La phobie d’impulsion, ou peur de faire du mal aux autres ou de se faire du mal, repose sur un schéma simple et désarmant.
Cette peur du passage à l’acte apparait après que vous ayez maintes fois tenté de contrôler angoisses et anxiété, sans succès. Alors, vous vous en voulez, vous vous comparez aux autres, et vous vous dévalorisez.
Autant de comportements qui aggravent le manque de confiance en soi et explique cette impression permanente de se sentir mal.
Un jour, contre toute attente, une pensée intrusive vous traverse : vous avez la soudaine idée de faire du mal à l’un de vos proches ou à vous même.
Dès lors, pris(e) de panique, vous avez peur de passer à l’acte et faites tout pour que cela n’arrive pas. Vous êtes alors victime d’un trouble obsessionnel puisque vous ne pensez plus qu’à çà.
A compter de ce moment, vous essayez de contrôler toute éventualité de passage à l’acte et, dans le même temps, êtes victime d’un toc.
Mais, plus vous essayez de contrôler votre phobie, plus vous enrichissez la peur de passer à l’acte ce qui justifie une peur irrationnelle de perdre le contrôle au même titre que la phobie de vomir.
Dès lors, ce type de phobie revêt un caractère de obsessionnel ce qui explique que ce type de phobie soit classée parmi les troubles obsessionnels compulsifs.
En effet, si passer à l’acte n’était pas un problème, ces personnes n’auraient pas peur, trouveraient leur comportement légitime, et ne s’inquièteraient pas sans cesse.
Dès lors, vous n’avez de cesse de vous poser la question de savoir comment soigner une phobie de ce type.
Y a t’il un médicament qui soigne ce trouble obsessionnel ?
Depuis plus de 30 ans que je consulte, la plupart des personnes victimes de phobie obsessionnelle a consulté tous les médecins et spécialistes possible : psychiatre, psychologue, psychothérapeute, et j’en passe.
Dans la plupart des cas, la réponse a été double : suivi thérapeutique et médicaments. Je parle là de prescriptions d’antidépresseurs et d’anxiolytiques.
Si ces prescriptions se comprennent de la part du corps médical, elles sont, la plupart du temps, totalement inadaptées.
En effet, quand un médecin identifie la bonne molécule pour traiter un symptôme d’angoisse, ou un symptôme d’anxiété, cela ne fait que contenir le dit symptôme donc, cela ne résout pas le problème.
Il en va de même en ce qui concerne les traitements médicamenteux. Comme ce sont des médicaments qui ont pour fonction de faire disparaitre les symptômes d’anxiété traitent la surface du et les symptômes de dépression, ils ne sont que de peu voire d’aucune efficacité pour traiter la phobie d’impulsion.
Pour mémoire, je vous rappelle que prendre des médicaments sans effectuer un travail thérapeutique est dénué d’intérêt et de sens. C’est d’ailleurs comme cela que des gens se voient prescrire ce type de médicament depuis des années sans que leur état émotionnel n’ait évolué.
Moi j’écris çà, j’écris rien.
Comment vaincre une phobie d’impulsion rapidement ?
Nous avons vu que les médicaments ne sont pas la panacée pour traiter ce trouble obsessionnel puisqu’ils traitent l’anxiété mais pas le symptôme, en plus de vous imposer leurs divers effets secondaires et un problème de dépendance même si le corps médical s’en défend.
La psychologie clinique ou la psychanalyse vont vous prendre des années. Avec le temps, ces deux approches thérapeutiques vous aideront – sous réserves – à comprendre le lien qui pourrait exister entre votre histoire de vie et les phobies d’impulsions mais cette éventualité est hypothétique.
L’hypnose de type ericksonnienne est une démarche thérapeutique intéressante mais tout le monde n’est pas suggestible et l’expérience me montre que c’est loin de fonctionner dans le traitement de la phobie d’impulsion. Ce n’est pas moi qui assène cette réalité, je ne fais que m’appuyer sur ce que mes patients m’ont rapporté.
Nous avons aussi vu et compris que tenter de se rassurer et, partant, de rationaliser, n’était pas une méthode appropriée pour guérir un tel symptôme d’anxiété puisque cela accroit les manifestations et enrichit les troubles obsessionnels.
Reste l’approche systémique de Palo Alto. En effet, cette approche stratégique brève et orientée solution est de plus en plus préconisée entre autres par la sécurité sociale puisqu’elle offre 16 cas résolus su 17 en moins de 3 mois.
Dans le cadre de ce mode thérapeutique, le ou la patient(e) n’est jamais exposé(e) à son problème et il n’est jamais demandé aux personnes intéressées de se confronter à l’objet de leur phobie.
La thérapie comportementale repose sur un protocole qui se résume en 4 phases :
- Contextualisation : Pour le patient, il s’agit d’utiliser des outils d’analyse mécaniques trés simples qui lui permettent d’avoir une vison trés objective de son problème et de son mécanisme interne. L’exploitation des données issues de cette analyse permet au patient, avec l’aide du thérapeute, de concevoir une stratégie d’intervention et, ainsi, de mettre en place une solution progressive.
- Stratégie d’intervention et exercices thérapeutiques : Le ou la patient(e) expérimente divers exercices sous l’autorité du thérapeute. Ces exercices s’appuient sur la stratégie initialement envisagée au terme de la période de contextualisation. Il est important de préciser que ces tâches thérapeutiques ne passent jamais par des exercices d’exposition.
- Évaluation : Régulièrement, une évaluation thérapeutique est mise en place de sorte à s’assurer des bénéfices de la stratégie thérapeutique d’une part, et des exercices thérapeutiques d’autre part. Si besoin, le thérapeute comportemental initie des recadrages thérapeutiques qui ont pour fonction de permettre au patient de rester focalisé sur son travail thérapeutique et de maintenir une dynamique de résolution.
- Consolidation : Une fois que les solutions ont été mises en places et qu’elles ont été éprouvées dans le temps, le thérapeute et le patient conviennent d’une stratégie de consolidation qui permet de s’assurer, une fois cette pensée obsessive neutralisée, que celle-ci ne cède pas la place à un autre symptôme et que, partant, la solution s’inscrit dans la durée.
Causes et origines de la phobie d’impulsion
Bien qu’on en parle de plus en plus, cette phobie est encore mal connue quoique trés répandue. Cependant, son classement parmi les toc est relativement récent et ne fait pas encore parfaitement consensus.
La science n’a donc pas encore définitivement tranché la question des origines d’une telle phobie. Certaines études poussent à considérer les différentes comorbidités très souvent observées.
Dans beaucoup de cas, la peur panique de perdre le contrôle vient justement d’un désir inhabituel de contrôle. Beaucoup de patients ont vécu un événement traumatisant ou se trouvent dans une situation difficile où ils subissent l’autorité et le désir des autres. ce qui, à titre d’exemple dans un autre registre, justifie la phobie du travail.
Ils souhaitent donc inconsciemment reprendre le contrôle de leur vie et ont très peur de le perdre à nouveau. Ce qu’ils craignent également, c’est de laisser libre cours à toutes les émotions violentes qui les traversent.

Les phobies d’impulsions concernent environ 3% de la population, et se caractérisent, avant tout, par ce qu’il est convenu d’appeler des pensées intrusives.
Dès lors, ces phobies sont caractérisées par une peur intense et persistante de faire du mal aux autres tout en ayant aucune une intention réelle de le faire.
Il est donc important de comprendre pourquoi on a ces phobies. Grâce aux éléments ci-après, vous pourrez mieux comprendre ce qui les motive sachant que ces dernières sont référencées au titre des phobies les plus fréquentes.
Des prédispositions génétiques
Un certain nombre de recherches ont apporté la preuve que certains publics présentent une prédisposition génétique à développer des troubles anxieux et, par conséquent, ce symptôme d’anxiété que constitue cette peur de commettre des actes violents et irréversibles.
Ainsi, des facteurs héréditaires influencent la réactivité du cerveau face à des stimuli anxieux et un jouent un rôle dans le déclenchement de ces peurs irrationnelles.
Des expériences traumatisantes
Des événements passés ayant constitué un choc psychologique jouent un rôle dans l’apparition de ce type de phobie.
Par exemple, des situations de violence intrafamiliales créent une association entre la peur et le fait de faire du mal à autrui.
En matière d’expérience traumatisante, vous pouvez aussi vous être senti(e) humilié(e) pendant que vous preniez la parole en public et, partant, en concevoir une glossophobie aggravée par une peur de commettre l’irréparable.
Pensez à vous à quelques minutes de prendre la parole en public alors que vous êtes fortement stressé(e) et que vous avez peur de jeter le pupitre sur lequel vous allez vous appuyez parce que vous êtes convaincu(e) que votre présentation sera nulle et que vous serez débordé(e) par vos émotions (j’en parle parce-qu’un patient me l’avait raconté).
Un conditionnement social
Notre environnement social et culturel influence la façon dont vous concevons nos pensées et nos actions.
Des normes et des attentes sociales sont susceptibles de renforcer la peur de causer du tort à un(e) personne proche, ce qui en amplifie les conséquences imaginaires, le plus souvent fortement négatives.
Dans un autre registre, c’est exactement comme si vous aviez toutes les difficultés du monde à répondre à cette question : « phobie du dentiste que faire ? »
L’anxiété généralisée
Les personnes souffrant d’anxiété du fait d’une histoire de vie personnelle « lourde » sont susceptibles de développer des phobies d’impulsion.
Ainsi, l’anxiété chronique entraîne une hypersensibilité aux pensées négatives et un manque de contrôle sur les ruminations mentales, ce qui alimentent les phobies dont nous parlons lesquelles sont susceptibles d’être aggravées par des crise d’angoisses nocturnes.
Dès lors, les uns nourrissent les autres.
Les pensées intrusives
La phobie d’impulsion, également connue sous le nom de trouble obsessionnel-compulsif (toc), affecte de nombreuses personnes – environ 3 % – entre 25 et 50 ans.
Elle se caractérise par des pensées intrusives et récurrentes qui provoque une grande anxiété et un sentiment de peur intense. Ces pensées souvent est de nature violente, ce qui peut être extrêmement perturbant pour ceux qui en sont affectés au point d’être responsables d’angoisse la nuit.
Ces pensées intrusives ne pas pas le reflet de qui sommes nous en réalité. Elles ne représente pas nos véritables désirs ou intentions.
Au contraire, ces pensées sont le résultat d’un dysfonctionnement du cerveau et, par conséquent, de désordres psychologiques et chimiques.
Ainsi, un certain nombre d’éléments contribuent à l’apparition de ces pensées intrusives, notamment :
- Les pensées intrusives s’expriment – parfois – à cause de désordres chimiques liés à des neurotransmetteurs comme la sérotonine.
- Des événements traumatisants comme des abus physiques sexuels créent des pensées intrusives. En effet, ces expériences traumatisantes laissent des cicatrices émotionnelles profondes et influencent la façon dont nous nous percevons et dont nous « vivons » les autres.
- Le stress chronique et l’anxiété excessive sont responsables des symptômes de cette peur obsessive et des pensées intrusives. Les situations stressantes de la vie quotidienne créent un terrain favorable à l’apparition de ces pensées obsessionnelles.
Il est important de noter que les pensées intrusives sont multi factorielles et s’expriment aussi chez des personnes qui ne souffrent pas de phobie d’impulsion. Pour autant, ces pensées envahissantes provoquent une grande détresse émotionnelle.
Il est essentiel de comprendre que les pensées intrusives ne sont pas dangereuses et ne sont que le produit de divers symptômes de troubles anxieux.
Un doute constant
Dans la mesure où vous lisez cet article, c’est qu’il est probable que vous souffriez de phobie d’impulsion, et que vous soyez envahi(e) par des pensées négatives et leurs conséquences.
Vous vous inquiétez constamment du faire du mal à vos proches et votre esprit imagine les scénarios les plus sombres et, sans doute, vous demandez-vous pourquoi vous pensez toujours au pire.
Vous trouverez ci-après quelques explications non exhaustives qui vous expliquent pourquoi vous -même ou d’autres personnes souffrez de ce problème :
- Les personnes atteintes de cette phobie sont constamment en alerte et en recherche de signaux de danger. Cette hyperactivité de l’esprit peut être liée à une combinaison d’éléments génétiques, de l’environnement et d’expériences de vie. L’esprit – le cerveau – est constamment en mode survie, à anticiper les situations dangereuses et leurs conséquences négatives. Cela vous pousse à imaginer les pires scénarios possibles, dans le but de vous protéger vous et vos proches.
- Cette peur constante de passer à l’acte est responsable d’une incertitude permanente. Alors, vous exercez un contrôle absolu sur vos pensées et vos actions, de peur de passer de la pensée au geste sous l’effet d’une pulsion. Ce doute constant, cette peur de l’incertitude vous pousse à imaginer toutes les conséquences possibles d’un passage à l’acte de sorte à l’éviter et, ainsi, prévenir toute situation dangereuse. Mais ces focalisations sur le pire scénario renforce l’anxiété et les pensées intrusives.
- Les personnes victimes d’une telle phobie ressentent souvent un biais de négativité. Cela signifie qu’elles sont en permanence à l’affût d’événements négatifs ou menaçants par opposition aux événements positifs. Par réflexe – biais de négativité -, l’esprit est naturellement attiré par les dangers potentiels et leurs conséquences néfastes, ce favorise le fait de penser au pire.
- L’anxiété anticipatoire est aussi un des aspects clé de cette phobie. Vous anticipez les situations anxiogènes ce qui favorise une réponse anxieuse. Cette anticipation permanente aggrave votre anxiété et le cycle de pensées obsessionnelles.
- Ces mêmes pensées et la peur du passage à l’acte sont responsables d’une sorte de cercle vicieux, celui du pire. Plus vous essayez de supprimer ces pensées, plus vous aggravez leurs forces et leur intensité. En conséquence, lutter contre ces pensées renforce leur persistance. La peur de faire du mal aux autres vous pousse à lutter contre vos pensées intrusives, mais cette résistance ne fait qu’amplifier votre anxiété. C’est un cycle difficile à vivre. Il est important de comprendre que ces pensées ne traduisent nullement vos intentions réelles. Soit écrit en passant, la thérapie comportementale est votre meilleur atout pour définitivement traiter les phobies d’impulsion.
Phobie d’impulsion : une solution efficace et durable
La phobie d’impulsion s’inscrit dans une réalité psychique poignante, incarnant la crainte irrationnelle de succomber à un geste impulsif, réfractaire aux valeurs profondes de l’individu, menaçant de ravager son existence ou celle d’autrui.
Elle peut avoir des racines biologiques, génétiques, psychologiques, afférentes à l’environnement familial ou social, et porte le potentiel de bouleverser l’équilibre de vie personnelle, professionnelle et sociale de celui ou celle qui se trouve dans ses griffes.
La phobie d’impulsion se traduit par des pensées envahissantes, une anxiété profonde, des rituels compulsifs et par un comportement d’évitement manifeste.
Le traitement de ce trouble, pourtant, n’est pas hors de portée ; une thérapie ciblée et adaptée comme l’approche systémique de Palo Alto peut atténuer, voire effacer les symptômes, en reformulant les pensées, en pacifiant les émotions et en modifiant le comportement du patient.
Si vous ressentez les symptômes de la phobie d’impulsion, ou si vous côtoyez quelqu’un dans cet état, prenez l’initiative de solliciter l’aide d’un professionnel de santé mentale.
Il pourra vous offrir un diagnostic éclairé, un traitement personnalisé ainsi qu’un suivi méticuleux. Sachez que vous n’êtes pas seul, que des solutions existent pour vous défaire de cette peur de passer à l’acte, pour recouvrer la paix et la liberté.
Face à ces phobies d’impulsion, l’approche comportementale systémique issue du modèle de Palo Alto, offre une solution très satisfaisante.
Cette thérapie brève orientée solutions se concentre sur la compréhension et la modification des interactions et des schémas comportementaux qui maintiennent les pensées intrusives et, partant, la peur de faire du mal aux autres ou de se faire du mal à soi.
Plutôt que de se focaliser uniquement sur les pensées elles-mêmes, cette approche analyse les contextes relationnels et les réactions qui les entourent d’une part et, grâce à une stratégie éprouvée, permet de rapidement lâcher prise quant à sa peur de passer à l’acte.
Témoignages de résolution
De nombreux témoignages soulignent l’efficacité de l’approche comportementale.
Par exemple, une patiente, après plusieurs séances, a pu identifier les situations déclenchantes et les comportements qui alimentaient ses phobies.
Grâce à des techniques spécifiques, elle a appris à réduire l’impact de ses pensées intrusives et à retrouver une vie plus sereine.
Un autre témoignage relate comment un patient, par le biais de l’approche comportementale systémique, a non seulement réussi à neutraliser ses pensées d’impulsion, mais a également amélioré ses relations interpersonnelles en modifiant ses schémas de communication.
Phobie d’impulsion : le témoignage de Marie
Marie a 34 ans. Elle a commencé à souffrir de phobies d’impulsion il y a environ cinq ans. Ses pensées intrusives tournaient autour de sa peur de blesser ses proches. Cette situation l’a énormément angoissée et perturbée.
Après avoir essayé différentes approches sans succès, Marie s’est tournée vers l’approche comportementale systémique du modèle de Palo Alto. Elle a suivi un programme de thérapie sur 4 mois avec un thérapeute spécialisé dans cette méthode (votre serviteur).
Marie témoigne :
« Au début, j’avais du mal à croire que cette méthode fonctionnerait pour moi, car rien d’autre n’avait marché auparavant. Mais dès les premières séances, j’ai commencé à comprendre comment mes interactions et mes réactions contribuaient à maintenir mes pensées intrusives.
Frédéric m’a aidée à identifier les schémas comportementaux négatifs et à les modifier. Par exemple, j’ai appris à ne pas éviter certaines situations et à exploiter mes pensées anxieuses pour contrôler ma phobie.
En deux mois, j’ai vu une amélioration significative. Mes phobies d’impulsion ont disparu et j’ai retrouvé une vie plus sereine. Aujourd’hui, je peux dire que je suis libérée de ces pensées qui me paralysaient.«
Phobie d’impulsion : le témoignage de Thomas
Thomas a 45 ans et souffre de phobie d’impulsion depuis son adolescence. Ses pensées intrusives se manifestaient souvent par la peur de crier des obscénités en public ou de commettre des actes inappropriés. Ces pensées l’ont empêché de vivre sereinement et ont affecté sa carrière professionnelle.
Thomas a découvert l’approche comportementale systémique lors d’une conférence sur la santé mentale. Il a décidé de tenter cette méthode après avoir échoué avec d’autres formes de thérapie, et a commencé un programme intensif de trois mois.
Thomas partage son expérience :
« J’ai toujours eu peur que mes pensées intrusives deviennent réalité, ce qui m’a conduit à éviter de nombreuses situations sociales et professionnelles. La thérapie systémique m’a apporté une nouvelle perspective. J’ai appris que mes réactions face à ces pensées étaient ce qui les amplifiait.
Grâce à une stratégie particulièrement efficace, Frédéric Arminot m’a aidé à neutraliser mes pensées de façon naturelle. Après trois mois de thérapie, j’ai remarqué une réduction drastique de mes phobies d’impulsion.
J’ai repris le contrôle de mes pensées et cette approche a véritablement changé mon existence. Je recommande vivement la thérapie comportementale à toute personne confrontée à des phobies d’impulsion.«
Phobie d’impulsion : réponses aux questions fréquentes
La phobie d’impulsion, bien qu’elle est terrifiante par certains aspects, est un phénomène courant chez les personnes anxieuses ou perfectionnistes.
Avec une thérapie adaptée de type comportementale (approche brève orientée solutions/Pal Alto) et, parfois, un traitement médicamenteux, il est tout à fait possible de la neutraliser définitivement comme précédemment expliqué.
Pour l’heure, je vais réponse aux questions les plus fréquemment posées au sujet de la peur de passer à l’acte, de ce toc d’impulsion.
1. Comment reconnaître une phobie d’impulsion ?
La phobie d’impulsion se caractérise par une peur intense et irrationnelle de perdre le contrôle et de commettre un acte grave ou dangereux (blesser quelqu’un, se faire du mal, etc.).
Les personnes concernées ressentent des pensées intrusives violentes ou immorales qu’elles trouvent effrayantes. Ces pensées s’accompagnent souvent des symptômes ci-après :
- Angoisse extrême.
- Ruminations.
- Évitement des situations où elles pourraient « agir » leurs peurs.
Cependant, il est important de noter que les personnes qui souffrent de phobie d’impulsion ne passent jamais à l’acte. En effet, leurs pensées vont à l’encontre de leurs valeurs profondes.
2. Comment stopper la phobie d’impulsion ?
Pour diminuer la phobie d’impulsion:, il faut agir de la façon suivante :
- Suivre une thérapie comportementale systémique et stratégique (Palo Alto approche brève orientée solutions). Elle donne d’excellents résultats en 2 mois environ.
- Accepter ses pensées : reconnaitre qu’elles ne sont que des pensées, pas des intentions d’agir.
- Utiliser des techniques de relaxation : respiration profonde, méditation, cohérence cardiaque.
- Éviter l’évitement : plus on fuit pire c’est. Rappelons nous de la métaphore du fantôme. Plus on veut lui échapper, plus il fait de bruit et nous poursuit.
3. Pourquoi souffre-je de phobie d’impulsion ?
La phobie d’impulsion peut avoir plusieurs causes :
- TOC (Trouble Obsessionnel Compulsif) : forme spécifique de TOC liée à des obsessions intrusives.
- Personnalité perfectionniste : les personnes très scrupuleuses ou sensibles au bien et au mal sont plus vulnérables aux phobies d’impulsions.
- Traumatismes ou stress prolongé : ils augmentent l’anxiété et la sensibilité aux pensées intrusives.
- Dysfonctionnements neurologiques : un déséquilibre de la sérotonine peut favoriser l’apparition des TOC et des phobies.
4. Quel antidépresseur pour phobie d’impulsion ?
Les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) sont souvent prescrits pour traiter les TOC, y compris la phobie d’impulsion.
En voici quelques exemples :
- Sertraline.
- Fluoxétine.
- Paroxétine.
Ces médicaments agissent en réduisant l’intensité des pensées intrusives et en apaisant l’anxiété associée. Ils sont exclusivement prescrits par un médecin traitant ou un psychiatre.
5. Comment s’appelle la peur de faire du mal ?
La peur de faire du mal, intentionnellement ou non, est une forme de phobie d’impulsion, parfois appelée TOC de type « impulsif ».
6. Pourquoi ai-je peur de faire du mal aux autres ?
La peur de faire du mal aux autres est souvent causée par les éléments suivants :
- TOC impulsif : les pensées intrusives font imaginer des scénarios terrifiants.
- Hypersensibilité morale : les personnes très soucieuses de ne pas nuire aux autres peuvent sur interpréter leurs pensées.
- Stress ou culpabilité : une anxiété élevée amplifie la crainte de causer involontairement du tort à autrui.
7. Comment calmer une crise de phobie d’impulsion ?
Pour calmer une crise de phobie d’impulsion, voici comment il faut agir :
- Respirer profondément : inspirer pendant 4 secondes, retenir sa respiration 4 secondes, et expirer lentement.
- Mise à distance des pensées : il faut toujours conserver à l’esprit que nos pensées ne définissent pas qui nous sommes.
- Ancrage : se concentrer sur ses sens (ex. : toucher un objet froid, décrire son environnement).
- Exercices de pleine conscience : observer ses pensées sans jugement, comme si elles passaient devant nous.
8. Pourquoi ai-je peur de blesser les gens ?
La peur de blesser les autres découle souvent d’une interprétation excessive des pensées intrusives. Cette hypersensibilité peut être renforcée par :
- Un stress élevé ou une personnalité perfectionniste.
- Des expériences passées où l’on s’est senti responsable de torts infligés à une tierce personne (réels ou imaginés).
Ces pensées sont fréquentes chez les personnes bienveillantes et ne reflètent pas une intention réelle.
9. Comment se débarrasser de la phobie d’impulsion ?
Vous trouverez ci-après quelques points d’appuis pour vous débarrasser de la phobie d’impulsion :
- Suivre une thérapie comportementale : travailler sur la gestion des pensées et des réactions émotionnelles.
- Approche d’acceptation : les pensées intrusives sont normales et n’impliquent pas de danger.
- Rééducation cognitive : apprendre à déjouer puis à neutraliser les schémas mentaux négatifs.
- Médication : les ISRS peuvent être utiles pour réduire les obsessions si elles sont invalidantes.
Une prise en charge régulière avec un professionnel de santé est essentielle.
10. Qu’est-ce que le TOC impulsif ?
Le TOC impulsif est une forme de trouble obsessionnel compulsif où la personne est hantée par des pensées intrusives, souvent violentes ou immorales.
Ces pensées provoquent une forte anxiété, mais elles vont à l’encontre des valeurs de la personne. Les compulsions associées sont responsables de multiples vérifications ou de rituels mentaux pour « contrôler » les pensées.
11. Comment savoir si on souffre de phobie d’impulsion ?
Les signes principaux de la phobie d’impulsion sont les suivants :
- Pensées intrusives violentes ou immorales, ressenties comme étrangères ou inappropriées.
- Angoisse intense et peur de passer à l’acte, bien que cela soit contraire à sa volonté.
- Évitement des situations ou des objets associés à ces pensées (couteaux, foules, etc.).
- Ruminations et recherche constante de réassurance.
12. Pourquoi souffre-je de phobie d’impulsion ?
La phobie d’impulsion est liée à des facteurs comme :
- Une hyper activité cognitive : tendance à analyser ou à amplifier des pensées normales.
- Des stress ou des traumatismes : ceux-ci peuvent déclencher des obsessions.
- Des prédispositions génétiques : une histoire familiale empreinte de TOC ou d’anxiété augmente les risques.
- Une sensibilité morale élevée : les personnes très attentives à leurs valeurs morales sont plus vulnérables.
Ressources
- « La peur de soi » – Site web du gouvernement du Québec.
- « Les phobies d’impulsion ou le coup de folie » – UPEC – Antoine Pelissolo, Professeur de psychiatrie.
Bonjour Mimo,
Vous et moi, comme d’autres, pouvons polémiquer sur les questions de désir et, partant, de pulsions.
In fine, les personnes victimes de phobie d’impulsion ont une peur terrible du passage à l’acte qu’elles redoutent et contrôlent. Tout en sachant que si passer du désir à son accomplissement n’était pas un problème, les personnes concernées n’en souffriraient pas.
Donc, il semble que nous soyons d’accord.
Ainsi, je trouve votre commentaire fort intéressant. Cependant, de façon délibérée, je n’en n’écrirais pas plus. A chacun de lire et comprendre ce qu’il (elle) souhaite.
Portez vous bien!
La phobie d’impulsion est un TOC idéatif, il n’y a aucun désir et aucun risque de passage à l’acte. Il repose justement sur le doute que ressent la personne qui en souffre. La phobie d’impulsion était très méconnue jusqu’à récemment tant des psychiatres que des psychologues et autres thérapeutes.
Si je comprends bien, selon vous, une personne ayant une peur obsessionnelle de faire du mal à ses enfants par exemple aurait au fond le désir de leur faire du mal mais ne le ferait pas car les conséquences seraient trop lourdes. De même, une personne craignant le suicide aurait envie de mourir et ne le ferait pas pour les mêmes raisons. Si on pousse le raisonnement plus loin, dans une société avec un référentiel de valeurs différent ces TOC n’existeraient pas et les personnes passeraient à l’acte ? Il me semble au contraire que le TOC va à l’encontre de ce que la personne est en son for intérieur et que c’est justement pour ça que l’hameçon mental fonctionne si bien.
En réalité, l’objectif de votre article est peut-être de pousser les malades de ce TOC à accepter qu’ils n’auront jamais la réponse à leur question et qu’ils doivent accepter de vivre avec le doute, puisqu’il s’agit en réalité du seul moyen de se libérer du TOC.
Dembele,
Je ne comprends pas sur quoi vous vous fondez pour considérer que mon approche est psychanalytique. Et ce d’autant moins que, je vous le rappelle, je suis comportementaliste.
Je pense, ou considère à tout le moins, avoir écrit ce que me semblait important quant à la phobie d’impulsion. Si rationaliser aide les personnes en difficultés, qu’elles continuent. Sans moi.
Pour la je ne sais quantième fois, je rappelle que je travaille suivant l’approche comportementale systémique de Palo Alto. Pas la TCC. Cette dernière approche est une façon on ne peut plus rationnelle d’appréhender un problème.
Ne pas faire ce distinguo, c’est un peu de comme de mélanger – amalgamer – les serviettes et les torchons… Je vais encore me faire détester 🙂
Bonjour,
Vous et moi avons les moyens de polémiquer sur les sujets afférents à la phobie d’impulsion. Vous avez votre vision des choses. En qualité de thérapeute la mienne est d’ordre professionnel ce qui ne la rend pas meilleure que la vôtre.
Vous abordez ces questions et les comprenez comme il vous plait, et vous correspond. Je n’ai aucune envie de polémiquer.
c’est une manière indirecte de dire que la phobie d’impulsion est un désir refoule . Vous en avez une approche très psychanalytique. Or la psychanalyse n’est pas adaptée au traitement de ce type de phobie, elle peut vraiment causer des dégâts. A mon avis bcp de personnes qui en souffrent on dû se sentir très mal à la suite de la lecture de votre article . En tcc les psychiatres et psychologues disent qu’il n’y a aucun désir dans cette phobie ( mais de la peur obsessionnelle liée à un gros manque de confiance donc une mauvaise vision de soi, et une hypersensibilité) et apprennent aux patients a se détacher de leurs pensées.
Re bonjour monsieur arminot
J’ai surement du mal m’exprimer . En fait je suis d’accord avec vous , la peur d’avoir un désir pour son enfant , ce n’est pas être pédophile , ca relève de la phobie d’impulsion dans ce cas . Mais éprouvez un désir pour un enfant et en avoir peur c’est être pédophile . Je pense que c’est pour cette raison que les gens contestent votre article . Ce que je vous reproche c’est la contradiction de vos propos d’un article a un autre : dans le cas d’amina vous parlez de peur d’avoir le désir et vous dîtes qu’amina n’éprouve aucun désir . Et là dans cet article , vous dîtes qu’il y a un désir réfréné par la peur dans la phobie d’impulsion. C’est pour cela que je vous ai répondu que dans ce cas Amina était pédophile si on se fie à cet article .
Bonjour Dembele,
Tout comme vous l’exprimez à mon endroit, je respecte votre vision des choses en ce qui concerne la phobie d’impulsion et, de façon plus précise, la peur d’être pédophile.
Je ne vous rejoins cependant pas sur ce raccourci que vous faites entre avoir peur d’avoir du désir pour l’un de ses enfants et, partant, être pédophile.
Je suis convaincu que sur la foi de ce que vous écrivez, vous et moi pourrions polémiquer des heures durant sur le sujet. Ce serait une perte d’énergie en plus de ne rien changer au problème de fond.
Par exemple, la peur d’être pédophile et, de fait, d’avoir peur de sexuellement faire du mal à ses enfants, est-elle plus grave que celle d’avoir peur de planter l’un de ses proches avec un couteau (ce qui repose aussi sur une pensée obsessionnelle)?
La réalité c’est que, quel que soit « l’objet » de la phobie d’impulsion, les personnes qui en sont victimes souffrent et qu’il y a une solution.
Point 🙂
Bonsoir monsieur arminot.
Je respecte votre point de vue , mais comprenez que ça peut être difficile pour les personnes qui souffrent de phobie d’impulsion. Si on se réfère au cas d’amina, vous dîtes qu’elle n’a pas vraiment le désir d’agresser ses enfants , mais qu’elle exprime la peur d’avoir ce désir. Donc si je me fie à vos propros actuels, Amina est pédophile . Puisque le simple fait d’éprouver un désir pour un enfant ( sans même passer a l’acte ) , c’est être pédophile ( il faut pas confondre pédophile et pedosexuel). Donc je pense que vous faites erreur quand vous dîtes qu’il y a un désir dans la phobie d’impulsion. Il y a une peur extrême , tellement extrême que la personne cherche a se contrôler , et c’est l’effort qu’elle fourni pour se contrôler qui lui donne l’impression qu’elle va passer a l’acte. Et a partir de ce moment elle se pose la question de son désir . La phobie d’impulsion est un vrai cercle vicieux .
Anonyme,
Je vous ai répondu par mail. Depuis, je n’ai pas de nouvelles.
Bonjour Anonyme,
Vous m’avez adressé plusieurs mails auxquels j’ai répondu. Depuis, pas de nouvelles.
Bonjour Anonyme,
Je comprends que vous ayez besoin d’être rassuré mais… c’est inutile, et cela ne vous aidera pas. Je vais vous rassurer à 15H, et vous me le redemanderez à 15H05.
Je vous ai adressé un e-mail pour vous expliquer quoi et comment faire pour retrouver confiance. Il semble que vous ayez fait le choix de ne pas en tenir compte. Dont acte.
Bonjour Anonyme,
Les phobies d’impulsions ne peuvent pas partir comme elles sont venues.
Il faut les traiter comme des symptômes d’angoisse et d’anxiété majeurs. C’est la raison pour laquelle j’ai créé un programme thérapeutique particulièrement efficace. Il vous garantit 95% de résultats en 2 mois.
Quant à transformer le dégoût en désir, s’il s’agit de phobies d’impulsions, je ne pense pas que cela soit possible. En effet, si vous aviez du désir pour ce qui vous inquiète tant, vous ne vivriez pas cela comme un problème. Et vous ne m’auriez pas posé la question.
Si vous souhaitez changer cela, et retrouver la paix, je vous invite à cliquer sur ce lien: « Je Souhaite Regarder La Vidéo De Présentation Du Programme Thérapeutique »
Bonjour MR,je veux vous poser des questions sur les « pulsions » car cela me taraude l’esprit et j’ai peur que les phobies soient des pulsions,déjà est ce que lors d’une pulsion nous avons des sensations physiques désagréables (bras,jambes,tremblement) d’un côté lorsque j’ai une crise je ne veux pas le faire j’ai envie de tout casser je ne veux pas le faire ! J’ai envie de pleurer lorsque j’y pense,et je ne veux pas le faire,j’ai peur de perdre la personne.J’ai aussi peur d’être prise d’une pulsion irrépressible j’ai aussi peur que ces sensations restent jusqu’à la fin de mes jours,j’ai peur de passer à l’acte,je ne veux pas faire du mal à cette personne ! Combien de temps dure une pulsion ?Dure t-elle 44 jours ? Pourtant hors crise d’angoisse cela me dégoûte,lorsque je visualise la scène je ne ressens pas de plaisir,j’ai aussi peur de ressentir du désir pour mes pensées,et que sous pulsion je fais le geste.D’un autre côté j’ai l’impression que c’est une envie irrépressible (pourtant que je veux bien enlever dans un coin de ma tête,et oublier,voire même carrément l’enlever)puis d’un autre j’ai peur de faire du mal à la personne je pleure dès que j’écoute une chanson sur le sujet,je me visualise la chose sans cesse.J’aime tellement cette personne,elle est tout pour moi.Si c’est une pulsion j’aurais quand même le désir hors pulsion ? Est ce que mon dégoût pour le sujet de la phobie risque t-il de changer ? Peur d’être prise d’une poussée,si un jour je suis vraiment prise d’une pulsion je pense que j’arrêterais ma vie,cette personne compte pour moi,j’ai peur de sombrer comme dans les films où ils sont pris de pulsions comme ça alors qu’il n’en avaient pas,je suis dans l’impasse.J’ai l’impression de la contrôler ce qui me stresse encore plus et me fais croire que je suis dangereuse,pourtant j’ai les sensations physiques et la « pulsion » mais je ne sais pas pourquoi j’ai ça je n’avait pas cette chose avant dàvoir lu un livre sur le sujet,je me sens monstrueuse,s’il vous plaît éclaircissez moi sur la pulsion.J’ai peur qu’un tout petit relâchement créer un accident,donc lorsque j’ai des impatiences (jambes sans repos) j’assimile ça a des pulsions,et je dors pour oublier sans que ça marche puisque cela revient,est ce qu’une pulsion est récurrente ? Est ce qu’une pulsion me torturera l’esprit avant que je passe à l’acte?tout ce que je veux c’est dormir,oublier je ne veux pas faire ça,j’ai même plus l’impression que c’est des phobies,lorsque j’y pense ma voix intérieure me dit « Non,non fais pas ça ! »avec un sentiment de tristesse et de stress,pensez vous que c’est une pulsion car en même temps je veux pas perdre cette personne,je n’ai plus le goût de rien,mes journées n’ont aucun sens,j’attends juste le jour suivant.Je dort sans cesse.Pensez vous qu’une pulsion est obsessionnelle s’il vous plaît répondez à mes questions.
Merci.
Bonjour Mr,j’ai des questions à vous poser à propos des pulsions (pour le rassurer envers ma phobie) alors voilà ma phobie d’impulsion me fait ressentir des sensations physiques comme une pulsion pourtant dans des moments calmes lorsque je visualise la scène cela ne me procure aucun désir.Je veux aussi vous dire j’ai l’impression que c’est une pulsion,mais d’un côté je pleure car je ne veux pas faire la « pulsion » à quelqu’un.Cela m’énerve.Pensez vous qu’une pulsion est récurrente ? Pensez vous que le désir de la pulsion est le même hors pulsion,car lorsque je suis calme et que je m’imagine la scène,ça ne me fait ni chaud ni froid,et quand j’ai la sensation je veux juste dormir pour la faire passer,peur de passer à l’acte,mais pourtant cela revient sans cesse,est ce une pulsion ?Et lorsque j’ai la sensation à l’intérieur j’ai envie de pleurer et cela crit Non je ne veux pas ! Est ce une phobie d’impulsion ?J’ai aussi peur de ressentir du désir pour la dite « pulsion ».
bonjour,est ce les symptômes de la phobie d’impulsion j’ai l’impression d’être condamné je n’en peux plus j’ai l’impression que c’est une pulsion alors que ça me fait pleurer.est ce que les phobies d’impulsions peuvent partir comme elles sont venues ?J’ai aussi une autre question parce qu eu’ ai très peur,est qu’un dégoût peut se transformer en désir ? Car après 6 phases de phobies d’impulsions j’ai très peur d’aimer ça,les images tournent en boucle dans ma tête,c’est l’enfer,je doute beaucoup.Je pleure tout le temps
Bonjour monsieur,j’ai besoin que l’on me rassure à propos de la phobie d’impulsion j’ai peur d’avoir les mêmes images et pensées en tête pendant toute ma vie,j’ai peur de passer à l’acte,je me sens comme un monstre,je suis en pleine confusion,je suis tendu tout le temps,pensez vous qu’une personne malveillante y penserait tout le temps ?Aurait peur des qu’elle entendrait le mot en rapport avec la phobie,se testerait tout le temps,se rassurerait temps bien que mal pour l’anneantir ?
J’ai vraiment peur,j’ai besoin d’éclaircissement.
Bonjour Juju,
La phobie d’impulsion suicidaire est la peur de passer à l’acte. Partant, d’être dans un tel désarroi, penser à mettre fin à ses jours, tout en en ayant peur. Ce n’est donc pas une volonté de se suicider.
La différence est importante. A ceci près qu’entre la volonté de se suicider et le passage à l’acte, il y a une marge. Vous seriez donc dans un conflit intrapsychique. L’envie de vous suicider et la peur de mettre fin à vos jours. En effet, vous écrivez vous répéter que vous n’avez pas envie de mourir.
Dès lors, je pense que cette « envie » repose sur une succession de tentatives de solutions pour régler un certain nombre de problèmes. Et que, n’y arrivant sans doute pas comme vous le souhaitez, vous envisagez le suicide comme une solution. Tout en ayant peur de mourir.
Il est certain qu’une fois morte, vous n’aurez plus de problèmes. Mais, ce faisant, vous n’aurez pas résolu votre problème. Tout comme vous ne l’aurez pas résolu de votre vivant. Le suicide ne constitue alors pas une solution.
Si vous m’expliquiez de façon précise ce qui vous invite au suicide, c’est à dire quel(e)s problème(s) vous rencontrez, je pourrais vous expliquer comment retrouver l’appétit de vivre?
A vous lire.
Bonjour
Comment faire la différence entre réelle volonté de se suicider et phobie d’impulsion suicidaire ? La peur du suicide me gâche la vie, je doute de moi même j’ai peur d’avoir réellement envie…je me répète en boucle « je ne veux pas mourir ». J’ai vraiment trop peur d’être suicidaire ou de ne pas me contrôler. J’ai l’impression d’être folle et que je devrais me faire interner au cas où
Cnes?
Quel drôle d’identité…
C’est intéressant cette façon d’aborder les choses. Bien sur, vous n’êtes pas obligé d’être d’accord avec moi. Mais comme vous semblez aborder les choses d’une façon exclusivement intellectuelle et rationnelle, vous ne pouvez pas être d’accord avec moi.
Ainsi, vous parlez de psychanalyse alors qu’il s’agit d’un article rédigé par un comportementaliste sur ce sujet délicat qu’est la phobie d’impulsion.
Autant comparer le point de vue d’un castaner à un gilet jaune. Du coup, une question se pose: quel est le plus dangereux des 2?
Je vous suggère de ne pas vous arrêter à une simple lecture de cet article. Mais, plutôt de le relire. Son contenu n’a pas vocation à plaire mais à partager un point de vue thérapeutique. Dérangeant, il est vrai.
Je suis d’accord avec Muriel. Cet article me semble dangereux car il évoque le désire ce qu’il n’est pas le cas. On part d’une image intrusive et on se retrouve a pratiquer de la rumination mentale. Cela car cette pensée au contraire fait ressentir un dégoût à l’an personne qui les vit. Donc je déconseille honnêtement votre analyse. D’autres psychanalystes justement conseillent d’en deculpabiliser et de ne pas penser que l’on désire ces pensées.
Cordialement
Bonjour Gloria,
Vous êtes la bienvenue au sein du Programme ARtUS quand vous le souhaitez. Pour regarder la vidéo de présentation, je vous invite à cliquer sur le lien ci-après:
« Comment traiter une phobie d’impulsion définitivement«
Bonsoir ! Merci de votre réponse, l’intérêt de me tester? Aucune malheureusement ça me procure par la suite une angoisse profonde, mais je le fais sans savoir pourquoi et je ne vais pas dire que je le fais pour me rassurer car je sais d’avance que ça va me rassurer en rien apart le contraire. Je le fais comme une pulsion comme un toc qu’ont peut pas s’empêcher de faire. Je pense que c’est pour soulager la pensée je ne sais pas mais j’en ai vraiment marre et c’est très épuisant moralement. J’évite un maximum de le faire, ya des périodes où j’y arrive très bien et d’autres fois ou c’est plus compliqué. Je ne sais pas pourquoi j’ai ce symptôme là de là phobie d’impulsion. Mais je vais esseyer votre thérapie en espérant de tout cœur que ça pourra me soulager. Ou guérir ??❤️
Bonsoir Gloria,
C’est quoi l’intérêt pour vous de vous mettre à l’épreuve au sujet de vos phobies d’impulsions? Pourriez-vous envisager d’arrêter de vous faire ainsi du mal?
Vous ne faites pas exprès de souffrir de phobie d’impulsion lesquelles sont caractéristiques des personnes souffrant d’angoisses et d’anxiété qu’elles n’arrivent plus, ou fort peu, à contrôler.
Tenter de vous rassurer en vous soumettant à l’épreuve du feu est non seulement le meilleur moyen de vous faire souffrir mais aussi de maintenir, voire d’enrichir, votre problème de phobie d’impulsion. A moins que vous n’éprouviez une forme de plaisir à pratiquer ce « sport à vision thérapeutique » auquel cas je ne voudrais pas vous retirer ce plaisir (lequel débute par l’épreuve du désir ou supposé tel).
Si, à contrario, vous souhaitez que les choses changent pour vous, de façon positive et constructive, de sorte à ne plus être préoccupée à ce sujet ni à ceux de problèmes d’angoisse et d’anxiété et, partant, à retrouver joie et sérénité, je vous invite à regarder la vidéo ci-dessous:
« Comment traiter définitivement une phobie d’impulsion«
Je reviens sur ce que vous avez dit sur le désir dans la phobie d’impulsion. ceci étant vrai, Je souffre de phobie d’impulsion depuis 4 ans maintenant j’ai eu plusieurs stade de ma phobie depuis que ça a commencer il y quelque années, a l’heure d’aujourd’hui je n’ai plus peur de mes pensées mais j’ai une autre forme de symptôme dans lequel j’ai la peur de me tester, j’ai l’obsession de me tester pour voir si je suis capable ou pas. J’ai le réel envie de le faire comme une pulsion mais très peur de passer à lacte et je n’en ai pas envie. Ducoup le fait de me tester me procure une angoisse très profonde qui ducoup me fait douter sur mes pensées première. C’est une lute terrible pour pas me tester mais ducoup je reviens sur ce que vous avez dit. Sur le désir qui précède la pensée. C’est une forme de désir difficile à décrire car on a le désir de le faire sans le vouloir enfin très difficile à expliquer. Mais ce qui est sûr c’est que l’ont ne veux pas et ont ne le fait pas
Pas de problème comme disent beaucoup de français. Peuple malmené que celui de Haïti. Prenez bien soin de vous.
Bonjour Frédéric, dsl pour le délai, mon fils était un peu dur avec moi haha.
Je viens d’ Haïti!?
Je me disais aussi… Je ne voudrais pas être indiscret mais de quel pays êtes-vous originaire?
Bonjour, oui je vous tiendrai au courant.
Ps: Je parlais de mon pays d’origine haha, car si le Canada avait encore ce genre de croyance je me poserais des questions ?.
Bonjour Supplice,
Je suis ravi – comme souvent 🙂 – que cet article vous ait éclairé sur les phobies d’impulsion. Les personnes qui en sont victimes ne sont aucunement des bourreaux. Elles sont victimes et, en tant que telles, ne doivent pas être jugées mais aidées.
A ce propos, je m’étonne et déplore que le beau pays que vous habitez considère les troubles de ce type soient une malédiction, un mauvais sort. Ce qui constitue un regard assez rétrograde.
Le programme va vous aider à sortir de ces schémas trés réducteurs en plus de vous permettre de retrouver estime de vous même et confiance en vous. Vous me tenez informé de vos progrès?
Ce texte est très intéressant. Je découvre de plus en plus de détails par rapport à ce mal que je supporte en se moment. Merci! C’est fou… Je pensais que j’étais peut-être une psychopathe,une mauvaise personne, une moins de rien et pour couronné le tout je viens d’un pays qui considère que la maladie mentale est tout simplement une malédiction…un mauvais sort.
En effet, j’ai été victime d’abus physique et mentale pendant plusieurs années. De plus, j’ai beaucoup de problèmes d’estime de moi etc.. Ce mal que je supporte et qui est très pénible en se moment est probablement et malheureusement le résultat. Bref, je suis de tout coeur avec les personnes qui souffrent.
Bon courage.
Bonjour Muriel,
Vous ne me manquez aucunement de respect. Vous avez le droit d’exprimer votre désaccord même si j’ai des réserves quant à ce que vous pensez – ou pas – de ce dont j’ai souffert ou non. Faut-il avoir un cancer pour être oncologue?
Au sujet de ce qui nous occupe, la question du désir dans le cadre de la phobie d’impulsion, je comprends que mon propos vous déplaise. Je n’ai aucune envie de ré-alimenter la polémique. Par contre, force m’est de constater que l’on est toujours gêné par ce qui nous ramène à nous même.
Je n’écris pas que la personne qui souffre de phobie d’impulsion a le désir de se faire du mal ou de faire du mal et d’en tirer plaisir. Ce dernier point est extrêmement important. En effet, nous pouvons éprouver du désir pour une chose ou une personne. Ce n’est pas pour autant que nous passons à l’acte. C’est à dire du désir au plaisir.
Quand je parle de désir en matière de phobie d’impulsion, je parle de la pulsion. « J’ai envie de… ». « Je pense à… ». Dès lors, c’est la relation que la personne entretient à ce désir – et je comprends que cela vous gêne – qui justifie que l’intéressée accepte ou refuse de laisser libre cours à sa pulsion. Je peux éprouver le désir de flinguer mon voisin, comme éprouver du plaisir à cette idée. Cela ne fait pas de moi un assassin. Nous ne sommes pas dans Minority Report. Du moins pas encore.
Que j’éprouve des problèmes moraux à ce sujet est une considération intellectuelle et rationnelle qui complique la vision que j’ai de mon émotion et de la façon dont je l’exploite. Je sais que je ne suis pas un assassin en puissance. Ce qui peut par contre me poser problème, c’est la récurrence de ce désir au point qu’il devienne obsessionnel et génère chez moi un conflit intra psychique. La peur de passer à l’acte, constitué par le passage du désir à son accomplissement, le plaisir, alors que cela génère chez moi un conflit intra psychique au sens où je ne souhaite pas supporter l’idée de faire du mal – à moi ou aux autres – et, encore moins, passer à l’acte.
Que nous le voulions ou pas, tout acte, ou toute pensée de passage à l’acte, est précédée d’un désir. Le reste est question de vision intellectuelle, rationnelle, sociale, éducative, bref, de tous sujets qui génèrent des biais et nous permettent, justement, de ne pas passer à l’acte. C’est de l’ordre de la lutte entre le moi et le surmoi. Et c’est généralement le surmoi qui gagne. Mais on est quitte pour un conflit pénible avec soi même. « Comment, moi, puis-je penser ou imaginer un truc pareil? ». Et pourtant.
Pourtant, la phobie d’impulsion n’est que le symptôme d’un autre problème. Ce n’est pas le plus important. Nul n’est besoin de s’arque bouter sur le sujet. Sauf à y trouver son intérêt. Celui, par exemple, de vouloir prendre le contrôle de ce que vous nommez une hypocondrie des pensées (jolie formule). Si contrôler les peurs (celle des maladies par exemple et, par extension, la peur de mourir) aidait les gens, cela se saurait.
Mais il est vrai qu’à ce propos, comme à bien d’autres, changer de point de vue c’est remettre en cause les fondements même de l’éducation et de la culture. C’est comme de mettre de l’hyper sécurité en réponse à l’insécurité ce qui aggrave le sentiment d’insécurité. Monsieur Castaner en est la preuve vivante, lui qui, en plus d’être incompétent, n’est que déni, amalgame, mauvaise foi et refus du changement (oups, j’aurais pas du).
Dès lors, bien que je comprenne les réactions suscitées par le contenu de l’article et du sujet qu’il traite, comme de l’angle sous lequel je l’ai – délibérément – traité, certaines personnes pourraient-elles envisager de cesser de voir la paille qu’il y aurait dans mon œil, et de considérer la poutre qu’il y aurait dans le leur?
Ayant moi aussi des phobie d’impulsion depuis quelque temps, je confirme qu’il n’y a aucun désir là dedans…
Je pense, Mr Arminot, que vous n’en avez jamais eu, puisque manifestement vous ne les avez pas vraiment comprises, sans vouloir vous manquer de respect…J’ai eu envi d’intervenir également car je pense que cela peut induire en erreur certaines personnes qui liraient cet article, ou les perturber si elles n’ont pas suffisamment de recul…
Les phobies d impulsion naissent souvent d’une pensée bizarre que nous aurions eu un jour, liée à une peur, pensée à laquelle la personne déja anxieuse va acccorder beaucoup d’importance car celle ci la choque particulièrement. Ainsi une obsession va se créer sur cette pensée, qui dès lors reviendra fréquemment pendant la durée de l’obsession, accentuant la peur qui lui est associée…C’est une sorte d’hypocondrie des pensées…
Bonsoir,
On entend par maladie chronique, une répétition. Il s’agit donc de quelque chose qui dure, est installé dans le temps. La phobie d’impulsion, et tous les troubles du comportement en général, ne sont pas nécessairement chroniques. Ils peuvent tout à fait être ponctuels et, par conséquent, ne pas durer. Encore faut-il avoir trouvé la solution pour ce faire.
J’espère avoir répondu à votre question. N’hésitez pas en cas de besoin de précisions complémentaires. Bien cordialement.
Frédéric
merci pour toutes les informations j’aimerais bien savoir si les phobies d’impulsion sont des maladies chroniques
Bonjour Julie,
Je ne connais pas de professionnel que je puisse vous recommander dans le Gard et qui corresponde à votre recherche. Qu’entendez-vous par « plusieurs phobies d’impulsion »? Un personne peut être victime de plusieurs phobies d’impulsion tant à propos des « modalités » qu’à propos de personnes « incriminées ».
Dans l’attente d vos précisions. Bien à vous.
Frédéric
Bonsoir ou je pourrai trouver un psychologue qui fait des exercices de langages hypnotiques sur le Gard,et peut on avoir plusieurs phobies d impulsion?merci de votre réponse
Bonjour,
Ni vous ni moi n’avons raison ou tort… Je comprends ce que vous écrivez. Pour autant, souffrir de phobie d’impulsion c’est avoir peur de faire du mal ou de se faire du mal. De fait, cela procède d’un désir qui fait peur bien qu’il n’y ait pas de passage à l’acte.
Par ailleurs, nous avons le droit d’être en désaccord, cela fait progresser le débat. Bien à vous.
Frédéric Arminot Comportementaliste
Bonjour, étant atteint de ce trouble depuis un peu plus d’un an je souhaite vous faire part de mon désaccord sur votre définition, in ne s’agit en aucun cas d’un désir de faire du mal mais de pensée arrivant par flash où l’on se voit dans une situation où l’on fait mal et dans le même temps cette vision nous horrifie car c’est justement ce que nous voulons pas. Il n’y a aucun désir là dedans.
Merci.
La phobie d’impulsion est la plus grosse peur de la personne et qui le fait souffrir. Il n y a aucun desir.
Cependant c’est vrai que c’est un moyen de nous persuader encore plus qu’on n’est pas des gens bien
Bonjour,
Eternel débat que celui du désir lié à la phobie d’impulsion. J’ai parfois l’impression que les personnes qui lisent cet article se fourvoient sur mes intentions à ce propos. Quand je parle de désir, je laisse entendre que la personne qui a peur de sauter par la fenêtre a, de facto, le désir de sauter par la fenêtre. Elle en éprouve l’envie puisqu’elle en a peur. Ce que, bien évidemment, je ne lui reproche pas.
De la même façon, je peux avoir peur de zigouiller mon voisin – donc de ne pas pas contrôler ma pulsion, mon désir – parce que je le trouve trop bruyant à mon goût alors que cela fait des semaines ou des mois que je lui demande de faire attention. Dans le même temps, j’ai le désir et la peur. Peur d’un jour passer à l’acte avec toutes les conséquences psycho sociales et affectives que cela pourrait avoir, et l’envie de le passer à l’acte parce que je n’arrive pas à me faire entendre. C’est le cas de le dire.
Je vous accorde que ce « concept » est un peu hasardeux ou capillo tracté (tiré par les cheveux). Pour autant, il existe bien puisqu’il s’inscrit dans le domaine des pulsions, donc du désir, réfréné… ou pas. Je peux avoir du désir pour quelqu’un qui m’est inconnu, et avoir peur de tenter de séduire (peur du refus, peur de me faire rejeter, etc.). Le désir et la peur du passage à l’acte donc.
Bien sur, je ne vous oblige pas à partager ce point de vue. Le plus important est que cela crée un débat, et vous aide à trouver une solution pour ne plus souffrir.
Bien à vous.
Frédéric.
Bonjour Nani,
Je trouve que vous confondez des phobies qui ne sont pas comparables. C’est d’autant plus regrettable que cela s’appelle de l’amalgame, lequel traduit votre manque d’objectivité et d’informations fiables, ce qui est normal. Que ce que j’écrive vous déplaise, au point que je ressente vos propos comme agressifs, risque de nuire à la poursuite de nos relations par commentaires interposés. Mais, peut-être est-ce ce que vous souhaitez de sorte à ne surtout pas… changer?
Si ce que j’écris ne vous convient pas, personne ne vous oblige à continuer à lire mon blog. Merci Nani d’épargner aux autres lecteurs, comme à moi même, vos manipulations affectives quand vous faites allusion à l’éventualité que je sois responsable du suicide de personnes qui me lisent. Je trouve cela déplacé.
Mon travail de coach comportemental consiste à aider les personnes en difficultés, à les aider à définitivement neutraliser leur(s) problème(s). Pas à leur dire ce qu’elles ont envie d’entendre. Je suis comportementaliste, pas homme politique.
Frédéric Arminot
Une personne qui a peur des araignées c’est parce qu’elle aime les araignées aussi. Vous voulez que bcp de phobiques d’impulsion se suicident en lisant vos messages.
il n ya aucun désir c’est le contraire juste une peur d etre dépassé et de perdre la téte
Bonjour Valérie,
OK ! On va arrêter de polémiquer sur le sujet, d’accord? Si c’est trop difficile à accepter pour certaines personnes victimes de phobie d’impulsion que la notion de désir – non souhaité – fait partie du problème, je lâche prise.
Toutes celles et ceux qui ne sont pas d’accord avec ce que j’ai écrit ont raison d’être en désaccord. Les autres… aussi ! Bonne journée à tous.