L’anticipation est une réaction saine face à certaines situations. Une bonne capacité à anticiper permet d’éviter de nombreux problèmes. Elle est même la marque d’une intelligence conceptuelle particulièrement marquée.

Cependant, quand l’anticipation devient permanente et pousse à imaginer le pire, on parle d’anxiété d’anticipation. Les troubles anxieux sont difficiles à vivre, mais ils se soignent très bien.

Pour autant, la question primordiale reste de savoir comment traiter l’anxiété d’anticipation et, partant, comment soigner une grande anxiété sans antidépresseur ?

Définition de l’anxiété d’anticipation

L’anxiété d’anticipation n’est pas un trouble anxieux à proprement parler. L’anticipation anxieuse est plutôt une conséquence, ou un symptôme, des personnalités anxieuses. On la retrouve dans de nombreux troubles anxieux, notamment l’anxiété généralisée, l’anxiété sociale, l’anxiété de séparation, la phobie des hauteurs, la etc.

L’anxiété d’anticipation en tant que symptômes a tout de même été définie. En fait, l’anxiété d’anticipation est une forme d’angoisse exclusivement tournée vers le futur comme, par exemple, la phobie du dentiste anesthésie générale. Dans certains cas d’anxiété sociale limitée, par exemple, le patient angoisse exclusivement sur des événements passés.

Après une rencontre, il rejoue en boucle le dialogue dans sa tête en s’inquiétant d’être passé pour un idiot. L’anxiété d’anticipation consiste à développer une angoisse pour les événements à venir, petits ou grands.

Elle peut s’attacher à la question de la carrière aussi bien qu’au fait d’aller faire ses courses. Dans tous les cas, la personne imagine immédiatement le pire et tente de s’y préparer. Parfois, il en finit totalement paralysé et n’ose plus rien faire ce qui est souvent le cas dans des situations de crises vertigineuses, un symptôme d’anxiété.

Ceci est bien la preuve que plus vous essayez de contrôler ce dont vous avez peur qu’il vous échappe, plus vous perdez le contrôle. Il en est exactement de même quand la peur de perdre le contrôle est présente à la faveur de phobie d’impulsion.


Une solution durable et efficace

Et si la solution à votre problème était là où vous ne l’auriez jamais imaginé…


Pourquoi anticipez-vous toujours le pire ?

Les origines des troubles anxieux sont toujours difficiles à affirmer. En fait, elles varient beaucoup d’un patient à l’autre. Souvent, les spécialistes estiment qu’il est nécessaire de faire du cas par cas.

Certains patients développent leur anxiété après un traumatisme survenu pendant l’enfance, l’adolescence ou l’âge adulte. C’est par exemple le cas typique en matière d’hypocondrie. Dans d’autres cas, ils sont devenus anxieux à cause de leurs parents eux-mêmes anxieux ou violents physiquement ou psychologiquement.

Connaître l’origine de l’anxiété d’anticipation est encore plus compliqué puisqu’un trouble anxieux peut se développer suite à un traumatisme, puis produire une anxiété d’anticipation au fil des ans.

Les troubles anxieux évoluent et peuvent empirer au contact de nouveaux traumatismes. Des traumatismes parfois provoqués par le simple fait d’avoir peur. C’est le cas des phobies, puis de la peur des phobies, par exemple.

Souffrir d’anxiété d’anticipation n’est donc pas anodin et certainement pas de tout repos. Vous devez prendre vos troubles anxieux au sérieux et consulter rapidement quelqu’un pour les soigner.

L’anxiété d’anticipation dans le couple

Quand l’anxiété d’anticipation s’installe dans le couple, on parle aussi parfois d’angoisse amoureuse. Les patients qui en souffrent imaginent que leur partenaire va les quitter ce qui alimente leur peur.

C’est souvent une peur irrationnelle qui peut rendre jaloux, possessif, paranoïaque, voire violent (physiquement ou psychologiquement), dans les cas les plus graves. Le ou la partenaire finit alors effectivement par s’en aller.

Comment arrêter d'imaginer le pire et mieux gérer son stress?

L’angoisse amoureuse se caractérise généralement par un inconfort émotionnel ou une inquiétude excessive dès que le ou la partenaire s’absente. Les spécialistes l’associent donc souvent avec l’anxiété de séparation qui est un trouble anxieux parmi les plus fréquents chez les enfants.

Il persiste parfois à l’âge adulte, s’appuyant ou provoquant d’autres troubles anxieux.

Les personnes qui en souffrent doivent impérativement en parler à la personne qu’elles fréquentent. Ainsi, elles pourront discuter plus calmement de leurs réactions parfois déroutantes. Quand le couple est solide, le partenaire peut également aménager certains de ses comportements pour faciliter le quotidien du couple.

Néanmoins, il ne faut accepter cette situation qu’à une seule condition indispensable : que la personne anxieuse se fasse soigner auprès d’un spécialiste.

Pourquoi a-t-on peur de tout en vieillissant ?

L’anxiété et les troubles anxieux deviennent de plus en plus importants en vieillissant.

Après 60 ans, près d’une femme sur deux en souffre en France! Les seniors sont donc les plus touchés par l’anxiété et les patients atteints de troubles anxieux représentent plus de 10 % de la population française totale.

Actuellement, la science ne sait pas exactement pourquoi les personnes âgées sont plus anxieuses. Une chose est sûre, les enfants et les jeunes adultes sont beaucoup plus téméraires, mais ils se calment avec l’âge.

Certaines études laissent penser que la quantité de matière grise est en cause puisqu’elle diminue avec l’âge. Il faut aussi prendre en compte que les personnes les plus téméraires vivent moins longtemps et sont donc moins nombreuses chez les seniors.

Enfin, la conscience de la diminution des capacités physiques et mentales, ainsi que les changements importants de société qui interviennent inévitablement participent à isoler les personnes âgées.

Ainsi, l’isolement produit plus facilement de l’anxiété.

Plus on on vieillit plus on est anxieux et plus on anticipe

Comment cesser d’anticiper ?

Pour cesser d’anticiper constamment et de toujours craindre le pire, vous pouvez prendre quelques bonnes habitudes. D’abord, vous ne devez surtout pas donner raison à vos peurs en vous empêchant de faire certaines choses.

Vous devez affronter quotidiennement l’anticipation et la peur qu’elle produit en vous confrontant aux situations angoissantes. Ensuite, essayez de toujours garder à l’esprit la nature réelle du danger pour ne pas céder face aux pensées irrationnelles.

Enfin, pour vous aider à gérer l’anxiété et le stress en général, vous devez entreprendre une thérapie comportementale et cognitive (TCC).

Un comportementaliste professionnel vous donnera tous les outils cognitifs et comportementaux pour analyser et comprendre vos pensées irrationnelles, puis pour affronter vos peurs grâce à votre lucidité retrouvée.

Anxiété d’anticipation : être inquiet (souvent ou tout le temps)

Être inquiet, ou en proie à une inquiétude permanente, cache parfois des troubles anxieux mal diagnostiqués. Malheureusement, quelqu’un qui s’inquiète tout le temps a parfois du mal à comprendre que ses réactions ne sont pas normales comme, par exemple, faire le lien entre anxiété et troubles dans la sphère abdominale.

Or, bien diagnostiquer les troubles anxieux est la seule manière de les soigner et de se débarrasser de l’inquiétude permanente. L’inquiétude est une réaction naturelle, parfaitement normale et totalement saine.

Ne pas s’inquiéter suffisamment peut même être dangereux. En revanche, l’inquiétude peut parfois devenir compulsive. Les personnes qui en souffrent s’inquiètent alors parfois sans raison valable et sur des sujets variés ce qui fait écho à un trouble anxieux particulier, la chute des cheveux. D’ailleurs ne dit-on pas d’une personne inquiète « qu’elle se fait des cheveux » ou un « sang d’encre ».

L’inquiétude ne les quitte plus et ils sont assaillis de pensées qu’ils ruminent. Leur vie sociale et leur sommeil en sont très affectés.

Y a t’il un intérêt à s’inquiéter ?

Avant d’essayer de se débarrasser de l’inquiétude compulsive, on doit commencer par se demander d’où elle vient. Être constamment inquiet(e) quand on traverse une période difficile et marquée par la violence ou la maladie, ce n’est pas souffrir d’inquiétude compulsive.

Quand les causes extérieures de l’inquiétude sont rationnelles et facilement identifiables, on ne se débarrasse de l’inquiétude qu’en agissant sur ses causes.

En revanche, quand on est constamment inquiet pour tout sans parvenir à identifier de causes précises, l’inquiétude devient un état normal et diffus.

Dans ce cas-là, l’inquiétude est souvent liée à un trouble psychique de l’anxiété.

Souffrez-vous de troubles anxieux ?

Dans de nombreux cas, l’inquiétude compulsive n’est en fait qu’un symptôme d’un problème plus large : le trouble anxieux. Les troubles anxieux sont nombreux et varient de nature d’une personne à l’autre (toc, phobies, anxiété généralisée, phobie sociale, etc.).

Néanmoins, ces troubles psychiques s’accompagnent souvent de pensées obsédantes et de très longues périodes de ruminations. Tant et si bien que les troubles anxieux sont parfois associés à des formes légères de personnalités paranoïaques.

Les personnes qui souffrent d’anxiété sont constamment inquiètes et en alerte. Le moindre mot et le moindre geste pourront être interprétés irrationnellement comme une attaque ou une menace, même symbolique.

Ensuite, la personne anxieuse ne pourra pas faire autrement que de penser en boucle à ce moment et de craindre ses répercussions, même si elles sont totalement imaginaires. À force, le trouble anxieux produit également des tendances à l’anticipation très exagérées.

La personne anxieuse a peur de tout et veut constamment se protéger des menaces qu’elles considèrent comme innombrables. Résultat, elle est constamment inquiète.

Pourquoi êtes-vous toujours inquiet(e) ?

Les origines de l’anxiété ne sont pas précisément connues. Elles sont d’ailleurs trés diverses. Certains chercheurs suggèrent une origine génétique, mais cette thèse n’a pas suscité de consensus.

Selon ceux qui y adhèrent, même partiellement puisqu’elle n’exclut pas d’autres théories, la manière dont nos réseaux synaptiques fonctionne est notamment génétique. Or, quand les réseaux de la peur sont trop actifs, on souffre d’anxiété.

La thèse la plus couramment admise donne une explication environnementale à l’anxiété. Les personnes qui grandissent avec des parents anxieux qui s’inquiètent tout le temps deviennent souvent anxieuses elles-mêmes de la même façon typique que des troubles du rythme cardiaques sont observés chez une même famille d’individus ce qui, là aussi, caractérise un trouble anxieux inscrit dans l’histoire familiale.

Ainsi, les enfants qui vivent dans des situations familiales compliquées et qui assistent à des violences physiques et psychologiques sont aussi plus susceptibles de développer des troubles anxieux.

Enfin, un traumatisme important peut provoquer de nombreux troubles anxieux, notamment des phobies. Les cas les plus connus, notamment grâce au cinéma, sont les cas de stress post-traumatique chez les soldats ou les accidentés de la route.

Reconnaitre les signes de l'anxiété

Comment faire pour arrêter de s’inquiéter tout le temps ?

Pour arrêter d’angoisser tout le temps, ou de s’inquiéter tout le temps, je vous suggère fortement de demander de l’aide à un professionnel. Actuellement, les comportementalistes sont les plus à même de vous débarrasser de votre trouble anxieux.

La thérapie comportementale issue de l’approche systémique de Pal Alto est la thérapie la plus efficace contre l’anxiété.

Ce qui ne vous empêche pas, une fois ce travail thérapeutique terminé (moins de 3 mois), de suivre en parallèle une psychothérapie plus longue et plus approfondie. C’est un soutien précieux au quotidien et qui vous suit pendant des années.

Depuis une vingtaine d’années, la thérapie comportementale issue de l’approche systémique de Palo Alto est la solution la plus populaire contre les troubles de l’anxiété. Elle permet de se débarrasser d’un trouble anxieux (toc, phobie, anxiété généralisée, etc.) en quelques semaines seulement.

Contrairement à l’hypnose, elle fonctionne sur plus de 9 patients sur 10. La thérapie comportementale se concentre précisément sur le mécanisme de l’anxiété, son contexte, puis ses origines.

Dès lors, cette approche favorise d’abord un travail sur les symptômes de l’anxiété pour ensuite, et seulement après avoir vaincu les symptômes, travailler sur le « pourquoi », les origines.

Ainsi, d’un point de vue purement comportemental, le thérapeute comportemental vous permet d’objectiver progressivement vos peurs jusqu’à ce qu’elles disparaissent.

Ensuite, d’un point de vue cognitif, le comportementaliste vous guide dans l’analyse et la compréhension des mécanismes de vos peurs irrationnelles et de leurs origines.

Être inquiet : peut-on guérir de cette forme d’anxiété ?

On peut tout à fait guérir de l’anxiété. D’ailleurs, la quasi totalité des troubles anxieux se soignent très bien. En revanche, on ne peut pas guérir seul à la simple force de sa volonté.

L’anxiété témoigne de difficultés psychiques qui empêchent le patient de raisonner correctement quand il se trouve face à des objets ou des situations qui lui font peur. On peut donc guérir de l’anxiété facilement, à la condition de demander de l’aide à des professionnels de santé.

Il est important de rappeler que l’aide dont vous avez besoin contre l’anxiété ne peut pas venir de votre entourage. Bien sûr, le soutien des proches est important pour avancer, mais la responsabilité d’une solution contre l’anxiété ne peut pas venir d’eux.

C’est un détail à intégrer rapidement, car beaucoup de personnes anxieuses sont difficiles à vivre sans toujours s’en rendre compte. Guérir de l’anxiété, c’est donc aussi prendre soin de ses proches.

Gérer l’inquiétude grâce à l’hygiène de vie

Pour arrêter d’angoisser tout le temps, il est important de limiter les sources d’angoisses. Comme l’anxiété s’appuie sur des pensées irrationnelles, rien ne sert de vous rassurer en limitant les objets de votre peur.

Mieux vaut travailler sur votre santé psychique, notamment en facilitant une meilleure hygiène de vie. En pratiquant une activité physique et sportive régulière et suffisante, vous changez profondément les apports chimiques et hormonaux dont votre cerveau a besoin.

Ainsi, vous apaisez l’activité des réseaux dédiée à la peur. De même, en dormant plus longtemps, vous ménagez votre système nerveux et diminuez l’anxiété. Les deux sont également liés, puisque le sport aide à mieux dormir.

Mais attention à ne pas devenir dépendant au sport…😊 De cela je vous en parlerais à la faveur d’un nouvel article.

Comment faire pour ne plus être angoissé(e)?

Parce-que, oui, les comportements obsessionnels et dépendants au sport existent bel et bien et ne sont pas sans conséquences. Tout est donc bien une question d’équilibre.

Dans l’intervalle, essayez de garder en mémoire que : être trop stressé(e) est aussi grave que de ne pas l’être suffisamment. Pour gérer l’inquiétude au quotidien, améliorer son hygiène de vie est donc une bonne solution.

Cela permet à la fois d’améliorer sa résistance à l’inquiétude – dans le cas notamment où elle serait due à des causes extérieures -, mais aussi de limiter l’impact des pensées irrationnelles qui la nourrissent.

En d’autres termes, une bonne hygiène de vie offre une meilleure résilience psychique et limite l’impact des troubles anxieux. Améliorer son hygiène de vie passe par de nombreux détails du quotidien.

L’activité physique et sportive régulière a un impact immense, mais ce n’est pas la seule solution. Se tourner vers une alimentation plus saine en favorisant les produits frais et plein de vitamines aide grandement.

On conseille également de limiter, voire de supprimer, sa consommation de tabac, d’alcool et de café. L’objectif est d’améliorer ses apports et de réduire les substances qui baissent l’assimilation.

Enfin, il est également conseillé de suivre des cures de magnésium et de zinc. Ces minéraux sont essentiels pour le bon fonctionnement du cerveau et de nos cycles hormonaux. Ils améliorent la qualité du sommeil et réduisent le stress.

Techniques pour gérer l’inquiétude au quotidien

Se débarrasser de l’inquiétude n’est pas immédiat. C’est un processus qui prend du temps, même s’il peut être très rapide avec les bonnes techniques.

Apprendre à gérer l’inquiétude au quotidien peut donc vous aider un peu chaque jour à avancer vers votre objectif : vous en débarrasser définitivement.

Pour affronter l’inquiétude au quotidien, vous devez absolument commencer par la rationaliser en la regardant en face. Prenez quelques minutes pour réfléchir et observer ce que vous ressentez.

Nommez vos inquiétudes et tentez d’analyser précisément leur origine la plus concrète possible. Ensuite, vous devez apporter une réponse à cette inquiétude.

Certaines personnes aiment faire des listes des étapes nécessaires pour résoudre un problème à l’origine de l’inquiétude. C’est une bonne habitude à prendre, mais ne vous inquiétez pas si elle ne fonctionne pas sur vous.

Parfois, chercher une solution et la réponse appropriée suffit. Enfin, vous devez apprendre à accepter ce contre quoi vous ne pouvez rien faire. C’est souvent douloureux, long et difficile, mais c’est une étape nécessaire.

Accepter son impuissance face à certaines situations permet de moins en souffrir.

Comment guérir de l’inquiétude ?

Quand l’inquiétude compulsive ne s’explique par aucune cause extérieure identifiable, on rencontre souvent des difficultés à la guérir. On doit alors agir sur son bien-être psychique et demander de l’aide à un professionnel si les troubles psychiques sont trop importants.

Améliorer l’hygiène de vie aide grandement, mais ne vous attendez pas à des miracles. L’anxiété est généralement le résultat d’une éducation particulière qui a favorisé l’apparition de fonctionnements psychiques bien particuliers.

Pour en guérir, la thérapie comportementale reste la meilleure solution. Cette thérapie permet de guérir de l’anxiété en quelques semaines seulement, et affiche un taux de réussite supérieur à 90 %.

Depuis quelques années, l’Assurance maladie conseille aux personnes qui souffrent de troubles anxieux de se tourner en priorité vers les comportementalistes. Ils vous permettent de vaincre définitivement et rapidement l’anxiété sans avoir recours à des médicaments coûteux et dangereux.

La thérapie comportementale repose d’abord sur des techniques qui éradiquent les réflexes émotionnels facteurs d’anxiété. Elle permet d’identifier précisément les pensées irrationnelles qui expliquent l’inquiétude compulsive.

Ensuite, les exercices comportementaux aident le/la patient(e) à vaincre ses pensées, voire ses pensées obsessives, jusqu’à s’en débarrasser.

Bien sur, si vous avez un message à m’adresser, je vous invite à utiliser le formulaire « Commentaires » sous cet article.


Mieux communiquer sur les tocs

Frédéric Arminot
Frédéric Arminot

Ancien grand anxio-dépressif, et victime d’angoisses aux multiples conséquences des années durant, je suis spécialisé dans le traitement des problèmes d'angoisse, d'anxiété, de dépression, de phobie, et de toc, et exerce depuis plus de 25 ans en qualité de comportementaliste (thérapeute/coach comportemental). Mes compétences dans les domaines de l'approche systémique de Palo Alto (approche stratégique et brève orientée solution) me permettent de résoudre 16 cas sur 17 en moins de 2 mois (95 % de résultats).