J’ai bien conscience qu’en commençant de la sorte, je me fais nombre d’ennemis, et prends le risque de faire l’objet de commentaires en conséquence.

A ce propos, n’oublions pas que l’angoisse est un symptômes de troubles anxieux et que, dès lors, se poser la question de comment vaincre le stress et l’angoisse est légitime.

Pour en revenir à cette phrase sur la folie, celle-ci résonne dans ma tête depuis des années quand il s’agit de soigner l’angoisse. Il en est de même pour traiter la crise d’angoisse. Pour quel motif ces mots ont-ils tant d’importance pour moi, à plus forte raison quand il s’agit de soigner l’angoisse, l’anxiété et encore bien d’autres maux ?

L’importance de cette phrase est liée à ce que j’ai appris au long de mes presque 30 années de pratique du coaching comportemental. Il existe plusieurs méthodes pour soigner l’angoisse, et traiter la crise d’angoisse. Je parle ici des plus habituelles.

En effet, la plupart de ces méthodes de traitement de l’angoisse pose problèmes.

Soigner l’angoisse: un problème dans le problème

Quels problèmes posent ces approches thérapeutiques ? C’est tellement simple quand c’est est désarmant. Le problème, c’est la répétition de démarches thérapeutiques ou de soins qui vous servent peu, voire pas. Ce que l’on appelle les tentatives de solutions. Elles vous coûtent cher à tous points de vue.

Le présent article a donc pour fonction de vous dire la vérité sur ce qui fonctionne ou pas quand il s’agit de soigner l’angoisse.

Alors, je sais que je l’ai déjà écrit, mais il en va de même en ce qui concerne la crise d’angoisse. Dés lors, je tiens à exprimer mon point de vue et à vous apporter des éléments d’appréciation.

C’est en fonction d’eux que vous ferez le meilleur choix pour vous et n’est-ce pas le plus important?


Soigner l'angoisse: une solution en moins de 3 mois.

Soigner l’angoisse par l’auto suggestion (méthode Coué)

On entend par méthode Coué, l’utilisation de l’auto suggestion et la pensée positive.

Pour faire simple, il s’agit de l’expression d’une auto conviction que les choses dont vous avez peur vont bien se passer. Imaginons que vous souffrez d’insomnies précédées de troubles de l’endormissement. Vous vous répétez alors à l’envi que vous dormirez sans peine, d’un sommeil profond et réparateur.

Pour pratiquer cette auto suggestion, vous pratiquez le « je » et êtes positif. Par exemple, vous dites: « Je vais dormir… » et non pas « Je ne ferais plus d’insomnies…« .

Pour soigner l’angoisse, cette méthode est souvent précédée, ou accompagnée, de démarches diverses comme l’ostéopathie, renoncer à ce qui ne peut pas être contrôlé – le fameux lâcher prise – la méditation, ou la respiration.

De fait, cette façon d’être à soi est supportée par tout en tas de pratiques annexes ou connexes, lesqelles tendent à favoriser l’auto conviction, et le bien être de la personne.

De façon très paradoxale, il s’agit de commander de façon positive à votre imagination. En l’espèce, la méthode Coué prône le lâcher prise tout en intervenant sur les commandes.

On passe du « je subis » à « je t’ordonne« .

Est-ce que cela fonctionne pour traiter la peur de mourir la nuit, je ne saurais le dire.



L’erreur à ne pas commettre

Il s’agit donc d’une méthode qui, pour soigner l’angoisse, vous invite à reprendre le contrôle de ce que vous avez perdu, et ce, alors que cette même méthode vous invite à laisser aller tout contrôle puisque celui que vous aviez de vos émotions jusqu’alors était vain.

Dans le cas contraire, vous ne souffririez plus d’angoisse.

Inviter une personne à soigner l’angoisse en reprenant le contrôle de ce qu’elle a perdu alors qu’elle est initialement dans le contrôle, ne risque t’il pas de générer l’inverse de ce qui est souhaité dans le cas où cette méthode n’a pas le résultat souhaité ?

Je fais partie de ceux qui pensent que lorsqu’il s’agit de bien être, toutes les méthodes pour soigner l’angoisse sont bonnes. Si je prends comme exemple d’avoir à gérer une angoisse matinale sans raison, le principal est que la personne qui souffre utilise tous les leviers possibles pour soigner l’angoisse et, ainsi, aller bien pour aller mieux.

Cependant, je doute de l’efficacité d’une telle méthode. In fine, elle est fondée sur une pratique de l’injonction – « je dois, je peux, etc ». – laquelle pratique nie la réalité du patient.

Dire le contraire de ce que l’on veut, voire ce que l’on exige de soi, n’est-il pas contraire au respect de la vision des choses du patient ? Un peu comme si je tombais, me faisais mal à un genou et que je tentais de me convaincre que ma douleur est fausse.

Bien sur que ma douleur va passer, bien que je ne sache ni comment, ni dans quel délai. Mais, ma réalité du moment, c’est que j’ai mal.

Un manque de discernement

Depuis plus de 20 ans que je pratique le coaching comportemental, un nombre important de gens m’ont consulté. Tous tentent de soigner angoisse et de stopper une crise d’angoisse avec l’aide d’un psychiatre et la prescription de médicaments.

Si la démarche de consulter un psychiatre pour soigner angoisse et crise d’angoisse se comprend, elle traduit – à mon sens – un manque de discernement ou d’informations chez la personne qui consulte.

Cette absence de discernement se justifie non par l’incurie du patient, lequel ne peut être incriminé quant aux contraintes thérapeutiques dont il fait l’objet, mais par le système lui même. D’une certaine façon, ce dernier cultive une certaine perversité dans ses modes de soins.

En effet, si j’en crois les personnes qui président à la gestion de cet appareil qu’est la Sécurité Sociale, le coût de la santé mentale est particulièrement conséquent.

Soigner l'angoisse : Un système de soins perverti.

Pendant des années, la sécurité sociale n’a remboursé que les consultations chez un médecin, spécialisé ou non. Le temps aidant, le tarif des consultations psy a augmenté et les prescriptions de médicaments se sont accrus en conséquence. Last but not least, le déficit de la sécurité sociale s’est creusé.

La plupart des citoyens français consultent d’abord un psychiatre pour traiter tous leurs problèmes émotionnels. C’est logique du fait de notre système qui rembourse les consultations.

Depuis toujours, notre système social et culturel désigne le psychiatre comme seul habilité à traiter ces pathologies, et c’est une erreur grossière. Exactement la même qui consiste à sur-armer les forces de l’ordre. Un tel comportement ouvre la porte à encore plus de violence (cf. quand l’hyper sécurité engendre l’insécurité).

L’approche psychiatrique

De façon pragmatique, le médecin généraliste a peu de temps à consacrer à chacun de ses patients. Dans un premier temps, professionnel médical prescrit des médicaments pour soigner l’angoisse et, dans un second temps, adresse son patient à un spécialiste, le médecin psychiatre.

Le psychiatre est un médecin qui a suivi plus de 10 ans d’études de médecine avec une spécialité : la psychiatrie.

En France, nous sommes dans un monde où il ne fait pas bon consulter un psychiatre : « Je ne suis pas fou » entend-on très souvent à ce propos.

Beaucoup de psychiatres interviennent en milieu hospitalier et la plupart ont aussi un cabinet privé. Dès lors, ils soignent angoisse et crise d’angoisse alors que ce n’est pas vraiment leur métier. Mais, comme le disait un humoriste, je cite :

« Y faut que tout l’monde y mange… ».

Les gens qui consultent en cabinet ne sont pas fous, du moins pas au sens où ils ont totalement perdu le sens des réalités psychosociales, ni que leurs comportements sont dangereux pour eux mêmes comme pour les autres. Cette dernière phrase est la définition même de la psychiatrie.

J’ai déjà dit, et écrit, que le premier réflexe de mes concitoyens pour soigner l’angoisse et traiter les crises d’angoisses, consiste à se rendre chez leur médecin traitant, voire chez un psychiatre. Or, un médecin psychiatre n’est pas nécessairement formé à soigner l’angoisse ni à réfléchir à comment traiter l’angoisse. Il traite de cas bien plus graves à propos desquels il est formé.

Le problème avec certains psychiatres

J’en veux pour preuve que, trés souvent, des médecins psychiatres expliquent à leurs patients qu’ils n’ont pas de raisons d’être angoissés, qu’ils n’ont qu’à se raisonner ! Ben voyons.

Alors, collez cette phrase sur votre frigidaire : « Un médecin psychiatre n’est pas un thérapeute! ».

Un psychiatre est avant tout un médecin. Tout ce qui relève de l’angoisse et de la crise d’angoisse n’est pas considéré comme une maladie psychiatrique au sens du DSM V (Recueil des maladies mentales psychiatriques). Je ne vois donc pas l’intérêt de consulter en psychiatrie pour soigner l’angoisse.

Quoiqu’en y réfléchissant, si, j’y vois une raison, mais une seule. Le remboursement des consultations.

Alors, je ne veux pas être cruel mais si vous envisagez de soigner l’angoisse uniquement sous l’angle du moindre coût, çà ne risque pas de marcher.

Le résultat sera à la hauteur de votre investissement.

Soigner l’angoisse: une évolution contextuelle des pathologies

Notre société évoluant, les phénomènes d’anxiété et d’angoisses liés aux changements socio économiques sont allés s’aggravant.

Pendant que notre belle société se modernise au détriment de sa population, des méthodes thérapeutiques novatrices voient le jour. Psychothérapie, médecine douce, thérapie comportementale, coaching comportemental, etc.

L’insigne avantage de ces nouveaux courants thérapeutiques est qu’il promet une intervention thérapeutique hors médicaments et, souvent, dans des délais de résolutions bien plus courts – et bien plus respectueux – que la psychiatrie

L’autre avantage réside dans le courant humaniste de ces nouvelles thérapeutiques. Effectivement, depuis longtemps, on reproche à la psychiatrie son manque d’humanité comme cette volonté renouvelée de normaliser et, pour certains, de juger et condamner.

Un système de prise en charge perverti

A ce propos, je n’ai que trop de souvenirs de patients se plaignant de psychiatres dans le jugement et dans la contrainte, en plus d’exprimer des jugements de valeurs parfois discriminants.

A contrario, ces nouveaux courants thérapeutiques sont souvent opposés à l’hospitalisation. Celle-ci laquelle est pratiquée à un point tel que beaucoup de gens assimilent le fait d’être angoissé et d’être hospitalisé à une présomption de folie. C’est dire tout le mal que la médecine psychiatrique et notre système socio-culturel font depuis des années.

Soigner l'angoisse dans un hôpital psychiatrique : est-ce adapté ?

Le clou de la perversion de notre système de soins mentaux est que, aujourd’hui, beaucoup de consultations de médecins spécialisés ne sont remboursées que pour partie, et ceci, alors que des approches thérapeutiques bien plus rapides et moins onéreuses ne le sont pas du tout.

Une logique de soins inadaptée

In fine, on se retrouve pour soigner angoisse et crise d’angoisse avec une médecine de soins psychiatriques inadaptée aux besoins actuels de notre société.

La psychiatrie a pour fonction de soigner les maladies mentales comme je l’explique, et non des troubles émotionnels qui ne représentent aucun danger social. Dès lors, la question se pose de savoir si, finalement, le système perdure dans son erreur considérant que changer est trop dangereux, tant socialement qu’économiquement et que, dès lors, il vaut mieux avoir tort à plusieurs que raison tout seul.

Maintenant que j’ai bien tapé sur la psychiatrie et les psychiatres (pas tous, mais certains auxquels je pense), qu’en est-il du comportement des personnes souffrant d’angoisse et de crise d’angoisse ?

Pour les raisons évoquées précédemment, le 1er réflexe des gens en souffrance consiste à aller consulter leur médecin traitant ce qui revient à s’arranger du problème comme ils peuvent jusqu’à en perdre le contrôle.

Des soins empiriques

Lorsque vous souhaitez soigner angoisse ou de crise d’angoisses, votre médecin traitant vous adresse à un psychiatre, de sa connaissance ou pas, de sorte à soigner angoisse et crise d’angoisse au mieux (çà, c’est l’objectif).

Ce ou cette psychiatre entend votre problème. Dès lors, il s’attelle à soigner angoisse et crise d’angoisse et, à cette fin, il vous demande d’en décrire les symptômes.

Sur la foi des symptômes exprimés, ce médecin spécialisé sait quels médicaments il convient de vous prescrire. A vous, la prescription d’anxiolytiques, d’anti dépresseurs, ou de somnifères, pour soigner angoisse et crise d’angoisse dont vous êtes victime.

En effet, ce médecin psychiatre a pour vocation, avec votre aide, d’identifier un ou des symptômes et, partant, de vous guérir, d’où l’utilisation de médicaments.

Par la suite, pour des raisons légales, une prescription excédant rarement 15 jours, vous consulterez de nouveau le psychiatre pour obtenir une nouvelle ordonnance.

Un(e) patient(e) déresponsabilisé(e)

Au psychiatre vous expliquez ce qu’il en est de l’évolution de vos symptômes d’angoisse ou de vos symptômes de crise d’angoisse.

Fort de ces informations, le médecin ajuste donc, ou pas, la prescription puis vous reprenez rendez-vous. A chaque consultation, vous expliquez pendant quelques minutes où vous en êtes, comment votre situation émotionnelle évolue. Dés lors, il y a fort à parier que, comme me l’ont expliqué la plupart de mes patients, vous en soyez au même point des années plus tard.

Vous êtes toujours entrain de soigner angoisse et crise d’angoisse des années après, celles là même à propos desquelles vous étiez venu consulter des années auparavant.

Enrichir le problème, et… le psychiatre

J’ai bien conscience que je me fais beaucoup d’ennemis dans la profession, mais il est important de comprendre qu’un médecin psychiatre a pour seule vocation de traiter les vertiges, symptômes d’anxiété, et de prescrire des médicaments en conséquence. Pas nécessairement de soigner angoisse et crise d’angoisse et, en tous cas pas comme vous le pensez.

Bien que le positionnement de beaucoup de psychiatre ait tendance à se modifier – de plus en plus d’entre eux m’adressent leurs patients -, beaucoup de médecins ont une attitude que je qualifie d’assez conservatrice à l’endroit de leurs patients. Combien de ces mêmes psychiatres « engueulent » leurs patients en leur assénant qu’ils n’ont pas de raisons objectives d’être victimes d’angoisses.

Pléthore de ces même psychiatres exigent de leurs patients qu’ils prennent de la distance et, ainsi, objectivent quant à leurs angoisses et leurs crises d’angoisses. J’ai même entendu des psychiatres me dire que leurs patients n’ont qu’à se comporter comme des adultes. Facile à dire, et difficile à faire quand il s’agit de soigner l’angoisse.

Rares, voire inexistants, sont ceux qui prescrivent des exercices thérapeutiques à leur patient pour soigner angoisse et crise d’angoisse. En plus du fait que, la plupart du temps, la vision des choses de ce même patient n’est pas prise en compte.

Une prise en charge normative

En effet, si un patient a une façon inhabituelle de « voir le monde », il risque de se faire recadrer sur un ton peu engageant. Ce qui obère sa façon de soigner angoisse et crise d’angoisse.

En consultant un psychiatre, celui-ci a pour vocation de maintenir une prise de médicaments qui vous permet de ne pas être confronté(e) à votre problème. C’est un moyen établi pour soigner angoisse et crise d’angoisse.

Or, vous n’êtes pas malade ! Prendre des médicaments pour soigner angoisse et crise d’angoisse ainsi que leurs symptômes ne va pas éliminer le problème.

Il suffit de vous retirer vos médicaments pour que votre problème revienne en force. De fait, la prise en charge se veut normative. Elle ne cherche pas à vous faire bénéficier d’un réel changement. Dès lors, restez dans le cadre et circulez, y a rien à voir !

Dernier problème, les médicaments génèrent une accoutumance, une dépendance, ce qui est le second problème dont je vous parle maintenant.

Un pansement sur une jambe de bois

Dès lors, les médicaments pour soigner l’angoisse se justifient de façon ponctuelle. En aucun cas, comme traitement au long cours et encore moins si, dans le mêle temps, aucun travail thérapeutique d’aucune sorte n’est envisagé.

Pour étayer mes propos, toutes les personnes qui utilisent mon programme thérapeutique pour soigner l’angoisse consomment force anxiolytiques et anti dépresseurs des années durant, sans résultats ce qui justifie qu’ile en viennent à recourir au programme en ligne que j’ai conçu.

Les médicaments sont donc une béquille qui ne sait se passer d’un vrai soutien. D’un vrai travail thérapeutique. Dans le cas contraire, c’est comme un pansement sur une jambe de bois.

Imaginer utiliser les médicaments pour soigner l’angoisse, ou utiliser les médicaments pour traiter une crise d’angoisse devient dès lors, une utopie médicale. Une manipulation sociale et thérapeutique, surtout si cela n’est pas accompagné d’un travail thérapeutique sérieux.

En l’absence de suivi thérapeutique, vos en êtes quitte pour utiliser diverses molécules et devenir une sorte de cobaye médical. J’en sais quelque chose, moi qui ai « bouffé » des médicaments pendants plus de 20 ans, avec de trés faibles résultats, alors que j’ai soigné l’angoisse, traiter les crises d’angoisses, et soigner l’anxiété dont j’étais victime en moins de 8 semaines grâce à l’approche systémique de Palo Alto, une approche brève et stratégique orientée solutions..

Psychiatre pour soigner l'angoisse

Les traitements médicamenteux

Soigner l’angoisse avec les médicaments, c’est la réponse bien compréhensible de la plupart des médecins et, à plus forte raison, des psychiatres. Mais c’est la plus mauvaise des réponses tout en étant la seule que ces professionnels de la santé sachent exprimer.

La plupart du temps, pour soigner l’angoisse avec des médicaments, « on » vous prescrit dans anxiolytiques ou des anti dépresseurs. Si l’anxiolytique se comprend, de façon spontanée en cas de besoin (crise d’angoisse), la prescription des anti dépresseurs me semble totalement inappropriée. C’est mon expérience de thérapeute comportemental depuis plus de 25 ans que j’exerce.

En effet, les angoisses génèrent des symptômes de dépression mais pas nécessairement une dépression.

D’aucuns professionnels de santé jugent que la recapture de sérotonine est nécessaire pour soigner l’angoisse. Je comprends ce postulat médical mais si j’en juge par ce que la plupart de mes patients me disent, mis à art devenir accro aux médicaments, je ne vois pas l’utilité des médicaments pour soigner l’angoisse, ou traiter la crise d’angoisse, si ce n’est d’alimenter l’industrie pharmaceutique et nos postulats culturels.

Quels problèmes posent les traitements par médicaments ?

Prendre un médicament n’est jamais un geste anodin à plus forte raison quand il s’agit de ne plus souffrir de symptômes psychiques. Ces médicaments agissent directement sur le cerveau, laissent traces et ont des conséquences.

Que ce soit un anxiolytique, un anti dépresseur, un somnifère, voire un neuroleptique, il faut un minimum de 3 semaines à 2 mois pour que la molécule ait un effet stabilisant.

Cela signifie que si vous en prenez « en cas de besoin », donc de façon ponctuelle, cela agit pour une durée très limitée. Mais cela bouleverse votre physiologie ce qui n’est pas le but recherché quand il s’agit de soigner angoisse et crise d’angoisse.

Dans le cadre d’une prescription, il convient donc de soigner angoisse et crise d’angoisse à l’aide de ces médicaments et ce, pendant une durée de 6 à 12 mois minimum.

Si, par la suite, vous souhaitez vous désengager de cette chimie, il faut vous en entretenir avec votre médecin traitant et envisager, de façon progressive et contrôlée, un sevrage médicamenteux.

Le sevrage médicamenteux : attention, danger !

Surtout, n’arrêtez jamais de prendre ce type de médicaments du jour au lendemain. Dans le cas contraire, vous avez toutes les chances d’être de nouveau confronté(e) à votre problème, mais, cette fois-ci de façon plus violente encore. Partant, il vous faut, de nouveau, investir un médecin pour soigner angoisse et crise d’angoisse.

Quand j’écris que ces molécules laissent des traces, cela signifie qu’un médicament laisse des résidus de ses composants dans le cerveau. Ces résidus sont installés pour une durée d’environ 4 jours. C’est ce que l’on appelle la demie vie produit. Plus il y a un usage récurrent du ou des médicaments, plus les résidus sont importants et, partant, plus la nécessité d’un sevrage très circonstancié est nécessaire.

En bref, ce à quoi j’essaye de vous sensibiliser, c’est que prendre des médicaments vous enlève toute autonomie. Vous ne pouvez pas envisager de fonctionner, d’exister, de vivre sans ces médicaments.

Vous avez déjà toutes les peines du monde à soigner angoisse et crise d’angoisse, alors ne vaut-il pas mieux éviter d’avoir aussi à soigner angoisse et crise d’angoisse générée par un sevrage médicamenteux trop rapide ?

Et en matière d’estime de soi, ou de confiance en soi comme, par extension, en matière de développement personnel, c’est quand même pas génial.

Les médicaments sont-ils un pis aller ?

A ce stade, le choix vous appartient. Il est bien compréhensible que, de façon ponctuelle, vous preniez un « truc » pour soigner angoisse et crise d’angoisse. Mais, si vous prenez ce « truc » à chaque fois que vous souffrez, vous ne résolvez aucunement votre problème.

Par ailleurs, à force de prendre de ces médicaments, vous risquez une accoutumance laquelle sera d’autant plus importante qu’à un certain moment, la dose que vous prenez depuis le départ deviendra insuffisante. Il vous faudra donc consommer plus de molécules, voire associer la première avec d’autres, et ainsi de suite.

La psychanalyse

J’aime beaucoup la psychanalyse.

Grâce à elle, j’ai identifié et compris la source de mes angoisses comme de mon anxiété. Pendant des années, j’ai suivi ce qu’il est convenu d’appeler une « cure psychanalytique ». J’ai beaucoup souffert pendant toutes ces années, souffert de ce travail ingrat, comme souffert de mes angoisses et de mon anxiété qui se nourrissaient alors de l’ingratitude de ce travail.

J’avais 2 consultations par semaine chez le psychanalyste. Au fil des années, plus le temps a passé, moins j’avais l’impression de soigner l’angoisse ni de traiter les crise d’angoisse dont je souffrais.

C’est mon expérience, et vous n’êtes pas obligé(e) de la partager. Alors, je vous déconseille fortement d’utiliser la psychanalyse pour soigner l’angoisse ou, pour être plus précis et plus objectif, je vous suggère la psychanalyse pour soigner l’angoisse en 2ème intention, une fois que vous ne serez plus angoissé et que vous aurez besoin d’investir votre histoire de vie pour mieux comprendre ce qu’il s’est passé pour vous.

Soigner l'angoisse : La psychologie clinique pour traiter l'angoisse

Cela signifie soigner l’angoisse avec la psychanalyse après avoir utilisé une approche thérapeutique rapide, simple et efficace comme la thérapie comportementale. Mais avant d’en parler, je tiens à vous apporter quelques précisions au sujet de la psychothérapie pour soigner l’angoisse.

La psychothérapie

Dans ce vocable qu’est le mot « psychothérapie », il y a à boire et à manger en matière de traitement de l’angoisse. Seul votre libre arbitre vous aide à cheminer dans ce labyrinthe. Celui là même que sont les multiples approches thérapeutiques pour vous débarrasser de l’angoisse ou pour ne plus avoir de crise d’angoisse.

La psychothérapie, n’en déplaise à Monsieur Accoyer, est constituée d’une multitude d’approches. Elles vont du calcul de la vitesse du vent dans les barreaux de votre chaise, ou chamanisme, en passant par des approches scientifiques – mais pas toujours sérieuses – validées par des études diverses.

Longtemps, la psychothérapie a été considérée comme une sorte de sous-psychologie. En effet, l’exercice de la psychothérapie n’est réglementée que depuis peu. Ainsi, un médecin, comme un artisan, pouvait se prétendre psychothérapeute, alors que ni l’un ni l’autre n’avait reçu de formation sérieuse en matière de psychothérapie.

Relaxation et méditation

Depuis des années, il existe un grand rush sur la méditation et/ou la relaxation pour traiter l’anxiété par l’auto-hypnose, gérer le stress voire les crises d’angoisses.

Dans la même veine, il existe bien des applications web présentées comme des remèdes miracle pour calmer l’angoisse.

En ma qualité de thérapeute comportemental, je reconnais bien volontiers que si cela apaise les crises, je n’ai que trop entendu des témoignages de patients qui ont reproduit relaxation et méditation à l’excès pour contrôler une crise d’angoisse, sans succès.

Toujours en termes de témoignages, d’autres patients ont partagé leur soulagement à pratiquer méditation et relaxation pour apaiser une crise d’angoisse tout en précisant que celle-ci revient toujours.

En bref, si cela les détend, le problème de fond n’est pas résolu. Doit-on cependant évoquer un remède miracle pour calmer une crise d’angoisse, je ne suis pas convaincu.

En effet, un remède miracle pour contrôler une crise d’angoisse sous tend 2 éléments.

Le premier, au sens lexical du mot remède, cela évoque donc la médication. Or, nous avons vu que les médicaments s’ils apaisent une crise d’angoisse, ne résolvent rien.

Le mot miracle entend qu’il y a une sorte de magie, de prodige même, qui résout dès lors un problème sans même que l’on ait eu à s’en occuper.

Un peu comme si on nous proposait une solution miracle pour changer les façons de faire et de dire des politiques lesquels se vautrent de plus en plus dans ce qu’il est convenu des éléments de langage.

Dans tous les cas on nous fait prendre des vessies pour des lanternes. Pour être clair, cela relève de la manipulation. J’évoque d’ailleurs ce sujet dans le paragraphe suivant.

Soigner l’angoisse : alternatives à la psychiatrie et aux médicaments

Bien sur qu’il existe d’autres solutions que des approches classiques pour soigner l’angoisse.

Souvenez-vous : au sens psychiatrique du terme, vous n’êtes pas malade quand vous avez à soigner l’angoisse. Vous souffrez, d’accord, mais vous ne relevez pas des maladies mentales au sens du DSM V (répertoire médico psychiatrique des maladies mentales).

Pour soigner angoisse et crise d’angoisse, consulter qui un psychiatre, qui un psychologue ou un psychanalyste repose sur votre choix. Or, comme je l’écris dans une autre article : « Choisir, c’est renoncer ».

Cela signifie que si une approche X ou Y pour soigner l’angoisse ne fonctionne pas, vous en avez d’autres. Mais alors, vous perdez beaucoup de temps et d’argent.

Alors, je vous propose autre chose, je vous offre une alternative.

Il y a une pratique qui donne des résultats extra ordinaires pour soigner angoisse. C’est l’approche comportementale dont le taux de réussite est supérieur à 95 %.

25 ans d’expérience

J’utilise cette approche startégique et brève orientée solutions dans mon activité de coaching comportemental depuis presque 30 ans.

Dans un article à paraître, je vous explique tous les avantages que vous avez à utiliser les programmes pour soigner angoisse et crise d’angoisse en 2 minutes (voir lien à la fin de cet article) que j’ai créé.

Vous pourrez ainsi constater combien c’est déconcertant de facilité, et comment vous n’aurez plus peur d’avoir peur ni, à titre de d’exemple, ne souffrirez d’angoisse de mort avant de dormir (ce ne sont que des exemples parmi d’autres).

Très simplement, ce que je vous offre, c’est grâce à des méthodes comportementales simples que j’utilise avec succès, c’est de ne plus vous préoccuper de savoir comment soigner l’angoisse.

L’approche comportementale

D’aucuns pensent que je ne vais pas scier la branche sur laquelle je suis assis. Je les comprends et ne cherche pas à vous vendre mes salades thérapeutiques.

Ici, je me contente de partager mon expérience avec vous. Charge vous incombe de prendre acte, ou pas, de cette expérience pour soigner l’angoisse.

La thérapie comportementale ne cherche pas à savoir pourquoi vous souffrez d’angoisse. Elle ne cherche pas non plus à savoir si vos parents sont la source de votre anxiété, ou si un traumatisme infantile inconscient explique vos troubles émotionnels.

La thérapie comportementale pour soigner l’angoisse, c’est une suite logique et thérapeutique d’exercices. Dès lors, il s’agit là de vous aider à agir de sorte à vous redonner confiance en vous et autonomie, sans médicaments, de façon naturelle.

Tout au long de votre parcours thérapeutique, vous êtes accompagné(e) de façon personnalisée. Vous bénéficiez de toutes les explications pédagogiques dont vous avez besoin pour traiter l’angoisse, et soigner les crises d’angoisses dont vous êtes victime.

Soigner l’angoisse de façon pragmatique

Le coaching comportemental pour soigner l’angoisse, c’est 40 % de symptômes d’angoisse en moins en 8 à 10 jours, puis une diminution de 60 % des symptômes de crise d’angoisses en moins de 3 semaines. Enfin, une élimination totale et définitive de l’angoisse en moins de 6 à 8 semaines.

C’est simple, rapide et particulièrement efficace.

En coaching comportemental, il n’est pas exigé de vous de réfléchir au « pourquoi du comment ». Papa, maman, etc.. Vous ne vous arrachez pas les cheveux à essayer de comprendre, et ne vous retrouvez pas seul(e) face à votre angoisse.

Avec l’approche comportementale pour soigner l’angoisse, vous êtes accompagné(e) pour agir vite, de façon efficace et durable.

Soigner l’angoisse est simple et rapide

L, a thérapie comportementale vous permet de développer plusieurs techniques de de résolutions. Par conséquent, ces techniques stratégiques apaisent votre anxiété, et vous n’avez plus à avoir peur de l’échec.

Rapidement, vous identifiez le mécanisme de vos angoisses et, par la suite, vous développez des ressources pour les éliminer totalement, ressources que vous possédez déjà mais que vous ne savez pas utiliser.

Une telle méthode vous intéresse t’elle?

Dans l’affirmative, je vous invite à cliquer sur l’image en-dessous de cet article. Vous accéderez ainsi à la présentation en vidéo du protocole thérapeutique pour soigner l’angoisse., ce qui vous permet de bénéficier d’un traitement de l’angoisse adapté à votre situation.

Je vous y explique comment lutter contre le stress et l’angoisse sachant que cela vaut aussi pour n’importe quel type de phobie, lesquelles sont des symptômes de troubles anxieux, ou pour traiter une phobie spécifique comme la phobie d’impulsion. De plus en plus de gens y ont recours et tirent profit de la simplicité d’une telle méthode thérapeutique.

Attention cependant : ce programme n’est pas fait pour toute le monde. Il vous faut travailler un minimum.

Alors, si vous envisagez de faire du tourisme thérapeutique ou de suivre cette thérapie en ligne sans bosser un minimum, mieux vaut laissez tomber. Ce que vous poursuivez est une chimère.

C’est comme exiger un salaire sans travailler (n’est pas ambassadeur des pôles qui veut… N’est-ce pas Madame Royal. Oups !

Du coup, je vous le confirme : soigner l’angoisse demande de vous investir. Alors, si vous êtes prêt à effectuer ce travail, je vous invite à cliquer sur le lien ci-après:

Je ne vous remercierai jamais assez pour vos marques d’intérêt et de confiance. N’hésitez pas à me laisser votre commentaire juste en-dessous de cet article.


La + efficace des solutions commence ici.


    18 replies to "Comment soigner l’angoisse et s’en débarrasser ?"

    • Bonjour,

      Malheureusement, la TCC ne vous aidera pas à enlever vos angoisses.

      Cependant, la thérapie comportementale issue de l’approche systémique de Palo Alto est une thérapie stratégique et brève qui donne 16 résultats sur 17 en moins de 6 mois.

      Si cela vous intéresse, je vous invite à visiter le lien ci-après :

      « Comment éliminer définitivement l’angoisse et retrouver la sérénité ? »

      N’hésitez pas à me solliciter si vous avez des questions.

    • Stavroulak

      Bonjour monsieur, j’ai un suivi TCC depuis janvier 2022 cela m’a fait progresser sur l’agoraphobie, en revanche sur mon anxiété et angoisses pas de réel changement, ma thérapeute est partie à la recherche de mon passé , j’ai compris des choses, mais mon problème n’est pas solutionner

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Monique,

      Analyser votre angoisse est surement trés intéressant. Cependant, je ne pense pas que cela vous apporte une solution et, ce faisant, vous permette de retrouver la sérénité que vous méritez.

      Parfois, un travail simple mais bien structuré permet d’abonder en ce sens. C’est à dire d’éliminer l’angoisse de façon rapide et pérenne.

      Si cela vous intéresse, je vous invite à regarder cette vidéo: « Comment éliminer définitivement l’angoisse et retrouver la sérénité ? »

      N’hésitez pas à me solliciter si vous avez des questions.

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Monique,

      Je ne crois pas avoir écris que la psychologie clinique ne sert à rien, ou à pas grand chose. Mais je comprends que vous interprétiez mes propos comme tels (je vais encore me faire des ennemis).

      Loin de moi l’idée de critiquer ou de mettre en cause les propos de ma consœur psychologue. Je n’ai pas assisté à vos entretiens et, par conséquent, ne connais pas le contexte. Sans doute aura t’elle voulu bien faire.

      Je comprends alors que vous fassiez une relation de cause à effet entre ses propos, votre décision, et le suicide de votre fils (sans oublier le comportement affectif, ou l’absence de comportement affectif, de son père). Je ne suis pas convaincu que ce soit aussi simple que cela. Pour autant, votre vision des choses à ce propos est compréhensible, et je la respecte.

      Quoiqu’il en soit, dans le parcours qui est le votre, je vous trouve courageuse et déterminée.

      Je vous invite à continuer à prendre soin de vous, et reste à votre écoute en cas de besoin.

    • Monique

      Rebonjour,

      Je voudrais vous faire part de mon expérience face à une psychologue.

      En 1999, après deux licenciemensts à un an d’intervalle et un déménagement avec mes deux enfants, j’ai craqué.
      Mon médecin traitant m’a envoyé vers cette psychologue a qui j’ai pu me confier, en revenant sur mon enfance bien sûr.
      Cela me faisait du bien mais au bout du compte, elle m’a dit à propos du père de mon fils qui lui aussi souffrait d’angoisse et je le comprends,
      Le mieux serait que son père le prenne avec lui.
      Et c’est ce que j’ai entrepris.
      Pendant douze ans, j’ai été suivie par cette psychologue et ensuite par un psychiatre .

      Et mon fils s’est suicidé chez son père !

      Aujourd’hui, je prends conscience que si la méthode thérapeutique m’a aidé à m en sortir,
      Elle a condamné mon fils.

      Ma psy ne m’a jamais posé de questions sur lui, comment allait il avec une mère dépressive, un enfant de douze ans, sans père pour le protéger lui et sa mère. Comment allait il vivre la séparation d’avec sa mère, quelles seraient ses conditions de vie dans la région parisienne avec un père., contrôleur de travaux dans le BTP qui travaillait non stop et collectionnait les conquêtes féminines. Un homme dur et froid que j’avais quitté pour ces mêmes raisons.

      Pourquoi n’a t elle pas pris en charge l’enfant de sa patiente ?

      Je ne rejette pas la responsabilité sur cette femme qui n’a fait que son travail, mais je regrette de ne pas avoir compris que j’étais dans un piège et qu’au lieu d attendre qu’on m’indique le chemin à prendre, j’aurais dû écouté mon instinct de mère et arrêter cette psychologie qui ne mène à rien.

      Aujourd’hui, je suis seule et face à moi même, je reprends le contrôle de ma vie et de mon esprit que les médocs avalent troublé.

      Vous parlez de la psychologie comme quelque chose qui sert peu, voire à rien, moi je dis qu’elle peut être pire que le mal.

      Cordialement
      Monique

    • Monique

      Bonjour Monsieur,

      Je débute votre article que je vais lire très attentivement mais je peux vous dire déjà que j’y trouve la confirmation et le bien fondé de ma méthode de guérison depuis septembre 2019, date à laquelle j’ai arrêté mes visites chez mon psychiatre et les médocs qui vont avec.

      En 2012, j’ai perdu mon fils d’un suicide et au lieu de faire mon deuil, j’ai été « engloutie » par le système de santé mentale, droguée que j’étais par les médocs.

      Et en prime, des douleurs dentaires inexpliquées du moins par la médecine traditionnelle dont je souffre depuis 9 ans. Seule, je cherche des solutions. Et ces solutions m’ont amenées à comprendre ces douleurs, qui me viennent tout droit de mes émotions que la médecine psy a voulu « bâillonner »

      Tous les matins, depuis le 21 janvier 2021, je tiens un journal et je constate en l’analysant que plus mon angoisse est grande, plus mes douleurs sont fortes.

      Alors, les médocs que je prenais, c’est sûr, ne soignaient pas mon angoisse puisque justement elles sont apparues avec le traitement médicamenteux.

      Voilà, où j’en suis et il me reste encore beaucoup de travail sur moi même pour éradiquer, sans doute pas complétement, ces angoisses qui m’accompagnent depuis avant même le décès de mon fils.

      J’ai 65 ans et j’ai décidé de vivre ma vieillesse en paix et ça passe par l’écoute de mes émotions et leur compréhension.

      Merci à vous pour cet article très intéressant.

      Monique

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Laurène,

      La réponse à votre question quant à savoir si le Programme ARtUS peut vous aider à éliminer votre problème de déréalisation associée à des crises d’angoisses est… « Oui! »

      En effet, la déréalisation, tout comme la dépersonnalisation, est la façon – fort désagréable – qu’a votre cerveau de vous protéger de réalités extérieures trés anxiogènes qu’il pense que vous n’êtes pas en mesure d’appréhender et de gérer. Un peu comme s’il y avait un « écran de fumée » entre la réalité et vous.

      Il n’existe aucun moyen direct (médicament ou autre) pour traiter les troubles de la déréalisation et/ou de dépersonnalisation. Le seul moyen d’éliminer ce problème est de thérapeutiquement travailler sur l’angoisse et l’anxiété dont la déréalisation est un symptôme.

      Dès lors, à la faveur de la diminution de vos symptômes d’angoisse et d’anxiété, la déréalisation diminuera puis disparaitra dans les mêmes proportions que l’angoisse et l’anxiété.

    • Laurene

      Bonjour je souffre de derealisation avec crise d’angoisses est ce que votre programme peu m’aider ?

    • Frédéric Arminot

      Bonsoir Estelle,

      Je vous suis reconnaissant de votre bienveillance à mon égard. Je ne vous cache pas en avoir éprouvé un certain plaisir (au sens de la satisfaction).

      Pour répondre à votre question, vous pouvez tout à fait résoudre votre problème d’angoisses nocturnes. Je vais vous expliquer comment à la faveur du mail que je vais vous adresser trés prochainement.

      Après lecture de ce mail, n’hésitez pas à me solliciter si vous avez des questions. Je vous souhaite un agréable WE.

    • Estelle

      Bonjour Mr Arminot,
      Merci beaucoup pour votre article éclairé de spécialiste, de l’aide que vous voulez apporter aux gens qui ont les mêmes difficultés que vous avez eu.
      J’ai moi même essayé toutes les méthodes (Coué, Psychiatres etc…) sans aucun résultat sur l’angoisse qui s’exprime la nuit et qui m’empêche de dormir depuis 7 ans.
      Actuellement la douleur à la poitrine me reveille plusieurs fois par nuits et m’empêche souvent de me rendormir lorsque l’autohypnose ou méditation n’y fait rien.
      Seulement lorsque je me reveille je ne sais jamais quels rêves ou pensées créent ces angoisses, je n’ai pas accès à mon inconscient! Et je n’ai aucun signe d’angoisse en journée.
      Comment alors faire disparaître ces angoisses nocturnes inconnues? Dans ces conditions, puis-je voir un comportementaliste pour m’en débarasser??
      Merci d’avance pour votre réponse

    • Frédéric Arminot

      Pauvre Dr No. Qu’est-ce que vous faites là, à lire un tel article, puisque vous n’êtes – prétendument – pas concerné? D’ailleurs, si j’en crois ce que vous écrivez, votre vie, si désuète, semble dénuée de sens. Soignez vous bien.

    • No

      A vous lire, je constate que vous êtes tous vraiment malade !
      Pourquoi vous torturez tant l’esprit ?
      La vie est simple. Point.
      On mange, on dort, on meurt. Point.
      Tout le reste n’est qu’illusion et masturbation mentale.
      Dr No

    • Frédéric Arminot

      Chère Marie, chère Docteur,

      Je comprends que vous ayez été émue, pour ne pas écrire phagocytée, par ce que vous avez lu et les conclusions que vous en avez tiré. Dans le même temps, je suis ravi que votre température spirituelle ait retrouvé un équilibre qui vous satisfasse.

      Je trouve que nous sommes dans 2 mondes. Celui de la science pure et dure (le vôtre). Et celui du comportement (le mien). Voire sur un 3è monde. En effet, pour faire suite à vos considérations – fort respectables – j’écris et publie sur un blog. Et ceci, bien qu’il ait une vocation professionnelle. Au surplus, ce blog porte mon nom.

      Dès lors, blog et profession se mélangent car je suis un être humain qui, tout comme vous, exprime et partage ses émotions. Et, dès lors, ses impressions. Je ne me cache pas derrière le pouce de mes activités. Je suis celui qui les supporte et les revendique.

      Pour autant, je comprends que vous considériez qu’en termes déontologiques il soit convenu de faire acte du politiquement correct. Cependant, je n’ai que trop entendu des médecins et des psys de toute obédience, dans l’intimité de leur cabinet, dire pis que pendre sur tel(le) ou tel(le) confrère ou consœur tout en servant aux intéressé(e)s du « mon cher confrère » ou « ma chère consœur » quand ils se parlent ou s’écrivent.

      Comme dirait mon épouse, « …de ma fenêtre… », dont l’angle peut s’avérer étroit, je trouve cette attitude foncièrement malhonnête. Mais, je le reconnais, politiquement correcte. Puisqu’il semble acquis que c’est plus fin, suis-je grossier?

      Dans ce langage et ce mode relationnel qui ne sont pas miens, et plus spécifiquement dans cet article qui vous aura tant fait réagir, je réitère mon propos. Je n’ai fait qu’exprimer mon point de vue. Il est celui de mon expérience professionnelle. Aussi le fruit de mon vécu personnel.

      Moi qui, comme j’aime à le dire et à l’écrire, ait écumé tous les cabinets de psy (psychiatre, psychanalyste, psychologue, psychothérapeute) des années durant du fait de mes problèmes de comportements passés (addictions, angoisse, anxiété, etc.), je n’ai que trop compris que si leurs compétences pour comprendre pouvaient m’être utiles, elles ne constituaient pas une solution à mes problèmes. Il s’agit là de toute la différence entre le pourquoi et le comment.

      Je ne remets nullement en cause les compétences des uns et des autres (bien que certains praticiens soient forts dangereux pour leurs patients). A ce sujet, je me souviens de l’un de mes pairs qui nous avait engagé, nous, ses étudiants, à faire, je cite:  » …le moins de mal possible… « . Je partage mon expérience et conçois que la position que j’adopte, claire et franche, voire effilée, puisse déplaire ou blesser (même si ce n’est pas mon intention).

      Mon travail et mon positionnement n’ont pas vocation à séduire. L’un comme l’autre ont pour fonction de résoudre ce qu’une personne vit comme un problème. Ce en quoi j’œuvre avec ma personnalité. Du coup, j’appelle un chat un chat. Les médecins ne sont pas des gros minets, et je n’ai aucune envie d’être la petite souris que d’aucuns cherchent à occire. Je ne vais donc pas satisfaire à cet adage qui veut que mieux vaut avoir tort à plusieurs que raison tout seul.

      En conséquence, je prends la place que j’ai le désir de prendre. J’affirme et revendique. Je comprends alors que certains toussent quand je passe le balai plutôt que l’aspirateur.

      La médecine et le comportementaliste que je suis ne sont pas dans le même rôle. J’irais jusqu’à écrire que nous ne jouons pas dans la même cour. Pourtant, « dieu » sait que j’aimerais que nous unissions nos forces au bénéfice des patients. Que nous, soignants, fassions fi de nos égos respectifs. Que nous cessions de confondre pouvoir et autorité.

      J’aspire donc à une fédération confraternelle de moyens et d’actions. Pas à une lutte culturelle de points de vue. Pas seul, chacun arc-bouté sur son territoire, mais ensemble.

      A ce propos, je garde une phrase en mémoire. Celle récemment exprimée par le président d’un pays membre de la CEE à un autre sujet – fort conflictuel -: « …nous n’y sommes pas… ». Mais j’y pense. Ne dit-on pas que c’est au prix de conflits que les choses évoluent?

      Je vous souhaite de prendre soin de vous et de passer un agréable WE.

      P.S: pour la petite histoire, mes enfants sont médecins

    • Marie

      Cher Monsieur Arminot,

      Je suis bien désolée si mes propos vous ont paru violent (et il est clair, en relisant mon commentaire, qu’il est fort démosntratif, probablement car écrit à chaud).
      Je ne vous contredirai pas concernant les éventuels résonnances dans mon présent/mon passé inconscient (qui suis-je pur m’auto-analyser?). Je suis tombée sur votre article en cherchant une façon d’aider un des mes patients face à ses propres angoisses réactionnelles (Je suis médecin généraliste). Je cherchais un article plus scientifique, pour être honnête. J’ai voulu quitter votre article, puisqu’il ne répondait pas à ce que je recherchais, mais j’avais déjà trop lu et avait été happée par le côté dénigrant, que ce soit des psychologues et des psychiatres.
      Malgré le retour à la normal de ma température spirituelle, je persiste à dire qu’entre soignants (diplômés ou non par les filières conventionnelles), il convient de ne pas dénigrer le travail de l’un ou de l’autre. Et de ce fait, votre article me dérange. S’il avait été sur un blog personnel, même d’un soignant, j’aurais passé mon chemin en me disant que chacun avait, de fait, son opinion. Cependant, votre site apparaît très « professionnel » et il m’est avis que vous ne déversez pas ici les états d’âmes de votre journal intime. Je campe donc sur mes positions à ce sujet : ce genre d’article n’a pas de place sur un site pro (mais bien sur un blog personnel). C’est un peu comme si je mettais, sur ma page professionnelle : Les spécialistes et les urgences font vraiment un travail inutile. Ils n’ont pas les outils nécessaire pour vous soigner. Mais moi, médecin de famille, je les ai. Je vous remettrai sur pied en une consultation de 15 minutes.
      Bref. Je suis désolée pour la virulence de mon premier commentaire, écrit probablement trop à chaud, mais je ne reviendrai que sur la forme, par sur le fond de mes propos.

      Je vous souhaite un excellent weekend à venir.

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Marie,

      Je trouve assez intéressant cette façon péremptoire et persiflante que vous avez de me donner des ordres quant à mes façons de considérer la « chose thérapeutique ». L’article dont vous contestez le contenu, lequel j’ai rédigé, n’a pas vocation à vous plaire. Il exprime un point de vue, le mien, que, bien évidemment, rien ne ni personne ne saurait vous contraindre à apprécier.

      Quand j’étais lycéen, un professeur de français, dont je contestais un point de vue social et politique de façon assez rigide et subjective, m’a opposé que parler des autres, c’est parler de soi.

      Dans votre commentaire, vous n’avez de cesse de m’asséner des jugements de valeurs qui laisseraient penser que vous êtes la seule à détenir la vérité. Ainsi, vous parlez de graves entorses au Code de déontologie. Vous évoquez mon ignorance. Que j’assène des vérités qui n’en sont pas. Pour finir par conclure qu’un psychiatre vous a aidé en 1 mois à ne plus être angoissée. Qu’en conséquence, je raconte n’importe quoi à des fins partisanes. A vos yeux, il semble que je sois scélérat. En bref, je trouve votre commentaire particulièrement violent. Faut-il donc que j’ai appuyé sur des « trucs » qui vous dérangent?

      Marie, je trouve votre comportement analogue à celui de cet homme qui se pense légitime alors qu’il n’a été élu que par 16% de d’une population, avec toutes les conséquences psychosociales que l’on connait depuis presque 2 ans. Il n’y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. Ou pire réformateur qu’un individu rétrograde.

      Qu’est-ce qui est le plus important? Que vous ayez raison et moi tort? Ou l’inverse? Que mon point de vue vous ait dérangé au point que vous écriviez ce brûlot pour vous protéger? Parce-que, in fine, on n’est jamais dérangé que par ce qui nous ramène à nous même.

      A ce propos, je m’interroge quant au fait que vous ayez lu un tel article alors que vous écrivez ne plus être angoissée. C’est pour votre culture personnelle? Vous envisagez de devenir thérapeute? Vous souffrez de nouveau d’angoisses?

      P.S: bravo au psychiatre qui vous a aidé. Il a fait du bon boulot, et sans doute fûtes-vous une patiente faisante. Mon meilleur souvenir à la Ville d’Anvers, et à la Belgique en général.

    • Marie

      Beaucoup de scepticisme par rapport à cet article… Je pense que vous dénigrez les psychiatres pour votre propre intérêt. Et si vous respectiez le code de déontologie médicale et paramédicale, vous sauriez qu’il s’agit là d’une grave entorse… Penser que le psychiatre n’est pas spécialisé dans la prise en charge des angoisses… et penser qu’il y a toujours un travail (que vous dénigrez également!) fait sur le passé du patient… C’est prouver votre ignorance dans le domaine. Il conviendrait de parler de ce dont on connait, au lieu d’asséner des vérités moyennement bien pensées, qui n’en sont pas.
      Un psychiatre m’a aidé dans la gestion de mes angoisses. Elles ont disparu en 1 mois et je suis complètement guérie.

      Je me désole de lire des articles de ce type… Vraiment.

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Ali,

      Vous comprendrez qu’il est impossible de vous prescrire des médicaments sans que vous ayez consulté. Pour résoudre votre problème de façon efficace et durable, je vous invite à cliquer sur ce lien: « Comment soigner l’angoisse chronique »

      N’hésitez pas à me solliciter si vous avez des questions.

    • benseddik ali

      bonjour
      Chér monsieur je souffre d’une peur d’angoisse chronique qui n’a cessé de s’aggraver
      je vous demande monsieur de bien vouloir m’aider avec des médicaments efficaces car je souffre
      énormément je suis en attente de votre réponse.
      MERCI DE VOTRE BONNE COMPREHENSION .

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