Dans la vie d’une femme, comme dans celle d’un homme, mais pas nécessairement pour les mêmes raisons, la venue d’un bébé à naître peut être facteur de ce qu’il convient d’appeler l’angoisse de la grossesse, ou la peur d’être enceinte.

La vie du couple, comme la vie de la future maman sont bouleversés par l’arrivée d’un enfant. Le premier d’une fratrie en devenir, ou je ne sais quel quantième enfant d’une famille.

L’arrivée d’un enfant, c’est la promesse de bouleversements dans la vie de couple, d’angoisses liées aux bouleversements physiques comme aux mouvements psychiques. Dès lors, l’angoisse de la grossesse altère la joie d’accueillir ce nouveau membre dans ce couple qui, de fait, devient une famille.

Dans le présent article, j’essaye de vous apporter des éléments d’appréciation quant à l’angoisse de la grossesse de sorte à objectiver.


Une solution durable et efficace

Et si la solution à votre problème était là où vous ne l’auriez jamais imaginé…


Pourquoi être angoissé(e) pendant une grossesse ?

L’annonce d’une grossesse est bouleversante pour une femme, comme pour un homme. Bref, pour un couple. Les habitudes de vie s’en trouvent modifiés, et les centres d’intérêts et d’investissements le sont tout autant.

Autant un couple éprouve une jolie immense aux fruits de leurs amours et s’en trouve positivement transporté, autant d’autres le vivent dans une angoisse qui nuit à leur bonheur ou à l’idée qu’ils s’en font ce qui ne leur épargne pas un sentiment de culpabilité qui a autant de force que toutes leurs peurs réunies.

Il est évident que la venue d’un bébé génère des mouvements en termes de centres d’intérêt, d’habitudes, de confort de vie, voire d’insouciance. La venue d’un enfant est vecteur de décentrage des centres d’intérêts, lequel génère des angoisses de la grossesse au sens des questions que les parents se posent.

Tout va t’il bien se passer ? Y a t’il des risques de grossesse pathologique ? Vais-je souffrir ? Mon compagnon ou ma compagne va t’elle ou va t’il autant me désirer ? Vais-je être à la hauteur pour éduquer et aimer cet enfant ?

Alors, pas de panique !

Oui, l’arrivée d’un enfant est source de stress et, effectivement, le corps d’une femme est durablement impacté par la grossesse. J’irais jusqu’à écrire par les mois de grossesse qui se succèdent.

Oui, la grossesse décentre la vie d’une femme comme la vie de couple. Oui, la vie d’une femme enceinte est, parfois, mouvementée. Et non, attendre un bébé n’est pas une maladie. Alors comment faire pour ne pas souffrir d’angoisse de la grossesse ? Comment être une femme enceinte épanouie et comment mener sa grossesse au mieux ?

De la tocophobie au bonheur d’être parents

Le choix de tomber enceinte est souvent le fruit – choisi – d’un arrêt de la contraception. Le fameux « arrêt de la pilule ».

Cahin caha, les spermatozoïdes ont œuvré et une ovulation a débuté, mais les futurs parents ne le savent pas encore. Tout commence par le fameux test de grossesse. Le retard des règles est souvent un indicateur de grossesse, et les hormones ont du mal à se tenir. Il s’agit alors de faire un test d’hormone HCG (Hormone Chorionique Gonadotrope).

Une prise de sang confirme les premiers signes de grossesse. Cette sérologie sera complétée par une recherche de virus (VIH/Virus du sida, et de l’hépatite). Les premiers examens médicaux commencent et seront suivis de bien d’autres. La future maman n’est pas au bout de ses peines surtout le premier trimestre de sa grossesse. Les premiers symptômes de grossesse font leur apparition et l’angoisse qui va avec.

Va alors débuter le ballet des rendez-vous chez le gynécologue. Il comptabilisera la fameuse, et ô combien nécessaire, aménorrhée. C’est ce qui permet de calculer les mois de grossesse et, partant, la fin de grossesse laquelle annonce la naissance du bébé. La future mère est alors dans les débuts de la grossesse, à l’aube des premières prises de poids.

De même temps, débuteront la peur des saignements, des nausées, des vomissements, les risques de fausse couche, voire l’angoisse d’une grossesse extra-utérine, ou l’angoisse d’avoir un enfant prématuré, à plus forte raison quand il s’agit d’une première grossesse.

Ces peurs sont d’autant plus vives quand la future mère a éprouvé les embûches d’une fécondation in vitro (dons d’ovocytes, fiv).

J’ai connu des futures femmes enceintes dans un désarroi profond lié à la peur d’attendre des jumeaux, certaines futures mères allant jusqu’à envisager une interruption volontaire de grossesse (IVG).

A l’inverse, ces futures mamans, ou d’autres, vont imaginer le futur sexe du bébé et ce faisant, choisir les prénoms du futur bébé.

Je m’en veux d’encore faire preuve de résistance mais, la grossesse, comme beaucoup de notre quotidien social, affectif et économique est… sous contrôle. Il y a donc peu de raisons objectives de craindre l’angoisse de la grossesse.

Médicalement, dès l’annonce d’une grossesse, la future mère fait l’objet d’une attention médicale programmée. Les risques existent mais sont minimisés, à plus forte raison quand on considère les visites chez le gynécologue, les échographies régulières, les analyses biologiques, et j’en oublie.

J’oubliais les nausées comme cadeau de bienvenue les premières semaines. Tout comme les crampes et le début des séjours prolongés aux toilettes. Bébé appuie de plus en plus sur la vessie, et l’envie de faire pipi va croissante.

Comment se rassurer en début de grossesse

Toutes les femmes enceinte ont besoin d’être rassurées en début de grossesse et l’attention médicale, comme l’attention du futur père comme celle e la future mère revêt un caractère essentiel à ce propos.

Par la suite, la maman va suivre un parcours balisé, un suivi de grossesse régulier chez les gynéco. Chaque trimestre de grossesse passe avec son lot d’analyses diverses :

  • Risque de toxoplasmose.
  • Risque d’une grossesse pathologique.
  • Échographies pour écarter toute suspicion de trisomie ou de malformations.
  • Si nécessaire, analyse du liquide amniotique.

En bref, recherche constante d’anomalies comme l’hypertension par exemple, chez la mère comme chez le bébé, ou de risque de diabète gestationnel ou de trouble de l’appétit.

D’où la nécessité de s’assurer de ce qu’il en est en matière d’acide folique. Période fort angoissante pour beaucoup de futures mamans.

Dans l’intervalle, les contractions se feront plus ou moins régulièrement sentir. Ces douleurs dans le bas-ventre qui font redouter un accouchement avant-terme ou la peur légitime d’un enfant mort-né. Autant de craintes qui chez les futurs parents obèrent – parfois – leur sexualité.

Rien que de trés normal dans toutes ces vicissitudes qui accompagnent la grossesse. Il suffit alors que la future maman se réfère à son médecin traitant comme au papa ou à la maman pour être rassurée.

Avant que je vous en parle, n’oubliez pas que si vous sentez que psychologiquement les choses ne vont pas bien pour vous, n’hésitez pas à consulter un psy même si cela vous inquiète. Vous n’êtes pas folle, vous avez juste besoin de soutien.

Comment contrôler l'anxiété pendant une grossesse

Comment ne plus avoir peur de tout pendant la grossesse ?

J’ai cru comprendre que chez certaines femmes, ces attentions médicales ont l’effet inverse à celui souhaité au point de générer des crise d’angoisse.

Certaines personnes plus sensibles que d’autres en conçoivent de l’angoisse voire de l’anxiété. C’est la projection de l’idée qu’il arrive quelque chose à leur bébé comme à elle même. Être enceinte est donc un élément anxiogène.

Il en est de même quant à la peur de se rendre chez le médecin traitant pour effectuer des analyses de suivi pré accouchement. Autant de démarches qui ne sont pas sans fragiliser certaines femmes au point qu’elles ressentent des symptômes d’angoisse de la grossesse.

Les semaines et les mois de grossesse passent, les questions s’accumulent et les crises d’angoisses aussi. Si avoir un bébé induit de se poser la question de choisir le lieu de naissance, le plus souvent, le gynécologue-obstétricien a ses « entrées » dans certaines maternités, mais demeurent tout un tas de questions :

  • Quels sont les droits de la future parturiente en termes de congés maternité ?
  • Dois-je allaiter ou non ?
  • Quels en sont les avantages du lait maternel pour le bébé ?
  • Quid du colostrum ?
  • Comment dois-je préparer et entretenir mes mamelons, et chaque aréole de mes seins ?
  • Vais-je accoucher par les voies naturelles à l’aide du péridurale ?
  • Y aura-t-il des complications qui nécessiteront une césarienne ?
  • Comment soigner mes vergetures ?
  • Qu’en est-il du suivi post-natal ?
  • Comment gérer un babyblues ou une dépression post-partum ?
  • Et le futur papa: quels seront ses comportements ?

Autant de questions qui, le temps venu, trouveront leurs réponses et, ainsi, rassureront la future mère sur ses peurs.

Comment ne plus avoir peur d’être enceinte ?

Bref… C’est compliqué.

A l’énoncé de tous ces paramètres, il y a de quoi verser dans la peur d’être enceinte, comme celle d’avoir peur de mettre un enfant au monde.

Si, en plus, vous considérez le contexte économique et social actuel, vous réunissez tous les motifs pour cultiver votre peur d’être enceinte et, par voie de conséquence, des symptômes d’anxiété.

Mais si vous regardez votre grossesse sous un autre angle, avoir le bonheur d’être parent peut être bien plus simple. Être maman, devenir parent, ne peut se réduire à un champ de contraintes et de peurs.

Une femme enceinte n’est pas malade. Pour autant, une future maman a besoin d’être médicalement entourée et d’être choyée que ce soit médicalement ou affectivement. Durant toute la période de gestation, la future mère est enveloppée d’attentions renouvelées et bienveillantes, du moins je le lui souhaite.

Il convient donc d’accompagner en faisant preuve d’écoute active, de bienveillance et de patience et, in fine, d’amour, ce qui constitue autant de comportements qui limitent les risques d’angoisse de la grossesse.

Les changements physiques issus d’une grossesse

Ce corps qui porte un enfant fait l’objet de tant d’attentions : hygiène alimentaire, sport, soins esthétiques, etc., de façon progressive et immuable. Mais il se peut que certaines femmes en conçoivent de l’angoisse parce qu’elles ont peur que leur corps ne retrouve pas pas sa plastique initiale.

L’avantage d’être suivie par des spécialistes permet de mesurer, qualifier et contrôler les risques de bouleversements qu’ils soient physiques ou psychiques ponctuels ou pérennes.

De fait, si une femme prend trop de poids, ou pas assez, les médecins l’accompagnent de sorte à ce que la future mère ne soit pas victime d’angoisse de la grossesse à propos de son corps.

Si, d’aventure, vous êtes inquiète à propos de votre avenir physique, n’hésitez surtout pas à consulter. Mieux vaut consulter plusieurs fois des professionnels médicaux ou psychologiques, ce qui est mieux que de faire silence ou, pire, de vivre un déni à propos de vos craintes.

Les changements psychiques liés à la grossesse

Une fois n’est pas coutume, la grossesse modifie les perceptions d’une femme quant à son propre corps.

Qui dit grossesse dit grossir. Alors, les notions de beauté, d’intérêt, de désir se font plus prégnants. L’image de soi, l’image du corps de la femme enceinte, sont appelés à se modifier, à évoluer, à être perçu de façon différente au fur et à mesure de l’avancée de la grossesse.

Ainsi, une future maman a légitimement peur d’être moins aimée ou désirée par le père ou la mère de son enfant. Il y a une certaine anxiété au cours de la grossesse et pas seulement à cause de la grossesse elle même mais aussi à propos de la suite.

Quand l’enfant nait, l’angoisse de la grossesse est donc normale au sens où cela génère des bouleversements parfois irréversibles dans la vie d’une femme.

Est-ce grave de faire des crises d’angoisses pendant la grossesse ?

Le stress et l’angoisse ne sont pas bons pendant la grossesse. Ils nuisent à la santé de l’enfant comme à la santé de la maman. Pour autant, les petites inquiétudes et les petites colères du quotidien ne sont pas graves.

Vous devez vous préserver du stress, mais vous ne devez pas non plus angoisser à la moindre contrariété en pensant que l’on fait du mal à son enfant. De même, une crise d’angoisse n’est ni grave ni dangereuse.

Cela n’a jamais tué personne et le bébé n’en souffre pas non plus. En revanche, si ces crises se multiplient, vous devez impérativement agir. La santé psychique de la maman est fragile et il faut lui venir en aide.

Sur le long terme, une anxiété trop importante nuit à la santé de la maman et de l’enfant.

La dépression pendant une grossesse

Comment contrôler son stress pendant une grossesse ?

La grossesse est une période particulièrement angoissante pour certaines femmes enceintes. Les préoccupations sont nombreuses et bien naturelles.

Quand je fais allusion à une angoisse de la femme enceinte, je pense a l’inquiétude de la future mère tant à propos de sa grossesse, que de l’accouchement, et du bon développement de l’enfant.

A ce propos, je me remémore cette amie qui m’a dit un jour au sujet de mon épouse qui attendait notre premier enfant, je cite : « Être enceinte n’est pas une maladie« . Pour autant, être enceinte induit des changements corporels et diverses douleurs.

Enfin, l’arrivée d’un enfant, même s’il n’est pas le premier, est un grand changement. Or, les grands changements sont la source de nombreuses anxiété.

Il ne faut donc pas hésiter à demander de l’aide ou à consulter un(e) thérapeute si vous vous sentez stressé(e) au cours d’une grossesse.

Vous pouvez aussi pratiquer des exercices de méditation, de relaxation ou encore de yoga pour vous détendre. Aujourd’hui, il existe un. ombre important de groupes qui accompagnent les futures mamans de sorte à ce qu’elles soient le plus détendues possible pendant leur grossesse ce qui permet aux intéressées d’aborder l’angoisse de la grossesse avec moins d’appréhension.

Pourquoi êtes-vous angoissée par la grossesse ?

La grossesse est très angoissante parce qu’elle est une période charnière dans la vie d’une femme et l’appréhension de l’arrivée d’un enfant et de ses conséquences n’est pas toujours facile à gérer. En plus, la grossesse chamboule le corps, aussi bien physiquement que du côté des hormones.

C’est donc une période stressante, face à laquelle la femme enceinte peut se sentir très seule. Effectivement, malgré tous les efforts du père, de la mère et de l’entourage, l’anxiété de la femme enceinte peut-être alimentée par un sentiment d’incompréhension.

L’anxiété est souvent le résultat de nombreuses préoccupations, souvent irrationnelles.

Or, ces pensées irrationnelles reposent parfois sur des sensations bien réelles, mais mal interprétées, sensations qui n’appartiennent qu’à la femme enceinte et lui donnent l’impression de ne pas parvenir à communiquer avec son entourage.

Dès lors, n’hésitez pas à en parler autour de vous, à vos proches et aussi à votre gynécologue obstétricien.

La peur de perdre l’enfant

L’anxiété pendant la grossesse a de multiples origines qui s’additionnent parfois. Souvent, la peur de perdre l’enfant, ou même de simplement nuire à sa santé, figure parmi les premières causes d’angoisse de la grossesse.

Le premier trimestre est particulièrement inquiétant car c’est à ce moment-là que les risques de fausses-couches sont les plus importants. Néanmoins, le reste de la grossesse n’est pas tellement plus reposant.

La future mère inquiète de la viabilité du foetus

Souvent, la femme enceinte s’inquiète démesurément pour le développement de son enfant, et multiplie les comportements de préventions, ce qui peut parfois l’isoler et aggraver l’anxiété.

Vous devez donc absolument écouter les conseils et les recommandations de votre médecin.

La peur de l’accouchement

La peur de l’accouchement est une autre peur très courante qui apparaît pendant la grossesse. L’accouchement est une épreuve douloureuse et violente pour le corps de la femme.

Ressentir une certaine appréhension est donc parfaitement naturel. Malheureusement, dans certains cas, la peur devient si importante qu’elle peut devenir de l’anxiété. On estime que près de 10 % des femmes enceintes développeraient une phobie de l’accouchement.

Outre l’inconfort que cela crée pendant la grossesse, cette phobie – la tocophobie – rend l’accouchement difficile, voire périlleux. Je ne saurais alors que trop vous suggérer de traiter rapidement cette inquiétude quand vous constatez qu’elle commence à dégénérer.

La peur de ne pas être une bonne mère

Cette peur figure systématiquement dans la liste des peurs évoquées par une majorité des femmes enceintes. Heureusement, cette inquiétude disparaît rapidement dès que la jeune maman rencontre son enfant.

Dans bien des cas, l’amour inconditionnel qu’elle ressent immédiatement lui fait oublier ses craintes qui ont accompagné la grossesse. Dans d’autres cas, l’inquiétude ne passe pas.

Ce n’est pas toujours un problème, car se préoccuper du bien-être de son enfant est normal et sain.

En revanche, les femmes que cette angoisse gêne peuvent enquêter sur ses origines. Parfois, c’est une simple conséquence d’un trouble anxieux plus global. Dans d’autres cas, c’est l’expression d’un traumatisme passé.

Prendre le temps de le comprendre est essentiel pour le bien-être de la jeune maman, et se faire aider à ce propos est une démarche adulte et responsable.

La peur de ne pas retrouver son corps d’avant

La dernière peur que les femmes enceintes évoquent concerne leur corps. La grossesse est un chamboulement brutal de l’équilibre physique et physiologique.

Beaucoup de femmes aiment se voir enceintes mais craignent tout de même de ne pas retrouver le corps qu’elles aimaient avant la grossesse. Chaque cas est très différent, mais l’anxiété n’a jamais aidé personne à obtenir le corps de ses rêves.

Alors, essayez de rapidement couper court à cette angoisse avant qu’elle n’amène son lot de conséquences délétères. Je pense notamment à l’alimentation ou, à l’inverse, à une pratique sportive excessive et dangereuse pour l’organisme.

Quel calmant prendre quand on est angoissée par une grossesse ?

Les femmes enceintes qui veulent agir tout de suite sur l’angoisse peuvent utiliser des calmants en attendant de la traiter avec un thérapeute comportemental. Idéalement, on conseille de se tourner vers les calmants naturels, que ce soient des infusions de plantes ou des exercices de respiration et de méditation.

Dans les cas extrêmes, on peut aussi recommander la prise d’anxiolytiques. Il est impératif de ne prendre ce genre de médicament qu’après avoir demandé son avis à un médecin. Il ne vous prescrira toujours que la posologie minimale des rares anxiolytiques adaptés à la grossesse.

Ce n’est évidemment pas une bonne solution et la prise d’anxiolytiques ne doit pas devenir une habitude pour calmer l’angoisse de la grossesse dans la mesure où cela nuit considérablement à la santé de l’enfant.

Comment ne plus avoir peur d’être enceinte ?

Si vous êtes victime d’angoisse de la grossesse, n’hésitez surtout pas à en parler à votre médecin traitant.

Il ou elle vous orientera vers un(e) spécialiste de l’accompagnement des femmes enceintes victimes d’angoisse de la grossesse. Cela vous évitera bien des troubles émotionnels et diminuera les facteurs de stress inhérents à tout bouleversement, même souhaité.

N’hésitez pas à consulter pour parler de vos angoisses à des professionnels.

Plus vous parlez, plus vous prévenez le risque de baby-blues ou de dépression post-partum lesquels sont deux facteurs d’angoisse de la grossesse qui, identifiés suffisamment tôt, sont pris en charge de façon efficace.

Mais il existe aussi une solution particulièrement efficace à l’angoisse de la grossesse ou à la peur d’être enceinte.

Cette solution à la peur d’être enceinte vous permet de retrouver confiance et, partant, d’apprécier tout le bonheur d’être parent. Vous trouverez des précisions à ce propos en bas de cet article.

Si vous avez des questions, merci de m’en faire part dans la zone réservée ci-dessous (onglet « Commentaires »).


Mieux communiquer sur les tocs

Frédéric Arminot
Frédéric Arminot

Ancien grand anxio-dépressif, et victime d’angoisses aux multiples conséquences des années durant, je suis spécialisé dans le traitement des problèmes d'angoisse, d'anxiété, de dépression, de phobie, et de toc, et exerce depuis plus de 25 ans en qualité de comportementaliste (thérapeute/coach comportemental). Mes compétences dans les domaines de l'approche systémique de Palo Alto (approche stratégique et brève orientée solution) me permettent de résoudre 16 cas sur 17 en moins de 2 mois (95 % de résultats).