La perte des cheveux ou l’alopécie génétique concerne en grande majorité des hommes (70 % d’entre eux environ), mais aussi parfois les femmes. L’alopécie aiguë concerne plus équitablement homme et femme. Elle correspond à une chute des cheveux plus rapide que la repousse.

Ceux qui en souffrent développent généralement de nombreux complexes à mesure qu’ils perdent leurs cheveux. Un problème important donc que la perte des cheveux, lequel est parfois dû à un stress important dont, par exemple, une inquiétude plus ou moins conséquente.

Le stress est-il la cause de la perte es cheveux ?

Oui, le stress peut être responsable de la perte des cheveux. La perte capillaire correspondant à une réaction physique du corps au stress s’appelle: effluvium télogène. L’exposition à un stress important pendant une période suffisamment longue va avoir des conséquences importantes sur l’organisme.

Cela va rendre les ongles plus cassants, le teint plus terne et les cheveux moins solides. Résultat, ils tombent plus facilement et repoussent plus difficilement. Généralement, la chute de cheveux liée au stress n’apparaît pas immédiatement après l’événement responsable.

Le stress peut-il être responsable de la perte de cheveux?

Différentes études sur la question ont établi une distance de trois mois entre l’événement traumatique et la perte des des cheveux. Parfois, il s’agit d’un stress très ponctuel (lié à un accident par exemple). Mais il arrive que le stress diffus et quotidien soit à l’origine de la chute des cheveux.

Dans ce cas-là aussi, une exposition de trois mois au mois à ce stress est nécessaire. Néanmoins, il ne faut pas confondre trois phénomènes bien distincts:

  • Alopécie congénitale qui mène à la calvitie.
    Près de 70 % des hommes en souffrent et c’est la source de nombreux complexes dans la population française.
  • Alopécie areata: Une maladie auto-immune qui cause la perte des cheveux suite à une réaction inflammatoire.
  • Effluvium télogène: Une réaction du corps face à un stress trop important qui provoque la chute des cheveux.

Pourquoi le stress fait perdre les cheveux ?

Le stress peut être à l’origine de la chute des cheveux quand on souffre d’effluvium télogène. Cependant, les autres types d’alopécie ne sont pas non plus totalement détachés de la question du stress et de l’anxiété.

Effectivement, les personnes anxieuses souffrant d’alopécie constatent généralement une accélération de la chute des cheveux liée à leur stress. L’anxiété n’est donc pas toujours à l’origine de l’alopécie. Mais elle peut lui être liée dans beaucoup de cas.

Le fonctionnement exact du système capillaire humain n’est pas encore parfaitement connu par la science, même au 21e siècle. En revanche, nous savons que les cheveux naissent sous la peau dans les follicules pileux. C’est là que sont assemblées les cellules nécessaires à la kératinisation.

Les cheveux sont composés à 95 % de kératine. La moindre perturbation dans la production de la kératine entraîne la fragilisation des cheveux, leur chute et limite la repousse.

Si le stress perturbe ce processus de fabrication des cheveux, c’est à cause des décharges hormonales qu’il produit, principalement de cortisol, d’adrénaline et d’androgènes surrénaliens.

Les androgènes surrénaliens ont un impact très particulier sur les cheveux: ils provoquent une rétractation des follicules pileux et des vaisseaux sanguins. En conséquence de quoi, le cheveu devient plus fin et plus fragile. Il tombe et repousse difficilement. Voire ne repousse pas du tout.

Chute de cheveux : à partir de quand faut-il s’inquiéter ?

Si vous pensez constater une chute inhabituelle et importante de vos cheveux, cela ne veut pas pour autant dire que vous souffrez d’alopécie. Néanmoins, il ne faut pas attendre qu’il soit trop tard pour s’en inquiéter. Il faut donc être en mesure de déterminer si la chute de vos cheveux est anormale.

Si elle l’est, alors vous pourrez vous intéresser à ses origines (maladies, stress, anxiété, choc émotionnel, etc.). Un adulte sain a une moyenne de 150 000 cheveux sur le crâne et il en perd entre 50 et 100 par jour.

Si la chute des cheveux dépasse cette moyenne pendant une semaine entière, alors il faut commencer à s’inquiéter. Pour le découvrir, il suffit de porter une charlotte sur la tête pendant toute une journée que l’on décide de passer à la maison.

Le soir, avant de se coucher, on enlève la charlotte et on compte les cheveux tombés. Si vous avez acquis la certitude que vous perdez vos cheveux à un rythme anormal, vous pouvez prendre rendez-vous avec un dermatologue.

Plusieurs analyses de vos cheveux et de votre cuir chevelu permettront peut-être de déterminer si vous souffrez d’une maladie ou non. Si rien n’est découvert, alors vous souffrez sans doute d’une alopécie liée au stress.

Il ne vous reste donc plus qu’à apprendre à gérer votre anxiété avec un comportementaliste.

La chute de cheveux réactionnelle

La chute de cheveux réactionnelle désigne toutes les chutes de cheveux accompagnées d’une perturbation de la repousse et dues à un événement stressant pour le corps et l’esprit.

Ainsi, un régime alimentaire trop stricte ou la prise de médicaments particuliers peuvent entraîner une chute des cheveux dite réactionnelle en plus d’un RGO du fait d’une intolérance stomacale.

Cependant, la chute de cheveux réactionnelle désigne plus souvent la perte des cheveux liée au surmenage, à un choc émotionnel, au stress et à l’anxiété.

La perte des cheveux réactionnelle

La chute de cheveux réactionnelle se remarque souvent pour son intensité. Effectivement, les personnes qui en souffrent perdent leurs cheveux parfois par poignées.

Certains n’osent même plus se toucher les cheveux, de peur d’accélérer la chute. C’est un phénomène qui vient donc rajouter de l’angoisse au stress et à l’anxiété qui en sont déjà à l’origine.

Dans l’immense majorité des cas, la chute réactionnelle des cheveux touche surtout les femmes. Pourquoi ? Parce qu’elle touche surtout les personnes qui ont plus de quarante ans. Or, 70 % des hommes à cet âge-là souffrent déjà l’alopécie.

Ici aussi, la chute des cheveux réactionnelle intervient généralement de deux à quatre mois après l’événement responsable. En cas de stress et de surmenage, il est donc possible de prévenir cette chute. Il faut néanmoins avoir été attentif à l’accélération de la chute.

Perte des cheveux : quelle solution ?

Si la chute de vos cheveux est excessive et qu’elle est due au stress, vous devez apprendre à vaincre ce stress. Il ne sert à rien de vous ruiner en produits cosmétiques pour prendre soin de vos cheveux.

Si leur chute est due à une perturbation liée au stress, ce n’est qu’en diminuant votre stress au quotidien que vous pourrez régler le problème. Il existe plusieurs techniques qui permettent de lutter contre le stress sous toutes ses formes (angoisse, dépression, anxiété, etc.):

  • Les massages du cuir chevelu sont très efficaces. Ils favorisent la repousse des cheveux tout en diminuant le stress et l’anxiété grâce à la détente qu’ils procurent
  • La pratique régulière d’une activité physique
  • Des activités de détente (méditation, cohérence cardiaque, yoga, etc.)
  • Une thérapie comportementale et cognitive

La thérapie comportementale présente l’avantage d’être très polyvalente. Elle permet aussi bien de lutter contre le stress ou l’anxiété généralisée que de traverser une période très difficile après un choc émotionnel important.

Le rôle du comportementaliste professionnel est justement de vous aider à comprendre les sources et les origines de vos angoisses, de votre anxiété ou de votre stress. En vous aidant à comprendre, il vous apprend à lutter contre ce stress et ses conséquences.

Perte des cheveux : comment gérer ce symptôme d’anxiété ?

La gestion du stress au quotidien est une compétence essentielle. Le stress est bon et sain pour nous quand il est justifié.

Il nous permet de réagir aux situations qui présentent des risques. Le problème, c’est que nos modes de vie modernes ont totalement déconnecté le stress du véritable danger contre lequel il est censé nous protéger.

Résultat, nous sommes stressés en permanence. C’est ce que l’on appelle de l’anxiété. Quand elle empêche de vivre normalement, on parle de trouble anxieux. Il est fréquent de lire sur Internet des séries de conseils pour nous apprendre à mieux gérer le stress et l’anxiété.

On y retrouve souvent la pratique de la cohérence cardiaque, la méditation, le sport, et même faire l’amour. Cependant, ce genre de conseil omet un détail important: toutes ces techniques sont efficaces quand elles sont utilisées sur un stress déjà sous contrôle.

Quand le stress s’est mué en anxiété, il est déjà trop tard.

Or, quand le stress et le surmenage mènent à la chute des cheveux, c’est qu’il s’agit bien d’un trouble anxieux. Dans ce cas-là, tous ces conseils permettent d’alléger la souffrance, mais de mieux gérer l’anxiété au quotidien.

Une thérapie cognitive et comportementale plus approfondie est nécessaire. L’anxiété s’immisce dans tous les aspects de nos vies et il faut l’en chasser méthodiquement avec l’aide d’un professionnel de la question.

Perte des cheveux : comment vaincre stress et anxiété ?

Pour vaincre son anxiété, l’idéal est de demander de l’aide à un professionnel de la thérapie comportementale. En quelques semaines seulement, il vous permet d’appliquer une méthode imparable sur vos troubles anxieux.

Petit à petit, vous apprenez à les comprendre et à les maîtriser. Vous n’apprenez donc pas seulement à les apprivoiser pour vivre avec, mais à les vaincre pour élargir votre conscience aux mécanismes de fonctionnement de la psyché humaine.

Néanmoins, une thérapie comportementale ne fait pas des miracles. Les meilleurs comportementalistes peuvent vous changer la vie, mais à condition que vous soyez prêt à fournir les efforts nécessaires.

Le comportementalisme n’est pas un médicament miracle, mais bien une thérapie qui demande des efforts. Un des efforts les plus importants consiste à ne pas retomber dans vos vieux travers une fois la thérapie conclue.

Effectivement, beaucoup de personnes anxieuses renaissent après une thérapie comportementale. Elles sont heureuses et comblées. Mais elles oublient qu’il leur reste du chemin à parcourir et des épreuves à affronter.

Elles considèrent que le plus dur est passé. Du coup, leur anxiété réapparaît en s’appuyant sur de nouvelles expériences difficiles. Voilà pourquoi il est essentiel de changer aussi son mode de vie et son regard sur le monde pour prolonger les bienfaits d’une thérapie.

Bien sûr, en cas de coup dur et de rechute, l’aide d’un comportementaliste est toujours d’actualité pour vous aider à rebondir.

Perte des cheveux et choc émotionnel

La chute des cheveux liée ne met pas directement en danger la santé de ceux qui en souffrent. Néanmoins, elle peut être à l’origine de nombreux troubles psychologiques puisqu’elle affecte durement l’amour-propre et l’image de soi.

Dans le cas d’un choc émotionnel, la chute des cheveux peut rajouter un poids supplémentaire extrêmement douloureux. En réagissant rapidement après un choc émotionnel, il est possible d’éviter une chute trop importante des cheveux.

Comme il est impossible de prévoir si le choc émotionnel aura ce genre de conséquence, il ne sert à rien d’investir dans des après-shampoings. En revanche, il est très utile de prendre le taureau par les cornes et de suivre rapidement une thérapie.

Après un événement traumatisant, il est préférable de ne pas laisser le temps refouler inefficacement les souvenirs.

Traiter le stress et l'anxiété pour ne plus perdre ses cheveux

Il est préférable de se tourner immédiatement vers un professionnel. Que ce soit un psychologue, un psychiatre ou un comportementaliste, chacun vous proposera des approches différentes.

À vous de voir celle qui vous convient le mieux. D’ailleurs, rien ne vous empêche de les essayer toutes, les unes après les autres. A ce sujet, je vous déconseille de le faire en même temps au risque de vous – thérapeutiquement parlant – ou de ne plus savoir à qui faire confiance et quoi ou quoi croire.

Perte des cheveux : qu’est-ce qu’une pelade ?

Aujourd’hui encore, la pelade est trop souvent confondue avec les autres types de chutes des cheveux. L’alopécie en plaque – autre nom de la pelade – provoque la chute des cheveux par plaques entières.

La peau du crâne conserve son aspect normal, mais des plaques entières sont dépourvues de poils. Cette maladie est très rare et encore assez mal comprise. Il n’existe donc aucun traitement pour la combattre.

Ceux qui en souffrent n’ont pas vraiment d’autre choix que de se résigner. Surtout, rien ne permet de relier l’alopécie en plaque (pelade) au stress. Elle touche principalement les hommes de moins de 20 ans et affecte également le reste de la pilosité du corps.

Par ailleurs, près de 80 % des patients constatent une repousse des poils après six mois ou un an. En revanche, il est plus rare que les cheveux repoussent. C’est parfois le cas, quelques années plus tard.

Néanmoins, de nombreux cas de rechute sont répertoriés. Il n’y a donc pas beaucoup de certitude autour de cette maladie.

Comment faire pousser les cheveux après une pelade ?

L’ignorance de la science autour de cette maladie rend difficile d’y trouver un remède, même un remède de grand-mère. Les études hésitent entre un facteur héréditaire, une exposition à un produit chimique, une infection virale et le stress.

C’est surtout l’hypothèse d’une pathologie héréditaire qui fait actuellement consensus, notamment parce qu’elle est souvent associée à d’autres maladies. Si vous souffrez de pelade, il y a donc peu de chance que le stress en soit à l’origine.

Si vous êtes une personne très anxieuse, cela ne veut pas dire qu’il n’est pas nécessaire d’apprendre à gérer votre stress. Néanmoins, les probabilités que cela soigne votre pelade sont proches de zéro. Heureusement, il existe des cas où les cheveux repoussent.

Il est donc possible d’espérer.

Pour autant, il n’existe pas de méthode miracle pour favoriser la repousse des cheveux après une alopécie par plaque. C’est aussi pour cela qu’il est important de la différencier des autres problèmes menant à la chute des cheveux.

L’évolution de la pelade est très imprévisible. Certaines personnes récupèrent tous leurs cheveux, d’autres ne perdent que des plaques toutes petites, etc.

Perte des cheveux et dépression nerveuse

La dépression nerveuse est une source de stress importante pour le corps. Quand cette pathologie mentale s’installe sur le long terme, elle a beaucoup de conséquences sur notre santé physique.

L’une de ces conséquences, c’est de s’en prendre à la bonne santé des cheveux. Ils pousseront notamment moins bien, moins vite et seront moins solides. Ils tomberont donc plus nombreux.

Par ailleurs, en même temps que le stress qu’elle provoque, la dépression nerveuse a des impacts importants sur la sécrétion de certaines hormones. Une bonne santé hormonale est ce qui donne à nos cheveux toute leur force et leur résistance.

Il n’est donc pas rare que les personnes dépressives constatent une chute plus importante que la normale de leurs cheveux. Dans certains cas extrêmes, cette chute des cheveux peut provoquer une alopécie. C’est d’ailleurs souvent le cas dans les syndromes post-traumatiques.

Ils s’accompagnent souvent d’une dépression et parfois d’une alopécie réactionnelle.

Alopécie et dépression nerveuse

Apprendre à reconnaître la dépression nerveuse est un exercice essentiel. Il en va de votre santé, mais également de celle de vos proches qui pourraient aussi en souffrir.

Il faut donc commencer par bien faire la différence entre un simple « coup de déprime » et la dépression nerveuse.

Perdre ses cheveux peut être le signe d'une dépression nerveuse

Pour simplifier, la différence entre les deux peut être considérée assez proche de la différence entre stress et anxiété. Il est parfaitement normal et sain d’avoir un coup de déprime face à une situation décevante, une épreuve particulièrement douloureuse ou exigeante.

Cependant, si ce coup de déprime s’installe trop dans la durée, on va commencer à parler de dépression. La dépression, tout comme l’anxiété, se caractérise par la rupture du lien habituel entre une situation réelle et vos sentiments.

Vous ne vous sentez plus triste à cause d’un événement, mais vous êtes simplement tout le temps triste. Voici les principaux signes d’une perte de cheveux liée à une dépression nerveuse:

  • Une grande tristesse,
  • Une grande fatigue,
  • Des problèmes de sommeil,
  • Le manque d’énergie et d’agitation,
  • Des troubles de l’appétit,
  • Des troubles sexuels,
  • Un sentiment de culpabilité et d’échec,
  • Des douleurs à l’estomac,
  • Une difficulté à se concentrer sur une tâche,
  • La perte d’intérêt pour les interactions sociales, amicales, amoureuses et professionnelles,
  • La difficulté à prendre des décisions,
  • Des pensées suicidaires.

Bien sûr, la nature et l’intensité de ces symptômes varient d’une personne à l’autre.

Comment arrêter une chute de cheveux due à la dépression ?

De toute évidence, vaincre la dépression devrait permettre naturellement d’arrêter la chute des cheveux. Le problème, c’est qu’il est impossible de simplement se décider à vaincre une pathologie mentale.

Venir à bout de la dépression nerveuse n’est pas obligatoirement un long parcours. Mais il faut avoir le courage de parcourir. Un courage parfois presque impossible à trouver quand on est déprimé.

Heureusement, rien ne vous oblige à faire ce chemin seul. Au contraire, demander de l’aide à ceux qui sont à même de nous en apporter est le premier pas essentiel vers la guérison. Cette aide peut prendre de nombreuses formes.

Beaucoup de gens se tournent vers leur proche. Mais il ne faut pas perdre de vue pour autant la nécessité de faire appel à des professionnels. Le secteur médical est évidemment une bonne solution, mais ce n’est pas la seule.

La dépression est souvent le dernier stade d’un mal-être généralisé que l’on peut relier à l’anxiété, à l’angoisse et au stress. Une fois de plus, l’aide d’un comportementaliste qui vous guidera tout au long d’une thérapie comportementale et cognitive peut s’avérer salvatrice dans bien des cas.

Quand le stress, l’angoisse et la dépression sont à l’origine de la chute de vos cheveux, la prise en charge rapide par un comportementaliste est une bonne solution. Elle permet de gérer vos problèmes en quelques semaines et d’éviter que la chute de vos cheveux n’atteigne des proportions trop importantes.

Chute des cheveux : les cheveux repoussent-ils ?

Tout dépend de la nature de la chute et de ses causes. Nous avons vu que dans le cas d’une pelade, la repousse des cheveux était imprévisible. De plus, même si les cheveux repoussent, il n’est pas assuré qu’ils ne retombent pas ensuite.

En revanche, si vos cheveux tombent à cause du stress, alors il est tout à fait probable qu’ils repoussent, et même plutôt rapidement. Cependant, pour atteindre de bons résultats rapidement, il ne va pas falloir se contenter de demi-mesures.

Méditer une fois par semaine ne suffira pas et vous devrez entamer un véritable travail de fond sur votre anxiété, ses origines et ses conséquences. Ce travail de fond ne peut se passer de l’aide d’un comportementaliste, mais il permet d’améliorer rapidement votre gestion de l’anxiété.

Par ailleurs, il est aussi important de considérer la chute des cheveux comme un signe envoyé par votre corps. Au-delà du stress et de l’anxiété, la chute des cheveux peut aussi être due à de nombreuses carences, notamment en vitamines.

Comment faire pour ne plus perdre ses cheveux ?

Pour ne plus perdre ses cheveux, il faut évidemment lutter contre l’origine de leur chute. Si vous souffrez d’alopécie androgénétique, alors il n’y a pas grand-chose à faire. C’est un trait génétique très commun chez les hommes et qui se manifeste généralement autour des 30 ans.

Aucun produit miracle ne stoppera la chute. Ils pourront au mieux la ralentir, mais ce n’est pas garanti. Il n’est donc pas judicieux de s’empoisonner avec des produits achetés au hasard sur le Net.

Si votre alopécie est liée au stress, alors vous devez apprendre à gérer votre anxiété rapidement pour ne plus perdre de cheveux. Les résultats obtenus par un bon comportementaliste sont très rapides et très impressionnants.

D’ailleurs, même les hommes souffrant d’alopécie androgénétique remarquent que la chute est ralentie quand ils souffrent moins du stress. Effectivement, le stress est un accélérateur du vieillissement qu’il ne faut pas négliger.

Enfin, quand la chute des cheveux a des raisons médicales évidentes (choc traumatique, cancer, grossesse, etc.), il est possible de la ralentir, voire de la stopper avec des traitements à base de vitamines.

Dans les cas de chutes les plus extrêmes, on injecte directement les vitamines dans le muscle avec une seringue.

Les 6 vitamines essentielles pour freiner la perte des cheveux

Si vous avez perdu beaucoup de cheveux, que ce soit à cause du stress, de l’anxiété, ou d’un choc émotionnel, vous devez commencer par stopper la chute. Une fois que c’est fait, vous pouvez vous intéresser aux méthodes pour favoriser la pousse des cheveux.

Ainsi, vous pourrez retrouver votre chevelure d’antan en un rien de temps.

L’une des meilleures méthodes pour influencer la pousse et la qualité des cheveux, ce sont les vitamines que nous consommons.

  • La vitamine A est antioxydante. Elle donne de la souplesse et du brillant aux cheveux. Elle favorise aussi la sécrétion du sébum qui protège les cheveux et leur permet de se développer plus vite dans le follicule pileux.
  • La vitamine B3 permet de stimuler la bonne nutrition de la racine des cheveux. Les cheveux sont donc plus sains et plus résistants. Une fois que l’on a éliminé le stress à l’origine de leur chute, cela permet de récupérer de beaux cheveux plus vite.
  • La vitamine B5 qui est essentielle dans le processus de renouvellement des cellules. Elle permet donc d’aider la repousse des cheveux, surtout après un épisode traumatique qui a entraîné une chute massive.
  • La vitamine B8 ressemble beaucoup à la vitamine B5 dans ses nombreux bienfaits pour les cheveux. Néanmoins, elle est surtout excellente pour la santé du cuir chevelu.
  • La vitamine B12 offre une chevelure saine et une repousse beaucoup plus rapide quand elle est associée avec les quantités suffisantes de zinc et de fer.
  • La vitamine E a l’immense intérêt de favoriser la circulation sanguine dans le cuir chevelu. Cela permet de nourrir correctement les cheveux en irriguant suffisamment les follicules pileux. Cette vitamine permet donc à toutes les autres de faire leur travail.

Chute des cheveux : pourquoi les femmes perdent-elles beaucoup de cheveux ?

La chute des cheveux chez les hommes peut être à l’origine de nombreux complexes. Cependant, elle est largement considérée comme normale. Pour une femme, la solution peut s’avérer beaucoup plus délicate.

Si vous êtes une femme et que vous perdez beaucoup de cheveux, cela a peut-être un lien avec votre fatigue, votre stress ou votre anxiété. Dans ce cas-là, prenez du temps pour vous et faites-le nécessaire pour ne plus subir vos angoisses.

En revanche, si la chute de vos cheveux rend votre cuir chevelu visible, alors il est probable que vous souffriez d’une alopécie plus rare et plus problématique. Consultez rapidement un dermatologue pour en savoir plus.

Si le médecin ne trouve aucun problème particulier, alors vous souffrez sans doute d’un stress et d’une anxiété bien plus importants que vous ne le pensez.

Chute des cheveux : stress et cheveux blancs

Généralement, lorsque l’on s’interroge sur l’impact du stress sur les cheveux, la question de la dépigmentation vient juste après celle de la chute des cheveux. Effectivement, la sagesse populaire a tendance à dire que les cheveux blancs seraient plus nombreux chez les personnes stressées.

Le lien entre l’anxiété et la dépigmentation des cheveux n’est pas une certitude scientifique, mais de plus en plus d’études valident cette thèse.

La première hypothèse la plus répandue concerne le système immunitaire. Pendant longtemps, les scientifiques ont pensé que le stress provoquait des cheveux blancs en s’attaquant au système immunitaire.

C’est vrai que le stress a ce type d’impact délétère sur notre organisme, mais ce n’est pas pour cela qu’il provoque des cheveux blancs. Effectivement, toutes les études prouvent qu’il n’existe pas de lien entre dépigmentation et système immunitaire fragilisé par le stress.

Ensuite, une autre hypothèse a été émise: le stress provoque une sécrétion très importante de cortisol dans le sang (à tel point qu’on l’appelle hormone du stress). Une fois de plus, la réponse est ailleurs. En effet, des souris à qui on injectait des quantités importantes de cortisol n’ont pas souffert de dépigmentation des poils.

En fait, c’est l’excès d’adrénaline provoqué par le stress qui serait à l’origine des cheveux blancs.

Effectivement, les cellules souches présentent dans le follicule pileux sont notamment à l’origine de la pigmentation des cheveux. Quand le stress dégage des hauts taux d’adrénaline dans notre sang, cette adrénaline provoque un relâchement complet des cellules souches dans la kératine.

Ainsi nos cheveux se vident de leur pouvoir de pigmentation et repoussent blancs. Mieux gérer son stress et vaincre son anxiété permet donc de garder des cheveux pigmentés plus longtemps.

En bref, si on se résume, vous faites l’objet d’une perte de cheveux associée à de l’anxiété et vous cherchez une solution à l’un comme à l’autre.

Je vous invite donc à cliquer sur le lien ci-dessous :


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Article mis à jour le 4 septembre 2022 par Frédéric Arminot.

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