Les troubles de l’anxiété sont une vraie plaie au sens où ils sont installés de façon durable et que les personnes qui en sont victimes sont – souvent – loin d’agir de façon adaptés en matière de traitement des troubles anxieux.

Du coup, je veux vous parler de 3 mythes toxiques – auxquels vous croyez trés probablement – au sujet des troubles de l’anxiété.

Il s’agit là de croyances limitatives que vous devez absolument briser si vous voulez réussir à reprendre le contrôle de votre vie.

Je me permets de vous rappeler que les troubles anxieux regroupent les problèmes suivants :

  • Angoisse
  • Anxiété
  • Phobie
  • Troubles anxio-dépressifs

Auparavant, je tiens à vous informer d’une différence fondamentale :

La différence entre la thérapie comportementale Palo Alto (ma pratique) et la TCC (thérapie cognitive et comportementale) dans le cadre des troubles de l’anxiété (et d’une façon générale).

La thérapie comportementale Palo Alto

La thérapie comportementale issue de l’approche systémique de Palo Alto est une approche thérapeutique brève orientée solution.

Cette approche thérapeutique est pragmatique. En effet, il s’agit là de mettre en place une stratégie de résolution qui permette un accès rapide à une solution.

Ainsi, il ne s’agit pas de savoir pourquoi vous avez un problème mais bien de résoudre votre problème qu’il s’agisse d’angoisse, d’anxiété, de dépression ou de phobie(e).

En matière de thérapie comportementale de Palo Alto, on parle de systémie.

L’approche systémique signifie qu’un problème donné est le fruit d’une interaction entre une personne et son environnement. Ce dernier étant fondé sur l’éducation, la personnalité, les expériences de vie, etc.

L’approche systémique de Palo Alto bénéficie d’outils d’analyse comportementale simples qui permettent de trés rapidement comprendre le mécanisme d’un problème et partant sa solution.

On parle alors de stratégie de résolution puisque, effectivement, le ou la thérapeute comportemental(e) va construire une stratégie d’intervention pour résoudre un problème en moins de 2 à 3 mois.

Dès lors, nul n’est besoin de chercher « pourquoi » un problème existe.

L’approche stratégique et comportementale de Palo Alto est construite d’une telle façon que ce qui justifie un problème émotionnel émerge tout seul, sans que vous ayez besoin de chercher au contraire de la psychologie ou de la psychanalyse.

Une telle réussite (16 cas résolus sur 17 en moins de 2 à 3 mois) est liée au fait que la thérapie comportementale de Palo Alto vous protège de toute reproduction de tentatives de solutions, et de toute rationalisation (ex: « vous n’avez aucune raison d’avoir peur » ).

La thérapie comportementale de Palo Alto respecte la vision du monde du patient et ne cherche pas à le changer contre son gré. Il faut simplement s’assurer qu’un(e) patient soit « client(e) du changement ».

Cela signifie que la personne qui consulte ou utilise un programme thérapeutique et comportemental en ligne ne se trouve pas confrontée à un dilemme, c’est à dire que la solution soit pire que le problème (ce qui est le risque, parmi d’autres, de la TCC).

Troubles de l'anxiété: Des exercices pratiques issus de la thérapie comportementale

La TCC ou thérapie cognitive et comportementale

Ce type de thérapie comportementale est le plus souvent pratiqué par des médecins psychiatres ou des psychologues. En effet, la formation thérapeutique afférente à ce type de pratique thérapeutique est exclusivement réservée aux psychiatres et aux psychologues.

La TCC est une approche trés normative qui postule que vous avez de mauvaises pensées. Vous allez donc être ré éduqué(e) pour avoir, si ce ne sont de meilleures pensées, des pensées et des actions qui ne vous posent pas problèmes.

Pour résoudre un problème d’ordre psycho émotionnel, la thérapie comportementale et cognitive utilise des exercices sous contraintes. Cela signifie que vous serez invité(e) à vous exposer à votre problème.

Les exercices d’expositions pose un problème

Si le ou la patient(e) n’arrive pas à suivre les prescriptions thérapeutiques, cela peut bloquer la personne qui consulte et la plonger dans des difficultés plus grandes encore.

Un peu comme si on disait à une personne homosexuelle que puisque sa nature lui pose un problème, on va l’aider à devenir hétérosexuelle.

Sans commentaire…

Dans la même veine, il est important de noter que la TCC ou thérapie comportementale et cognitive ne donne que 10 résultats sur 17 en 2 à 3 ans.

Pour résumer (source INSERM) :


Une solution durable et efficace

Et si la solution à votre problème était là où vous ne l’auriez jamais imaginé…


Palo Alto

  • Respect du patient (vision du monde)
  • Aucune contrainte ni exercices d’expositions
  • 16 cas résolus sur 17 en moins de 3 mois (95%)

TCC

  • Exercices d’exposition
  • Approche normative
  • 10 cas résolus sur 17 en 2 à 3 ans (58%)

Ceci étant précisé, revenons à nos moutons au sujet du Mythe N°1.

Après avoir aidé des centaines de patients de tous horizons au cours de ces 30 dernières années, je peux vous garantir que ceux qui réussissent le plus (à reprendre le contrôle de leur vie) sont ceux qui ont les bonnes croyances au sujet des troubles anxieux.

Et c’est plutôt logique: selon votre état d’esprit et vos croyances, vous pouvez littéralement être votre pire ennemi(e) comme votre meilleur atout !

Alors sans plus attendre, il est temps de faire voler ces mythes en éclat.

« Je peux m’en sortir seul(e) »

« Je peux m’en sortir seul(e) » ou Je peux obtenir une solution à mon problème par moi même ou sans travail thérapeutique”.

Voici le 1er mythe et ci-après, je vous explique pourquoi c’est une légende toxique.

Cette idée préconçue est un mythe tout simplement parce-que je ne vois pas comment vous pouvez savoir faire une chose que vous n’avez pas apprise (ou qu’on vous a empêché d’apprendre).

La plupart du temps, les gens cachent qu’ils ont un problème. Ou par peur du jugement des autres, ou parce-qu’ils ont du mal à reconnaitre qu’ils ont perdu la maitrise.

Du coup, ces personnes – vous peut-être ? -, essaient de contrôler, encore et toujours, ce dont ils ont déjà perdu le contrôle. Un peu comme s’ils persistaient dans l’erreur.

Ou comme s’ils essayaient de contrôler une moto qui part dans tous les sens parce-qu’ils ont peur de tomber et de se faire mal s’ils lâchent le guidon.

Pourquoi certaines personnes ont-elles cette conception erronée des choses?

Encore une fois parce-qu’elles ne peuvent pas savoir une chose non acquise. Mais aussi pour des questions d’orgueil, ce que je comprends.

Effectivement, c’est tellement douloureux de ne pas se sentir «comme les autres».

Quelle est la vérité ?

La vérité est toute simple: Il faut accepter de demander et de recevoir de l’aide.

Mais qui suis-je pour tenir de tels propos ?

J’ai moi même souffert, des années durant, d’angoisse et d’anxiété au point de devenir phobique puis de souffrir d’un TAG (Trouble Anxieux Généralisé) aggravé par des troubles dépressifs.

Pendant très longtemps, j’ai essayé de m’en sortir seul, ou avec plein de médicaments. Mais, in fine, je n’étais pas acteur du travail thérapeutique.

En effet, je laissais le soin aux médicaments de faire leur effet, ou j’essayais – désespérément – de contrôler mes émotions.

Ou je les minorais en faisant comme si de rien n’était, ou je tentais de les contrôler ce qui avait pour effet de les aggraver.

Ce n’est qu’après avoir enfin accepté que mes tentatives de solutions étaient erronées que j’ai vraiment cherché de l’aide et trouvé les bonnes personnes pour m’aider.

J’ai accepté que ce n’était pas en me raisonnant, ou en me contraignant, et encore moins en intellectualisant, que j’allais y arriver.

Après des années de consultations en psychothérapies diverses, en psychologie clinique, en psychanalyse, et d’un nombre effarant de traitements médicamenteux, il est vrai que j’avais identifié plein de raisons à mon problème, mais je n’avais toujours pas la solution.

Ce qui me fait penser au 2è mythe.

Je vous en parle juste après.

Il faut de la volonté pour s’en sortir…

S’il y a une chose fausse c’est bien celle-là !

Non, la volonté n’est pour rien dans votre difficulté à vous débarrasser de votre problème.

C’est faux parce-que si la seule volonté pouvait vous débarrasser de votre problème, depuis le temps, vous le sauriez.

Si la plupart des gens – souvent proches de vous – vous tiennent de tels propos, c’est parce-qu’ils n’ont aucune idée de ce que vous subissez.

Je trouve que, la plupart du temps, la plupart des gens parlent sans savoir.

N’avez-vous jamais entendu ce type de phrases:

  • « Tu n’as aucune raison d’avoir peur ou d’être angoissé(e) »
  • « Et comment font les autres ? Ils font des efforts eux ! »
  • « Tu n’as aucune volonté ! »
  • « Tu te complais dans ton problème ! »
  • « Si tu cessais de t’écouter ça irait surement mieux ! »

Et j’en passe…

Autant de phrases assassines qui vous laissent sans voix, vous blessent, vous culpabilisent et vous font avoir honte.

Se sortir de troubles anxieux (l’angoisse, les phobies, et les troubles anxio-dépressifs en font partie) n’est pas une question de volonté.

En effet, comme je vous l’ai écrit hier, comment voulez-vous savoir faire quelque chose que vous n’avez pas appris ?

Du coup, cela pose une vraie réalité.

Vous êtes victime de votre problème. Vous n’en n’êtes donc aucunement responsable.

En bref, ce n’est pas de votre faute!

Vous n’êtes pas responsable !

Ça me rappelle ce que j’ai vécu pendant des années à l’école.

J’étais nul en maths. Je ne comprenais rien à cette matière. Il s’agissait là d’un langage qui m’était totalement inaccessible. J’avais aussi toutes les peines du monde à apprendre à jouer d’un instrument de musique.

Or, ces deux choses étaient incontournables dans l’éducation que j’ai reçu, et je ne comprenais pas pourquoi j’avais tant de mal.

C’est très tard que j’ai appris que la musique est un langage logique et mathématiques.

Ce qui explique que je n’ai jamais réussi à jouer du piano par exemple.

En effet, je n’arrivais pas à dissocier mes deux mains et je ne comprenais rien au solfège.

Du coup, j’ai laissé tomber le piano pour la trompette mais ce n’est pas allé mieux. Bien au contraire.

Dans les deux cas, les maths comme la musique, j’ai beaucoup travaillé. Et ça n’a pas été faute non plus de m’entendre dire que j’étais un feignant, que je ne travaillais pas assez, que je ne faisais aucun effort.

La vérité c’est que j’étais sidéré par mes émotions. Par l’angoisse de ne pas y arriver. Par la peur d’être jugé. De ne pas être à la hauteur.

Tous ces jugements de valeurs ont littéralement gâché plus de 20 ans de ma vie. Combien de fois ais-je entendu que je n’avais aucune volonté ?

Si, bien au contraire. J’avais un vrai désir d’y arriver, de réussir. Mais j’étais comme « empêché ».

Cela a participé à ce que pendant des années je me dise que les autres avaient raison. Je manquais de volonté, de pugnacité et c’était pour çà que je n’arrivais à rien.

En fait, plus j’essayais de m’appliquer moins je réussissais. Plus je voulais contrôler mon problème, pire il était.

Mais çà, je l’ai compris très tard. Tout comme j’ai appris que j’étais un hypersensible en plus d’être ce que l’on a coutume d’appeler aujourd’hui un « haut potentiel ».

Au sens commun, à l’époque, j’avais tout pour réussir. En fait, avec un tel « profil », j’avais tout pour être en difficultés. Mais personne n’en prenait la mesure.

J’étais juste un cossard. Un jeune qui ne voulait pas, je cite: « se donner la peine« .

Cet exemple pour vous dire que ce n’est donc pas une question de volonté que de traiter votre problème et d’y réussir.

Tout comme je l’ai longtemps été, vous êtes victime d’un blocage dont vous ne savez rien.

Et si on ne vous explique pas çà, ni l’erreur de comportement que vous faites sans doute pour essayer de vaincre votre problème, vous ne pouvez pas l’inventer.

J’en suis la preuve vivante.

Vous aurez beau rationaliser ou intellectualiser autour de votre problème, ce n’est pas ça qui vous donnera la solution.

Et je pense que vous en savez quelque chose.

Ce que j’ai longtemps cru aussi, c’est l’objet du 3è mythe.

Troubles de l'anxiété: Faut-il de la volonté pour s'en sortir ?

« Je n’y arriverais jamais« 

Ah, ce 3è mythe du: « Je n’y arriveras jamais » ou du « je ne m’en sortirais jamais« .

Je comprends parfaitement pourquoi quelqu’un peut croire ça, puisque je l’ai moi même cru pendant longtemps.

Effectivement, si, avec le temps, j’ai réalisé que tout ce que j’avais thérapeutiquement entrepris n’avait pas été totalement inutile (ça m’a permis d’avancer dans la compréhension de mon problème) la réalité n’en n’était pas moins pénible.

Je n’avais toujours pas trouvé de solution à mes problèmes au bout de 20 ans.

Du coup, j’ai longtemps pensé que je n’arriverais jamais à me débarrasser de ces problèmes (angoisse, anxiété, phobie, troubles anxio-dépressifs).

Un peu comme si j’étais condamné à les subir toute ma vie durant.

Je me rappelle qu’à l’époque je me disais qu’au regard du handicap dans lequel mes problèmes m’emprisonnaient, personne n’aurait jamais misé un kopeck (monnaie russe) dévalué sur moi en matière de mieux-être.

Et comme à l’époque le rouble n’avait aucune valeur, je vous laisse imaginer la suite.

Et bien je me trompais !

Pourquoi cette conviction de ne jamais s’en sortir est un mythe ?

Faire la comparaison entre les autres et soi est une source de conflits.

Pendant ces 20 années au cours desquelles j’ai tant souffert, je n’ai eu de cesse de me comparer aux autres et de considérer que je n’étais pas normal.

Je n’ai pas arrêté de penser que, d’une certaine façon, j’étais comme maudit. Que, sans doute, je devais expier des fautes passées!?

Ou que, plus simplement, je n’avais pas droit au bonheur.

Là où je me trompais c’est que je me suis créé des idées limitantes. Celles-là même qui alimentaient une conception normative des choses.

Avec tous les médicaments que j’avais pris, tous les psy que j’avais consulté des années durant, j’aurais du m’en sortir.

C’était ce que je me disais, et le langage que me tenaient tous les psy que j’avais consulté.

Mais comme cela ne donnait aucun résultat , j’ai fini par me dire que je n’avais pas le droit d’aller bien, que je n’avais pas le droit au bonheur.

Peut-être.

Mais à y regarder de plus près, j’ai fini par comprendre que tout ce que l’on me proposait comme solution était on ne peut plus… normatif. Comme une sorte de solution commune à tout le monde. Du genre: « Je ne veux voir qu’une tête… ».

C’était çà que je devais faire et rien d’autre me disait-on. Un peu comme si on m’avait dit:

« Pour être en forme, il ne faut manger que de ceci et pas de cela, et c’est comme çà pour tout le monde« .

Peut-être aussi, mais ça n’a pas marché pour moi.

Et je ne vous parle pas de mes proches – ou des psy – qui me disaient que je n’avais aucune raison de m’empêcher d’aller bien.

Que j’avais les moyens de m’en sortir et que, d’une façon ou d’une autre, je me complaisais dans mon problème et que ce n’était qu’une question de volonté.

C’est précisément ce que j’évoquais hier à propos du mythe N° 2.

Des années plus tard, je me suis rendu compte que toutes ces approches thérapeutiques (psychiatrie, psychologie, psychanalyse, etc.) m’avaient maintenu dans mon problème.

Ce qu’il me fallait c’était une approche stratégique de mon problème. Une approche ciblée. Intelligente. Contextuelle.

J’ai fini par « tomber » sur une telle approche au bout de 20 ans d’errements thérapeutiques. Mais, au départ, je n’y croyais absolument pas.

D’ailleurs, j’ai mis 6 mois à prendre mon 1er rendez-vous chez la personne dont l’approche stratégique et brève me sauvera la vie.

La suite, vous la connaissez sans doute: c’est en moins de 3 mois que j’ai résolu mon problème. Celui là même qui me pourrissait la vie depuis plus de 20 ans.

Que s’est-il passé ?

Toutes ces années, j’avais résisté aux changements que, pourtant, je souhaitais. Mais in fine, j’avais peur de changer. Je pensais être condamné et j’avais fini par me résigner à ce qu’il n’y ait aucune solution pour moi.

La vérité c’est qu’il y en avait bien une de solution mais que je n’arrivais pas à l’envisager. J’étais convaincu que je n’y avais pas droit.

Encore une fois, le mythe N°2 faisait parler de lui:

« Comment pourrais-je savoir une chose qu’on ne m’a jamais apprise?« .

C’est donc cette perception erronée des choses, votre conviction d’être condamné(e), qu’il faut changer.

Ce 3è mythe est faux !

Vous n’êtes pas condamné(e). Il n’y a pas que les médicaments ou les psy classiques pour vous en sortir.

Soit dit en passant, si cela avait été le cas, vous ne seriez surement pas entrain de lire cet article.

Oui, il existe bel et bien une approche simple et pragmatique pour vous débarrasser très rapidement de votre problème.

Encore faut-il qu’à la fois vous vous fassiez confiance et que vous ayez confiance – en moi ? -.

Dès lors, que vous ayez envie d’éliminer ces 3 mythes de votre vie.

Pourquoi croire en ces 3 mythes pose problème ?

Ces 3 mythes posent problèmes parce-qu’ils vous empêchent de prendre les bonnes décisions pour vous. Ce sont des croyances limitantes.

Sans doute pensez-vous que vous n’avez pas tout ce qu’il faut pour y arriver. Ou que ça sera bien plus dur que ça ne l’est réellement.

Troubles de l’anxiété mal soignés: Quel est le résultat ?

Vous ne passez pas, voire jamais, à l’action.

Donc, vous ne modifiez pas la vision limitante que vous avez de votre problème pour vous en débarrasser définitivement et reprendre le contrôle sur votre vie.

J’ai aidé des centaines de personnes à réussir à éradiquer leur problème qui les handicapait dans leur vie quotidienne et je sais que ça n’est pas si difficile. 

La vraie difficulté, c’est qu’on trouve de tout et de n’importe quoi sur internet (et surtout… n’importe quoi).

Et qu’après avoir essayé d’appliquer des tonnes de (mauvais) conseils, la plupart des gens abandonnent.

Un traitement efficace et durable

Je ne veux pas que ça vous arrive. Je ne veux pas que vous soyez résigné(e) face à votre problème d’anxiété.

Je ne veux pas que vous abandonniez car je sais que vous pouvez y arriver. Vous avez droit au bonheur, vous avez droit au bien-être, comme tout le monde!

Dans le cas contraire, comment ces centaines de personnes que j’ai aidé auraient-elles réussi à reprendre le contrôle de leur vie alors que, à leur sens, c’était si dur et que cela leur semblait impossible ?

Ces personnes sont-elles toutes des génies ? 

Je ne crois pas.

Tout comme vous vous apprêtez à le faire, ces personnes ont réussi parce-qu’elles ont utilisé la bonne méthode. Celle que je décris dans la vidéo.

Ces hommes et ces femmes ont donc bénéficié du programme thérapeutique que j’ai conçu, et ont tout simplement suivi le protocole thérapeutique indiqué.

Soigner les troubles de l’anxiété, c’est simple

Pour soigner les troubles anxieux, il n’y a qu’à faire exactement ce que je vous indique dans le cadre du Programme ARtUS. Ça marche dans plus de 95% des cas, en moins de 2 mois, et sans médicaments.

Ce programme thérapeutique est le fruit de mes 30 années d’expériences dans les domaines de la thérapie comportementale stratégique et brève.

Alors si vous êtes prêt(e) à passer à l’action et à rejoindre ces milliers de personnes qui ont réussi à reprendre le contrôle de leur vie, je vous invite à cliquer sur le lien ci-après.


Mieux communiquer sur les tocs


Frédéric Arminot
Frédéric Arminot

Ancien grand anxio-dépressif, et victime d’angoisses aux multiples conséquences des années durant, je suis spécialisé dans le traitement des problèmes d'angoisse, d'anxiété, de dépression, de phobie, et de toc, et exerce depuis plus de 25 ans en qualité de comportementaliste (thérapeute/coach comportemental). Mes compétences dans les domaines de l'approche systémique de Palo Alto (approche stratégique et brève orientée solution) me permettent de résoudre 16 cas sur 17 en moins de 2 mois (95 % de résultats).