Ils pensaient que c’était impossible, alors ils l’ont fait…

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Dépression Réactionnelle : Comment la Soigner ?

Quoiqu’il se passe, en bien ou en mal, et à n’importe quel moment de votre vie, vous pouvez être confronté(e) à des évènements qui vous marquent au point que cela relève parfois du traumatisme ce qui aboutit à une dépression réactionnelle.

Dès lors, à l’appui des conséquences de ce type de dépression, être amené(e) à vous poser la question de savoir comment soigner une dépression réactionnelle.

La dépression réactionnelle génère une impression soudaine que plus rien n’a de sens. Que tout ce qui peut vous intéresser, ne vous intéresse désormais plus.

Je garde des souvenirs pénibles des diverses dépressions réactionnelles dont j’ai souffert le premier tiers de ma vie. Ce type de dépression est d’autant plus pénible qu’elle émerge contre toute attente. Un peu comme quand le soleil laisse soudainement sa place à un ouragan dévastateur. En quelques minutes seulement.

Il en va ainsi pour des personnes victimes d’agressions ou confrontées à un drame de la vie, un accident, ou un décès.

J’espère que cet article va répondre aux questions que vous vous posez sur cette pathologie et sur ses symptômes.

Symptômes de la dépression réactionnelle

Il y a nécessité à faire prendre conscience à la personne en souffrance, en pareille situation, qu’elle s’inflige de façon irrationnelle la responsabilité de l’événement.

Pour ce faire, vous pouvez vous aider, ou l’aider, à identifier une dépression réactive consécutive à un choc émotionnel à l’aide des symptômes ci-après :

  • Difficultés de concentration et diminution de l’attention.
  • Fatigue profonde et permanente.
  • Troubles du sommeil. Difficultés à s’endormir. Ou, au contraire, sommeil refuge qui permet d’oublier la situation vécue dans le réel, au quotidien comme au présent.
  • Pensées de mort ou comportement suicidaire. Il faut alors suivre de près le patient, parce que la dépression réactionnelle présente des risques de suicide dans certains cas.

Il est important de traiter la dépression réactionnelle de façon adaptée. Dans le cas contraire, elle évolue et devient chronique.

Les différentes causes et origines

La dépression réactionnelle est un trouble mental caractérisé par des épisodes de baisse d’humeur, ou de tristesse accompagnée d’une faible estime de soi comme d’une perte de plaisir ou d’intérêt dans des activités habituellement ressenties comme agréables. Autant de symptômes qui relèvent de l’anhédonie.

La dépression réactionnelle, aussi qualifiée de « psychogène » ou « névrotique », est une dépression déclenchée par un événement récent ou un traumatisme.

Plus précisément, ce trouble mental est occasionné par les causes suivantes :

Événement affligeant et/ou douloureux

Décès d’une personne chère, divorce, accident, chômage, annonce d’une maladie grave, échec sentimental. Il s’agit d’un épisode dépressif associé à un « stress psychologique majeur ».

Autant d’évènements qui peuvent s’inscrire, chacun à leur façon, dans différentes phases de la dépression.

Épuisement général ou accumulation d’une grande tension psychique

Dans ce cas, le trouble survient à la suite d’un stress répété. La plupart du temps, il est lié à la réduction du temps de sommeil. Il est possible de l’expliquer par une accumulation de tension que vous ne maitrisez pas, comme une longue période de travail sans repos.

Avec du stress, cela débouche sur un tel trouble mental.

Tout le monde vit des situations difficiles voire traumatisantes. Les réactions de chaque personne face à ses situations sont différentes, et varient en fonction de la sensibilité ou de l’émotivité de chacun.

En cas de deuil, un épisode dépressif associé au deuil est considéré comme naturel au cours des trois premiers mois qui suivent le décès. Au-delà de cette période, la persistance de la tristesse se traduit par une pathologie, une dépression réactionnelle laquelle nécessite une prise en charge.

Toutefois, certaines dépressions réactionnelles sont considérées immédiatement comme sérieuses ou graves. Par exemple, dans le cas des réactions à la suite de violences physiques ou sexuelles.

Qu'est-ce qui déclenche une dépression réactionnelle?

C’est aussi le cas du burnout, ou épuisement professionnel. C’est un épisode dépressif lié au stress professionnel. Il en est de même pour la dépression post partum, ou le baby blues, laquelle survient chez certaines mères après l’accouchement.

Néanmoins, il faut reconnaître que la cause de ce trouble mental peut être mineur ou tout simplement inexistant. En fait, le trouble de la dépression réactionnelle s’estompe. L’humeur de la personne qui en souffre s’améliore avec la disparition de l’événement déclenchant.

En cas de « rechutes anniversaires« , il faut faire le lien avec un événement déclenchant non récent. Son souvenir, à une période donnée de l’année, fait resurgir de la tristesse et un mal être.

Il est important de savoir que la dépression réactionnelle n’est souvent pas sévère. La dépression réactionnelle peut facilement être atténuée avec de l’affection, du réconfort, une présence bienveillante de l’entourage.

Comment diagnostiquer une dépression réactionnelle ?

Il faut faire la différence entre la dépression réactionnelle et une simple tristesse ou une altération de l’humeur. En effet, la peine est plus intense dans le cas de cette pathologie.

Le diagnostic de cette pathologie est finalisé par un spécialiste. Ci-après, je précise quelques-uns des symptômes qui vous permettent de mieux l’identifier ou de mieux la reconnaître :

  • Une souffrance morale caractérisée par la tristesse. L’incapacité à prendre du plaisir. Des pleurs fréquents, de la morosité. L’humeur varie énormément d’un jour à l’autre. Elle se trouve généralement plus sombre ou aggravée en fin de journée. Mais, comme je l’ai précédemment écrit, la tristesse est réduite avec de l’attention et du réconfort.
  • Un retrait affectif.
  • L’auto-dévaluation, le manque de confiance en soi.
  • Un sentiment d’inutilité de tout, des conduites d’échec. Plus clairement, le simple fait de prendre des décisions, des orientations ou de poser des actes qui dès le départ sont voués à l’échec.
  • Une baisse de l’appétit.
  • Des signes d’anxiété (gorge nouée, vertiges).
  • Un sentiment de culpabilité. Une tendance à se faire des reproches.
  • N’avoir pas bien, ou assez soigné, le proche malade et/ou décédé.
  • Survivre à un accident contrairement aux autres qui ont perdu la vie.
  • Avoir mal aimé celui ou celle qui a rompu.

Comment traiter une dépression réactionnelle ?

Pour traiter la dépression réactionnelle, vous pouvez vous faire aider par un spécialiste. En fonction du stade de la maladie, ou de l’intensité des symptômes, il est en mesure de vous proposer :

  • Un traitement médicamenteux avec des antidépresseurs et/ou des anxiolytiques.
  • Un accompagnement thérapeutique ou une psychothérapie seul(e) ou en groupe) pour vous aider à combattre les pensées négatives qui vous envahissent et maintiennent la dépression réactionnelle.

Il y a aussi des méthodes simples qui aident dans le traitement des symptômes et de la maladie. Des antidépresseurs naturels. Je pense à l’homéopathie, l’acupuncture, les extraits de plantes, ou la luminothérapie.

Traitement de la dépression réactionnelle

Vous venez de prendre connaissance d’un certain nombre d’éléments pour mieux comprendre et soigner la dépression réactionnelle.

Au delà de ces traitements que je qualifie de classiques, il existe un autre moyen.

Comment traiter une dépresiosn réactionnelle

Un moyen simple, rapide, et particulièrement efficace. Il a pour vocation à traiter la dépression réactionnelle.

C’est l’approche comportementale, issue de la thérapie brève.

Cette approche repose sur la systémie. C’est à dire l’approche systémique de Palo Alto. Cela signifie l’utilisation d’outils de compréhension du mécanisme émotionnel auquel vous êtes confronté(e).

Celui-là même qui vous empêche de retrouver du plaisir dans votre vie quotidienne.

Pendant des années, j’ai étudié et mis au point une technique comportementale qui vous permet de définitivement traiter la dépression réactionnelle. Ainsi, vous pouvez rapidement et facilement venir à bout de la dépression qu’elle soit ou non associée des symptômes d’anxiété, voire d’angoisses.

Comment se débarrasser d’une dépression réactionnelle ?

En moins de 2 mois, à l’aide d’outils thérapeutiques simples, à la portée de tous, vous traitez la dépression réactionnelle dont vous êtes victime, et ceci, quel que soit le temps depuis lequel vous êtes victime de ce type de dépression.

Depuis des années, je suis spécialisé dans le traitement de personnes victimes de dépression réactionnelle à la suite d’agressions ou d’accidents, ou de drames liés à l’exercice de leur activité professionnelle. Ainsi, j’aide des personnes littéralement sidérées à reprendre pied dans leur vie.

Bien sur, sans votre participation active, rien n’est possible. Je ne doute pas que, vous aussi, vous avez envie de retrouver le plaisir d’être et de vivre. Le plaisir de retrouver confiance et autonomie.

Questions fréquentes

La dépression et les chocs émotionnels sont des expériences complexes qui peuvent avoir un impact profond sur notre bien-être mental et émotionnel.

Comprendre ces phénomènes aide à mieux les gérer et à chercher l’aide appropriée d’où l’intérêt du présent article et des réponses aux questions les plus fréquemment posées à ce sujet.

C’est quoi la dépression réactionnelle ?

La dépression réactionnelle, également connue sous le nom de dépression situationnelle ou dépression ajustement, est un type de dépression qui se développe en réponse à un événement stressant ou traumatisant.

Contrairement à la dépression clinique qui peut être causée par des facteurs génétiques ou biochimiques, la dépression réactionnelle est directement liée à une situation spécifique.

Par exemple, la perte d’un être cher, un divorce, un licenciement ou un déménagement peuvent déclencher une dépression réactionnelle.

Les symptômes sont les suivants :

  • Tristesse,
  • Anxiété,
  • Fatigue,
  • Troubles du sommeil,
  • Perte d’intérêt pour les activités quotidiennes.

Cette forme de dépression est souvent temporaire et se résout au gré de la capacité d’adaptation de la personne concernée.

Quels sont les 3 niveaux de dépression ?

La dépression peut être classée en trois niveaux principaux en fonction de la sévérité des symptômes :

  1. Dépression légère : les symptômes sont présents mais n’ont qu’un impact modéré sur la vie quotidienne. La personne ressent une tristesse persistante, une perte d’intérêt pour les activités habituelles, des troubles du sommeil et une fatigue générale. Cependant, elle est généralement capable de fonctionner dans la plupart des aspects de sa vie.
  2. Dépression modérée : les symptômes sont plus intenses et ont un impact significatif. La personne peut éprouver une tristesse profonde, une perte d’appétit, des troubles du sommeil, une faible estime de soi et des difficultés à se concentrer. Les activités du quotidien peuvent devenir difficiles à accomplir.
  3. Dépression sévère : les symptômes sont graves et débilitants. La personne ressent une tristesse extrême, une perte totale d’intérêt pour la vie, des pensées suicidaires, une incapacité à fonctionner ou à entreprendre, et des symptômes physiques comme des douleurs chroniques. Une intervention médicale et un soutien psychologique sont souvent nécessaires.

Comment savoir si on a eu un choc émotionnel ?

Un choc émotionnel est une réaction intense à un événement traumatisant ou stressant. Reconnaître les signes d’un choc émotionnel favorise un soutien personnalisé.

Voici quelques indicateurs courants :

  1. Réactions physiques : tremblements, palpitations, sueurs, nausées, maux de tête ou douleurs musculaires.
  2. Réactions émotionnelles : sentiment de confusion, de désorientation, de peur, d’anxiété ou de tristesse intense.
  3. Réactions cognitives : difficulté à se concentrer, perte de mémoire sur le court terme, pensées intrusives ou flashbacks de l’événement traumatisant.
  4. Réactions comportementales : retrait social, évitement des situations ou des personnes associées à l’événement, comportements impulsifs ou autodestructeurs.

C’est quoi une dépression émotionnelle ?

La dépression émotionnelle, également appelée dépression affective, est un état de tristesse profonde et persistante qui affecte non seulement l’humeur mais aussi les pensées, les comportements et les fonctions corporelles.

Contrairement à la dépression réactionnelle, qui est souvent déclenchée par un événement spécifique, la dépression émotionnelle peut être causée par une combinaison de facteurs génétiques, biochimiques, environnementaux et psychologiques.

Les symptômes correspondent à :

  • Une tristesse intense,
  • Une perte d’intérêt pour les activités habituelles,
  • Des troubles du sommeil,
  • Une fatigue persistante,
  • Des sentiments de culpabilité ou de désespoir,
  • Des pensées suicidaires.

La dépression émotionnelle peut être traitée par une combinaison de thérapie, de médicaments et de changements de mode de vie.

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Ici, pas de câlins à l’enfant intérieur ni de bain sonore en chakra mineur. Juste un cerveau, des émotions en vrac, et la méthode Palo Alto pour démêler tout ça.

Spoiler : fuir ses problèmes ne fonctionne pas. Penser l’inverse non plus.

Thérapie comportementale, Frédéric Arminot

A propos de l'auteur :

Frédéric Arminot est thérapeute comportemental, spécialisé dans l’approche stratégique et systémique de Palo Alto (approche brève orientée solutions).

Fort de plus de 30 ans d’expérience, il a accompagné des milliers de personnes souffrant d’anxiété, de phobies, de troubles obsessionnels et d’angoisses chroniques.

Auteur, conférencier et formateur, il propose des solutions concrètes et efficaces pour surmonter les blocages psychologiques sans recourir aux méthodes traditionnelles inefficaces.

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Commentaires

N.B :

Par souci d’apporter de l’aide au plus grand nombre, les commentaires ont été réactivés le mardi 18 mars 2025.

12 Commentaires

  1. Frédéric Arminot

    Bonsoir Dominique,

    Je vous ai adressé un mail à ce propos et reste donc dans l’attente de votre réponse.

  2. Dominique

    Bonjour,
    Comment avoir un rdv suite à un choc émotionnel (juin 2023) qui handicape ma vie au quotidien…
    Merci pour votre réponse.

  3. Frédéric Arminot

    Bonjour Gasmi,

    C’est à votre médecin conseil, ou votre médecin traitant, qu’il faut poser cette question. Et, dans les 2 cas, leur demander la procédure à suivre.

    S’il s’agit d’un accident du travail qui a déclenché une dépression réactionnelle, cela nécessite que l’AT soit déclaré à la Sécurité Sociale et qu’il y ait une ou plusieurs expertises.

    Si vous n’êtes pas d’accord avec la terminaison donnée à votre problème, je crois que vous pouvez contester auprès du Tribunal des Affaires de Sécurité Sociale ou du Tribunal administratif. Mais, je suis comportementaliste, pas juriste.

    Le mieux me semble être de consulter votre médecin traitant ou un(e) avocat(e) spécialisé en droit du travail.

    Ce spécialiste de la chose juridique pourrait – sous toutes réserves – essayer de faire requalifier auprès des tribunaux compétents votre arrêt de travail en accident du travail ou, à tout le moins, en un arrêt qui vous donne des droits et la reconnaissance de la relation de cause à effet entre ce qui semble relever du harcèlement, et votre dépression réactionnelle.

  4. Gasmi

    Bonjour.
    Je travailler sur une commune. Je suis en arrêt maladie pour dépression rédactionnelle du a des idées noirs suicide…. Par rapport au travail J été suivie par un psychologue m’a dit que pour pouvait que c est un accident de travail et non un arrêt de travail il faut passer par la justice . Pour savoir qui a raison. Je voulais savoir votre avis ?

  5. Frédéric Arminot

    Rachida,

    Je vous ai adressé ma réponse par mail.

  6. Lakehal

    Bonjour monsieur je souffre de dépression réactionnelle pouvez-vous m’aider merci.

  7. Frédéric Arminot

    Cyril,

    Si vous avez besoin de précisions ou d’une aide spécifique pour vaincre votre dépression réactionnelle, n’hésitez pas à me solliciter.

    Prenez bien soin de vous.

  8. legrand

    Merci Frédéric pour tous ces renseignements, oui bien sur je vais faire constater ces éléments par un médecin. c’est surtout savoir s’il va vouloir revenir sur les arrêts-maladies et de les changer en accident de travail !

  9. Frédéric Arminot

    Bonjour Cyril,

    Je ne conteste nullement la véracité de vos propos. J’écris simplement que si vous souhaitez faire valoir vos droits, vous devez faire constater votre situation émotionnelle (cf. dépression réactionnelle) par votre médecin traitant, voire la médecine du travail, et/ou un expert de la sécurité sociale.

    Ainsi, je vous précise simplement que vous ne pouvez pas, vous seul, décréter que vous souffrez d’une dépression réactionnelle (et ceci bien que les éléments de contexte que vous me rapportez légitiment cette éventualité).

  10. Cyril

    Bonjour
    Pourtant c’est bien à la lecture de ce mail que j’ai fait cette dépression.
    revenir sur tous les prix (environ 500 produits) ça veut dire faire des heures supplémentaires. surtout en télétravail ou une très mauvaise connexion…

  11. Frédéric Arminot

    Bonjour Cyril,

    En l’absence de tout diagnostic médical, un mail de votre manager ne peut être considéré comme une dépression réactionnelle.

    Si vous souhaitez que le contenu du mail de votre manager soit reconnu comme responsable d’une dépression réactionnelle, il vous faut consulter votre médecin traitant lequel, après diagnostic, décidera si, oui ou non, vous êtes victime d’une dépression réactionnelle.

    Il faut ensuite que cette décision obtienne l’aval de la médecine du travail, voire d’un(e) expert(e) médicale mandaté(e) par la sécurité sociale (paiement des indemnités journalières).

    Par ailleurs, il ne peut être établi un accident du travail qu’à compter du moment où un lien indiscutable est matérialisé entre des conditions de travail et un accident du travail. Par exemple, vous obliger à conduire un camion plus vite pour honorer plus de livraisons. Ou vous contraindre à conduire un véhicule, sous peine de sanction, alors que le dit véhicule n’a pas été récemment révisé (freins, etc.).

    A ce moment là, la responsabilité civile et pénale de l’employeur peut être engagée et, sous conditions, vous pouvez faire l’objet d’un arrêt de travail au titre d’un accident du travail (déclaration de l’employeur, etc.).

    Dans la situation que vous décrivez, votre problème ne relève pas d’un accident du travail. Au mieux, d’une modification substantielle du contrat de travail qui pourrait justifier une dépression réactionnelle.

    Dans un 1er temps, je vous invite donc à consulter votre médecin traitant.

  12. Cyril

    un mail de mon manager donnant un surplus de travail peut-il être reconnu comme dépression réactionnelle ?

    ‌Bonjour je suis en arrêt-maladie suite à un fait (mail de mon manager qui augmente le travail, (en télétravail suite à la pandémie, de plus avec une mauvaise connexion internet cella n’est pas possible de faire mes heures avec cette augmentation de travail) j’aimerais monter un dossier d’accident du travail mais je ne sais pas comment faire. j’aimerais un avis de votre part. j’ai le mail de mon manager.

    un mail de mon manager donnant un surplus de travail peut-il être reconnu comme dépression réactionnelle ?

    merci de votre retour

    mail de mon manager:

    Bonjour,

    Je m’aperçois que beaucoup de prix ne sont pas changés tous les jours

    Je sais que cela est « chiant » mais toutes les bases sont concernées et il faut impérativement le faire

    Tous les produits qui ne sont pas dans le tableau du national, vous devez revenir sur le PC et PP (minimum 37%)
    vous pouvez plus bien entendu.

    Je ne peux pas vérifier tous les jours et de plus ce n’est pas mon rôle

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