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Angoisse de Séparation : Et S’ils Ne Revenaient Jamais ?

Qu’est-ce que l’angoisse de séparation ? Cela se résume à la peur de perdre quelque chose, quelqu’un ou plusieurs personnes (enfant, parent, compagne, compagnon, ou n’importe qui d’autre).

Les personnes concernées s’inquiètent alors d’être séparées de l’objet de leur intérêt parce qu’elles ne peuvent pas vivre sans lui.

Dès lors, l’angoisse de séparation fait écho à l’angoisse d’abandon.

En effet, l’angoisse de séparation et, partant, l’angoisse d’être seul(e) produit une peur incontrôlée qui, non seulement induit une dépendance, mais pousse à cette même dépendance.

Une angoisse de séparation repose donc sur une situation qui fait perdre la liberté de penser et d’agir par soi-même.

C’est un mal être qui fait de sa victime l’ombre de la personne ou de la chose dont elle ne veut pas se détacher.

La seule chose qui rassure la personne affectée, c’est la présence de ce à quoi elle tient, l’objet de son attachement. Chez les enfants, cette douleur de séparation se manifeste par un affolement lié à la peur de l’abandon, et de la solitude.

L’enfant a peur d’être délaissé, négligé, quitté, oublié ou abandonné par ses parents, au pire des cas, et ces enfants devenus adultes ne sont pas exempts de cette même peur si elle persiste, ni de la culpabilité qui l’accompagne.

Comprendre l’Angoisse de Séparation chez l’Adulte

L’angoisse de séparation chez l’adulte se manifeste par une peur intense et irrationnelle d’être éloigné de personnes significatives, souvent des partenaires ou des proches.

Cette anxiété peut entraîner une dépendance affective, des comportements possessifs et une difficulté à tolérer la solitude.

Contrairement à l’enfant, chez l’adulte, cette angoisse peut perturber les relations amoureuses, amicales et professionnelles, limitant l’autonomie et l’épanouissement personnel.

Causes et facteurs contributifs

Plusieurs facteurs peuvent conduire à l’angoisse de séparation chez l’adulte :

  • Expériences d’abandon : séparations traumatisantes durant l’enfance peuvent laisser des marques profondes.

  • Attachement insécure : relation parent-enfant instable peut engendrer une peur de l’abandon à l’âge adulte.

  • Pressions sociétales : valorisation excessive du couple ou de la vie en communauté peut accentuer la peur d’être seul.

Ces éléments peuvent favoriser une dépendance émotionnelle et une faible estime de soi, rendant difficile la gestion de la séparation.

Symptômes et manifestations

Les personnes souffrant d’angoisse de séparation peuvent présenter :

  • Peur excessive à l’idée d’être séparées de leurs proches.

  • Comportements de contrôle ou de surveillance envers les êtres chers.

  • Difficulté à se concentrer ou à accomplir des tâches quotidiennes en l’absence de la personne attachée.

  • Symptômes physiques tels que nausées, maux de tête ou palpitations lors de la séparation.

Ces manifestations peuvent altérer la qualité de vie et nécessitent une attention particulière.

Impact sur les relations et la vie quotidienne

L’angoisse de séparation peut entraîner :

  • Relations déséquilibrées : La peur de l’abandon peut conduire à une dépendance excessive, créant des tensions.fr.wikipedia.org

  • Isolement social : Éviter certaines situations par crainte de séparation peut limiter les interactions sociales.

  • Difficultés professionnelles : L’absentéisme ou le manque de concentration peuvent nuire à la performance au travail.

Reconnaître ces impacts est crucial pour entreprendre des démarches vers la guérison.

Approches thérapeutiques

Plusieurs méthodes peuvent aider à surmonter cette angoisse :​​

  • Groupes de soutien : partager son expérience avec d’autres peut offrir un soutien émotionnel et des stratégies d’adaptation.

  • Techniques de relaxation : la méditation, la respiration profonde ou le yoga peuvent aider à gérer l’anxiété liée à la séparation.

  • Thérapie comportementale (approche brève orientée solutions, Palo Alto) : elle vise à restructurer les pensées irrationnelles liées à la séparation et à développer des comportements adaptés.

Il est essentiel de consulter un professionnel de la santé pour déterminer le traitement le plus approprié. C’est la raison pour laquelle un programme en ligne a été créé. Il résout 16 cas sur 17 en moins de 3 mois.

Pour prendre connaissance de cette méthode révolutionnaire, cliquez sur ce lien : « Accès au Programme« 

Les groupes de soutien

L’anxiété de séparation chez les adultes peut s’aggraver jusqu’au point d’engendrer des complications sociales et professionnelles. Voici quelques méthodes pour surmonter les troubles liés à l’angoisse de séparation.

Renseignez-vous dès que les symptômes de l’angoisse de séparation. Quand vous savez les reconnaître, vous pouvez mieux les combattre. Seul(e), il est à craindre que vous ne puissiez aboutir à un résultat concluant. Rejoindre un groupe de soutien ou un groupe de parole, peut s’avérer trés utile.

Le groupe de soutien permet à ses membres de partager leurs expériences (symptômes, sentiments, solutions appliquées…) entre eux, et d’y puiser la force nécessaire pour s’affranchir de leur problème. Votre médecin pourrait vous trouver un groupe de soutien près de chez vous. Je vous invite à en discuter-en avec lui.

Outre le groupe de soutien, un thérapeute spécialisé dans l’angoisse de séparation chez les adultes, ou un programme thérapeutique en ligne, peut vous être indispensable. Ils sont réputés pour vous recommander des techniques qui vont vous apaiser lorsque vous êtes inquiet.

La distraction cognitive pour calmer l’angoisse

Pour calmer l’angoisse de séparation, il est nécessaire de neutraliser vos pensées négatives.

Dans un premier temps, tenez un journal dans lequel vous mentionnerez toutes les pensées négatives, les suppositions, et les croyances, qui vous hantent, et ce aussi souvent que vous vous retrouvez en situation de paniquer.

Deuxièmement, prenez la peine de remplacer ces pensées négatives par des pensées positives. Ainsi, vous parviendrez à vous calmer. À ce sujet, l’approche systémique de Palo Alto peut énormément vous aider. Votre médecin ou votre thérapeute sont à même de vous renseigner à ces sujets.

Enfin, divertissez-vous ! Pour éviter de ruminer les mêmes pensées négatives, soumettez votre esprit à d’autres occupations plus relaxantes.

Par exemple, vous pourriez vous adonner à votre passe-temps favori, ou vous concentrer sur une tâche que vous aviez laissée en suspens. Allez vous promener, ou faites un exercice sportif si cela vous chante. Ou alors, allez visiter un lieu quelconque ou allez au cinéma.

Traitement naturel de l’angoisse de séparation chez l’adulte

N’hésitez pas à pratiquer des techniques de relaxation et de gestion de vos émotions pour vous détendre.

La technique de respiration ventrale est une excellente façon pour soulager le stress. Quand vous sentez l’inquiétude monter en vous, inspirez lentement par le nez pendant 5 secondes.

Concentrez votre attention sur la perception que vous avez du mouvement de l’air pendant que vous respirez. Posez votre main sur votre poitrine pour la sentir se gonfler quand vous respirez.

Deuxièmement, faites de la méditation au moins cinq minutes par jour. Son but est de vous concentrer sur votre respiration tout en faisant le vide dans votre tête.

Asseyez-vous dans une position confortable et commencez quelques exercices de respiration. Concentrez votre attention sur votre respiration. Ne jugez pas toutes pensées que vous pourriez avoir dans cette posture, ne les rejetez pas non plus, et essayez de ne pas ressasser.

Troisièmement, visualisez ce qui est bien, bon, beau et agréable. Cela peut réduire votre effroi.

Commencez avec quelques minutes d’exercices de respiration et de méditation. Fermez les yeux et imaginez une situation calme et relaxante.

Par exemple, imaginez l’eau d’un fleuve qui ruisselle sans bruit aucun. Utilisez votre imagination pour vivre tous les détails possibles de cette expérience, et lorsque vous vous sentez vidé(e) de stress et rempli de paix, ouvrez les yeux.

Comment ne plus avoir peur d’être livré(e) à soi même ?

D’une façon générale, il est trés facile de vaincre l’angoisse et, partant de soigner l’angoisse de séparation.

Cela repose sur des critères stratégiques et thérapeutiques et non nécessairement sur des critères de genèse du problème. Je m’explique.

Beaucoup de personnes s’interrogent quant aux causes historiques et familiales de leur angoisse de séparation.

C’est un comportement réflexe considéré comme normal mais, quand on est un enfant de 2 ou 3 ans, c’est une question sans réponse. Quand on est un adulte, c’est la même chose, qu’on interroge ou non son angoisse d’abandon.

Les raisons qui motivent l’une ou l’autre de ces angoisses sont multiples. Alors, tenter de répondre à la question du « pourquoi » n’a qu’un seul effet, celui d’alimenter des pensées obsessionnelles parce-que, in fine, on ne trouve jamais de réponses à une question qui n’a pas de sens.

Effectivement, si votre question avait un sens, vous lui auriez rapidement trouvé une réponse.

Il convient alors de comprendre le mécanisme de cette angoisse, son contexte, l’environnement dans lequel elle s’exprime et, partant, d’en définir les interactions. C’est à dire : « qu’est-ce qui fait que je réagis de cette façon et comment faire pour contrôler cette angoisse de séparation« .

Ainsi, on met en lumière les tentatives de solutions lesquelles alimentent le problème. A ce propos, le tout premier réflexe consiste à se rassurer ce qui a pour effet d’enrichir l’angoisse d’abandon ou de séparation.

Dès lors, il faut sortir de ce cercle toxique en mettant en place des techniques comportementales qui permettent à votre cerveau de cesser de réagir à de telles peurs d’une part, et de créer des ponts au-dessus des informations pathologiques de sorte à contraindre le cerveau à réguler son système d’alerte d’autre part.

Dans le même temps, sans que vous ayez besoin de « vous prendre la tête », cela va vous permettre de mettre en lumière pourquoi vous souffrez d’angoisse de séparation ou d’angoisse d’abandon. Vous allez donc gagner un temps fou et satisfaire la quadrature du cercle.

En répondant à la question : « comment résoudre mon problème ?« , vous répondez à la question : « pourquoi ais-je ce problème ?« . C’est ce que l’on appelle l’écologie du comportement. En faire le moins possible tout en produisant le plus de résultats possibles.

Ces techniques sont simples à utiliser et à mettre en place et donnent plus de 95% de résultats en moins de 3 mois.

Une solution contre-intuitive

Cette technique contre-intuitive consiste à exposer une personne à la chose dont elle a le plus peur. Dans le cas de l’angoisse de séparation, vous devez faire face à la peur de la séparation.

Vous allez mentalement vous exposer à une situation qui provoque de l’anxiété. Il y a plusieurs techniques. Vous pourriez commencer en pensant à la séparation d’avec vos proches pour décrire ce que vous ressentez.

Une fois cet exercice mental maitrisé, vous pourriez vous entraîner à être séparé(e) de votre maison ou de vos proches, sur des périodes qui augmentent de plus en plus, afin d’expérimenter ce que vous ressentez.

À défaut d’un spécialiste qualifié, demandez à vos proches de vous aider à pratiquer cet exercice d’exposition.

Pour commencer, demandez à votre proche de se tenir dans une autre pièce pendant que vous pratiquez les techniques de relaxation (respiration, médiation…), puis augmentez petit à petit la distance et le temps que vous passez loin de vos proches.

Vous pouvez aussi utiliser l’exercice du pire qui est lui des piliers du Programme thérapeutique en ligne ARtUS (lire en bas du présent article).

Une solution pratique à l’angoisse de séparation

Qu’il s’agisse d’une angoisse plus conventionnelle, ou d’une angoisse de séparation, il existe une stratégie simple et rapide pour soigner une angoisse de séparation.

Cette stratégie repose sur l’approche systémique de Palo Alto ou, pour être plus simple, sur l’approche comportementale dite stratégique et brève orientée solutions.

La stratégie utilisée est développée de façon très pratique dans un programme thérapeutique en ligne composé de 5 modules.

Chaque module contient un certain nombre d’exercices et de vidéos explicatives. A l’aide d’une cette méthode comportementale, vous êtes assuré(e) de trouver une solution à votre angoisse de séparation en moins de 8 semaines.

Questions fréquentes

Comment reconnaître l’angoisse de la séparation ?

L’angoisse de séparation se manifeste par une peur intense et irrationnelle d’être éloigné d’une personne proche, comme un partenaire, un parent ou un ami. Cette anxiété s’accompagne souvent de pensées obsessionnelles sur la possibilité d’un abandon, d’un besoin constant de réassurance, et d’un stress excessif à l’idée d’une séparation, même temporaire. Elle peut également provoquer des symptômes physiques comme des palpitations, des tremblements ou des insomnies.

Quel âge angoisse de séparation ?

L’angoisse de séparation apparaît généralement entre 6 et 8 mois chez le nourrisson et atteint son pic entre 12 et 18 mois avant de diminuer progressivement vers l’âge de 3 à 4 ans. Cependant, chez certains individus, cette peur persiste à l’âge adulte sous forme de dépendance affective ou d’anxiété excessive lors des séparations, notamment dans les relations amoureuses ou familiales.

Quand commence l’anxiété de séparation ?

Chez l’enfant, l’anxiété de séparation commence dès que l’enfant prend conscience qu’il est un être distinct de ses parents. Cela survient généralement autour de 6 à 8 mois et peut s’intensifier entre 1 et 3 ans. Chez l’adulte, cette anxiété peut apparaître après une rupture difficile, un abandon affectif, ou être liée à des traumatismes précoces.

Comment gérer l’anxiété de séparation ?

Pour gérer l’angoisse de séparation, il est essentiel de développer une autonomie émotionnelle et d’apprendre à tolérer la solitude. Des techniques comme la thérapie comportementale (Palo Alto) aident à restructurer les pensées négatives et à réduire l’anxiété. La pleine conscience, la respiration profonde et l’exposition progressive à la séparation permettent également de diminuer la détresse liée à l’éloignement d’un proche.

Comment se manifeste l’angoisse de la séparation ?

L’angoisse de séparation se traduit par une anxiété intense à l’idée d’être éloigné d’un proche, accompagnée de symptômes physiques et émotionnels. On observe une hyper vigilance, des crises d’angoisse, un besoin constant de contact ou de validation, ainsi qu’un comportement d’évitement face aux situations impliquant une séparation. Chez certains, cela peut même provoquer une panique irrationnelle, des insomnies ou une irritabilité accrue.

Comment soigner l’anxiété de séparation ?

L’anxiété de séparation peut être soignée grâce à une thérapie brève et stratégique qui aide à modifier les schémas de pensée anxieux et à renforcer l’indépendance émotionnelle. La thérapie d’attachement et la psychothérapie analytique peuvent aussi être utiles pour traiter les blessures d’abandon. Dans certains cas, un traitement médicamenteux (anxiolytiques ou antidépresseurs) peut être envisagé pour soulager les symptômes aigus.

Quels sont les signes de la dépendance affective ?

Les signes de dépendance affective incluent une peur intense de l’abandon, un besoin excessif de validation, une tendance à s’effacer pour plaire à l’autre, et une difficulté à être seul(e). La personne dépendante affective a souvent du mal à poser des limites, ressent une anxiété permanente dans ses relations, et peut supporter des relations toxiques par crainte d’être rejetée.

Comment se comporte une personne dépendante affective ?

Une personne dépendante affective manifeste une fusion émotionnelle avec son partenaire ou ses proches, cherchant constamment à être rassurée sur l’amour qu’on lui porte. Elle a tendance à se sacrifier pour l’autre, à éviter les conflits par peur du rejet, et à ressentir une angoisse extrême lorsqu’elle est seule. Ce comportement entraîne souvent des relations déséquilibrées, où la personne se sent toujours en insécurité.

Quelles sont les 5 causes de la dépendance affective ?

  1. Blessure d’abandon dans l’enfance (parent absent, séparation précoce).
  2. Attachement insécure (relations instables avec les figures parentales).
  3. Manque d’estime de soi (se sentir incomplet sans l’autre).
  4. Peurs irrationnelles liées à l’abandon ou au rejet.
  5. Expériences amoureuses douloureuses renforçant la peur de la solitude.

Quels sont les symptômes de la dépendance affective ?

Les principaux symptômes sont un besoin excessif d’attention et de validation, une peur de la solitude, une tendance à s’oublier dans la relation, une jalousie excessive, et un comportement fusionnel. La dépendance affective engendre une angoisse chronique, un sentiment d’insécurité et, dans certains cas, un comportement obsessionnel envers l’être aimé.

Comment s’appelle la peur de l’abandon ?

La peur de l’abandon est appelée angoisse abandonnique. Elle se traduit par une crainte excessive d’être rejeté(e), oublié(e) ou remplacé(e) par un proche. Cette peur provient souvent de blessures émotionnelles anciennes, et peut entraîner une dépendance affective ou des relations toxiques basées sur la peur du rejet.

Quels sont les symptômes de la peur de l’abandon ?

Les symptômes incluent une hypersensibilité au rejet, une jalousie excessive, une dépendance émotionnelle, une peur constante de perdre l’autre, et un comportement fusionnel. La personne ressent une insécurité permanente et peut adopter des comportements d’hyper contrôle ou de soumission pour éviter d’être abandonnée.

Comment se libérer de la peur de l’abandon ?

Se libérer de la peur de l’abandon passe par un travail sur l’estime de soi, l’autonomie émotionnelle et la gestion des pensées anxieuses. La thérapie systémique de type Palo Alto aide à déconstruire les schémas de pensée négatifs. Apprendre à poser des limites, à apprécier la solitude, et à développer des relations équilibrées est essentiel pour objectiver cette peur.

Qu’est-ce que la psychose abandonnique ?

La psychose abandonnique désigne un état d’anxiété extrême où la personne ressent un sentiment d’abandon permanent, même lorsqu’elle est entourée. Elle s’accompagne souvent de réactions excessives au moindre signe de distance dans une relation, d’un besoin compulsif de réassurance, et parfois de comportements obsessionnels. Ce trouble peut être lié à des expériences traumatiques précoces et nécessite une prise en charge thérapeutique adaptée.

Ressources

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Newsletter "Bertalanffy" par Frédéric Arminot

Ici, pas de câlins à l’enfant intérieur ni de bain sonore en chakra mineur. Juste un cerveau, des émotions en vrac, et la méthode Palo Alto pour démêler tout ça.

Spoiler : fuir ses problèmes ne fonctionne pas. Penser l’inverse non plus.

Thérapie comportementale, Frédéric Arminot

A propos de l'auteur :

Frédéric Arminot est thérapeute comportemental, spécialisé dans l’approche stratégique et systémique de Palo Alto (approche brève orientée solutions).

Fort de plus de 30 ans d’expérience, il a accompagné des milliers de personnes souffrant d’anxiété, de phobies, de troubles obsessionnels et d’angoisses chroniques.

Auteur, conférencier et formateur, il propose des solutions concrètes et efficaces pour surmonter les blocages psychologiques sans recourir aux méthodes traditionnelles inefficaces.

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Commentaires

N.B :

Par souci d’apporter de l’aide au plus grand nombre, les commentaires ont été réactivés le mardi 18 mars 2025.

6 Commentaires

  1. Frédéric Arminot

    Bonjour Jennad,

    Merci de votre feedback. Si vous avez besoin de précisions, n’hésitez pas à me solliciter.

  2. Jennad

    Très intéressant

  3. Frédéric Arminot

    Bonjour,

    Merci de vos encouragements, cela me touche beaucoup.

    Si je peux vous être utile, n’hésitez pas à me solliciter.

  4. Laborde

    Bonjour, vos articles sont très intéressants

  5. Frédéric Arminot

    Stéphane,

    Je vous ai adressé un mail pour vous expliquer comment traiter votre angoisse d’abandon mais je n’ai pas de nouvelles.

    Ce me semble important d’en avoir parce-que tant que nous n’aurez pas traité le problème de fond, vous pourrez toujours tenter, comme vous l’écrivez vous même, je vous cite: « …de rattraper le coup… », même si votre compagne vous « pardonne », à un moment ou un autre, vous retomberez dans les mêmes travers, avec les mêmes conséquences.

    Ce comportement relève du contrôle en espérant un changement chez l’autre mais pas nécessairement chez vous. Ce type de réaction de votre part risque d’être un tribut lourd à payer – de nouveau – pour vous.

    C’est juste une question de temps et de contexte.

    Mais vous faites comme bon vous semble. Cela vous appartient Stéphane.

  6. Stéphane

    Bonjour Frédéric,
    Il y a quelques années, j’ai rencontré une femme qui me correspondait et avec qui chaque moment passé ensemble était synonyme de bonheur. Une fois les premiers mois passés, les disputes ont commencé et sont devenues de plus en plus violentes…
    Les raisons de ces disputes étaient, selon moi, un manque d’implication dans la relation, en opposition à des déclarations d’amour de sa part en avalanches. J’étais perdu, ne comprenais plus rien, et les disputes devinrent de plus en plus violentes. Les mois sont passés, et elle a fini par rompre. J’ai alors pensé que c’était de sa faute, qu’elle était folle, etc…
    Durant cette relation, je suis tombé en dépression, n’arrivait plus à trouver l’énergie nécessaire pour faire les petites choses du quotidien, etc… j’avais des sueurs froides, des palpitations, des tremblements, et des nausées.
    Le temps est passé, la dépression aussi. J’ai rencontré une femme avec qui ça s’est passé de manière moins chaotique, mais les violentes disputes étaient quand-même présentes. Ce qui s’est encore soldé par une rupture.
    Puis il y a un an, j’ai eu le coup de foudre pour une autre femme, plus jeune que moi. Ce n’est pas sa jeunesse et sa « fougue » qui m’ont plu, mais ses qualités intellectuelles. Je ne suis habituellement pas attiré par les jeunes femmes.
    L’histoire a commencé, et suit en tous points les mêmes étapes que la première que je vous ai racontée plus haut…
    Au début, j’ai mis ces conflits sur le dos de sa jeunesse, donc, de son immaturité. En parallèle, je devenais de plus en plus jaloux, suspicieux de tout, critique, invasif et insistant pour avoir des explications à ses actes. Je devenais donc vecteur de stress, et elle a commencé à prendre ses distances, ce qui n’a fait qu’empirer la situation à mon niveau, au point de retomber dans la dépression. Mais ces 2 histoires similaires mont fait réfléchir, et j’ai fini par y trouver un point commun: moi, mais aussi mes colères hystériques dans certaines situations. Ces memes coleres qui ont poussé mes ex a stopper nos relations. J’ai donc pensé que j’avais un « mauvais sens du recrutement » en amour, et que, de toute façon, il fallait mettre un terme à cette colere qui est en moi. Après tout, toutes mes histoires ont été soldées par un échec. J’ai donc decide d’y remédie en consultant.
    Je suis tombe sur une psychologue qui m’a apporté pas mal de pistes en peu de temps, dont une qui m’a ouverts les yeux: la peur est l’émotion qui régit ma vie. Je suis donc allé me renseigner sur comment contenir ou vaincre ces peurs qui me gâchent la vie. C’est ainsi qu’à travers mes recherches, mise en corrélation avec certains dires de ma psy, que je me suis rendu compte que j’avais une peur de l’abandon, qui, en plus de l’angoisse, se manifeste par de violentes colères, et que celle-ci avait ruiné toutes mes relations précédentes. Ainsi, j’ai aussi pu identifier une dépendance affective, qui va de paire avec ce type de peur. J’ai fait en sorte de la combattre, de voir les choses sous un autre angle et d’apporter du positif à ma relation. Ça a commencé par SMS, puis j’ai pu revoir mon amie et appliquer ces nouveaux principes, ainsi que lui présenter mon nouveau moi. Et je l’ai fait avec brio, j’étais très fier de moi, la rencontre fut un franc succès. Mais, quelques heures après, j’ai eu un problème et lui ait téléphoné pour solliciter son aide, à plusieurs reprises, sans succès. Je me suis donc rendu à l’endroit où je savais quelle était, et je suis rentré dans une colere noire. A ces yeux, j’ai tout fichu en l’air, et je la comprends.
    Actuellement, j’essaie de « rattraper le coup », mais je sens que je vais devoir fournir beaucoup. Je dois la voir prochainement et je suis terrifié à l’idée qu’elle me voie pour rompre, ou, pire, qu’elle me dise qu’elle a rencontré quelqu’un qui la rend plus heureuse. Satané peur de l’abandon !
    J’ai aussi peur d’être contrarié par un évènement qui me fasse me sentir inconsciemment abandonné, et de rentrer dans une violente colère.
    Au delà de ne pas perdre cette femme que j’aime, je veux me débarrasser de ces peurs qui génèrent ces colères et qui me pourrissent la vie.
    Avez-vous un ou plusieurs conseils à me prodiguer?

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