« La France est le plus petit consommateur de consultations psy ».

C’est par ces mots que dĂ©bute une confĂ©rence Ă  laquelle j’assiste. Je me doute bien qu’en France il y a un truc avec les psy de toutes natures et de toute approche thĂ©rapeutique et que, du coup, la peur d’aller chez le psy est tapie dans l’ombre.

Mais, Ă  ce moment lĂ , je ne me doute pas que c’est Ă  ce point. Que ce soit en Belgique, ou de l’autre cĂŽtĂ© de l’atlantique, je pense aux États Unis, tout ce qui concerne le domaine mental est totalement intĂ©grĂ© dans le quotidien. Du coup, l’angoisse de consulter un psy ne se pose pas.

En Belgique, les institutions font appel tous les jours Ă  des comportementalistes. Pas seulement pour commettre des expertises mais bien pour instaurer le changement dans des familles en souffrance, comme chez des adolescents en rupture de ban social et aussi au bĂ©nĂ©fice d’adultes en difficultĂ©.


Podcast


Les belges que nous, petits français, moquons tous les jours, ont bien des choses Ă  nous apprendre non seulement en matiĂšre d’ouverture d’esprit mais aussi quant Ă  ce qu’il faut faire pour soigner l’angoisse.

Les français portent un regard si mĂ©fiant Ă  l’Ă©gard de la chose psy que mes compatriotes sont les premiers Ă  dire, je cite : « Je ne vais pas chez le psy, je ne suis pas fou« . Cette petite phrase en dit long sur le regard que pose les français sur la psychologie en gĂ©nĂ©ral.

Cela me rappelle ce patient qui avait un gros problĂšme d’inquiĂ©tudes sur son lieu de travail et qui refusait de consulter au motif qu’il avait peur que son employeur l’apprenne, ce qui, bien Ă©videmment pose la question de savoir comment faire confiance au thĂ©rapeute.

La peur de consulter un psy par l’exemple

Je me souviens d’une jeune femme, Mademoiselle K.

Elle me sollicite par messagerie depuis quelques temps dĂ©jĂ  Ă  propos de ses problĂšmes Ă©motionnels. Maintes fois, je lui suggĂšre de consulter, sans succĂšs semble t’il.

Non contente d’exprimer sa peur Ă  cette idĂ©e, elle est rĂ©cemment allĂ©e jusqu’Ă  m’Ă©crire qu’elle ne parle pas Ă  un thĂ©rapeute de vive voix, qu’il lui est plus facile de lui Ă©crire. A son sens, aucun psy n’accepte de sĂ©ances de thĂ©rapies avec l’Ă©criture comme moyen de communication inter personnelle.

Peur d'aller voir un psy

A t’elle vraiment essayĂ© ce mode de communication ?

Dans cet article, j’essaie de dĂ©mythifier la fonction de psychothĂ©rapeute. Partant, j’essaye d’expliquer pourquoi l’angoisse de consulter un psy n’est que l’expression d’un dĂ©ni.

D’une plaie d’orgueil qui cache la peur d’ĂȘtre mis Ă  nu et d’avoir Ă  changer.

DĂ©finition du psy

Comme vous le savez grĂące aux articles publiĂ©s sur ce Blog, il existe diffĂ©rentes approches thĂ©rapeutiques mais surtout diffĂ©rentes classes de thĂ©rapeute : psychologue,  psychothĂ©rapeute, psychanalyste, psychiatre, etc.

Chaque membre d’une de ces quatre classes poursuit des Ă©tudes pour bĂ©nĂ©ficier du droit d’exercer. En effet, chaque fonction est rĂ©gie par un diplĂŽme. Il convient de modĂ©rer, ce n’est pas le cas de la psychanalyse dont les praticiens s’adoubent entre eux.

Ce qui diffĂ©rencie chaque classe, c’est la mĂ©thode employĂ©e et je ne vais pas revenir sur ces diffĂ©rences. Ce qu’il est important Ă  savoir c’est que chaque intervenant Ă  sa façon de travailler. En effet, chaque thĂ©rapeute a sa personnalitĂ©, son histoire, sa façon d’ĂȘtre et de faire.

Autant de sujets qui nĂ©cessite que chaque professionnel(le) de la santĂ© mentale ait effectuĂ© un travail thĂ©rapeutique sur soi en plus d’ĂȘtre supervisĂ©(e).

En effet, il est inconcevable que les psychothĂ©rapeutes ne soient pas Ă©paulĂ©s par d’autres. Chacun doit avoir rĂ©glĂ© ses petits problĂšmes personnels.

Cela me fait penser Ă  cette thĂ©rapeute, fort gentille au demeurant, qui ne pouvait pas honorer ses consultations si sa compagne n’Ă©tait pas prĂ©sente dans la maison (elle travaillait de chez elle).

Elle avait besoin de cette prĂ©sence rassurante ce qui ne faisait qu’enrichir sa peur d’affronter la rĂ©alitĂ©, seule en tous cas.

En groupe d’analyses des pratiques elle partageait son angoisse avec d’autres thĂ©rapeutes et en parlait d’une façon telle qu’on aurait cru entendre une enfant complĂštement perdue.

Le plus beau dans cette histoire ce qu’elle Ă©tait une excellente thĂ©rapeute. Elle avait la dĂ©cence de ne jamais s’occuper du type de problĂšme qu’elle mĂȘme rencontrait mais, parfois, la rĂ©alitĂ© des patients et la sienne propre se tĂ©lescopaient.

Pour conclure, la fonction d’un thĂ©rapeute consiste donc Ă  comprendre le problĂšme d’un patient. Partant, d’aider celui-ci Ă  objectiver par rapport au problĂšme exprimĂ©.

Ainsi, un psychologue vous aide Ă  faire le lien entre votre problĂšme et votre histoire de vie, ou encore votre relation Ă  vos parents.

Un thĂ©rapeute vous aide de bien de bien diffĂ©rentes maniĂšres et cela dĂ©pend en grande partie de l’Ă©cole thĂ©rapeutique dont il se prĂ©vaut.

Le problĂšme de l’objectivitĂ© du psy

Chaque psychothérapeute exerce une ou plusieurs pratiques thérapeutiques fondées sur une approche ou une autre.

DĂšs lors, ces professionnels s’appuient sur une boite Ă  outils thĂ©rapeutiques : psychodrame, groupe de thĂ©rapie, gestalt-thĂ©rapie, mĂ©ditation, pensĂ©e consciente, auto suggestion, pensĂ©e positive, et j’en passe.

Quelle que ce soit sa formation, le thĂ©rapeute n’a pas vocation Ă  vous juger. Il n’en n’a pas le droit. Le psy est lĂ   pour vous aider et il n’est pas un dieu vivant bien que certains se veulent tel.

Le problĂšme avec certains de ces intervenants thĂ©rapeutiques c’est qu’ils cultivent une certaine tendance Ă  imposer leurs idĂ©es Ă  leurs patients. C’est ce que j’appelle des tentatives rĂ©pĂ©tĂ©es de normalisation.

En agissant de la sorte, beaucoup de psychothĂ©rapeutes contraignent le patient Ă  avoir une pensĂ©e rationnelle. Cela aggrave le problĂšme du patient lequel lutte contre lui mĂȘme et, ce faisant, se considĂšre moins normal que la moyenne internationale.

Il n’y a rien de pire qu’un thĂ©rapeute qui n’Ă©coute pas son patient. Il y a donc toutes les raisons de ressentir de langoisse Ă  l’idĂ©e de savoir, ou plutĂŽt de ne pas savoir, comment cela se passe avec un psychothĂ©rapeute. C’est qui ce mec ?

Je pose cette question en pensant Ă  ce patient qui m’a consultĂ© pour traiter une angoisse chronique et Ă  qui mon confrĂšre avait dit qu’il n’avait aucune raison, je cite : « …de se mettre dans cet Ă©tat lĂ ... ».

Quand ce patient m’a consultĂ© la premiĂšre fois, son objectif immĂ©diat a Ă©tĂ© de m’expliquer ce qu’il s’Ă©tait passĂ© puis, combien il avait trouvĂ© dĂ©placĂ©s les propos du psy puis, interloquĂ©, de me poser la question de savoir qui est mon confrĂšre. J’ai rĂ©pondu que je ne saurais rĂ©pondre.

Je me souviens aussi de cette jeune femme angoissĂ©e Ă  l’idĂ©e d’attendre un enfant et Ă  qui l’une de mes consƓurs avait dit qu’il fallait assumer.

Un ange passe…

Un psy ou un thĂ©rapeute, c’est qui ?

J’ai grand plaisir Ă  Ă©crire que le psy est un malade comme les autres.

Nous sommes tous nĂ©vrosĂ©s. Partant de cette idĂ©e, un(e) thĂ©rapeutique l’est tout autant en sa qualitĂ© d’ĂȘtre humain qui Ă©prouve des Ă©motions, tout comme vous, et le besoin de satisfaire ses besoins primaires.

Manger, boire, dormir, se reproduire ou pas, aimer, ĂȘtre aimĂ©(e) ou pas, etc.

Les personnes qui font le choix de ce mĂ©tier que de soigner les autres, nĂ©cessite une ouverture d’esprit et un amour de l’autre. C’est naturel ou se construit au fil des annĂ©es en plus d’ĂȘtre naturellement dotĂ©(e) d’empathie.

Si l’exercice de la thĂ©rapie relĂšve de l’exercice forcĂ©, cela pose problĂšme tĂŽt ou tard, et la premiĂšre victime est la personne qui consulte. N’oublions pas qu’un(e) professionnel(le) de la santĂ© mentale est une personne qui a ses joies, ses peines, ses colĂšres, ses angoisses voire, parfois, une dĂ©pression.

Dans tous les cas, quelle que soit sa souffrance au cours de l’exercice de sa fonction, il ou elle doit la prendre en charge, voire, la laisser au placard.

Bien Ă©videmment, un(e) thĂ©rapeute a parfois envie de travailler et parfois non. Il ou elle apprĂ©cie certains patients plus que d’autres et, pour des questions financiĂšres, il peut recevoir certains patients dont la typologie psychologique l’ennuie.

Il peut aussi mentir effrontĂ©ment sur un sujet qu’il ne maitrise pas, et est aussi capable de faire preuve d’une mauvaise foi crasse pour se protĂ©ger.

En un mot comme en cent, un(e) thĂ©rapeute est un ĂȘtre humain lequel ou laquelle essaie de faire du mieux qu’il ou elle peut. Bien que, je vous le concĂšde, certains se montrent d’un dangerositĂ© effarante.

Ainsi, que n’ais-je entendu le dĂ©sarroi de patient(e)s qui avaient consultĂ© parce qu’ils Ă©taient terrorisĂ©s Ă  l’idĂ©e d’ĂȘtre gay, alors qu’ils ne l’Ă©taient absolument pas et que, plutĂŽt que de dire Ă  ces personnes que cela Ă©tait sans doute le symptĂŽme d’un autre problĂšme, qu’en fait elles Ă©taient homosexuelles et ne l’acceptaient pas.

Les limites du psy

Les psychiatres, psychologue, psychothérapeute ou encore les coachs ont deux limites.

Une limite fonctionnelle et une limite personnelle.

La limite fonctionnelle traite des compĂ©tences de l’intervenant thĂ©rapeutique.

Ces compétences sont sanctionnées par des diplÎmes mais aussi par les compétences identifiées chez ce thérapeute et, accessoirement relayées par des patients ou des professionnels de santé.

Le thĂ©rapeute n’amalgame pas ses compĂ©tences professionnelles et personnelles. Ainsi, la religion, ou d’autres pratiques philosophiques propres au psy Ă  titre personnel ne doivent pas ĂȘtre un biais et encore moins interfĂ©rer dans ses interventions thĂ©rapeutiques.

Ce professionnel n’est pas lĂ  pour faire du prosĂ©lytisme et, en aucune façon, un(e) thĂ©rapeute ne peut vous imposer ses idĂ©es personnelles.

Dans la mĂȘme veine, il ne peut vous imposer des modes thĂ©rapeutiques dont vous ne voulez pas. Ainsi, vous conservez votre libre arbitre et avez toute autoritĂ© pour exprimer votre dĂ©saccord.

Ce n’est pas parce qu’un mĂ©decin vous dit quelque chose que vous ĂȘtes nĂ©cessairement d’accord. N’oubliez jamais que si un psychothĂ©rapeute, quelle que soit sa compĂ©tence, cherche Ă  vous imposer quelque chose, il vous reste Ă  fuir.

J’entends par lĂ  que si vous entendez son propos comme un ordre alors il est prĂ©fĂ©rable de partir.

Maintenant si vous restez, vous risquez de faire partie de ces gens qui, surtout en France, ont toutes les raisons de nourrir des angoisses Ă  l’idĂ©e de consulter un professionnel de la santĂ© mentale.

Peur ou angoisse d’aller chez le psy

Je me souviens de ma premiĂšre consultation chez un psychologue. J’ai vĂ©cu cette premiĂšre consultation comme une contrainte et non comme une aide possible. En cela, Ă  l’Ă©poque, je ne faisais qu’exprimer ma rĂ©sistance au changement, ma peur du changement.

Mon premier rĂ©flexe a Ă©tĂ© de dire que je n’avais nul besoin d’aide et que, de façon trĂ©s orgueilleuse, je me dĂ©brouillais trĂšs bien tout seul.

Ce n’est que bien plus tard que je comprendrais avoir entretenu un comportement victimologique Ă  la hauteur de la nĂ©vrose obsessionnelle dont je souffrais Ă  ce moment lĂ .

En fait, mon vrai problĂšme Ă©tait que cette professionnelle dĂ©couvre la nature de mon vrai problĂšme et, bien sur, m’y confronte et que, par consĂ©quent, cette identification m’oblige Ă  agir de façon responsable c’est Ă  dire, assumer et soigner les troubles anxieux dont j’Ă©tais affectĂ© Ă  l’Ă©poque.

La plupart du temps, les français ne vivent pas la consultation thĂ©rapeutique comme une aide. Cela signifie qu’ils ne la vivent pas avec humilitĂ©, bien au contraire.

Beaucoup de français vivent les consultations chez le psy comme une exposition indécente de leur intimité. Parfois comme une espÚce de viol, du moins la ou les toutes premiÚres fois.

Avoir confiance et faire confiance

A titre trĂšs personnel, je trouve que beaucoup de français portent un jugement trĂšs rĂ©ducteur Ă  propos de ce dont ils ne savent rien. De fait, les français, dont je suis, font preuve d’une attitude de rejet particuliĂšrement arrogante Ă  propos de la diffĂ©rence comme de tout ce qui leur fait peur.

In fine, l’ĂȘtre humain n’est-il pas ainsi fait qu’il a une tendance rĂ©active Ă  rejeter tout ce qui le ramĂšne Ă  lui mĂȘme, Ă  dĂ©nier ce qui le dĂ©range dans son quant Ă  soi, Ă  rejeter la rĂ©alitĂ© ?

Beaucoup de gens estiment qu’ils n’ont pas Ă  parler Ă  quelqu’un qui leur est Ă©tranger et encore moins Ă  lui raconter leur vie.

Peur de consulter un psy

C’est un motif supplĂ©mentaire qui exprime une peur, une rĂ©serve, laquelle empĂȘche le patient de se confier, de se lĂącher alors que la relation de confiance fonde la relation entre un thĂ©rapeute et son patient.

A ce sujet, tous les psychothĂ©rapeutes sont soumis Ă  la plus stricte confidentialitĂ© au titre du secret professionnel. Vous n’avez donc aucune raison objective de craindre quoi que ce soit en matiĂšre de secrets personnels.

Vous avez peur d’aller chez le psy ? Fuyez !

D’aucun dirait que vous n’avez aucune raison objective d’ĂȘtre angoissĂ© Ă  l’idĂ©e de consulter un psychothĂ©rapeute.

Cependant, je ne nie pas que vous pouvez avoir peur que les choses se passent mal entre un thérapeute et vous.

Par exemple, que vous redoutiez qu’un thĂ©rapeute vous dise que vous n’ĂȘtes pas « normal(e) » ou que ce soit vous qui pensiez que vous n’ĂȘtes pas comme tout le monde sous le prĂ©texte que vous venez de confier, non sans une certaine apprĂ©hension : « Je suis allĂ©(e) aux urgences parce-que je faisais une crise d’angoisse et que j’avais peur de mourir« .

Alors, j’ai une bonne nouvelle pour vous.

Vos appréhensions sont tout à fait normales. DÚs lors, ne vous préoccupez pas de savoir si le psy est beau ou belle, intelligent(e) ou pas, tolérant ou non.

Ainsi, je me rappelle du travail thĂ©rapeutique de grande qualitĂ© que j’ai effectuĂ© avec un psy pour lequel je ressentais une certaine aversion physique.

Ce type m’agaçait au plus haut point mais ses interventions m’ont Ă©normĂ©ment aidĂ©. Je lui ai d’ailleurs exprimĂ© ma gratitude Ă  ce propos.

Le psy est lĂ  pour vous, pas l’inverse

Au moment oĂč vous consultez, vous ĂȘtes la personne la plus importante sur terre. C’est de vous, et de vous seul(e), qu’il vous faut vous prĂ©occuper.

Tirez un maximum de profit du professionnel que vous consultez. Sa mission est de vous aider Ă  aller mieux, de vous permettre de vous accepter tel(le) que vous ĂȘtes.

Toutes les raisons que vous exprimez pour ne pas consulter reflÚte votre peur laquelle est bien compréhensible.

C’est la peur de changer en allant mieux. Alors, arrĂȘtez de faire dans la comparaison car cela nuit Ă  votre travail thĂ©rapeutique comme Ă  votre Ă©quilibre personnel.

Dans tous les domaines de votre vie, il y a toujours quelqu’un de mieux ou de moins bien que vous. D’ailleurs, souvenez vous de cet adage populaire qui en dit long :

« L’herbe est toujours plus verte dans le prĂ© d’Ă  cĂŽté« .

Une solution Ă  la peur d’aller chez le psy

Vous avez peur de consulter un psy mais aimeriez faire un travail thĂ©rapeutique pour – enfin – mettre un terme dĂ©finitif Ă  ce qui vous handicape dans votre vie ?

Vous n’ĂȘtes pas prĂȘt(e) Ă  pousser la porte d’un cabinet de thĂ©rapie et prĂ©fĂ©rez faire un travail thĂ©rapeutique de votre cĂŽtĂ© grĂące Ă  des supports personnalisĂ©s ?

En bref, vous cherchez Ă  vaincre un problĂšme dans le problĂšme : la peur de consulter un psy.

Alors, j’ai quelque chose pour vous.

Ce que je vous offre, sans vous dĂ©placer, c’est de faire en 2 mois ce que vous mettriez des annĂ©es Ă  faire chez un psychothĂ©rapeute classique.

C’est plus souple, plus simple, carrĂ©ment moins angoissant et encore plus efficace.

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Article mis à jour le 25 octobre 2023 par Frédéric Arminot.

    1 Response to "Peur d’aller chez le psy : comment ne plus avoir peur de consulter ?"

    • F.ARMIdable

      C’est sur que les troubles psys sont sous mĂ©diatisĂ©s…pas Ă©tonnant que les gens consultent si peu.
      La dĂ©pression commence Ă  ĂȘtre reconnue mais les autres pbs sont ignorĂ©s du grand public.
      On a vraiment du retard en France…
      L’angoisse de consulter un psy est alimentĂ©e par les clichĂ©s « c’est pour les fous » « les psys sont tous tordus » « on va pas te changer ».
      Et puis il y a le dĂ©ni, dur de s’accepter malade…………………

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