Nous avons tous un passé et, comme j’ai coutume de dire, nous l’avons dans le dos.

Expression pas très délicate, j’en conviens. Cela pour dire que, d’une façon ou d’une autre, nous trainons tous des traumatismes de l’enfance ou de nos expériences de vie.

Ce passé devient une réelle prison tant que les traumatismes de l’enfance ne sont pas résolus. Dès lors, il vous est impossible d’avancer sereinement dans votre vie si vous n’avez pas totalement remisé ces événements douloureux au chapitre des souvenirs non conflictuels et, par conséquent, pas traiter les symptômes de l’anxiété correspondants.

Il est donc important de savoir comment traiter anxiété et traumatismes.

J’entends pas là que, si vous ne travaillez pas sur l’inhibition émotionnelle de ces traumatismes de l’enfance, ils conditionnent beaucoup de vos réactions dans le présent.

A titre d’exemple, très récent, la réaction de Christine Angot au cours de l’interview de Sandrine Rousseau dans l’émission « On est pas couchés » du 30 septembre 2017.

Il est flagrant que cette écrivaine réagit aux propos de l’élue écologiste victime d’agressions sexuelles. L’une et l’autre ont été victimes d’inceste ce qui a du avoir pour conséquences des symptômes d’angoisse et d’anxiété qui n’ont pas du être simples à gérer quand elles étaient enfants.

Des traumatismes de l’enfance qui gâchent la vie d’adulte

Les traumatismes de l’enfance sont constitués d’événements douloureux qui vous marquent à vie. On parle donc de traumatismes de l’enfance quand ces moments sont fortement gravés dans votre esprit au point de revenir continuellement, de vous faire réagir constamment.

Inconsciemment, vous vivez cette peur de les voir ressurgir ce qui conditionne vos réactions émotionnelles dans des situations qui réactivent tout ou partie de ces souvenirs traumatiques.

Quand les traumatismes interviennent au cours de l’enfance, ils ont un impact majeur sur le reste de votre vie. L’enfance est une période où votre cerveau est en pleine construction.

Durant cette période, vous absorbez toutes les situations afférentes à votre quotidien à plus forte raison quand celles-ci génèrent des points de douleurs, lesquels, plus tard, vous prédisposent à souffrir de troubles psychiques. Ici, j’évoque le stress, l’anxiété ou la dépression.

Pour étayer la définition de traumatismes de l’enfance, j’expose ci-après deux traumatismes fréquents qui constituent les paramètres fonctionnels de l’adulte que vous êtes devenu(e).

La perte brusque d’un parent est un événement très difficile à supporter. Il en est ainsi quand il s’agit du décès d’un parent à la suite d’un accident de la circulation ou d’une maladie grave. C’est un marqueur violent qui imprègne le cerveau ou plutôt la mémoire au point de générer une crise d’angoisse après un deces.

L’enfant est contraint de progresser dans sa vie dans un contexte et un environnement psycho affectif déséquilibré, celui où la réalité s’impose alors que ce même enfant ne dispose pas de tous les paramètres affectifs pour intégrer une information de ce type.

Les croyances et les rêves de cet enfant sont à jamais bouleversés. L’absence de parents constitue un grand vide affectif et l’enfant est impuissant à modifier le cours de ce drame que la réalité lui impose.

Du coup, certains enfants rencontrent des troubles sociaux et affectifs au point de se convaincre de ne pas vouloir s’attacher aux gens, dans n’importe quel type de relation. En effet, ces mêmes gens peuvent disparaître de manière soudaine et brutale.

L’enfant réagit par un comportement non affectif pour se protéger des conséquences de traumatismes ou se prémunit contre d’éventuels traumatismes à venir.

C’est ainsi que ces enfants, devenus adultes, ont des relations troublées avec d’autres personnes ce qui rejaillit dans tout ou partie des domaines de leur vie.

Une recherche relationnelle éperdue

Plus la relation avec le parent décédé est forte, plus l’impact du décès est important sur l’état psychologique de l’enfant.

Par exemple, une fille qui a une relation forte avec son père brusquement décédé est susceptible d’avoir des difficultés à entretenir des relations épanouies avec les hommes et ce pour deux raisons :

  1. Elle recherche en chacun la relation qu’elle a avec son père, ce qui est quasi impossible à trouver, puisqu’il s’agit d’un idéal.
  2. La peur de perdre ces hommes, de la même façon qu’elle a perdu son père, la préoccupe continuellement et l’empêche de s’investir totalement dans la relation de couple.

Ces deux situations sont également probables chez un homme qui entretient une forte relation avec sa mère décédée de manière tragique.

Le plus souvent, dans ce type de situation, les relations avec le parent survivant sont marquées par de vives tensions qui altèrent la relation parent – enfant.

Cette expérience psycho affective conditionne la vie de l’enfant qui devient adulte. Celui-ci réagit constamment du fait d’une instabilité psychologique et émotionnelle puisqu’il n’a pas pu se construire de façon équilibrée dans la mesure où l’un de ses deux parents est absent.

Je vous laisse imaginer ce qu’il en est en terme de douleurs psychiques, surtout quand on sait comment se construisent certains enfants malgré la présence des deux parents. Je parle là de névrose…

Des abus sexuels responsables de traumatismes de l’enfance

Les abus sexuels font partie des traumatismes de l’enfance les plus fréquents. Ils sont paralysants à l’âge adulte et concernent les femmes le plus souvent, mais les hommes en sont également victimes.

Une personne sexuellement abusée au cours de son enfance a du mal à avoir confiance aussi bien en elle-même qu’en les autres.

L’assurance qu’elle a – plus ou moins – développé au cours des premières années de sa vie, s’en trouve altérée et, dans les cas où le bourreau est un parent proche, les traumatismes sont plus prégnants.

Ce manque de confiance en soi influe également sur la capacité d’apprentissage tout au long de l’enfance comme de l’adolescence.

La victime d’abus sexuels est beaucoup plus préoccupée à trouver une raison de continuer à vivre plus que d’apprendre. La personne victime est bien plus réactive aux évènements de son quotidien qu’elle n’est active et une fois à l’âge adulte, les conséquences de ces traumatismes sexuels peuvent apparaitre.

Une vie sexuelle quasi inexistante à cause de traumatismes de l’enfance

Une personne adulte victime d’un ou plusieurs traumatismes sexuels au cours de son enfance a le plus grand mal à s’épanouir sexuellement.

Il lui est particulièrement difficile, voire impossible, de faire confiance à son partenaire au point de lui offrir son corps. Pour elle, la sexualité est synonyme d’abus et de domination. Par conséquent, il lui est fortement douloureux, voire impossible, de s’abandonner pour ressentir le moindre plaisir.

La dépravation sexuelle, une conséquence de traumatismes de l’enfance

Un éveil malsain à la sexualité au cours de l’enfance motive – parfois – une sexualité dite déviante à l’âge adulte. Les personnes dans ce genre de situations risquent de sombrer dans une dépendance au sexe, partant, d’avoir une sexualité débridée, voire malsaine ou déviante, ou de faire un usage excessif ou dépendant de substances psychotropes comme les stupéfiants ou l’alcool.

Parfois, certaines victimes d’agressions sexuelles sombrent au point de se livrer à la prostitution.

La perte tragique d’un parent, et les abus sexuels, ne sont que des exemples parmi d’autres traumatismes subis au cours de l’enfance. Dans tous les cas, des traumatismes de toute nature deviennent une prison à l’âge adulte.

La question se pose donc de savoir comment faire pour se libérer de traumatismes de l’enfance, de comment retrouver confiance en soi.

Comment sortir de traumatismes de l’enfance ?

Victime de traumatismes, il est vital de faire la paix avec votre passé. Vous avez besoin de faire un retour en arrière afin de soigner les blessures infligées tout au long de votre croissance psychique.

En l’espèce, l’approche comportementale est une thérapie révolutionnaire. Elle vous aide à retrouver confiance en vous, comme en la vie et ce en quelques semaines seulement.

Cela ne relève pas du miracle ou du charlatanisme, c’est une question d’intervention systémique et stratégique.

Je m’explique :

  • En comparaison aux traitements médicamenteux, le coaching comportemental n’a aucun effet secondaire. Si les médicaments apaisent les symptômes physiques, ou psychiques, ils ne règlent pas votre problème.
  • En comparaison aux groupes de soutien, le coaching comportemental est plus efficace du fait d’un suivi personnalisé. Votre cas est spécifique et vous avez besoin de l’aborder dans un cadre bienveillant spécialement dédié à vous seul(e).

5 étapes : Ce sont les fondements du programme comportemental en ligne conçu pour vous. Pour vous aider à donner un cours apaisé de votre vie. Mais, en quoi un tel programme peut-il vous aider ?

Les 5 étapes à respecter pour traiter les traumatismes de l’enfance

  • Vous faites un point précis de vos symptômes et apprenez à objectiver. Il n’y a pas à avoir honte de ce que vous ressentez. Vous n’êtes pas responsable d’avoir subi des violences. Vous n’avez rien provoqué. La victime, c’est vous ! Le programme vous aide à pendre toute la mesure de cette réalité.
  • Pour se protéger de leurs traumatismes, la plupart des gens réagissent par l’évitement, par le contrôle de leurs émotions. Le programme thérapeutique et comportemental en ligne vous aide à retravailler le contexte de vos traumatismes ceci afin de reprendre le contrôle de vos réactions émotionnelles. Cela n’a rien d’inquiétant et c’est bien plus facile que vous ne le pensez en plus d’être essentiel. Pour guérir de ce type de blessures, il vous faut les rouvrir pour mieux les refermer. C’est un mal pour un bien.
  • Un tel programme vous aide à tourner la page de votre passé liés à ces traumatismes de l’enfance. Il corrige vos schémas de pensées réactives. Chez les victimes de traumatismes de l’enfance, la culpabilité et ou la colère sont constantes. Vous menez donc un travail de fond qui efface ce type de raisonnement et de réactions.
  • Ce programme en ligne vous aide à avoir des pensées et des comportements plus positifs, plus constructifs. Sauf à ce que vous y preniez un réel plaisir, vous n’êtes pas obligé(e) de gâcher le reste de votre vie à cause de votre passé. Avec ce programme comportemental, vous construisez des pensées, et des actions, bien plus valorisantes pour vous lesquelles vous conduisent à une vie bien plus épanouie. Vous vous acceptez pour qui vous êtes comme vous êtes. Vous surmontez tous vos problématiques de honte et de culpabilité. En bref, vous apprenez à vous affirmer dans tous les sens d’acceptation de ce terme.

La solution comportementale pour vaincre les traumatismes de l’enfance

Pour ce qui me concerne, c’est grâce à l’approche systémique de Palo Alto que je suis sorti de troubles psychiques liés à des traumatismes de l’enfance. Ceux-ci n’ont à voir avec le décès d’un proche ou un abus sexuel mais plus avec des dysfonctionnements familiaux.

Quel que soit votre passé, souhaitez-vous être une personne heureuse et épanouie ?

J’imagine que oui. Il vous reste donc un dernier effort à effectuer, celui de renoncer à souffrir et à expier une faute que vous n’avez pas commise.

Dès lors, pour faire la paix avec les traumatismes de l’enfance dont vous souffrez, je vous suggère de cliquer sur le lien ci-après :


La + efficace des solutions commence ici.


Article mis à jour le 13 novembre 2023 par Frédéric Arminot.


Frédéric Arminot
Frédéric Arminot

Ancien grand anxio-dépressif, et victime d’angoisses aux multiples conséquences des années durant, je suis spécialisé dans le traitement des problèmes d'angoisse, d'anxiété, de dépression, de phobie, et de toc, et exerce depuis plus de 25 ans en qualité de comportementaliste (coach comportemental). Mes compétences dans les domaines de l'approche systémique de Palo Alto (approche stratégique et brève orientée solution) me permettent de résoudre 16 cas sur 17 en moins de 2 mois (95 % de résultats). Pour en savoir +, je vous invite à prendre connaissance du protocole de résolution de problèmes en ligne que j'ai conçu. Si vous le souhaitez, vous pouvez aussi bénéficier de consultations thérapeutiques en cliquant sur ce lien : Consultations thérapeutiques

    50 replies to "Traumatismes de l’enfance : comment s’en libérer ?"

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Roland,

      Je pense qu’à la faveur de votre message vous me demandez quelque chose sans le faire pour autant.

      Pourriez-vous me préciser votre demande par mail:

      – Quid de vos émotions?
      – Qu’attendez-vous de moi?
      – Qu’avez-vous fait jusqu’à maintenant de sorte à essayer de construire une vie normale et croquer la vie à pleine dents?
      – Etc.

      Je vous invite à me réponde par mail. Je me ferais un devoir de vous répondre et d’envisager alors, une solution.

    • Roland

      Bonjour Monsieur,
      J’ai été abusé à l’âge de 8 ans par le patron de mon papa et ma grande sœur a subit le même sort !
      Ma sœur (qui n’est plus de ce monde) et moi avons une presque certitude que notre père nous a donné en pâture.
      J’ai gardé ce terrible secret de nombreuses années et j’ai réussi à en parler il y a pas très longtemps ( j’ai 56 ans)
      J’ai vécu toutes ces années avec de terribles crises d’angoisses et d’envies suicidaires.Une personne m’a aidé à me libérer de cela.
      Je sais que des choses pèsent encore dans ma vie de suites de cet événement et je me sent vide, inutile et j’ai une sensibilité extrême, handicapante même.
      J’aimerais trouver un semblant de vie normale et vivre le temps qu’il me reste, heureux et croquer la vie à pleines e dents.
      Il y aurait encore beaucoup de choses à dire, mais je vais m’arrêter là.
      Recevez, mes salutations les meilleures.

      Roland Ferrari

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Marion,`

      Je vous adressé un mail afin de vous guider pour traiter les traumatismes dont vous êtes victime lesquels influent vos comportements et mettent à mal votre quotidien dans tous les domaines de votre vie.

      N’hésitez pas à me solliciter si vous avez des questions.

    • Marion

      Bonjour, étant d’une fratrie recomposée de 5 enfants, je suis la 4ème mais la 1ere née de l’union de mes parents. J’ai vécu dans la violence quotidienne aussi bien physique que verbale de la part de mes frères aînés, un père absent toute la semaine de par son métier, un divorce à mes 17 ans. J’ai des souvenirs d’attachement et viol de la part d’une de mes frère, plusieurs mauvaises expériences comme les coups, des rapports non consentis, et du rabaissement moral jusqu’à mon conjoint actuel (depuis 11ans). En situation de stress ou d’incompréhension je me renferme sur moi-même malgré moi et pas en mode mutisme, ce qui impact cruellement mon couplé, j’en suis consciente mais je n’arrive pas à surmonter ces phases, j’ai besoin d’aide au risque de continue à me détruire et à briser mon couple.

    • Frédéric Arminot

      Bonjour,

      Votre humanité comme votre empathie et votre amour mérite le respect.

      Pour autant, vous ne pouvez rien faire pour votre compagnon qu’il ne veuille pour lui même. Maintenant qu’il a verbalisé son traumatisme, il serait opportun qu’il consulte le plus rapidement possible.

      Quant à vous, soyez vigilante à ce que vous ressentez au sujet de ce qui est arrivé à votre compagnon ne vous déborde pas au point de vous poser un problème et que cela abime ou entrave votre relation de couple.

      Du coup, essayez d’accepter que vous êtes triste et de passer à autre chose. Vous ne devez pas être la psy de votre compagnon.

    • Marie

      Bonjour,

      Mon compagnon a été victime d’un viol durant son enfance. Il vient de se confié à moi après plusieurs années, il ne l’avait jamais dis à personne. Il trouve ça trop tôt pour aller consulter un psy mais il n’est pas contre. Je le trouve très courageux d’avoir réussi à en parler. Comment puis-je l’aider ? Depuis qu’il me l’a dis je ressens de la tristesse et la vision de lui enfant abusé ne sort pas de ma tête. Ce n’est pas de la pitié car il est très fort psychologiquement mais ça me fait que quelqu’un ai pu lui faire cela.

      Merci de m’avoir lu

    • Frédéric Arminot

      Bonjour,

      Je vais vous envoyer un mail car, en effet, il y a des dispositions à prendre pour que vous puissiez vous libérer de cette entrave à votre développement à la suite de ce dont vous avez été victime enfant.

      Il est certain que de n’avoir jamais verbalisé ce qu’il vous est arrivé enfant vous plonge – sans doute – dans une sorte de défensive et d’anxiété qui complique votre intimité d’adulte.

    • Chérie

      J’ai été abusé par mon beau-père le père de mon frère à vers l’âge de 7 ans. J en ai jamais parlé et aujourd’hui j’ai 38 ans. Je crois que ça joue sur mon comportement avec mon compagnon qui ne comprend pas l importance majeur qu’à la sexualité pour moi. Pas de confiance. Je suis perdu je n ose pas pas lui en parler

    • Bonjour,

      Je comprends votre situation.

      Afin de vous proposer une solution adaptée à cette épreuve, je vous invite à cliquer sur le lien ci-après :

      « Traumatismes de l’enfance : Comment s’en débarrasser ? »

      N’hésitez pas à me solliciter si vous avez des questions.

      Bien à vous.

    • Despax

      Bonjour.
      A ma naissance, je suis né prématuré à 6 mois et demi. A ma naissance, je suis né inconscient, on a du me réanimer. Par la suite, j’ai dû etre transférer en urgence pour régler des problèmes neurochirugique. Je resterai pendant 2 mois loin de mes parents en couveuse. Pendant les 18 premiers mois de ma vie, mon quotidien sera ponctué de déplacement à l’hôpital pour des opérations en urgences. A 6 mois, faute de places on m’enverra en néo natalité alors que ma valve hydrocephalique etait dysfonctionnelle, le chef de service de neo natalité ralentira mon operation pour la neurochirugie pendant 3 semaines, j’ etais a deux doigts de trepasser, loin du regard et de la présence de mes parents (on parle d’un temps il y a 40 ans) ou mes parents n’avaient droit qu’à des éphémères visites. Cette maladie et les maltraitances hospitalières ont conditionné mon anxiété de jeune homme en devenir. Cette valve source conditionnante de vie et de mort qui me rappelera à moi à 8 ans, 13 ans et 20 ans. Depuis elles sont ancrées en moi j’aimerais pouvoir ôter cette cape bien handicapante dans ma vie m’en libérer pour vivre une vie épanouissante.

    • Bonjour Sam34,

      Cela vous avance à quoi de « vous taper dessus »? Je ne pense pas que vous fassiez exprès de vous sentir mal.

      Alors, pourriez-vous commencer par être gentille avec vous et vous pardonner de ne pas pouvoir faire quelque chose qu’on ne vous a pas appris?

      En ce qui concerne le poids de vos traumatismes et la façon dont ils vous handicapent dans votre quotidien, j’ai créé un programme thérapeutique en ligne particulièrement efficace (+95%).

      Je vous invite à en prendre connaissance et à en bénéficier en cliquant sur le lien ci-dessous:

      « Comment retrouver une meilleure image de soi et s’affirmer en faisant la paix avec ses traumatismes d’enfant? »

      N’hésitez pas à me solliciter si vous avez des questions.

      Bien à vous.

    • Sam34

      Bonjour,
      Je viens d’être diagnostiqué anxiodepressive majeure. Je suis mère célibataire depuis 4ans (l’âge à mon fils), et depuis 3 ans mes crises d’angoisses ont commencé. Jusqu’à ce qu’elles prennent de l’ampleur et que je sois incapable dallée faire mes courses, dallée au boulot… tout me ramène à mon enfance. A mes souffrance. J’ai le cœur tellement brisé. L’impression de revivre mes maltraitances, j’ai des peurs insensé qui m’empêchent de vivre. J’ai demandé au papa de me prendre le petit car j’allais pas très bien en ce moment. Mais là dernière fois qu’il a passé la nuit à la maison, il m’a avoué avoir pleuré le soir depuis son lit. Quand je lui ai demandé pourquoi il nest pas venu me voir, Il m’a expliqué qu’il m’avait entendu pleurer, être triste… je me déteste tellement

    • Bonjour Murielle,
      Merci pour votre message.
      Je viens de vous envoyer un e-mail afin de correspondre de façon plus privée.
      Je suis de tout cœur avec vous.
      Frédéric Arminot

    • fichet Murielle

      Enfant, j’ai vecu ans un foyer alcool et violence sans que l’on s’en prenne à moi , ensuite , je l’ai vécu comme épouse et cette fois c’était moi qui prenait les coups . Mes enfants ont vu tout ceci mais ,plus mon aîné qui lui en a souffert je pense, mais ne m’en a jamais parlé.. Aujourd’hui il a rencontré une personne qui l’a fait travaillé sur son passé et depuis ce moment il refuse de nous parler ainsi qu’à son frère et sa soeur . Je ne sais plus quoi faire car depuis 1 an je ne vois plus mon fils et cela nous rend malheureux

      Merci de votre réponse

    • Bonjour Lina,
      Merci pour votre message.
      Je viens de vous envoyer un e-mail afin de correspondre de façon plus privée.
      Je suis de tout cœur avec vous.
      Frédéric Arminot

    • Lina

      Bonjour,
      Vers 7 ans, j’ai été agressée sexuellement par un proche après le décès de mon père (non biologique mais qui m’a reconnu). J’ai refoulée la situation jusqu’à mes 17 ans environ avant d’en parler à ma Maman. J’ai cru que c’était réglé, minimisant ce qui était arrivé.
      Il y a 5 ans, un ami proche me dit: « fait attention à ton comportement avec les hommes, mes relations amoureuses notamment »??…j’ai 39 ans aujourd’hui.
      Je me rend bien compte que ce(ces) traumatisme(s) sont réellement présent mais comment guérir de tant d’années de refoulement? J’ai des mécanismes défensifs qui y sont liés forcément, au niveau de mes relations sexuelles, de mes relations amicales et amoureuses, de mes émotions coupées, de mon vide intérieur, de mes indécisions, de ma naïveté…
      J’ai vraiment besoin de sortir de cette détresse constante.
      Merci d’avance
      Lina

    • Bonjour Lili,
      Merci pour votre message.
      Je viens de vous envoyer un message afin de correspondre de façon plus privée.
      Je suis de tout cœur avec vous.
      Frédéric Arminot

    • Lilou

      Agée de 2 à 4 ans j’ai eu une nounou qui me frappait. Mes parents ont changé de nounou mais le fils de la deuxième m’a attouchée sexuellement.
      J’ai perdu ma mère à 15 ans.
      Je viens de perdre mon pere à 37 ans.
      Je n’ai jamais réussi à tisser un vrai lien fort d’amour dans mes relations avec les hommes. Je me sens aussi toujours déconnectée des autres personnes même très proches.

    • Bonjour Lucie,

      Sur la foi de votre histoire personnelle, il me semble cohérent que vous soyez fort mal à l’aise dans des situations qui réactivent les traumatismes vécus par vous au cours de votre enfance du fait des comportements d’addiction de votre père et des conséquences tant sociales qu’affectives de l’alcoolisme de celui-ci.

      Je vais vous adresser un mail pour vous expliquer comment mettre un terme définitif à ces traumatismes de sorte à vous permettre de retrouver la légèreté et la joie de votre – jeune – âge et, ainsi, à ne plus vivre ces soirées plus ou moins alcoolo-festives comme un problème, voire à vous affirmer sans craintes quand vous l’estimez nécessaire.

    • Lucie

      Bonjour,
      J’ai 22 dans une semaine et j’ai un problème concernant l’alcool. Je n’ai jamais bu d’alcool mais mon père en buvait beaucoup. Il était triste, l’a toujours été et on n’a jamais réussi à l’aider comme s’il n’en avait pas envie. J’étais petite je n’ai aucun souvenir de lui ou il n’y avait pas la présence de l’alcool.
      Il n’a jamais été violent physiquement mais c’était toujours assez psychologique du genre « si tu en parles à ta mère je vais me suicider » ou « j’ai bien vécu la mort de mon père ça ira pour les filles ».
      J’ai toujours grandi dans le « mensonge », il se cachait tout le temps à la maison, quand on partait en vacance,… et ça arrivait de le trouver bourré à n’importe quelle heure de la journée. Un jour ça a été trop il a fait peur à ma soeur et ma mère l’a viré de la maison, il est revenu le soir et a défoncé notre porte d’entrée avec une masse en répétant « je suis pas méchant », heureusement personne n’a été blessé.
      Mon problème aujourd’hui c’est que j’ai comme un blocage je pense, l’alcool je n’en bois pas ça me dégoûte, mais au delà de ça je suis mal à l’aise quand d’autres en boivent, pas juste une bière à l’apéro mais en soirée par exemple.
      En général j’évite d’ailleurs d’y aller, mais mon copain aime bien y aller de temps en temps et ça me fait plaisir de l’accompagner à la base, sauf qu’au cours de la soirée je suis tendue, dès que commence un jeu d’alcool auquel je ne participe pas je ne me sens pas bien et il m’arrive de devoir partir parce que je me met à pleurer et trembler.
      J’aimerai y remédier, pour pouvoir passer une soirée sans me sentir mal et être de mauvaise humeur a force d’être sur la défensive.
      Je ne sais pas comment m’y prendre.
      Peut-être que ce message ne trouvera pas de réponse au vue de la date où il est posté mais je tente quand même.
      Merci beaucoup.

    • Bonjour,

      Je suis navré d’apprendre que vous ayez souffert ainsi.

      Je vous envoie un mail en privé.

      Belle journée,

    • calixte

      Bonjour
      j’ai plusieurs traumatismes pendant mon enfance .
      perte de ma mere à l age de 8 ans
      difficultés relationnelles avec belle mere epouse de mon pere
      difficultés de tisser des liens entre freres et soeurs
      inceste à l age de 15 avec un parent tres proche
      Consequences grand besoin d avoir de la reconnaissance, d amour, manque de confiance en moi et sexuellement j’ai parfois l’impression d’etre un objet sexuel et parfois les rapports se passent bien
      c est comliqué et j’ai fais deja pendant 1 an et demi un suivi psycologique qui m ‘ a beaucoup aidé
      mais parfois je broie du noir

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Patrick,

      Merci pour votre message.

      Je suis navré d’apprendre que vous ayez subi ces traumatismes.

      Je vous envoie un mail de suite.

    • Patrick

      bonjour,
      lorsque j’étais enfant, ma mère et mon père m’ont laissé des mois chez une grand-mère très violente puis chez des amis à mes parents plus aimants. ma mère me rendait visite une fois par mois et son départ était un déchirement. Aujourd’hui encore je ressens les conséquences de cet abandon. Que dois je faire pour améliorer la qualité de ma relation avec les autres et avec moi même
      je vous remercie pour votre réponse
      amicalement
      Patrick

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Daniela. Je suis sincèrement désolé de ce que je lis. Sachez que vous n’êtes pas seule, je comprends contact avec par mail immédiatement. Frédéric.

    • Daniela

      J’ai vécu des attouchements sexuels, par plusieurs personnes, dans mon enfance. Aujourd’hui j’ai 28 ans, je ne peux plus détourner les yeux de ma réalité, de ce qu’est ma vie. Et ce que je vois est horible. Je n’arrive plus a faire comme si de rien n’etait, comme s’il ne s’etait rien passé ou comme si ce n’etait pas grave. Je suis au fond du trou. Mes pensees sont de plus en plus noires ; elles me font peur. Je ne sais pas dutout quoi faire, surtout en sachant qu’aller voir un psy ne va pas forcément m’aider.

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Jules,

      Votre exigence n’a sans doute d’égal que l’anxiété qui la supporte. J’entends par là, la peur d’échouer, de ne pas être à la hauteur, d’être jugé, et j’en passe.

      Pour vous aider, et conformément à votre demande, je vous invite à cliquer sur ce lien: « Comment Ne Plus Se Sentir Coupable Et Retrouver Confiance »

    • Jules

      Bonjour Mr Arminot, et merci encore à vous
      Je ne pense pas qu’il y ait un intérêt caché dans ma culpabilité, juste que c’est un peu embêtant vis à vis de ma vision perfectionniste des choses, spécialement envers moi même, je suis trop exigeant avec ma personne et parfois je ne suis pas objectif. Si un truc arrive aux autres, j’analyse très bien les choses et j’offre rapidement le soutien et l’explication en qqs sorte, mais s’agissant de moi même c’est plus difficile.
      J’aimerais volontiers que vous puissiez m’aider
      Cordialement

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Jules,

      Il y a surement un intérêt caché à continuer à culpabiliser alors que vous savez cela inutile et, fondamentalement, n’a pas de raison d’être.

      Si vous souhaitez retrouver la paix à ce sujet, comme à d’autres, informez m’en. Alors, je vous expliquerais comment faire.

    • Jules

      Merci mr Arminot
      Je sais que je n’ai aucun intérêt de culpabiliser ou me torturer avec ce sujet,car je ne peux pas être dans la tete du gosse inconscient, à qui ces choses là étaient une découverte ou un jeu ou je ne sais quoi…et je peux dire que c’est un peu bête de ma part de m’en faire autant,et de trop me fixer sur le sujet au point de me poser des tas de questions

    • Frédéric Arminot

      Bonjuor Jules,

      J’ai juste une question:

      « Quel est l’intérêt de vous torturer avec ce sujet alors que vous savez qu’il s’agit de gestes superficiels – que la plupart des enfants ont à cet âge -? Quel est l’intérêt de vous culpabiliser? »

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Cate,

      Je suis désolé de toutes ces souffrances qui vous ont été infligées.

      Pour définitivement remédier à l’anxiété qui s’en suit et, ainsi, à tous les traumatismes dont vous êtes victime, de sorte à retrouver estime et confiance en vous, je vous invite à à cliquer sur ce lien:

      « Je Souhaite Regarder La Vidéo De Présentation Du Programme Thérapeutique »

    • Jules

      Bonsoir Mr,
      J’ai 44 ans,je suis un homme, je n’ai pas subi de traumatisme dans mon enfance,mon seul problème est que j’ai un flash de souvenir qui remonte à très loin, quand j’avais 8 ou 9 ans, c’est flou. C est sorti de nulle part me voyant faire des trucs sexuels superficiels avec un gamin de mon âge.depuis, je ne cesse de creuser dans ma tête pour expliquer tout cela, et ça crée une confusion et de la culpabilité qui me rongent.
      J’espère que vous puissiez m’aider merci

    • Cate

      Bonjours
      Quand j’avais 16 ans j’avais commencer a me prostituer pour un proxénète et moi je le fesait uniquement pour lui parce que je voulais être aimée et j’avais d’énorme problème de confiance et d’estime mais lui il jouer dans ma tête me manipuler et détruisez peu à peu le peu d’estime que j’avais encore et moi je me disait qu’il fesait pas expret et qu’il avais raison parce que je pouvais pas imaginer que quelqu’un puisse être aussi cruelle mais maintenant je sais pas qu’elle est mon problème mais j’ai énormément de problème psychologique et de comportement j’ai aucune confiance et estime de moi, je n’arrive pas à travailler et prendre soin de moi et juste l’idée de sortir me provoque tellement d’anxiété et j’ai l’impression de devenir folle je n’ai conscience de rien Je suis indifférente et quand je me rappelle de cette période de ma vie je ressens rien alors que je suis supposer ressentir de la souffrance je me rappel tout le mal être et la souffrance que me provoquer me prostituer cetais un gros cercle vicieux qui recommencer encore et encore et où je n’arriver pas à sortir et quand je me rappelle de cette période si sombre c’est comme si cetais irréel c’est comme regarder un film en noir et blanc. J’aimerai savoir c’est quoi mon problème et comment sortir de la parce que sa me provoque énormément de souffrance

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Marie,

      Le plus simple consiste à essayer de comprendre ce qu’il vous arrive, ce qui vous bloque et, partant, d’envisager une solution adaptée à votre cas.

      A cette fin, je vous ai adressé un mail dans lequel je vous pose un certain nombre de questions. Vos réponses m’aideront à vous aider.

      Dans l’attente de vous lire, prenez bien soin de vous. A trés bientôt.

    • COLLAGE

      bonjour,

      je pense être plutot bien dans ma peau, je n’ai pas de symptomes d’anxiété, de stress (je le gère plutot bien, voir il me stimule), ni de tocs ou de phobies handicapantes (un peu d’agoraphobie), je suis plutot sociable, spontanée, dynamique (on me qualifie souvent de pétillante, avec du caractère) ; voilà un beau portrait, non ?
      le problème c’est que je le sentiment de ne pas savoir vraiment ce que je veux, mais de faire en fonction des autres pour les satisfaire eux ! résultat ; je fuis sans cesse quand je me retrouve acculée, au pied du mur, en « burn out » !
      j’ ai 50 ans, mère célibataire (la vie de couple , j’ai jamais vraiment envisagé), j’ai changé 6 ou 7 fois de boulot ; de secrétaire compétente et soumise , je me transforme du jour au lendemain en harpie pour obtenir une sortie !
      j’ai déménager 4 fois,
      j’envisage pas les thérapies ou il faut remuer le « fumier » de son passé, je le connais, je pense l’avoir analyser avec autant d’objectivité que possible ; je veux avancer !!! mais sur le bon chemin
      comment connaitre mes vrais valeurs , désirs ? là je bloque
      bien à vous
      Marie

    • Frédéric Arminot

      Bonjour,

      Je viens de vous adresser un mail pour vous poser un certain nombre de questions. Vos réponses m’aideront à vous orienter au mieux de vos intérêts.

      A bientôt.

    • ElaM

      Bonjour
      Je me permets de vous ecrire car voila maintenant 8 ans que je suis papa …mais malheureusement ce bonheur ma fait ressurgir mes traumas d enfance ou j ai ete battu et réduit à me taire par ma mere…
      Conséquence..les demons de ma mere ressurgissent et j agis tres mal avec mes enfants…
      Comment sortir de cette spirale pour leur bien?
      Mes enfants n ont rien fait de mal..et je me retrouve à cloner le comportement de ma mère.
      Merci de votre aide.

    • Frédéric Arminot

      Bonjour,

      Il y a sans doute un lien entre votre histoire personnelle et les conséquences de cette histoire de vie dans vos comportements d’aujourd’hui lesquels, sur la foi de ce que vous m’écrivez, ne sont pas sans conséquences.

      Mais, plus que d’identifier des raisons, ne vaut-il pas mieux se concentrer sur les solutions. C’est à dire focaliser un travail thérapeutique qui s’inscrive dans le cadre de la thérapie brève, « comment faire » (approche systémique de Palo Alto) et non « pourquoi » (travail analytique)?

      Je vais vous adresser un mail à ce propos car j’ai quelques questions à vous poser. Belle journée à vous.

    • claereboudt

      Bonjour.

      J’ai actuellement 42 ans, et je vis en couple, j’ai déjà eu trois enfants d’une précédente union, et arrive dans une période de ma vie ou je constate que systématiquement, je m’arrange pour détruire de manière systématique le bonheur créer autour de moi. aussi bien en professionnel que personnel, je n’arrive pas a franchir ce cap des deux ans.
      J’ai été dans ma jeunesse soumis a des attouchements sexuel voir plus, je me rappel certain moment et d’autre non, je sais qu’il y a eu plusieurs fois et que je ne suis pas le seul de ma famille dans ce cas.
      Mais d’autre que moi vivent peut être mieux avec ce problème que moi, avec ma compagne actuel nous avons effectué un travail de recherche dans mon passé et quoi que je construise tout ce casse dans ce délai des deux ans .
      Et je pense que cette manière d’agir actuellement et depuis de nombreuses années et ces problèmes d’enfance pourrait être relier , qu’en pensez vous?

    • Frédéric Arminot

      Bonjour,

      En réponse à votre commentaire, je vous ai adressé un certain nombre de questions auxquelles j’aimerais que vous puissiez répondre. Cela m’aiderait à vous aider.

    • BOULHAIS

      Bonjour, j’ai 50 ans et j’ai subi une opération chirurgicale assez lourde (méningiome, pas de séquelle) qui a fait resurgir du passé un abus incestueux, attouchements (mon frère), jusqu’alors j’avais réussi à tenir à distance ce secret, j’ai fait comme s’il n’existait pas, j’avais même un comportement « normal » avec ma famille (une mère très violente et très dirigiste et donc une éducation très carré et très cadrée), une vie sociale et professionnelle, en apparence normale. Bien sûr tout ça en ayant contrôlé, fermé et mis à distance toutes mes émotions et mes ressentis, aujourd’hui, il m’est difficile de retrouver ce contrôle, je me sens vulnérable, fragile, j’ai un sentiment de honte, de culpabilité peut-être, assez fort qui me mett très mal à l’aise. Je tiens à vous dire aussi, que suite à ce méningiome bénin, je suis suivie, depuis un an, par une psychologue clinicienne qui est très bien mais à qui je n’ose pas révéler ce secret qui devient omniprésent, je ne l’ai jamais dit à personne, aujourd’hui je l’écris … , des souvenirs apparaissent mais je n’ai pas la mémoire de tous les détails. JE NE SAIS PAS S’IL FAUT QUE JE LE DISE OU PAS, je suis dans un grand débat intérieur. Merci pour votre aide. Cordialement

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Sophie,

      Dans le cadre du problème que vous me soumettez, il y a 2 angles:

      – Votre vision du problème, ou de ce que vous vivez comme un problème
      – La vision de votre compagne quant à la question du plaisir (d’une façon générale et ou sexuelle) et à votre propre façon d’apprécier le sujet

      Dès lors, je vous suggère d’inviter votre compagne à prendre contact avec moi.

    • Sophie

      Bonjour Monsieur
      Ma compagne est vécu un inceste étant enfant
      Elle a du mal avec sa sexualité qui génère comme vous le dites très bien une forme de sentiment négatif dominant . Elle a énormément de mal à accepter le plaisir et contrôle de manière inconsciente tous nos moments d intimité
      C est douloureux pour nous aujourd’hui.
      Elle n a jamais consulté pour essayer d avancer
      Que pouvons nous faire ou que peux t elle faire pour trouver un équilibre ?
      Merci pour votre réponse

    • Frédéric Arminot

      Bonjour,

      A propos de votre traumatisme d’enfance, qu’avez-vous besoin de savoir?

    • lefevre

      Bonjour j’ai vécu u traumatisme d’enfance je suis une thérapie en gestalt c’est une catastrophe je ressort des séances anéantis au point que je met u terme à regret bien sur car je pensais avoir trouvé la solution en consultant un gestalt thérapeute.
      Je viens de lire votre article je voudrais en savoir un peu plus j’avoue être désemparer par la dernière séance que j’ai fait hier.
      Merci d’avance pour votre réponse. MERCI pour toutes les informations importantes que vous mettez en ligne

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Isa,

      Je vous suis reconnaissant de votre confiance et de votre témoignage. Je ne suis pas trés étonné que la sophrologie ne résolve pas votre problème. Ce n’est effectivement pas l’objectif de cette thérapeutique, laquelle ne peut que soulager vos maux et non les résoudre (j’insiste).

      Dès lors, eu égard aux traumatismes dont vous êtes victime, en quoi puis-je vous aider? Qu’attendez-vous de moi?

    • Isa

      Bonsoir

      J ai subi un boomerang émotionnel à l age adulte
      Ayant perdu mon père a 10 ans je n ai pas été prévenue de sa mort . J étais en colonie de vacances je l ai su 3 semaines après….J ai subi une humiliation dans mon milieu professionnel due à un manipulateur émotionnel. Je suis tombée en depression et ai beaucoup de mal à remonter la pente …je sais que ça m a fait venir à la conscience ce manque de ma vie .Mais ke trouve ça très difficile à accepter . Je rejette tous les gens que j aimais avant .Je fais pourtant de la sophrologie qui m aide mais je souffre toujours

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Yannick,

      Je comprends que cela vous ait déplu. Votre remarque est tombée à point nommé. je vous invite donc à regarder de nouveau la page et le contenu incriminés. Dans la mesure où vous savez lire, je pense que cela vous plaira. Peut-être…

      Programme thérapeutique

      Meric de votre intérêt et de votre aide pour être meilleur. Belle journée à vous.

    • Yannick

      Le lien vers « le Programme ARtUS » mène vers une video abusivement longue. C’est beaucoup trop long. Trop long et c’est la méthode « ligue des conducteurs » qui est employée: des propos écrits à l’écran et répétés par une voix off, comme si on ne savait pas lire !!! —> donc on laisse tomber bien avant la fin, et ce « Programme ARtUS » inaccessible restera l où il est.
      Ce n’est pas sérieux. Il n’y a pas à devoir subir ça.

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