Dans un 1er temps, pour se débarrasser de cette perte d’envie de manger, le plus simple consiste à essayer diverses techniques de ré appropriation du plaisir puis, dans le cas où cela ne donne pas les résultats attendus, de travailler sur ses émotions.
Une telle démarche signifie se référer à un thérapeute comportemental pour être accompagné de sorte à retrouver le plaisir d’être et de faire. Partant, de neutraliser les symptômes de dépression associés à cette absence de désir de s’alimenter.
En effet, le manque d’appétit est trés souvent le symptôme d’une déprime plus ou moins conséquente, laquelle peut devenir un symptôme dépressif.
Pour commencer, ce n’est pas parce qu’à diverses reprises il peut vous arriver de ne pas avoir envie de vous alimenter que vous souffrez de troubles alimentaires. Pour autant, un manque d’appétit, qu’il soit ponctuel ou récurrent, peut être le symptôme d’un problème caché.
On entend par « problème caché » l’expression somatique – physique – d’un problème psychique ou l’expression comportementale d’un autre problème voire la partie visible d’un problème qui cache le vrai problème.
En fait, c’est un peu comme les icebergs. Il y a ce que l’on voit, et la réalité cachée, sous l’eau, laquelle est, généralement, bien supérieure en taille – gravité – à ce qui est visible.
En matière de réalité cachée, je pense à une phobie alimentaire comme la néophobie, ou à un symptôme dépressif lequel affecte durablement l’envie de manger et, par conséquence, la perte d’appétit.
Du coup, la question essentielle n’est-elle pas de savoir comment vaincre un manque d’appétit symptôme de dépression ?
Un manque d’appétit peut donc revêtir un caractère symptomatique voire pathologique. Il est donc important de déterminer ce que pourraient être les causes d’un manque d’appétit. Partant, de préciser si vous souffrez de ce manque d’appétit, et ce qu’il est possible de faire pour le résoudre. Je vous rappelle que nous alimenter est la condition prière notre survie…
Et si la solution à votre problème était là où vous ne l’auriez jamais imaginé ?
Dans cet article, nous verrons que le manque d’appétit peut être le symptôme d’une dépression, d’une anxiété, ou d’un stress. Il ne s’agira donc pas de traiter la conséquence du manque d’appétit, mais bien plus d’identifier le mécanisme qui facilite ce manque d’appétit.
En effet, puisque le manque d’appétit est une conséquence, c’est donc le problème sous-jacent. Vous aurez donc à traiter le vrai problème, caché celui là. Et pour arriver à débusquer ce problème, rien de telle que la contextualisation, l’outil par excellence de l’approche comportementale.
C’est à l’aide de ce moyen d’investigation, d’analyse et de compréhension de votre système comportemental, qu’il sera facile de créer une stratégie de résolution qui pendra fort peu de temps, et résoudra votre problème rapidement.
Les causes du manque d’appétit
L’appétit consiste en, je cite: « le désir de manger ». Le manque d’appétit est un trouble alimentaire assez fréquent. C’est un désir contraire à l’envie de manger. Il se caractérise par l’absence ou le déficit de signaux adressés au centre de la satiété, situé au niveau du cerveau.
Lorsque le taux de glucose chute dans le sang, ou lorsque la production de chaleur par le corps diminue, des messages chimiques sont envoyés à un système complexe de récepteurs qui régule l’envie de manger au niveau du cerveau.
Une personne manque d’appétit lorsque son système de récepteurs qui régule la sensation de satiété ne fonctionne pas bien.
Ce trouble est bénin lorsqu’il ne s’inscrit pas dans la durée. Essayons maintenant d’en savoir un peu plus sur ses causes lesquelles sont multiples.
Le manque d’appétit peut être dû à de mauvaises habitudes alimentaires comme: le grignotage, la consommation de boissons caféinées, l’ingestion de boissons ou d’aliments excessivement riches en sucres, ou encore la mastication constante de chewing-gum, lesquels stimulent le centre de la satiété.
Il faut également rechercher les raisons d’une perte d’envie de manger au niveau psychologique. Le stress, l’anxiété, la dépression et l’anorexie mentale peuvent inhiber l’envie de se nourrir.
La perte de plaisir
La perte de plaisir générale due à une dépression peut, par exemple, entraîner le manque d’appétit. Les adolescents souffrent souvent de la forme la plus grave de la perte de l’envie de manger qui est l’anorexie mentale. Cette maladie est aussi l’expression d’un besoin pathologique de contrôler.
Parfois, certaines maladies sont à l’origine du manque d’appétit. En effet, l’organisme, qui lutte contre une maladie, préfère utiliser l’énergie disponible pour la combattre. Dans ce cas, il n’y a pas d’énergie à consacrer pour la digestion, et c’est la raison pour laquelle le manque d’appétit fait suite à certaines maladies.
Voici quelques maladies responsables de la perte d’envie de manger:
- Cancer,
- Infections,
- Diabète,
- Maladies digestives (maladie de Crohn, occlusion intestinale, appendicite, etc)
Le tube digestif va donner des ordres pour éviter l’alimentation dans le cas de ces maladies, car il n’est pas prêt à recevoir des aliments.
- Pathologies atteignant le goût et l’odorat comme les lésions de la bouche par exemple ou la sinusite. Les odeurs désagréables aussi peuvent couper l’envie de manger
- Maladie aiguë entraînant de la fièvre
- Alcoolisme – Toxicomanie
Certains médicaments ont aussi comme effets secondaires une réduction de l’envie de s’alimenter. Comme les causes, les conséquences du manque d’appétit sur l’organisme sont nombreuses. Essayons d’en parcourir quelques-unes.
Les conséquences sur votre vie
- Amaigrissement dû à la sous-alimentation (le corps puisse dans ses réserves pour s’entretenir)
- Affaiblissement du corps (l’organisme manque d’énergie pour fonctionner normalement)
- Fatigue
- Carences en vitamines et en minéraux
- Réduction des capacités de défense de l’organisme (le corps est plus vulnérable, et est plus exposé, aux infections)
Astuces pour en finir avec le manque d’appétit
Voici quelques astuces très simples pour en finir avec le manque d’appétit:
Astuce N°1 : essayer les légumes verts amers
Ce sont par exemple le cresson, la roquette, le radicchio (chicorée), le chou, le chou frisé, l’endive, la scarole, le mizuna, l’oseille, le pissenlit, la moutarde rouge ou verte.
Ces légumes activent le désir d’appétence par leur action positive sur la vésicule biliaire.
Astuce N°2 : retourner à la source et boire de l’eau
Il faut boire au moins 8 verres d’eau par jour, même si vous n’avez pas soif. L’eau est un appui efficace en ce qui concerne la régulation des besoins alimentaires.
Astuce N°3 : tenter de nouvelles épices
Pour retrouver l’envie de manger, vous pouvez essayer de cuisiner avec des épices comme le gingembre, la cannelle, le poivre de Cayenne. Les épices stimulent l’estomac, et améliorent la digestion des aliments.
Certaines plantes comme le fenouil ou le carvi jouent le même rôle stimulateur sur l’envie de manger. La menthe poivrée rafraîchit le palais, et ravive le désir de s’alimenter.
Il existe aussi plusieurs recettes, à fabriquer soi-même, avec ces plantes et épices. Elles se prêtent également à plusieurs utilisations et valorisations, directement en cuisine, en infusion, etc. N’hésitez pas à chercher en ce sens.
Astuce N°4 : penser à son plat préféré
Pour raviver l’envie de manger, vous pouvez reprendre une recette de votre enfance que vous aimiez. Pensez à votre plat, ou à votre dessert préféré. Ils vous redonneront du plaisir et l’envie de manger. Vous vous sentirez peut être mieux après avoir mangé ce qui vous procure du plaisir. N’oubliez pas que l’alimentation a une dimension érotique, et demeure un fort liant social.
Vous pouvez aussi opter pour des plats plus colorés, ou tout simplement soigner le dressage de vos plats. Cela vous donnera plus l’envie de les manger.
Astuce N°5 : dire non au stress
Faites attention à votre état d’esprit. A votre état mental. Soyez vigilant quant à votre équilibre psychique. Évitez le stress ou, mieux, traiter le stress si vous pouvez estimer être victime.
N’hésitez pas non plus à demander l’aide d’un professionnel(le) pour soigner l’angoisse, résoudre vos soucis (vaincre une dépression), ou diminuer les contraintes (voir le chapitre « La solution comportementale » ci-dessous).
Tous les facteurs qui viennent d’être énumérés peuvent être responsables de votre manque d’appétit. Avec le temps, et une prise en charge adaptée, vous vous sentirez mieux. De fait, vous aurez de nouveau envie de manger.
Pour résoudre ce manque d’appétit, n’hésitez pas à discuter de ce que vous vivez, ou de ce que vous ressentez, avec votre entourage (amis, famille, conjoint). Cela peut vous soulager, et vous aider à retrouver l’envie de manger.
Astuce N°6 : faire de la marche
Il est essentiel de conserver une bonne hygiène de vie. Une activité sportive, ou tout simplement de la marche à pied, peut résoudre votre problème.
Voilà… Vous venez de découvrir quelques astuces simples pour traiter de manière simple un manque d’appétit. Cependant, si le problème persiste, au bout de deux semaines, n’hésitez pas à consulter un spécialiste de l’approche comportementale.
Quelle est la solution au manque d’appétit ?
Pour vous aider à régler votre problème de manque d’appétit avec l’approche comportementale, je vous propose, avec votre aide, d’étudier et d’analyser les situations qui pourraient justifier ce manque d’appétit, ou les raisons psychiques, psychologiques, ou émotionnelles qui le justifient.
Je vous rappelle que ce trouble alimentaire est souvent le symptôme d’une maladie ou d’un trouble psychologique. Ainsi, les personnes dépressives peuvent perdre le goût de la vie, et ne plus avoir envie de manger.
L’objectif de la thérapie comportementale consiste à vous aider à modifier votre manière d’être et d’agir. En découvrant une nouvelle relation à vous même, au plaisir par exemple, vous découvrirez comment réduire, puis détruire, des comportements qui alimentent votre problème (c’est le cas de le dire…).
Cette approche se base sur des faits (contextualisation) qui, à la faveur de leur traitement, facilitent des déblocages comportementaux.
C’est la raison pour laquelle je me permets de vous suggérer d’utiliser le programme thérapeutique en ligne que j’ai conçu.
C’est en traitant un trouble dépressif que vous ne souffrirez plus de votre manque d’appétit. Ce même programme qui vous aidera de la même façon, si vous souffrez d’une pathologie autre que la dépression.
Questions fréquentes
La perte d’appétit peut être causée par divers facteurs, allant de conditions médicales à des troubles émotionnels. Comprendre les causes et les signes de la perte d’appétit permet d’identifier les problèmes sous-jacents et à trouver des solutions appropriées.
C’est la raison pour laquelle il est répondu aux questions les plus fréquemment posées.
Qu’est-ce qui peut causer le manque d’appétit ?
Le manque d’appétit peut être causé par divers facteurs, notamment des conditions médicales, des troubles émotionnels, et des changements de mode de vie.
En voici quelques causes :
- Conditions médicales : infections, maladies chroniques comme le cancer, troubles digestifs, et infections.
- Troubles émotionnels : dépression, anxiété, stress, et troubles de l’alimentation.
- Changements de mode de vie : manque de sommeil, surmenage, et changements dans les habitudes alimentaires.
- Médicaments : certains médicaments ont des effets secondaires qui influent l’appétit.
Quand s’inquiéter d’une perte d’appétit ?
Il est important de s’inquiéter d’une perte d’appétit lorsque celle-ci persiste pendant une période prolongée et est accompagnée d’autres symptômes, tels que :
- Perte de poids inexpliquée : une perte de poids significative sans raison apparente.
- Fatigue excessive : sentiment de fatigue ou de faiblesse persistante.
- Douleurs ou inconfort : douleurs abdominales, nausées, ou vomissements.
- Changements d’humeur : sentiments de tristesse, d’anxiété, ou de dépression.
- Autres symptômes : fièvre, frissons, ou autres signes d’infection.
Qu’est-ce qui coupe l’appétit ?
Plusieurs facteurs peuvent couper l’appétit, notamment :
- Stress et anxiété : le stress chronique et l’anxiété perturbent les hormones de l’appétit.
- Dépression : la dépression entraîne une perte d’intérêt pour la nourriture et une diminution de l’appétit.
- Maladies : infections, maladies chroniques, et troubles digestifs mettent l’appétit à mal.
- Changements hormonaux : déséquilibres hormonaux, comme ceux liés à la thyroïde, peuvent affecter l’appétit.
Comment faire pour retrouver l’appétit ?
Retrouver l’appétit peut nécessiter une approche diversifiée. Voici quelques pistes intéressantes :
- Alimentation équilibrée : manger des repas réguliers et équilibrés, en incluant des aliments riches en nutriments.
- Hydratation : boire suffisamment d’eau aide à stimuler l’appétit.
- Exercice physique : l’activité physique augmente l’appétit en stimulant le métabolisme.
- Gestion du stress : pratiquer des techniques de relaxation comme la méditation, le yoga, ou la respiration profonde.
- Consultation médicale : si la perte d’appétit persiste, il est important de consulter un médecin pour évaluer les causes sous-jacentes.
Quelles sont les causes de perte d’appétit ?
Il a été répondu à cette question dans un précédent chapitre : « Causes du manque d’appétit« .
Est-ce que la dépression fait perdre l’appétit ?
Oui, la dépression peut faire perdre l’appétit.
La dépression entraîne une perte d’intérêt pour la nourriture et une diminution de l’appétit en raison de changements dans les hormones de l’appétit et de la régulation de l’humeur.
Les personnes déprimées peuvent également éprouver une fatigue excessive et un manque d’énergie, ce qui affecte leur désir de manger.
Pourquoi la dépression coupe l’appétit ?
La dépression coupe l’appétit en raison de plusieurs facteurs :
- Changements hormonaux : la dépression affecte les niveaux de sérotonine et d’autres neurotransmetteurs, qui jouent un rôle dans la régulation de l’appétit.
- Perte d’intérêt : les personnes déprimées perdent de l’intérêt pour les activités quotidiennes, y compris manger.
- Fatigue et manque d’énergie : la dépression entraîne une fatigue excessive et un manque d’énergie, ce qui réduit le désir de manger.
- Sentiments de tristesse : les sentiments de tristesse et de désespoir exercent une influence sur l’appétit et réduisent l’envie de manger.
Quels sont les signes d’une grosse dépression ?
Ci-dessous, les signes d’une grosse dépression ayant ou non un impact sur l’envie de s’alimenter :
- Tristesse persistante : sentiment de tristesse ou de désespoir qui dure plus de deux semaines.
- Perte d’intérêt : perte d’intérêt pour les activités quotidiennes, y compris les loisirs et les relations sociales.
- Changements d’appétit : perte ou augmentation significative de l’appétit.
- Fatigue : sentiment de fatigue ou de manque d’énergie persistante.
- Troubles du sommeil : insomnie, hypersomnie, ou réveils fréquents pendant la nuit.
- Sentiments de culpabilité ou de dévalorisation : sentiments de culpabilité excessive ou de dévalorisation.
- Difficultés de concentration : difficulté à se concentrer, à prendre des décisions, ou à accomplir des tâches quotidiennes.
- Pensées suicidaires : pensées récurrentes de mort ou de suicide.
Pourquoi je ne ressens plus l’envie de manger ?
Cette question a été traitée dans un chapitre plus haut : « Pourquoi n’ais-je plus envie de manger ?« .
Quand le corps refuse de manger ?
Idem pour cette question. Consulter le chapitre : « Qu’est-ce qui coupe l’appétit ?«
Quelle est la phobie de la nourriture ?
La phobie de la nourriture est appelée : néophobie alimentaire. La néophobie alimentaire est la peur ou l’aversion pour les nouveaux aliments ou les aliments inconnus.
Cette phobie entraîne une alimentation restreinte et des carences nutritionnelles.
Comment guérir la néophobie alimentaire ?
Guérir la néophobie alimentaire nécessite une approche structurée. Voici quelques étapes concrètes :
- Identifiez les déclencheurs : comprendre et identifier quels aliments ou situations déclenchent l’anxiété.
- Thérapie comportementale : ce mode thérapeutique issue de l’approche systémique de Palo Alto permet de facilement identifier et neutraliser les schémas de pensée négatifs associés à la nourriture.
- Soutien socio-affectif : parler de ses peurs avec des amis, des membres de la famille ou un thérapeute.
- Éducation alimentaire : essayer d’en apprendre davantage sur les aliments et leurs bienfaits nutritionnels.
Quelles sont les causes de la néophobie alimentaire ?
Les causes de la néophobie alimentaire sont les suivantes :
- Expériences passées : des expériences négatives avec certains aliments peuvent entraîner une aversion.
- Modèles familiaux : avoir grandi dans un environnement où certains aliments étaient évités ou considérés comme dangereux.
- Anxiété et stress : le stress et l’anxiété favorisent la peur des nouveaux aliments.
- Troubles sensoriels : des sensibilités accrues aux textures, aux goûts ou aux odeurs rendent certains aliments désagréables.
- Troubles de l’alimentation : la néophobie alimentaire peut être un symptôme de troubles de l’alimentation comme l’anorexie ou la boulimie.
Quand s’arrête la néophobie alimentaire ?
La néophobie alimentaire s’arrête avec une intervention appropriée et du temps. Voici quelques indicateurs :
- Thérapie : La thérapie comportementale en tant qu’approche brève orientée solutions (Palo Alto) aide à neutraliser l’anxiété liée à la nourriture.
- Soutien socio-affectif : le soutien de la famille, des amis et des professionnels de la santé peut aider à surmonter la néophobie alimentaire.
- Éducation alimentaire : en savoir davantage sur les aliments et leurs bienfaits nutritionnels permet de réduire les réactions phobiques.
Qu’est-ce que ça veut dire néophobie ?
La néophobie est la peur ou l’aversion pour les nouvelles expériences ou les objets inconnus. La néophobie alimentaire, en particulier, est la peur ou l’aversion pour les nouveaux aliments ou les aliments inconnus.
Cette phobie est responsable d’une alimentation restreinte et de carences nutritionnelles.
Comment soigner la néophobie ?
Soigner la néophobie nécessite la même démarche thérapeutique que pour soigner la perte d’appétit ou de l’envie de manger.
Quand commence la néophobie alimentaire ?
La néophobie alimentaire débute à différents moments de la vie. Elle est souvent observée chez les jeunes enfants.
Voici quelques facteurs qui contribuent à son développement :
- Expériences passées,
- Modèles familiaux,
- Anxiété et stress,
- Troubles sensoriels,
- Troubles alimentaires.
Pourquoi je n’aime plus certains aliments ?
Il y a de multiples pour justifier que l’on aime plus certains aliments. Vous trouverez toutes les précisions nécessaires dans le chapitre : « Les causes de la néophobie alimentaire«
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